Fete du jour
dans grand honneur panni nous et de ne permettre à |d’01’8ani3ation dans les grands mouvements mus
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dans grand honneur panni nous et de ne permettre à |d’01’8ani3ation dans les grands mouvements mus rabattons vo!onti?rs su^ la* jJche à°la personne de venir le profaner et d’en faire un M ensemble de caractère national. truite, que Fon peut prendre un peu partout jour de malédiction”. Un comprend 1 importance d’une semblable particulièrement dans nos milliers de lacs et A mieux respecter la loi du dimanche, notre i fédération quand l’on sait que près de 15.000 rivières laurentiennes; que ce .-oit la traite de population attirera sur elle les faveurs céleste*. ! Jeun» cultivateurs des deux sexes font partie mousse, la truite de rivière, la petite truite de Dieu se laissera toucher et il abrégera sans 'dtiS <*rclea d’élevage juvéniles dan? les neuf ™1®®®^ ît Eî!!ÎÎ “foire’ blanche, doute l’épreuve du chômage actuel en procurant ; provinces du Dominion. Ces cercles sont au ^ perdre ROn npm ^ure"a^£f “to^Sdi””1 un gagne-pain digne et suffisant à ceux qui n’en nombre de 820 et comptaient précisément; Nous, les "assis” de la ville, ne cherchons ont pas. Notre Père des cieux n’est jamais ; 14,737 membres actifs au début de l’année, ainsi pas à en remontrer à nos gens sur la pèche à la moins généreux envers le* hommes de bonne (répartis par province : Ontario. 143 cercles avec truite. C’est le poisson favori du peuple, com- vokinté qu’ils le sont envers Lui. LE PAIN CHIMIQUE INTERDIT i
La masse des jeunes filles se déchristianise. En revanche, Félite formée dans les œuvres augmente de jour en jour, ces œuvres perdant de plus en plus le caractère de simple préserva tion pour devenir des mouvements de prosély tisme et de conquête. C’est Félite qui sauvera la masse. C’est la camarade d’atelier ou de bureau qui agira sur ses compagnes. C’est Famie bien formée qui, dans les milieux mon dains, poursuivra le même apostolat. Son Em. le cardinal Verdier, si compréhen sif des questions du temps, a tracé dans les grandes lignes la tâche des éducateurs. Se mettre résolument devant les réalités qui ne peuvent laisser la jeune fille telle, exactement, OaoWy t**4' VtoèwisW // cercles avec 85 adhérents. Les cercles du Nou-Tru!*e d f bien inspiré. Depuis Ansone. la eau-Brunswick manquent a cette liste. L’exé- p^lte dù ch*?.*ei; autant 0ue T’homme. .Elle est toujours restée, traversant les siècles, , „ , , , , coi’e l’un des plus beaux: poisson d’or et d’ar- tadherents; Saskatchewan, cercles avec 1,065 gent par les écailles, poisson des gourmets par Dan, une circulaire tout récemment adres-1adhér^ Britannique, 17 cercles la paveur de sa chair rosée et tendre. Le poète sée aux agents de la répression des fraudes etiavec °00 adhwents: Iie du Pnnce Edouard* 7 ^ An-ün*’ -a- ate le premier a chanter ,a aux préfets de départements, en France, le mi- uietèie de l’Agriculture interdit l’emploi des , jw..» WUJVUia .csicc, vraveraw» ies siecies. produits chimiques dans les farines. Ainsi seiCU 1 e nouve e organisation ?e un poisson frétillant, d’un jaune doré mêlé trouve résolue définitivement une question qui if00*0-6 hautement cotes parmi de vert sur les côtés, aux pectorales brunes et retenait depuis longtemps, et à un très haut* degré, l'intérêt des producteurs de blé et des minotiers français. L’emploi de substance, chimiques pour améliorer les farines de qualité inférieure ser vant a la fabrication du pain datait en effet de plusieurs années en France, mais il se prati quait sur une plus grande échelle depuis la crise tion religieuse et intellectuelle très sérieuse, comme la donnent notamment l’Institut Catho lique de Paris et les Cercles de philosophie thomiste, ainsi qu'une éducation et du senti ment et de la liberté: voici qui est bien actuel et répond aux besoins d’une époque. On aime rait notamment s’arrêter longuement sur cette conception si riche: l’éducation de la liberté... Pour permettre à la jeune fille de s’orien ■es dirigeant, de < industrie animale au Canada: violettes, aux ventrales dorées, aux nageoire* i ter dans la vraie direction, l’archevêque de \ I T I Tï «Z? T'A. < — 1 1
! _ .. _• 1 -a .'1 1 a /I A’ . ✓I’ U. 1 . 1_____ » _ . . . .
. ,MM. R.-S. Duncan, de l'Ontario, président adipeuses couleur d’or avec bordures brunes, à ! W.-V. Longley. de la Nouvelle-Ecosse : N.~C.|1 aaa,e variée de pourpre, d’or et de gris perle; Mackay, du Manitoba; Ceo.-B. Rothwell. corn- a,u dos de *°,uttfs P/^urines entourées de bleu T .r !clan; bref, toutes les couleurs du rubis et du “'L- saphir. On a reconnu parfaitement, sans doute, missaire du bétail pour le Dominion McOuat, agent général de l’agriculture pour le Pacifique Canadien, et F.-W. Walsh, *urinten- notre délicieuse petite truite. Et le plaisir de la voir nager au fond d’une eau pure et claire, dant du service de l’agriculture du Canadien : ressemblant alors, au loin, à une feuille de , . , . . . | National. M. Alex. McLaren, propagandiste de'corniier * PIa*s>t P'us garnd encore que cruel du froment coïncidant avec la crise economique1 e h * *. 1
1 . ------ j — - -* * mondiale. Le problème était de savoir si Fon pouvait trouver en France assez de blé indigène de bonne valeur boulangère pour satisfaire au besoin d< la consommation domestique et en raye*' l’importation des blés exotiques, tels ceux; de F Amérique et même des pays de l’Europe continentale. Les tenants de la restriction des achats de blés étrangers repondaient dans l'affirmative, tandis que les partisans de l’importation opi naient du contraire. De son côté, l’Association Générale des Producteurs de Blé soutenait qu'il y a en France tous les blés nécessaires à la meu nerie et qu'il n'y a pas lieu conséquemment de faire u,age de poudres chimiques pour produire ûv bon pain. Le (ommunique officiel du ministère de l’Agriculture résume la question et en dispose h la fois en de, termes catégoriques. “La circu laire du 6 novembre 1930”, y est-il dit,“signalait que l’addition de tou» .produits chimiques, en panification, demeurait formellement prohibée et constituait une infraction aux textes en vigueur (loi du 1er août 1905, décret du 15 avril 1912, arrêté interministériel du 25 juin 1912), tant que cette addition n'aurait pas été autori sée par un arrêté pris aur le double avis du i l’industrie animale du Nouveau-Brunswick, estjq^and: une toia raPturée- 011 la sent frétiller le secrétaire permanent de la fédération dont en r* Et c est ce délicieux petit poisson qui, alors les quartiers généraux sont à Ottawa sous le vocable de National Council on Boys’ and Girls’ Club,. Il est à souhaiter que la province de Qué bec, qui contribue pour une si large part au progrès de l’élevage du bétail et a décroché des championnats aux concours nationaux, tenus ces années dernières à l’Exposition d'Hiver de Toronto, soit représentée dans le bureau exécu tif permanent prochainement constitué. Nos! éleveurs méritent ce titre d’honneur conférant j aussi des responsabilités qu’ils sont en lieuj d’assumer avec compétence. que nous commençons, nous ses bourreaux, la belle saison, va vivre pendant quelques mois sous le règne de la terreur. Officiellement, les humains ont décrété que pendant une partie de l’année la truite, au fond des eaux, sera tran quille, alors que pendant l’autre partie, ce que nous appelons la belle saison, elle sera “tailla- ble et corvéable à merci”. SAINTE-FOY. CAUSERIE FEMININE Habileté NOS ANCIENS D’EUROPE ne de Les contrariétés et meme les échecs sauraient ralentir l’ardeur des membres l’Association des anciens étudiants d'Europe. Ainsi, leur revue officielle “Opinions” s’était butée à des obstacles matériels et plusieurs pen saient, sans le dire ouvertement, qu'elle succom berait là. Elle s’est relevée, grace à l'énergie de ses directeurs et à la générosité de ses amis i Nombreuses et variées sont les causes de lia mésentente qui assombrit, aujourd'hui, tant de foyers. Cependant, c'est souvent à tort que l'on va rechercher au loin ces cause* de désu nion. On accuse le modernisme, l’éducation des jeunes filles, l'égoïsme masculin, le manque de bonne volonté des jeunes gens peu habitués aux concessions. On déplore l’absence de qualités ménagère* chez la femme. Et bien d’autres choses encore... Ces raisons peuvent avoir, en certains cas, leur valeur, mais si on observe les ieunes mé- Paris suggère cinq moyens qui tiennent dans le développement de l'idée d’association du point d’honneur, du sens de la responsabilité, du sens social encore et de l’esprit d’apostolat. Ceci est aussi hautement que justement pensé : on a peut-être trop songé jusqu’à présent à interdire à la jeune fille tout ce qui présentait pour elle quelque danger; vienne un certain relâchement dans la direction et de cette éducation il ne de meurera aucune force active; enrichir la per sonnalité de la femme de demain est autrement fructueux. La collaboration apportée au Con grès diocésain par iee. dirigeantes de nombreux groupements de jeunesse féminine promet un intelligent travail dans la ligne donnée -par Son Eminence le cardinal Verdier. C’est encore de la femme qu’il fut question à la séance de clôture du Congrès, mais cette fois devant un auditoire de 10,000 hommes catholiques. Le R. P. Sanson y convia les hom mes à examiner avec lui les condition* de l’exis tence féminine, afin de donner à la femme une place digne de celle qui “issue de la main créa trice de Dieu qui est la vie, veut vivre plei nement, aussi pleinement que Dieu veut qu’elle vive”. Un dangereux féminisme tend à libérer la femme de la loi éternelle qui la fait épouse et mère; le vrai féminisme à iui opposer est celui qui rend possible à
personne morale et le développement de sa valeur intellectuelle sans l’arracher à
sion familiale. Jean MULLOT. —Ce ne riont pas d’abord des lois nouvelle* qu’il a one taut, si bonnes qu’on les suppose, mais des idées plus naimv et des moeurs privée** et sociales inspirées de l’Evangile — et non pas tant des hommes de va leur, qui cependant nous manquent, que des saints marqufs de la frappe divine de la vérité et du sacrifice.
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i Saint-iSulpice, *ous les auspices de | ’a Société des Auteurs Canadiens. [ Dos invités étalent: ;M. et Mme Alfred Desrochers, de Sherbrooke, M. et .Mme Jean Bruchési, de Mont réal; M. et Mme Albert Pelletier,1 de Montréal: Mlle Eva Senécal, Mme UJrtc 'Lasalle, 'Mlle Annette Losalle, Mlle Jovett&.Alice Bernier, de Sherbrooke; Mlle Anita Belleau. d’Arthabaska; ATI le Françoise Gau- det, d’Aston Jonction; Aille Héon, Mlle Defccarries, M. Harry Bernard, de Saint-Hyacinthe; M. Jean-Char les Harvey, de Québec; M. Roger Gagnon, IM. Raymond Douvllle, M. Lucien Parizeau et M. Charles- Auguste Saint-Arnaud, de Trois- Riviéree. P’iançailles — Ou annonce las fiançailles de Mlle Colette Lemieux, fille de M. H. Lemieux, de Laprairie, avec M. Jean-D. Hébert, fils do M. L.-F. Hé bert, de Shawinigan-Falls. Québec
— Leurs Altesses Impériales le prince et la princesse Takamatsu sont attendus à Québec, demain, et seront les hOtes à déjeuner du Gou vernement Provincial à leur arri vée. Le soir, un dîner sera offert d Spencer-Wood, en leur honneur, par le lieutenant-gouverneur et Mme Henry-George Carroll. 1-a suite de Leurs vitesses sera formé comme suit: le ministre du Japon an Canada, M. Tokugawa le com mandant Takeo Yamagatz, Mme Ta- kako Otchiai, le docteur Tsuneo 8a- kamato, le lieutenant-commandant Kyosuko Mlztno, le prince Takamat- u, MM. Minoru Kuro et Junzo Ya mashita “'La situation est découra geante mais non désespérée, nous dit Sir Frederick Williams-Taylor. tides —Mme M.-C. Larue a reçu à l’heure du thé, à Spencer-Wood. —On remarquait, samedi, au Château Frontenac, à l’heure du thé: M. et Mme Charles Camion, Mme B.-A. Scott, Mme Lucien Can-i non, M. et Mme Pierre de Guise,! "L'opinion britannique favorise M. et Mme Jean Pineau, Mlle Lucie I hautement une plus étroite coopé- Signes réconfortants Beaupré, M. Paul Trudel, Mile Louise Larue, M. Jules Savard, Mlle Jean Gtbaut, M. Langis Gali- peault, Mlle Elaine Perkins, Mlle Louise Drouin. Mme L.-A. Wright, Mme H. Chassé, Mlle Berthe Oar- neau, M. Fritz Hacker, M. Gustave Vallerand, Mme H. Bossé, M. Gor don Perry, Ottawa —Lady Clark a reçu à l’heure du thé, vendredi. —L’honorable H.-H. atevens a reçu à diner, vendredi, au café du Parlement, en l’honneur du doc teur S.-F. Tolmie. premier-ministre de la Colombie Anglaise. Le géné ral A.-D. McRae et M. Léon Ladner étalent au nombre des invitée. —Leurs Excellences le gouver neur général et la comtesse de Bessborough ont lancé des invita tions pour une réception qu’elles donneront, mercredi soir, à i’Hôtel du Gouvernement. —Mme Percy Borden est partie pour l’Europe. Banquet au directeur des postes de Québec Ou ccrranpondajtt ds la PRUSSE» Québec. 27, — Le* employés de j
Le lieutenant-colonel J.-P. Ar- jsoir, au Château Frontenac, un ban- ohambault, commandant du Royal IqUet à
22e Régiment, et Mme Archambault [l’oocasion de sa récente nomination recevront à l’heure du thé, mardi, à comme directeur des postes, a Que- la citadelle, en l’honneur de Leurs AUesBes Impériales le prince et la princesse Takatmatsu. — Mme Arthur Doughty. d’Otta wa. est arrivée à Québec et est l’in vitée pour quelques jours de Mme Lucien Cannon. — Mme Armand LaVergne et Mme Rodolphe Roy font actuelle ment un séjour à Atlantic City. —Mlle Ida Donohue est revenue discours ont été prononcée. bec. Le banquet eut lieu dans la salle Rivervlew, où étaient réunis plus de deux cents convives. Le nouveau directeur remercia ses subalternes de oette marque de sympathie, et il en profita aussi pour leur donner d’utiles conseils. Le banquet était présidé par M ration économique iutra-impériale et attend avec impatience les résul tats de la prochaine conférence Im périale à Ottawa”. Mais tant que le gouvernement travailliste ne changera pas d’attitude à ce sujet, la Grande-Bretagne aura peu de la- j
nions, déclarait hier. Sir Frede- j
dent de la banque de Montréal, avec ] résidence à Londres, présentement à Montréal Le financier distingué fait actuel lement son voyage périodique au. Canada: il se retire au Ritz-Carl- ton. "La situation en Angleterre I est décourageante, mais non déses-1 pérée. Le commerce ne manifeste aucune activité, des millions dor ment sous l’Influence soporifique •du système do "dole”, les déficits i
térêt privé prime sur l'intérêt na-| tional et retarde rétablissement, d'une politique d’envergure qui per mettrait au pays de se tirer du ma rasme actuel". Seulement Sir Wil liams-Taylor remarque des signes, de réconfort dans les cercles extra gouvernementaux, Le mouvement en faveur d’un tarif de protection : est mieux appuyé que jamais. La fédération des Industries britanni ques lui a donné récemment son adhésion. Revue de la situation "Présentement il se fait une re vue des valeurs susceptibles d’ètre conservées et améliorées. La posi tion stratégique du pays au point de vue du commerce d’expropria tion, une révision des prix de fa çon b conserver des marchés qui menacent d’être saisis par d’autres nations, ont l’attention de tous ceux qui .désirent que l’Angleterre se trouve en bonne posture lorsque la dépression mondiale actuelle aura pris fin.” D’autre part,les lieux d’a- Henri Arteau, président de l’union | musement du pays regorgent d’une des employés des postes. Plusieurs foule toujours plus considérable.” I "Ce serait une joie pour moi que de pouvoir vous parler d’une façon plus optimiste ei vous donner des impressions moins définitives enr l’instabilité économique. Je vou drais vous dire que la marche vers le progrès s'accélère et que l'avenir est plus brillant. Mais depuis Van dernier, la crise s'eet accentuée et lu Grande-Bretagne a eu sa part de misères. Le commerce a diminué, la production s'est faite moins con sidérable et le chômage a pris des proportions inquiétantes. Seulement l'Angleterre résistera, à toutes les attaques; en dépit de tous les pro nostics désavantageux elle conser vera son poste stratégique dans l’é conomie mondiale. Les “Filles Natives" reçues au club des journalistes Une partie de cartes et un grand thé ont eu lieu samedi, sous ia pré sidence de Mme A.-E. Moissan. dans les salons du Club des Journalistes, gracieusement mis à la disposition des Filles Natives pour la circons tance par M. George Pierce. f Durant la partie de cartes. 1 or chestre du Club a Joué de forts jolis morceaux. Un programme musical a aussi été exécuté avec beaucoup d'art sous la direction de Mlle Cécile Ra cine. Nos félicitations à Mlles Gau thier, Racine, Faquin, Proulx et Brisson qui ont si bien rendu ce programme. Me Armand Mathieu a tait une allocution sur le but de l'association des Filles Natives du Canada. M. Turgeon a aussi adresse la parole et c’est lui qui présenta le conférencier. Deux collisions à Dorval La police de Dorval a fait enquête dans deux accidents survenus eu fin de semaine: dans chacun de ces cas les conducteurs des automobiles ont été légèrement blessés; les voitures ont toutefois été partiellement dé truites. Le premier accident est survenu a 11 11. 30, samedi soir, lorsqu’un camion conduit par M. J. Pitcher, d’Ottawa, a été renversé par 1 auto mobile que conduisait M. Maurice- L. O’Flaberty, 1251 rue S.-Marc. L'automobile, par le choc, frappa une autre voiture conduite' par M. .Tules-E. Décary, 9èma avenue, La- cliine. M. Décary fut le plus blesse des trots conducteurs. Il souftre de contusions au corps. L
arrivé en face du No 12 rue Saint- Joseph. Dans le second cas, la voiture conduite par AI. Ernest Beaulieu. 2835 rue Dandurand. Montreal, frappa uu camion-automobile char gé de marchandises, à l’angle des rues S.-Joseph et Lilac. Beaulieu souffre de blessures au nez. Le chef de police Boyer s’est rendu sur les lieux dans les deux cas. Un boycottage des produits i
Les Provinces Maritimes achèteraient désormais de qui achète d'elles. A. Lemieux, do la maison Kieffer | Bros., et J.-O. Lemieux, marchand de S.-Henri, président des maf- chands-détaillanU; deux soeurs,' Mine veuve D.-O. Parent (Exildcl.i Aime Ludger Dubois (Déeilva). Lea i funérailles auront lieu demain ms- tin, à 8 h. 30. à l’église S.-Edouard. Un voleur de clievaux arreté L’enquête sur la contrebande est encore retardée Québec favorisée ? pw.jpi. «“ „n A* *£ **,4‘*^ j 800., v Ul<’n roi»»
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qui annonce à pleines pages son In- Itantlon de ne plus acheter de ma tières premières de Toronto, et de transiger désormais avec des mai- j‘■ona de la Vallée du Saint-Laurent. ! c’est-à-dire de la province de Qué bec, où l'on a-hète annuellement environ 2,000,000 de tonnes de charbon de la NouveMe-Ecosse. M. Snell allègue que l'Ontario achète irop peu des provinces nviri- timee pour ce qu'elle vend atir pro vinces de '.'Atlantique. L'Ontario, préctee-t-ii, pourrait user de son in fluence au parlement d’Ottawa pour Obtenir un tarif protecteur potw le charbon et l’acier de la Nouvelle- Ecosse. ce qu'elle a refusé de faire alors qu'elle réussissait à faire adop ter une législation destinée à proté ger ses propres produits sur le mar ché canadien. Il importe d’agir lum d'argumenter M. Snell, invitant les hommes d'affaires des provinces maritimes à le seconder dans sa campagne, dé clarait, avant-hier, qu’ “il est inu tile de vouloir argumenter avec On tario. On y admet la légitimité de no» née la mations, mais mou la né cessité particulière d’agir tant et aussi longtemps que leurs voya geurs de commerce continueront de remplir leurs livres de commandes dans les provinces maritimes." Une r-éunion du Board of Trade aura Heu cet après-midi afin de dé cider à quelle action commune on en pourrait venir. M. Snell est d'a vis que si les hommes d’affaires in téressés veulent s'unir, il sera pos sible de s'organiser do façon à abou tir à des rÂsullaty satisfaisants. Les maires de différentes muni cipalités -.ont eu faveur du mouve ment et convoqueront des assem- blites pour en discuter publique ment. On commence, aujourd'hui, la construction de ce temple (Du correspondant d» ta PRESSE) Ottawa, 27. — Rose Aleagher Ltd, entrepreneurs d'Ottawa, ont obtenu le contrat do Î2l9,û2ô pour la nouvelle église du S.-Sacrement, paroisse Irlandaise d’Ottawa. Le curé, M. J.-J. O’Gorman, annonce que les travaux commenceront, au jourd'hui. Le détective Marsolsis, de la Sûreté provinciale, agissant noua les ordres du sous-chef Dorais et du sergent Jargaille, vient de mener à bonne fin, une longue enquête qui lui avait été confiée, il y a une quinzaine de jours. Lé 13 du cou rant. M. Aimé Thibault, cultivateur de Stanbridge Est, se faisait voler un cheval et une voiture. Il prévint aussitôt la Sûreté provinciale, et le détective Mar sol ata se mettait aus sitôt en campagne. L'agent a réus si à trouver le harnais et la voiture à Iioxtou Pond, ainsi que le che val, à South Roxion. Poursuivant ses recherches jus qu’à Montréal, le policier a fini par arrêter ici, le prétendu auteur du vol, un homme de 26 aus qui a donné le nom de Wilfrid Charron, sans demeure oonuue. Le prévenu comparaîtra demain, à Swoctsburg. Feu M. Amédée Moreau Nous avons ap pris avec regret la mort de AI. Amédée Moreau, époux de feu Eif- sa Massie, surve nue hier, à l'Asi le de la Provi dence, 531 rue Sainte-Catherine Eat, 4 l’âge de 82 ans. Il laisse une fille, M m e D. Beaupré (Méri- za), deux gar çons, Amédée et Ovlla, ses petits- -------- Roland. Jeanne, Noella et Marie-Paule -Moreau, une soeur, Mme J. Lafleur, ainsi qu’un grand nombre de neveux et nièces. Les funérailles auront Heu de main matin, à 7 heures, en la cha pelle de l’Asile de la Providence. Feu M. A. MO BEAU.
.Du < , .v.-Aionrânt de ta PREISS S) Québec, 27. ~ On ignore quand commencera l'enquête concernant la contrebande des liqueurs alcooli ques. enquête que doit diriger Thon, juge ülbsone. Elle ne commencerait pas encore cette semaine. Les auto rités fédérales n’ont pas encore ex pédié les documents nécessaires a cette enquête et n'ont donné aucune autre instruction, dans cette affai re. De plus. Thon, juge Gtbaone doit présider leg Assises, cette semaine. D’après des renseignements que nous puisons à une bonne source, la cause principale du retard, dans les procédures, serait l’absence des té moins principaux. Plusieurs de vaient être assignés, dès le début de l'enquête, mais il parait quils sont maintenant en haute mer et quils y seront longtemps. On ue' peut leur servir de "sub poonas", quand bien même on connaîtrait l’endroit où ils sont. Hôteliers qu'on met ee garde L’Association des hôteliers de campagîTio tient à mettre en garde ses membres contre une nouvelle apparition de "Slot machines”. Déjà, les distributeurs sont dans les campagnuB engageant les hôte liers à en prendre dans leurs éta blissements. Ces distributeurs donnent des lettres signées en garantie des dé boursés et frais que les hôteliers peuvent encourir en cas de saisie ou de visites des tnepecteurs. Un article de la loi des liqueurs de '!a province de Québec défend à tout hôtelier d’avoir de ces machi nes dans son établissement. De plue, la commission peut annueir tout permis de licence d’hôtel où ces machines sont saisies. L’Association des hôteliers de campagne prie donc ses membres ■d’être sur leurs gardes et de ne pas se laisser tenter par les promesses de bénéfices qu’ils peuvent réaliser en consentant la mise «n fometion- neUkîut de ce# machines dans leurs hôtels. Le directeur-gérant. AL Rodrigue Langlois, qui a été notifié da la vi site de ces distributeurs dans les campagnes, prie les membres de bien vouloir so conformer n cei avis. Le Dr Edouard Bourdon aux Assises de Québec (Da corresBonôaut de ta PRESSE) Québec. 2 7. — Samedi, lo grand jury des Assises a rapporté huit nouveaux verdicts d’accusation fon dée. Albert-E. Ouellette. Joseph Verrat, Emile Giroux. Delphi» P - ehette. Antonio Graveline, Eugène Martineau, Antonio alias Kid Ber geron, sont accusés do complot dans le but de frauder la Commission de- liqueurs, en faisant un commer' : illicite de liqueurs alcooliques. L- Dr Edouard Bourdon, dont l'auto mobile, i! y a quelques semaines, frappa le juge Albert Sévlgny. qui traversait la Grande Ailée, devra subir son procès devant les petite jurés, sous l’accusation d’avoir causé des blessures corporelles gru ves, en conduisant sa machine 4 um> vitesse désordonnée. Le monument de Maisonneuve L'échevin Schwartz, repréaontaui. du quartier Saint-Laurent, a déclare ce matin qu’il suggérait aux auto rités municipales, ou cette période de grand nettoyage, de bien vou loir faire nettoyer le monument il Maisonneuve, à la place d’Arroe- La ville, ditdl, devrait donner l'ex emple et voir Et ce que les monu ments do notre ville soient mainte nus en état de propreté. Le monu ment do Maisonneuve est dans nu piteux état, a-t-ll dit, et il demande qu'il soit nettoyé attendu que touu les touristes venant dans notre villr passent devant ce monument histo rique. Proje^ui sera soumis aux citoyens de Laciiine (Spécial à 1* ‘‘Presse") Lachine, 27. — Le règlement au torisant une dépense de S75.000 pour la construction d’un «tunnel sous la voie du C.P.R., dans l’ave nue Rockland sera soumis, ce soir, aux contribuables à l'hôtel de ville. A 7 h., le secrétaire de la ville lira ee règlement puis les citoyens se ront Invités à exprimer leur opinion sur le projet. SI à 8 heures, person ne ne s’y est opposé, il sera déclaré approuvé par les contribuables et il sera soumis au conseil munici pal ii sa prochaine séance. La ville a reçu pour cette entreprise du co mité de l’aide aux chômeurs une somme de ?25,OÛO et doit fournir elle-même la balance du coût, soit îd O.OO ü .
trois autres tois Miami Beach, Floride, 27. — Gar Wood n fait trois tentatives, sur te mille mesuré dTiidian Creek, ce matin, pour surpasser le record de canot-automobile de Kuye Don qui atteignit'103.42 milles à l’heu re mais chaque fols il a échoué. Dans sa première course, i! attei gnit 102.281 milles Et l'heure, dans lu seconde, 101.034. Sea moteurs ont paru fumer beaucoup et faire rôfnut dam»les trois courses. Feu W, Isidore LaTaille On nous prie d'annoncer la mort (le AL Isidore Lafatlle, marchand de i tabac à Côte S.-Paul, survenue hier matin, à sa demeure, 1882 avenue Galt. Le défunt était âgé de 45 ans, Il était établi à Côte S.-Paul depuis une quinzaine d'années. Sas funérailles auront Heu de main. à 8 heures. j 11 laisse pour pleurer sa mort, sa I l'etnmo. née Albina Lussier, deux beaux-frères, le notaire. Lussier, de ■ S.-Jean: le docteur J.-A. Lussier, de j Sainte-Rosalie; M. Adélard Lussier, , percepteur des douanes, une belle- I soeur, Mme Germaine Parrot, un 'frère, Al. Phlléas Lafaille. et deux soeurs, les RR. SS. Marie Lafaüla et Roua Lafaille. Feu M. J.-F. Lemieux ____________ Nous sommes | au regret d’am- | nonenr la mort (de M. J.-F, Le- I mieux, inspecteur j des systèmes de j chauffage au dé Download 4.14 Mb. Do'stlaringiz bilan baham: |
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