Exemples d'essais de bourses d'études pour les étudiants ayant des besoins financiers Mise à jour 2022

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Mes amis allemands s'en fichaient que nous venions de différents pays; ils se moquaient que nous ne restions que trois semaines. Ils nous ont acceptés dans leurs foyers et leur vie quotidienne, leurs traditions et leurs célébrations.
En regardant ce match de Coupe du Monde, peu importait que nous venions de différents endroits; nous encouragions tous la même équipe. L'acceptation que je ressentais en Allemagne s'étendait au-delà de ce salon. Je suis venu au pays pour un échange de trois semaines avec dix autres élèves de mon école.
Nous avons chacun séjourné dans des familles d'accueil et assisté au gymnase Wildermuth, qui était étonnamment accommodant pour un groupe d'adolescents américains bruyants.
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Les professeurs étaient sympathiques et accueillants, les étudiants nous traitaient comme des pairs ordinaires, et même les gens avec qui j'avais interagi en public étaient compréhensifs.
Avant de venir en Allemagne, je craignais un jugement basé sur mon niveau de langue (qui est loin d'être aussi bon que l'anglais des étudiants allemands) et sur la politique américaine.

C'était intimidant d'être dans un pays avec une connaissance limitée de la langue et des coutumes, même si tout le monde était accueillant. Les gens se sont interrogés moi-même et les autres étudiants sur le climat politique américain, mais personne ne nous en a blâmé.
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Ils ont reconnu que nous étions des étrangers, que l'endroit d'où nous venions avait des défauts, et ils nous ont quand même acceptés.
Depuis ce voyage, je me suis retrouvé à essayer de donner cette acceptation aux gens de mon propre pays. Par exemple, je travaille dans une livrée de canoë et nous recevons beaucoup de visiteurs avec un anglais limité.
Certains de mes collègues éviteront de tels clients parce qu'ils ne veulent pas prendre le temps d'expliquer les choses, de faire preuve de patience avec quelqu'un qui ne les comprend pas.
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Si les gens m'avaient fait ça en Allemagne, mon séjour là-bas aurait été beaucoup moins agréable; en fait, j'aurais été offensé.
Alors maintenant, quand quelqu'un s'approche de la livrée et me pose une question en anglais qui n'est pas parfaite, je leur souris et leur souhaite la bienvenue. Je prends mon temps pour m'assurer qu'ils comprennent, qu'ils peuvent passer un bon moment et qu'ils se sentent acceptés.
C'est une petite action, mais je sais de première main qu'elle peut avoir un grand impact, sur mon lieu de travail et dans le monde."

Exemple 2
Bourse de 39,500 XNUMX $ du Collège des arts et des sciences de l'Université de New York par Ana
Invite: Expliquez quelque chose qui a eu un grand impact tout au long de votre vie.
"Si vous ne pouvez pas en vivre, c'est inutile." Mes parents parlaient de patinage sur glace: ma passion. J'ai commencé à patiner à l'âge de dix ans en Espagne, admirant à quel point la difficulté et la grâce s'entremêlent pour créer de beaux programmes, mais personne n'imaginait que je serais encore sur la glace sept ans et un pays plus tard.
Encore plus inimaginable était l'idée que le patinage sur glace pourrait devenir l'une des parties les plus utiles de ma vie. Je suis né au Mexique de deux hispanophones; ainsi, l'espagnol était ma première langue.
Nous avons ensuite déménagé en Espagne quand j'avais six ans, avant d'arriver finalement en Californie vers mon treizième anniversaire. Chaque changement a introduit d'innombrables défis, mais la partie la plus difficile de déménager en Amérique, pour moi, a été d'apprendre l'anglais.
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Des fiches plastifiées, codées par couleur et pleines de vocabulaire, sont devenues une partie de ma vie quotidienne. En tant que personne qui aime engager une conversation, il était très difficile de se sentir comme si ma langue était coupée.
Ce n'est qu'à la patinoire que je pouvais être moi-même; la sensation de la brise froide de la patinoire qui m'embrassait, le bruit de déchirure des lames touchant la glace, même la glace occasionnelle qui brûlait ma peau lorsque je tombais - c'était mes quelques constantes.
Je n'avais pas à m'inquiéter de mal prononcer «axel» ​​comme «aksal». Au contraire, j'avais juste besoin de glisser et de livrer le saut. De ses compétitions de comptage de contusions de bonne humeur à sa culture de travail acharné et de persévérance, le patinage sur glace a fourni l'environnement stimulant qui a valu la peine à mes autres défis.