Fete du jour
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soit pa« originale. Elle a certes un cachet qui sort de la banalité ordi naire: hélaa ! cette apparence no serait que superficielle. Du chic, du genre, mais pas plus !... . . ^urnctt's WHITE SATIN Qiib LE GIN DES ARISTOCRATES WHb. 5121* Que la plus grosse Blanchisseuse fasse votre LAVAGE et REPASSAGE ^TOILET
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j ------- — j —i. i - .. ... ----- ' entretenue, est pour un mari, même soucieux ou un oasis où il se sentira réconforté. Il ite ses ennuis si, joliment parée, sa ( entreprises de nature à ( femme l'accueille avec bonne humeur. Car la j i---------- - **• e*des nôtres dans le triple : gaieté complète le décor de la vie commune et,! le service de répression des fraudes a continué à j domaine intellectuel, artistique, économique. Us * chacun sait, c’est là un puissant facteur de j effectuer des prélèvements sur de nombreux ; veulent servir, au sens le plus complet du mot. • bonheur. Vérifiez Sa Vitesse! ajo tiucuA uuiuittfb. un emnousiasTTie qui its porte ------- d'avoir employé des produits chimiques dans la à se dévouer, malgré les indifférences, souvent |entr^tenuc fabrication du pain, que l’usage de ces produits ; les avanies auxquelles se heurtent leurs initia- ^bHera’vi se répandit et donna faussement l'impression • vives, à toutes les entreprises de qu’une tolérance existait. Depuis ce jugement, i favoriser le progrès des nôtres dans MOrOR» |
points du territoire français, de nouvelles pour- Pouvons-nous le leur reprocher? Au con- II faut peu de choses à une femme de goût | îm radio est la presse parlée, comme le journal est la presse écrite. Il ne peut être sérieusement question d'étatiser l’une ' jv l'autre veut reste; •ne privée pour progresser. En garde donc i : des pour créer autour d’elle un cadre particulier qui ; ,,, . a câuse “C ; plaît, attire et retient; une atmosphère qui dé-' ! heureuse influence qu’ils sont en état d’exer- j gage uqe empression de bien-être fort appréeia- gouvernement cer. A n’en pas douter, ils sont dans une large ible en ce siècle où l’on croit ne se plaire que français, il ressort que les minotiers n’auront ! mesure des agents de liaison entre notre an-!
dehors. Celle qui sait donnai- à son intérieur cet! suites furent engagées et des expertises ordon-'traire, nous devons les en féliciter. ;nées par les tribunaux. De l’attitude décisive du . Ainsi que le journal, la radio 'Jjipius à compter sur les substances améliorantes tienne mère patrie et le Canada français, ir libre, ayant besoin de Finitia- !: des farines pour mettre obstacle à l'importation démonstrateurs, des interprètes autorisés contre tout projet d’étatisation de la radio. blés exotiques, parmi lesquels le blé dur [deux grandes civilisations dont est issue LE JOUR DOMINICAL Comme par le passé, la Ligue du Dimanche invite notre population à méditer plus particu lièrement pendant cette semaine sur les motifs qui doivent nous engager à bien sanctifier le dimanene, motifs d'ordre surnaturel qui doivent j faire impression sur tout chrétien soucieux dej ses obligations religieuses, motifs d'ordre tem porel dont doit se préoccuper une communauté qui a à cœur la prospérité et le bien-être de ses membre.-. Le jour dominical a été institué par Dieu lul-meme pour permettre à ses créatures de lui t ' Pacifique Canadien. j Northern No 1 du Canada figure au premier j masse de la population canadienne. Intéressons- ^ rang à cause de sa grande richesse en protéine. ! nous à leurs travaux, secondons leur œuvre! De ce point de vue particulier la circulaire du ; L’Association des anciens étudiants d'Eu- ministère de l’Agriculture interdisant les “amé-jrope constitue un groupe important dans i’éiite liorants” de farines panifiables intéressera dont nous avons besoin pour développer large- grandement nos producteurs et exportateurs j ment les ressources morales, intellectuelles et blé. i matérielles de notre jeune pays. Acceptons ----------------- ! volontiers la collaboration qu’elle nous offre si volontiers ; notre communauté en retirera sûre ment avantage et profit. attrait et se montrer toujours avenante et ex-j quise, pgut vaincre des difficultés sans nombre, ' car. si difficile et volage que soit son eompa-1 gnon, elle aura toujours sur lui l'empire néces- j saire. Sûre d’elle-même, de la tenue irrépro chable de sa personne et de son foyer, elle sou tiendra avec avantage toute comparaison. LAURE. Donnez-lui du gaz ! Jouissez de la puissance , . surabondante qui lui vient de la • CARBURATION DESCENDANTE v une nouvelle caractéristique du NOUVEL OLDSMOB ILE UNE ,VALEUR GENERAL /MOTORS LE PROGRES DE L’ELEVAGE L’organisation nationale des Cercles des Jeunes Eleveurs du Dominion est maintenant un fait accompli, grâce aux efforts conjoints du ' Canadian Council et des départements de Fagri-j culture des chemins de fer Canadien National j Modelée sur celle des ; sociétés similaires des Etats-Unis, elle a reçu) l’approbation de l’honorable Robert Weir, mi-* fédéral * rAffriculture. et d. la plupart LETTRE DE QUEBEC La pêche ouverte S pèbvice special
. rendre b»s hommages auxquels il a droit. Que peirser de ceux qui font de cette journée sainte une journée comme les autres, qui travaillent ou qui s’amusent sans songer à rendre au Créateur des ministres provinciaux. ! est de nouveau ouverte et les amateurs de la le culte qui lui est dû? Une société qui laisse sel Cette fédération existait virtuellement déjà gaule s’en donnent déjà à cœur-joie, commettre pareille violation agit comme le mau- ; depuis que les cercles des jeune* éleveurs des Notre province de Québec possède dans vais fils envers son père et, comme iui. mérite jdifférentes provinces sont invités à prendre part,; fa rivières et ses lacs des sources de richesses lus malédictions divines. Au contraire, la sanc- j chaque année, au grand concours national dap-1 J’6?® de S tificatio» du dimanche ne peut que disposer du bétail tenu à l’Exposition d’Hiven^ 80Urce3 ont tSujoa« été Fobjet°dVtltentiom favorablement le Ciel. Pronto sous les ansptees du chemin de f«r{constaâte, de la part du peuple devenu amateut- Pui-, l’expérience eu a etc faite, le travail ICanadien National, mais sa consécration n’était:de toutes les pèches. De sorte qu’aujourd’hui, du dimanche, à moins de nécessité, ne paie par. P*1' consommée officiellement. Le but est de habiter près d une rivière à truites ou à sau L’homme n’est pas une béte de somme. Il lui faut un repos, une détente, sans quoi il s’acquit tera mal de sa besogne. 1! a besoin de se trouver le dimanche au milieu de sa famille, voir plus longuement se* enfants qu'il est parfois cm- la terme canadienne. Dirigés de haute main et pêché de voir les autres jours, en un mot vivre ............ la vie de Fâme et réchauffer son cœur à la flamme du foyer familial. Les patrons qui refusent cette satisfaction a leurs employés ne comprennent pas leurs intérêts. Sachons donc obéir à 1 avertissement solen nel çv nous donnaient les évêques de notre stimuler sur tous les points du pays à la fois ! mon s est un honneur en même temps qu’un l'intérêt des associations juvéniles d’éleveurs P‘aislr* U n’est pas. pour îes^pauvres comme des deux sexes à l’égard des animaux de race ^KKn ^es rie^®8, d excursions d agrément telles les plus aptes à relever le niveau économique de|Je^l VOyages de ^ fins dc Aussi, est-on assez expert, parmi nos popu- reliés entre eux par des liens plus étroits, les j latkms, en matière de pèche à Ta ligne, que* ce fils et les filles de cultivateurs, enrégimentés !’"«Jit la pèche à la ligne Bottante ou à la ligne dans la fédération nationale, auront désormais !de Tonds; que ce soit à la ligne au coup, à fouet- de meilleures garanties de réussite dans leure i161'.0!1 .la„ii87,e a la volée- la P^'he aux touches entreprises respectives. cercles ne sont pas8ux mouches *****%*, à la de ce fait dépouillés de leur autonomie; ils eon-j Nous sommes, nous du Canada français, tmuent d exister comme autrefois en confor- grands amateurs de pêche, et bien peu chez province dans leur lettre collective de novembre!011^ de ieure constitutions particulières, mais; nous n aiment pas à donner leur coup de ligne là ces premiers efforts. Au Congres diocésain de Paris La mentalité de la jeune fille moderne Paris, le 17 avril 1931. L'interet des sujets traités chaque année j au Congrès diocésain de Paris dépasse de beau coup les limites d’un diocèse et meme d’une nation; la question qu’on y a étudiée ii y a quel- j que» semaines est de celles qui, dans la plupart des pays, apparait comme urgente autant que grave. “La mentalité de la .jeune fille d’aujour d’hui” commande en effet la société de demain. La jeune fille, c’est la prochaine épouse, c’est la future éducatrice, la famille à venir dépend d’elle dans la plus large mesure. Or, il est indé niable que cette mentalité de la jeune fille a considérablement changé au cours des dernières ' années, tant par suite de l’indépendance acquise | que par les influences subies — influences des 1 écoles sans religion, du théâtre et du cinéma souvent malsains, des relations, enfin, singu lièrement meiôes dans la vie professionnelle que la majorité de? jeunes fille* modernes est obligée de mener. Fragile et inexpérimentée, encore qu’elle ne veuille plus le reconnaître, la jeune fille est extrêmement menacée par cette existence nou velle et la foi chrétienne vacille en elle, risquant d’ntrainer la morale dans son effondrement. Très nettement, les rapporteurs du Con- grès diocésain de Paris se sont placés en face de fa situation, envisageant les remèdes que déjà Fon y apporte et ceux qu’on peut adjoindre CHEVROIiET MOTOR SALES OF MONTREAL Limited 1880 rue Ste-Oatherine Ou**t Succursale tic Verdun: 4780 nie Wellington 1929: “Ayez à cœur, par votre vigilance et votre S0Usi d’un conseil dont la juridiction de temPs en temPS- Quand nos moyens ne nous exemple, de maintenir le jour du Seigneur en «’étendra sur toutes les provinces en matière Download 4.14 Mb. Do'stlaringiz bilan baham: 
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