Publie a 8T. Jean d’iberville. Canada


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Et LE FRANCO-CANADIEN

PON DR LE 1er Jl IN IM#

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PUBLIE A 8T. JEAN D’IBERVILLE.CANADA.

VENDREDI. 

15 MARS 1912

VQL LII NO; 42

SOMMAIRE

. Actualités Européennes.

1ère page —Illustrations d'aetualité — Ui Ne .Temere en eour suprême• — 

Les puns, Sv'piun — Petits Princes—Divers 

Sème page —Courrier de Vans, Cousin de Frame.

Sème page —Dépêches étrangères.

dème page—l.es u-uvres populaires canadiennes La Chanson du passant, 

IxjUis-Joscpli DoUcvt 

Sème page — Commerce et agriculture 

Cciiu- page —L'assemblée du Monument National (Le lion

ton) —las deux types, Oraindorge —législature provinciale, Fronte­

nac.—Ix’ttre d'Ottawa, Spectateur.

7ème page —Nouvelles de St-Jean.

•èmc page —Correspondances de la campagne.

•èuic page.—Ixt foyer.

leème page—Grand roman feuilleton : La Cape et l'Epée (à suivre).

1 lème page —A travers le Canada.

12ètue page.—Ix s rentes seigneuriales.—Nouvelles des Etats t nis —Divers.

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Le Ne Temere en Cour Suprême

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La demande du gouvernement canadien relativement aux pouvoirs du 



parlement en ce qui ronce ne la loi du mariage a été soumise lundi matin, 

à !» Cour Suprême Le gouvernement était représenté par Mtres Wallace 

Nesbitt et 11 llelmuth, de Toronto, Kùg. 1-afleur et Mignault, de Mvnt- 

réal ; la province de (Québec, par Mtres K. O. Smith et (Aimé dentition, 

de Montréal, et Aug Lemieux, d'Ottawa ; le ministre de la justice, par 

M. Newoumbe, sous-ministre de la Justice Ce dernier a exposé la cause 

pour le gouvernent nt, mais l'argumentation qui n'aura lieu que plus tard, 

sera faite par M. Nesbitt et ses treis confrères. I-e gouvernement de­

mande îi la cour si le parlement fédéral a h* doit de passer le bill Lan­

caster modifiant la loi du mariage de façon à os que tout mariage célébré 

par «ne personne autorisée soit légal même si ce mariage est contracté 

entre protestants et catholiques devant un pasteur prot.«stant. 

Comme on le sait, le bill Lancaster « pour effet de faire annuler par 



le parlement les effets du décret “Ne Tanière" dans la province de 

yuébec, car il est stipulé qu'aucun décret ou loi canonique ne pourra af­

fecter la loi Lancaster. Sir Charles Fittpatrlck, juge en chef, déclara que 

le tribunal n'a pas eu le temps de prendre connaissance de la cause 

maintenant. En conséquence il la renvoie au terme du mois de mai 

prochain. Cette cause sera la première du calendrier. Dans l'interval­

le, le gouvernement devra demander aux procureurs généraux de toutes les 

provinces de se rendre à Ottawa pour le terme de la cour ainsi que le com­

missaire du Yukon et le commissaire des territoires du Nord-Ouest 

facturas seront déposés dix jours avant l'ouverrure du terme de la cour.

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LE CORTEGE MILITAIRE AL X

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Le unies de 6rrtd Trcnc

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KNTItK MONTRE Al. ET TORON TO

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Li Oraqd Tronc n ânglit

La compagnie du vth min de hr du 

Grand Tronc possède la seule voie 

double entre Montréal, Toronto, Ha­

milton, Niagara Kails, Détroit et 

Chicago.

Le service entre Montréal et To­

ronto, par le Grand Tronc, est fait 

par le train le plus rapide et le plus 

beau du Canada P“ International Li­

mited", qui part de Montréal à neuf 

heures du matin, tous les jours, et 

accomplit le trajet en sept, heures et 

demie.

Le Grand Tronc a mis au service 



des voyagrtirs, quatre trains express 

par jour entre Montréal, Toronto et 

l'Ouest. !x* public trouve le confort 

le plus parfait sur tous ces trains : 

wagons-buffet, salon et bibliothèque 

sur les trains du jour ; wagons-hts 

Pullman éclairés à l'électricité, avec, 

lampes pour lire au Ut, sur les 

trains de nuit.

C'est la voie par excellence pour 

tout voyageur soucieux du confort. 

La courtoisie des employés du Grand 

Tronc, sur ces trains, fait également 

l'admiration de tout le monde.



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Les deux diplAmr* pour lr grand 

prix, accordé* par I’*‘•Exposition Im­

périale et du Festival de l'Empire'1 

tenue à Ixindres, Angleterre 1911, et 

décernés au Grand Tronc et au Grand 

Tronc Pacilique pour leurs exhibi­

tions de leur établissement et de dif­

férents produits, ont été reçus aux 

bureaux de la compagnie

Os diplAmvs sont gravés et impri­

més sur du parchemin et augmentent 

la collection déjà grande de ceux que 

possède la compagnie.

Le Grand Tronc a décidé de conti­

nuer ces expositions à Ixindres au 

Crystal Palace, et il se propose d'a­

méliorer beaucoup la disposition in­

térieure de ses bâtiments

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LES PURS



LE 1H C KT LA OVCHKNSE DE 

SA X K-COBOL RG (à droiu*

Vous rappelez-vous—cel* semble si lointain—leurs grands gestes et 

leurs tirades échevelées de ccs dernières années ? Ecoles, marine, langue 

française, autonomie, religion, crèche, assiette au beurre, que de sujets di­

vers leur ont servi do prétextes t du chevauchées don-quichotesqucs à 

à travers notre province, clamant aux échos leur inaltérable attachement 

aux .grands principes, leur Inlassable dévouement à la race, à l'église, à 

la patrie. Monk. Pelletier, Nante!', 1 londin, Rainville, etc., étaient les 

détenseurs-nés du catholicisme, de lu langue française ; sur eux seuls la 

province de Québec pouvait se reposer. Jusqu'à la mort ils resteraient 

sur la brèche, luttant sans relâche et tombant avec gloire plutôt que de 

se laisser arracher la plus infime parcelle de nos droits. "Périssent les 

hommes, grands et petits, s'écriait le "Maître", pourvu que les princi­

pes demeurent. !"

Et lorsque l'union de tous les fanatismes eut enfin réussi renverser 

celui qui dirigeait si brillamment les destinées du pays, on sait avec 

quel débordement d’allégresse les "purs" célébrèrent la victoire de..." 

la voix de Toronto.''

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PETITS PRINCES



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LORD IIALDAXE SK LIVRANT AU H.AlSIR DU SKIS DANS LA FO­

RET NOIRE

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Explication des Gravures ci-dessus :



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l'Irai Trent ft Bitten



Malgré l’importance de la mission qui lui avait été confiée, au cours 

de sa visite à Berlin, lord Haldane a profité de son voyage en Allemagne 

pour jouir d’une excursion en s4ds dans la ,Korét Noire. L'une de nos 

gravures nous montre le lord anglais se livrant à cet exercice ( ne autre 

de nos gravure vous fait voir une des plus r(Ventes photographies prise 

dans le parc du château de Saxe-Cobourg, du duc et de la duchesse de 

Saxe-Cobourg, héritiers du duché d'Albany. la* due et la duchess© sont, 

à droite. Une vue du défilé des funérailles du duc de Fife, à Assouan est 

aussi fort intéressante. Nous publions également dans tes illustrations 

de la semaine un nouveàu portrait de la reine Amélie.

!,a puissant© compagnie de (hernia 

de fer du Gran t Tronc va cncott^pé- 

liorer son service en prolongeant!sa 

voie ferrée dans la ville de Boston.

La Chambre de Cammerce de cette 

grande ville américaine a approuvé 

la charte préparée à cet ellet par le 

Grand Tronc.

C'esLune nouvelle preuve de l'esprit 

progressiste de cette puissante compa­

gnie de chemin de fer.

Plus "de compromis honora- 

Plus de marine, plus

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Laurier battu, c’était la délivrante



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blvs", plus de " conciliât ion", plus de reculades ! 



d'Angleterre* ni d'Anglais ! Cet infâme Laurier, ce traître, ce vendu une

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fois tombé, la race française, la religion de Home .allaient enfin rvprvn-

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dre leur» droits, que dis-je, allaient pouvoir enfin dominer tout ce pays, 



lxi voix de l'Ontario, qui dorénavant dicterait sa volonté aux autres pro­

vibres, se ferait humblement caressante pour Québec. Ixi nationalité ca- 

nadtcnnv-françaisr, l’Eglise, la Patrie étaient sauvées !

Aus*i le grand-maître lléroux s'empresse-t-il de transmettre à l'On­

tario le message des "purs” : "Nous vous félicitons et nous vous remer­

cions de votre victoire ! ”, télégraphiât-il à Toronto, le soir du vlngtrun



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S ît

même la musique ', souligne le pince-sans-rire Sam Hughes..., et les 

"purs” se cramponnent à la crèche.

Dans le Keewatln, on demande des écoles séparées pour la minorité. 

‘‘Pas d’écoles pour la minorité" fonitruc la voix de Toronto..., et les 

"purs" sablent le champagne en signe d’assentiment.

Mais alors, que signifie... ?

Hélas ! déchante/, compatriotes, qui vous êtes laissés prendre à leurs 

belles déclamation*.

Le fouet ontarien # fait entendre son clnglenxet significatif, et aus­

sitôt,pendant que leur chef somnole béatement, tous les "purs" ont pres­

tement rentré leurs phrases ronflantes et rampent vite jusqu’au poste de 

valet qui leur est assigné et qu't Lee garderont bien de déserter.

mins ipmtis



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CHAPELET TROUVE—Vn chape­



let en cristal de roche monté en or. 

S’adresser > Mme l'a marâtre, à la 

banque Nationale.

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septembre.



Qu'est-il donc advenu de ces héros, de ces fiers chevaliers î 

Vingt-deux sont élus Vingt-deux Preux vont guerroyer sans relâche, 

jamais capituler, et à force d’acharnement vont

PERDU—Une enveloppe contenait, 

des reçus de la succession Hermine 

(.amoureux et 

été perdu le 23 février dernier, de St- 

Jean à Napierville. Une récompense 

est offerte à la personne qui rappor­

tera cette enveloppe à 



M. A. D. Gi­

rard, avocat, de St-Jean, ou à 



MM. 

Nap. Grégoire, de Napierville —41-W

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faire décréter le



sans

rappel de cette horrible loi de la marine, faire rendre justice aux pauvre* 

catholiques du Manitoba H de» nouvelles provinces, assurer à In province 

de Québec une plus équitable représentation dans le cabinet, obtenir pour 

In rare française une plus large part dans In distribution.du patronage, 

garantir l’enseignement et l’usage de la hmgoe française dans toutes ks 

province» du Dominion, sauvegarder partout et toujours le* droits des 

minorités. Certes, oui, car Us sont vingt-deux, et ils n’en demandaient

/

Narcisse Catudal, a



SCIPION

U'. DERNIER PETIT-FILS DE L’EMPEREUR D’ALLEMAGNE ET SES

FRERES

LE mil mie



La compagnie de chemin de 1er du 

Grand Tronc est m passe de deve­

nir une des compagnies les plus puis­

sante» et les plus populaire* de lou­

tre les compagnies de chemins de fer

A LOVER-Va graed logement, 

rue Richelieu, No M S’adrrseer h 

Mlle P. A. Dralièrea, modiste.

ON DEMANDE 90 filles pour Ira- >n0rv 

vailler dans une fabrique de chapeaux dérK-GeorgtwOailUumr-Christopbe.

de paille à Montréal, 331 Notre-Dame Ses trois fibres sont le prince Guillaume, né en I*M. le prince ouis 

Guest

Gages, de S3 00 par jour payés à 

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de bonnes ouvrière».

SUR LA UONE DURAND T*0„C 

lUFWKl DO GI/MD-UOIC

que vingt I

Mate grand Dieu ! que vois-je I

La guillotine abat k# têtes de# Canadiens français, on chasse de 

leur emploi tous ceux de notre race pour les remplacer par des frères An­

glais et Irlandais ... et les "purm’ ac sont pas encore partis en guerre.

l'appétit de la crèche

ACCOMPLIT .UN NOUVEAU RE­

CORD

Le dernier petMil* de Guillaume II, qui est le quatrième fils du 



héritier d'Allemagne, aura bientôt trois mois ; il se nomme Fr«;-

Nul ne conteste maintenant la su- du monde entier, 

pértorité du service donné par la 

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zftVLfzsrdu 0,114 u "■» ■t*1 kriwu



dette compagnie a accompli un 

nouveau record « transportant un 

nombre considérable d'excursionnis­

tes, à travers le Dominion, auquel» 

elle servit six cent soixante repas

La rende à la curée «et devenue si honteuse, 

nt à ce point effréné que les journaux les plus foncièrement tory# en 

noat Indignés. .. et Ire "Purs ' banquettent.

Pour représenter l'élément fmnçs's dans le ministère de la Justice, on 

Impose un Irlandais ., et les "purs" restent Impassibles.

Pour justifier le refus d'accorder aux justiciables de Montréal la no­

mination de nouveaux jt*es. le ministre cumulard Doherty annonce

administrés qu'Ontarlo ne le veut pas , et les "purs"

Ferdinand, né en 1907, et le prince Hubert, né en 1*09.

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que dans les rapports du Grand Tr

on ne tient pas compte de ce que fait 

cette compagnie dans l’ouest cana- 

CETTK COMPAGNIE AUGMENTE dira Par exemple, le trafic du grain 

SES RECETTES BRUTES DE wr |c Grand Tronc-Pacifique n’est 

ONZE POUR CENT EN L'ESPA p*, cité Les voies du Grand Tronc. 

CE DE SIX MOIS. 

proprement dit. traversent les vieilles

Etats- 


i récem-

Sur la ligne du Grand Tronc Pact* 

pendant cinq jours, dans ses magnlll- ^que. dans les provinces de Manito­

ba, Alberta et Saskatchewan, on

tour de force, et tous les excursion- gratuits et le moyen de les obtenir, r 

JOSEPH LORD,

dstrs ont 



déclaré, que lo. service des ces publications contenant une mngni- 

' Si-Haine

avaient re jusqu'ici. 

fer du Grand Troec.

A VENOM


can

qurs wagons restaurants

provinces et une partie des

„„ 

.  ■_____ _________ Unis oti le commerce a subi

____ _ le "Financial Post of Cana- ment uni certaine dépression <>prn-

da”, journal très haut coté dans les dant nous voyons que pour les *er-

,.x„ ......................  . 

mers six mois de 1911. les rece'tes

"Le* statistiques de cette compa- 1 rules ont été de 12.000.000 sunéri» »i- 

mnim ** emit nas assez souvent citées res à celles d'aucune autre Déflore

soit une augment*-

didemrnt à w

Parlant de l'expansion du Orand-

•oat satisfait».

Trois ministres déclarent lue la question des,écoles du Manitoba est 

réglée à jamais..., et les "pur»" oublient la rlolrece de 

fions.

leurs dénoocia-

carrles financiers dit :

unie ne sont pas assez souvent citées es à 

comme marque des progrès accomplis correspondance. 

u

par notre paya. Cela provient de ce tion de 11 pour cent.

navale—oHle qui évcntralt les nhres et égorgeait le» enfantn-



"on y ajouter»

"La loi

ne sera pas rappelée", décrète I» chef du gouvernement,

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Ssiot-J*aa. P.Q., 15 MARS liât.

LE CANADA-FRANÇAIS BT LE FRANCO CANADIEN

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Courrier de Paris



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1,1,. || <1- .ignait an publie um* 

jj. ('«• dernier Un nuit pmir ufuioii-

i:• • • boil, pJ.tnU'i' 

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 Noii’dos rt un»- ,, i I’lnt/ii-.s-.aiitv fain:Ut* qu'il v,*-



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|et, .1 Jill s une p ille inlnnniest jtion, *

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LE PACIFIQUE 



CANADIEN

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|,.,„ii tout le monde en liberté l u

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t il ' Il iv lu' t pu e in i u lu j, ur baraque démontable.

|,imue volonté manliestdans «et te 

pi et., u le journée qui m'était pus sali-. 

lUtelet roUlllie* é-lud< «le lll'l'UI s t,'IUIl' 

aux mulbeii.seux que les avenus de

publu Hé- eiubuiii li.il' ni 

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 dist niai- 

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 i pmuvi r 



l!n vain l’a-t-on engagé k SAN KItANCIStX), l.OS AN- 

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mii


 lu-voie publique leuis .union 

ji4 prudence 

11 s'est éluni* uvcc.con- CîKI.KS, SAN IHKtïO. VAL.,

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res alléchante.. ils se d'-soleni nut u j,an(.0 de lu Tour Lllfel et il «%t -MKX1CO CI1V. Ml'.\. 

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.. II. ,,.ut 

....... .. quatre >.r„„des • 

«Zô. 

PU“‘ 


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1

(Quelques uns se sont improvises Saluons avis un M'Npixl attendri Wagon lit de touristes pour Vancou- X 



ehuiiteui s et, pour le moment, ils dé-  iV dernier  venu d'une longue hguée. Ver et Karen intermédiaires. 10.30 

p. 


X

bit «ut sur le boulevard, tout, en grut-  | „ nombre  étonnant de croyants se ni . tous les jours 

"

tant de «la mandoline, des couplet s M,n( 



d’uue fenêtre ou d’une 

Pour billets 

et 

Informations com- * J



1 uollté sur la défense du préfet tolir ussUrés «le s'envoler, l/un s'rt»- 

**1^0?** SU* â*ent* du

civic tinidifi. 

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C. A. LABEROB. agent,



Ift7 Richelieu et..

ni: i.* Mit —

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III. M liKIMNK Si |( |.A IMS 

I MM I A \(,| MINI ORIdl

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l id HI MON IMA IT.OS1M « "I I S • \

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I ",

M 30. I» m



PRIX RhDUITS

1er MAKS Al IS AVIUI.

J*a*c

i'.iiis, '1 mats 191-



Ill I let s île seconde classe pour 

lot.s. de Montréal, à 

NKTNON HT SIMK

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X A.M’OVVKK. \ KTOKI V 

1. inventeur d un paradiulv a voulu .

s

KATTLK et POltTLAM)



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la (iirivtiwu 1' U| pay. 1I.U1-. 1.1 « unqu. il l'air 

■inr tous b s

lill-U

I.'Académie •!«•> m.i' ’



il- l‘ari* i ont in u ,

lie Mill pi e Jijeli I . XI I .1 Ii>l I

|>>• ni 1 . de la I i all'1

Î

A pi«»


ilrs diTiionsiUaUoti

produisent

pratiques de l'i-nth'rtislastne de

l'ai'mit où une léunior d'a

de la 

paster !<•?. avantav.<

■ u ;v«intuaiit

• i i n piéis•Disant la Is aut« dis» g* 

tes et des atVltUili-»

co pnqs.s, elle communique A la P'"ir lain- la quête parmi les sjseta

en vue d'augmenter les tonds

Ii-, rôti-s .trtistiqiu

lia non

\ ml loti .1 lliu il 



m

' t louve quelqu'un

coin- leurs

iloivelit néi essaii' S au complément la flot 

ptim ipahti tille aérienne loi ale

("haquii 11 ni' de Paris 

une siiii.sn iption potii offrit un aé

presse paiisnnne le» curieux 

mandements du danseur qui 

être affichés dans les 

, lasws de danse améi n-atiu s et dont

d'a<


a ouvert

I

de police.



' Faut pas »d‘papier pai terre”, tel ,| S|. soutient 

est le tille 

dont voici le refrain

(luit (le tire et se couvre de plumes ;

un instant et

d'une de , VOUp> s'abat. I,"autre s'élance par 

une fenêtre du quai Malaquais, arri­

ve jusqu'à la Seine et w tue 

1X37. Corking se Jette de 1.K00 m> 

tns, an roi hé à un parapluie retour­

ne, et meurt sur le coup Tous ont 

••u la foi.

K Ile est nécessaire à l’inventeur. Il

l'énoncé est viaiment intéressant



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