Saint hyacinthe
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- LE BANQUET DES FRAUDEURS — L* 18, 8 11 h. 30 — Adultes, avec réserves, belse, 1951. Drame fron talier réalisé par Hénrl Stock avoc
- “J* suis allé à Montréal ..
- Pour le premier semestre 1961 Les bénéfices nets de lAlcan : $15,112,000
- Un cadeau du ministère de la Voirie St-Félicien ne soit pas quoi faire des $10,000
- Pas d* sarvices : Pas daxpansion
- Parmi* pour un hangar i laéroport
- Etudo do soumissions différés
- POUR LES LANGUES PARLEES — Des cours théoriques et pratiques sur lenseignement des langues parlées se donnent présentement au
- Lafond, ingénieur, qui explique la technique du laboratoire, M. Toussaint Gagné, professeur au séminaire et M. André Rivard, titulaire des cours
- Noyé le 31 octobre dernier Le corps de G. Deschesnes a été retiré des eaux hier
- Une belle forme dapostolat
6:00—Télé vacance* é: 15—Entrevue de* lutteurs é:30—Tour à tour é:45—Nouvelle* locale* 4:50—Météo é 55—Les sports 7.00— Les aventure* de» Viking» — 7:30—Les loyaux de l'écran r00—Clé de sol 8:30—En quête de chanson* 9 00— Rendez-vous avec Michelle 8:30—Télélournal 8 45—Nouvelles sportive» 8:54—Commentaire 10:04—Ciné Club 1145—Nouvelles anglaise» 11:55—Fin des émission*. DEMAIN 3 30—Mire et 1,000 cycle» 4:00—Red River Jamboree 4 30—Caravane 5:30—La Jardinière 4rOO—Film 6:30—Tour é tour 6 45—Nouvelles locale» 6:50—Météo é-.55—Les sports 7.00— Libérées 7:30—Comment dites-vous f ALMA (P.T.) — La commis sion scolaire d’Alma n’a au cune objection à ce qu’un cours secondaire pour filles soit orga nisé à Naudville dans le plus bref délai possible. Cette assu rance a été donnée cette semai ne par le président Camille La voie, à M. Stanislas Laberge qui en faisait la demande. D’ailleurs, le président de la Commission scolaire d’Alma a déclaré que c’était l’intention de l'ancienne Commission sco laire d’Alma d’appuyer le pro jet d’une école secondaire pour filles à Naudville, advenant la fusion des commissions sco laires.
M. Lavoie a précisé que cet te intention est si bien arrêtée dans l'esprit des commissai res, qu'ils avaient déjà réser vé un terrain de 850 par 1150 pieds à cette fin. Le transport ALMA fP.T.) — La Commis sion scolaire d'Alma a accor dé un premier contrat de trans port, cette semaine, au mon tant de $35,906. En vertu de ce contrat accordé à l'entreprise Alma Autobus et Taxis Ltée, d’Alma, tous les enfants d’Al ma, Naudville et de la parois se, seront transportés aux éco les matin, midi et soir. Trois autres entrepreneurs avaient envoyé des soumissions pour tout le transport ou en partie seulement. Les commissaires ont décidé que le contrat de vait être accordé à Alma Au tobus et Taxis Ltée, qui don nait le plus de garanties. En ce qui regarde les autres soumissions pour les écoles ca tholiques et protestantes, pour le transport d’Isle-Maligne à Riverbend et à Alma, elles se ront étudiées au cours de la séance de mardi prochain.
La commission scolaire d’Al ma a abrogé, cette semaine, une décision prise par l’an cienne commission scolaire de Naudville, au sujet de l’enga gement d'un concierge pour l'école Pie XII, à Naudville. Ce concierge, M. Léopold Gau- dreault, avait été engagé le 30 juin dernier, soit la veille de la fusion des commissions sco laires, au salaire de $60.00 par mois, à la suite d'une assez longue discussion. A l’assemblée de cette se maine, c'est le commissaire Charles-Henri Larouche, de Naudville. qui a proposé que l’on annule cette résolution de la commission scolaire de Naudville pour en adopter une nouvelle, en engageant M. Raoul Bergeron, au salaire qui sera établi selon l’évaluation des tâches, par le régisseur de la commission. En présentant sa proposition, M. Larouche a souligné qu'il n’en voulait pas à M. Gau- dreault mais que ce dernier avait un métier qui lui per mettait de gagner sa vie au trement. Quant à M. Berge ron, c’est un handicapé, sans travail, qui demeure tout près de l’école en question alors que M. Gaudreault demeure très loin. Le commissaire Laberge a défendu la résolution qui avait été adoptée le 30 juin dernier, en déclarant qu’on avait tenu compte que M. Gaudreault était un propriétaire, et qu’il payait des taxes comme tel. Pour clore la discussion, le président Camille Lavoie a alors demandé le vote, avec le résultat que l’on a abrogé la résolution de Naudville pour engager M. Raoul Bergeron; M. Laberge fut le seul à voter pour le maintien de la résolu tion de Naudville. Films à la TV LE BANQUET DES FRAUDEURS — L* 18, 8 11 h. 30 — Adultes, avec réserves, belse, 1951. Drame fron talier réalisé par Hénrl Stock avoc J.-P. Korrltn. Film bltn photogra phié avec quelques scènes intéres santes, mats assez décousues. Une liaison traitée discrètement Scène* déplacées, dialogue souvent cru. ST-FELICIEN, (A.B.) - En appuyant la décision de ses col lègue? de ne pas émettre im médiatement deux permis de réparations de maisons avant une étude approfondie des rè glements de construction et d'homologation et des consulta tions légales, le maire Alfred Hamel a reconnu qu'il fallait user d’une grande prudence dans l’émission de permis, sur tout quand le? entreprises pro jetées se présentent, sous cer tains aspects, à l'encontre de certaines clauses des règle ments concernés. M. Hamel avait antérieure ment soumis à l’assemblée la demande de M. Roland Boivin, dont la propriété est située sur un emplacement homologué, sur le tracé du boulevard pro jeté, à la sortie nord de la ville. En raison de l’importance du projet, surtout depuis qu’on a ajouté au plan initial l’amé nagement d'un rond-point, à l'entrée sud du pont de la ri viere Aschouapmouchouan, la ville de St-Félicien ne peut se permettre de prendre sur sa propre responsabilité un déve loppement routier aussi consi dérable et aussi dispendieux. C'est pourquoi, elle compte énormément sur l'appui du gouvernement de la province de Québec. Le Conseil munici pal devait avoir une entrevue avec le ministre de la Voirie, mais cette rencontre n’ayant pas encore eu lieu, le maire Hamel a demandé à M. Boi vin d’accorder encore quelques jours aux autorités municipa le?, en lui promettant que cel les-ci mettraient tout oeuvre pour obtenir une réponse dès cette semaine. M. Boivin consentit à attendre jusqu’à la fin de la présente semaine. “Mais, après ce dé lai, a-t-il ajouté, je n’attendrai plus après personne. Ça fait déjà deux ans que j’attends. Ça fait deux ans que j'ai de mandé un permis pour réparer ma maison et on me remet toujours à plus tard. Ma pro priété est pas mal détériorée et je ne veux pas attendre qu’elle tombe. Ça tout l’air que je ne serai pas encore ca pable d’avoir mon permis ce soir. Je commence mais je ne donne plus de chance à person ne ; je vous donne encore quelques jours et après, je com mence.” Le maire Hamel lui promit alors que le conseil s’en occuperait activement durant cette semaine, ajoutant que les autorités étaient désireuses de voir se réaliser bientôt la cons truction du boulevard projeté. Dans l’autre cas, il s’agit éga lement de réparations de mai son, mais cette fois, c’est le rè glement de construction qui est en cause. Suivant l’article 22 du règlement de la municipalité, les altérations ou modifications des propriétés existant avant l'adoption du règlement ne peu vent être permises que si les propriétés ou les terrains n'aug mentent pas en superficie. Les murs extérieurs peuvent subir des modifications en autant que les bâtisses ne sont pas agran dies toutefois, ces agrandisse ments pourraient être faits en hauteur, par l’addition d’un éta ge ; mais encore là, ces altéra tions ne seraient permises que si elles étaient conformes au zonage. En effet, dans certaines zones on peut ériger des bâtis ses d’un étage et demi ou deux étages, alors que dans d’autres, les constructions d’un étage sont tolérées. Le requérant, M. Doyon, devra donc lui aussi at tendre quelques jours, afin de permettre au conseil municipal de prendre les consultations né cessaires. liée au congrès du travail du Canada, A. F. A. L C. I. O.”
Et où la marmite continue aussi à mijoter, c’est à la sui te d’un démenti formel que M. Pierre-Julien Martel désire rendre public, en s’en prenant justement à ces “17 mécani ciens”, qu’il avait déjà accu sés dans les journaux d’être des “étrangers” à la région du Saguenay, “parce qu’ils ne connaissent pas nos us et coutumes”. Le secrétaire du conseil ré gional des syndicats nationaux qui patronne le contrat de tra vail détenu par le syndicat sur les chantiers de la Cape Cons truction, relève à ce moment- la les allégations de la Frater nité — les représentants des “17 mécaniciens” — qui l’ac cusait. il y a une quinzaine, de s’être rendu a Montréal au début des travaux de construc tion pour rencontrer les offi ciers de cette centrale ouvriè re, afin de leur offrir de “pren dre le contrôle des ouvriers”, mais à la condition de s’en tenir aux conditions de tra vail et aux taux de salaire établis par “son” syndicat. M. Martel n’y est pas allé par quatre chemins pour les traiter de "menteurs”. "Je suis allé à Montréal, c’est vrai, et ce n’est pas la première fois de ma vie d’ailleurs. Mais j’y suis ailé cette fois pour dis cuter avec les autorités de la compagnie Cape Construction. Ce sont de vulgaires menteurs et on connaît d’avance leur manière d’agir. C’est bien pour- quoi leur attitude — celle des officiers de la Fraternité unie bien entendue, — ne m’a pas surprise. 11 y a toujours le proverbe de Voltaire qui dit "Mentez, mentez, il en reste ra toujours quelque chose”. Ce qu’ils peuvent dire et pen ser, je m’en balance. Ils ont été invités comme tout le mon de à se joindre à nous et ils n’ont pas voulu; c’est tour affaire. Mais qu'ils ne viennent pas nous accuser injustement".
Le 16 août, est décédé à l’hô pital de Jonquière, à l’âge de 68 ans et 6 mois, M. Dydime Côté, époux en premières noces de feu Dame Albertine Simard, et en deuxièmes noces de Dame Yvonne Gilbert, demeurant à Ste-Croix. La dépouille mortel le est exposée au 217, de la rue St-Aimé, à Jonquière.
ARVIDA. (L. B.) — L’Alumi- num Co. of Canada Limited a enregistré des bénéfices nets consolidés de $15,112,000, soit 49 cents par action, pour le semes tre clos le 30 juin 1961. Ces chiffres sont à rappro cher de ceux du semestre cor respondant, au dernier exer cice, qui faisaient voir des pro fits de $21,819,000, soit 71 cents par action. Le produit des ventes et les revenus d’exploitation se sont chiffrés, pour le semestre, à $250,322,000, contre $255,814,000 pour le premier semestre 1960. Les ventes consolidées de l’Al can sous toutes ses formes et de toutes provenances se sont élevées à 172,000 tonnes pour le deuxième trimestre 1961, ce qui représente une amélioration sur le premier trimestre, au cours duquel les ventes avaient été de 159,000 tonnes. Selon M. Nathaniel Davis, président de la compagnie, les bénéfices nets du premier se mestre sont inférieurs à ce qu’ils avaient été l’an dernier en raison de circonstances pour la plupart exceptionnelles. M. Davis a déclaré que cette bais se s’est produite dans les profits parce qu’une diminution a été enregistrée dans les ventes, et aussi parce que les bénéfices, en i960, provenaient pour une fraction de sources exception nelles. La compagnie a alors bé néficié d’une compensation pour l’annulation de certains con trats et d’une plus-value réa lisée sur des remboursements d’obligations, qui produisent à elles seules une différence de $3 millions dans les résultats du premier semestre d’un exer cice à l’autre.
ST-FELICIEN. fA.B.) - Le conseil municipal a approuvé un plan de ligne souterraine, soumis par la compagnie de téléphone Bell du Canada, pour l’installation d’un câble desti né à desservir l’aéroport mu nicipal. Où dépenser ces $10,000 ? Après avoir reçu la confirma tion qu’un montant de dix milles dollars était mis à sa disposi tion par to ministre de la Voi rie, la ville de St-Félicien à l’embarras du choix, car plu sieurs artères n’attendent plus qu’un revêtement d’asphalte. De toute façon, le conseil mu nicipal trouvera bien un endroit où dépenser ces dix milles dol lars.
Pas d* sarvices : Pas d'axpansion Alors que l’on (Sscutait plans, estimé, règlements et autres formules à compléter dans la préparation d'un programme de construction d'aqueduc et d égouts, le maire Alfred Hamel a demandé de hâter la rédac tion de ccs documents, en ajou tant que les services publics sont indispensables, "si on veut que les gens construisent”. Parmi* pour un hangar i l'aéroport Le conseil municipal de St- Félicien a autorisé une compa gnie locale a placer un han gar sur le terrain de l’aéroport municipal. Cette compagnie a récemment fait l’aqquisition d'un appareil Cessna et il lui faut une bâtisse pour le remiser et y effectuer des réparations. La requérante est prête à si gner un bail avec la ville, aux conditions que celle-ci jugera bon de spécifier. Etudo do soumissions différés Après avoir pris connaissance de quelques soumissions, les autorités municipales de la ville ont remis la question à plus tard 11 s'agissait de l'achat d'un camion neuf pour rempla cer l’un des véhicules devenu inactif. f C POUR LES LANGUES PARLEES — Des cours théoriques et pratiques sur l'enseignement des langues parlées se donnent présentement au laboratoire de langues du petit séminaire de Chicoutimi. On aperçoit, ici, un groupe d'élèves, et à la tribune du maître, à l’avant, M. André Lafond, ingénieur, qui explique la technique du laboratoire, M. Toussaint Gagné, professeur au séminaire et M. André Rivard, titulaire des cours S wm "i
-s* .y.wv.ViV^iw.' MAU -.f-îf Première école secondaire pour jeunes tilles au Cap en 1962 Construction de trois nouvelles écoles au coût de deux millions par Jean BEAUDRY CAP-DE-LA-MADELEINE. — Réunis en assemblée hier soir, les membres rie la Commission scolaire du Cap-de-la-Marieleine ont décidé de la construction de trois écoles dont l’ensemble des travaux est évalué à plus de deux millions de dollars. Séance tenante, les commis saires ont confié séparément la préparation des plans et devis à trois architectes. En regard du coût des trois projets, il s’agit de la plus importante décision jamais adoptée au cours d'une même Noyé le 31 octobre dernier Le corps de G. Deschesnes a été retiré des eaux hier L« R. P. ROGER ST-JACQUES, o.m.i., • été récemment nommé supérieur de la maison de retraites fermées Reine - des- Apôtres au Cap^deda-Madeleine. Il remplace le R. P. Alfred Lagacé, o.m.i. Le nouvel élu est originaire de Montréal et c'est dans cette ville qu'il effectua ses études. Ordonné en 1944, le Père St-Jacques fut d'abord envoyé en mission dans l'ouest du Canada. Il ne séjourne dans le Québec que depuis 1956. Il était tout récemment à la mai son de retraites fermées de Cap-Noir, en Gaspésie, quand une obédience des autorités oblates fui confia la direction de
maison de retraites fer mées de la ville-soeur. SHAWINIGAN. — On a retiré hier midi des eaux de la riviè re St-Maurice ie corps de M. Gérald Deschesnes, qui avait trouvé !a mort le 31 octobre 1860 , alors que l’embarcation dans laquelle il avait pris pla ce, en même temps que trois autres compagnons, avait cha viré au bas du rapide de la Cuisse, à environ 40 milles de Shawinigan. Le corps avait été aperçu 'ers 11 h. so hier avant-midi par M. Jean-Marc Bourassa, du 2692, des Hêtres à Shawini
gan. M. Bourassa s’en allait à la pêche et il était à environ un demi-mille en haut du rapide des Hêtres quand il aperçut quelque chose flottant entre des billes de bois. Il en déduisit immédiatement qu’il s'agissait d'un corps humain quand il aperçut la ceinture que le ca davre avait autour du corps. M. Bourassa prit le corps en remorque et il le traîna jus qu’à la hauteur de la 92e rue. Il alerta ensuite la Sûreté mu nicipale de Shawinigan qui dé pêcha sur les lieux le capitaine Léopold Gilbert. Le capitaine Gilbert, présu mant. qu'il s’agissait de l’un des noyés de la tragédie d'octobre dernier, demanda le concours de la police provinciale et c'est le caporal Lucien Michaud qui s'est rendu sur les lieux. On fit transporter le corps à la morgue Oscar St-Ours rie Shawinigan, ou l’on procédait hier soir à l'identification de la victime. Un autre corps Le corps de la troisième victi me de cette triple noyade sur venue à l’automne demeure toujours dans les eaux du St- Maurice. On se rappelle que M. Jean-Marc Laneuville avait été repêché au lendemain de cette tragédie. Le corps qui reste encore à l'eau est celui de M. Raymond Pellerin. M. Deschesnes a été identifié par MM. R. Pronovost et Marcel Carpentier, amis de la victime qui ont reconnu son identité par une ceinture de style assez particulier. Le Dr Poisson, Coroner, en a conclu à l’asphyxie par immersion. séance par les commissaires du Cap-de-la-Madeleine. La séance d’hier soir revêt un cachet d'autant plus impor tant que les commissaires ont décidé de la construction de la première école secondaire pour jeunes filles. Cette école, construite au coût approximatif de $1,500,000, com prendra aussi une résidence pour les religieuses enseignan tes. Le coût comprend l'amé nagement d’un laboratoire, de salles de couture, d’enseigne ment ménager et des services attenants. La direction de cette premiè re école secondaire sera con fiée aux RR. SS. Filles-de- Jésus, qui ont déjà accepté la demande de la Commission scolaire. L'institution pour jeunes filles disposera de 30 classes et la préparation des plans a été confiée à l'architecte J.-Louis Caron, sur une proposition du commissaire Elphège Matteau. Les commissaires n’ont toute fois pas voulu révéler le site ou reposera la nouvelle insti tution. Immédiatement après, sur proposition du commissaire Deliphas Chevrette, on décida de confier la construction d’une école de 12 classes pour gar çons,. qui sera érigée dans le secteur Ste-Madeleine, sur la rue Père Breton, a proximité de 1 école L'Assomption. Les plans de cette école ont. été confiés à l’architecte Roger Villemure. Le coût de cette école serait d'environ $230,000, Enfin, le président Henri Rocheleau, proposa de confier la préparation des plans d’une troisième école de 12 classes pour jeunes filles a l'architecte Reynald Juneau. Cette troisième école sera érigée sur la rue St-Arnaud. Elle prendra place sur un ter rain avoisinant l’école Mgr Comtois qui éventuellement sera démolie. Le coût de cette école est analogue à la précé dente.
Dans chaque cas, les com missaires entendent mettre en chantier la construction des trois écoles dans quelques mois, NAUDVILLE. >P.T.) _ Deux fillettes de Naudville ont été transportées a l’Hôtel-Dieu d’Alma, hier après-midi, par 1 ambulance des Entreprises Funéraires, après avoir été heurtees par une motocyclette sur le boulevard Dequen, a Naudville. Les deux fillettes, Monique Côté, 11 ans, enfant de M. Jean-
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