Saint hyacinthe


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Danik Paliaior: Carmen de Or*

*vr •SariU Montiel «t 

Amweo Naz/.arl.

PLESSISVILLE

Ptm — Aujourd'hui et demain > 

TrouiUard du Far W»»t. avec Dean 

Martin el Jerry Lewis. Fnpouil- 

*f,™ l'1 compagnie, avec Toto «t.

Aldo Fabrtzii.

COLONIAL — Aujourd'hui et de- 

g’*‘n Le t'urararha, avec Maria 

k<*llx et Dolores Del Rio. L* dan­

ger vient de l'eapace. aver raul 

Schmidt #t Madlein* Fi»h«r.

Convocations

Aujourd'hui _ Victoriaville:

club de personnalité: Réunion 

du comité des relations exté­

rieures au Manoir Victoria, à 

8 heures. Vendredi — St-Paul 

de Chester; le centenaire: mes­

se de requiem à l’église parois­

siale, à 10 heures.

Se rendant à une demande 

de ia Chambre de Commerce, 

le conseil a autorisé le gérant 

Léo Archambault à faire ins­

taller des affiches défendant ^je 

puiser de l’eau dans le ‘‘Creek 

des Hamelin". On craint que 

Peau de ce ruisseau, situé 



à 

ia 


sortie nord-est de la ville, ne 

soit polluée.



ilÉ»^

SWEARS & WELLS

Des étalages 

en pleine rue 

Ste-Catherine !

, kadministrâtion municipale 

ne Montreal a donné instruction 

hier aux services du conten­

tieux et de l’urbanisme d’étu­

dier les moyens à prendre pour 

interdire les étalages de mar­

chandises sur le trottoir dans 

toutes les rues commerciales de 

la ville.

Le comité exécutif a adressé 

aux directeurs de services con­

cernés des mémorandums a ce 

sujet, après que le président de 

1 executif, M. Lucien Saulnier.

remarqué que des mar­

chands commençaient à étaler 

leurs marchandises sur le trot- 

loirs. en pleine rue Ste-Cathe- 

rine.


Psrmij de cirque sous ia 

juridiction de l'exécutif

L’émission des permis de car­

navals, de cirques ou d’autres 

événements similaires, à Mont­

réal, relèvera désormais de la 

juridiction du comité exécutif, 

si le conseil municipal consent, 

à sa prochaine assemblée du 

début de septembre, à modifier 

à cette fin, le règlement muni­

cipal no 1862.

L’administration municipale a 

décidé hier de faire cette re­

commandation aux conseillers 

municipaux.

LA VITESSE

SUITE DE LA PAGE 8

d’aider une bonne cause, soit 

qu’ils secourent un automobi­

liste en difficulté ou qu’ils fas­

sent de la publicité à leurs 

concours.

Le rendement de leur véhi­

cule lors des grandes épreuves 

démontre bien leurs dons com­

me mécaniciens. Un garçon de 

Calgary détient le record d’ac­

célération pour l’Alberta, ayant 

atteint 152 milles a l’heure un 

quart de mille seulement apres 

le départ.

Appui demandé

L’Association provinciale vit 

le jour en novembre 1959, alors 

que les jeunes qui étaient mem­

bres rie divers clubs d’amateurs 

de mécanique automobile déci­

dèrent de s'unir pour obtenir 

l'appui du public et, par là, la 

possibilité de faire des courses.

Le président actuel est John 

Chalmers, un garçon de 22 ans, 

habitant Edmonton et étudiant 

à l’Université d'Alberta pour 

l'obtention d’un baccalauréat 

en éducation.

Il dirige des jeunes dont la 

majeure partie habite les co­

nurbations de Calgary, Edmon­

ton, Mcdeeine Hat et Red Decr.

La plupart ont terminé leurs 

études et ont des emplois di­

vers, allant du mécanicien ga­

ragiste au fonctionnaire fédé­

ral. Chaque année ils consa­

crent la majeure partie de 

leurs heures de loisir et de 

*550 à $1,500 à leur passe-temps 

favori,


Chalmers, qui écrivait dans 

le premier numéro de la revue 

mensuelle de l’Association, in­

titulée “Benchracer” déclare :

“Bien que notre sport ne soit 

pas le plus populaire rie cette 

province, il n’en est pas moins 

une forme d’activité qui recru­

te de plus en plus d'adeptes 

chez les jeunes Albertains. J'en­

visage le jour où il y aura des 

pistes réglementaires en nom­

bre suffisant et où les courses 

des véhicules de toutes sortes 

deviendront le sport préféré 

des spectateurs”.

Amitié russo-finlandaise

(PC) L'astronaute Youri 

Gagarine était invité le mois 

dernier aux fêtes annuelles de 

la Société soviéto-finlandaise, à 

Helsinki.



A titre d'avant-première notre

VENTE d'AOUT de FOURRURES



présente du vison somptueux à l’éclat 

éblouissant — des peaux choisies et 

de première qualité habilement trans­

formées en vêtements conformes aux 

plus récentes tendances de la mode. 

Une ravissante collection detoles, 

jaquettes et manteaux pleine longueur 

en vison d’élevage canadien et Emba, 

en riches mutations Autumn Haze, 

Desert Gold, Diadem, Jasmine, Lutetia 

et Tourmaline.

Ces superbes fourrures vous sont 

offertes à des prix qui représentent 

plus d'un tiers de réduction sur les 

valeurs courantes. Le manteau illustré 

ci-contre, est de vison Emba Autumn 

Haze, seulement $1850. D’autres 

aubaines comprennent des manteaux 

pleine longueur, en peaux de qualité 

choisies et de grand chic exclusif, à 

doublures de soie importées de France.

...Nutria

*495

...Castor

?695

Aujourd’hui, le nouveau magasin de Swears & Wells à 

Montréal a ouvert ses portes toutes grandes. Vous y 

trouverez, non pas simplement un autre magasin de 

fourrures, mais une formule entièrement différente du 

commerce de détail de la fourrure. Swears & Wells, les plus importants 

fourreurs «lu monde, propriétaires de plus de 200 débouchés dans les 

plus grandes villes «lu monde dont 10 magasins au Canada, vous offre 

une collection des plus opulentes fourrures «pii soient, dans des styles 

inspirés par des modélistes réputés tels que Jacques Griffe, de Paris’ les 

soeurs Fontana, de Rome, et Walter Kerner, de Londres.

Mais la qualité et l’exclusivité des modèles ne sont que certains éléments 

de notre succès. La formidable puissance d’achat de Swears & Wells, 

supérieure à toute autre entreprise du genre, permet à scs acheteurs 

d’obtenir le premier choix des peaux de qualité qu’ils achètent en quantités 

considérables et à prix de rabais. 11 n’est donc pas étonnant que la 

maison Swears & Wells ait édifié sa réputation sur des AUBAINES 

incomparables — non pas des fourrures de qualité inférieure offertes à 

bas prix, mais des fourrures d’excellente qualité à prix incroyablement 

modiques.

..Loutre

*995

Le nouveau magasin de Swears & Wells à Montréal a assumé le bail de L. P. 

Lazare, rue Peel, en face de Vhôtel Sheraton Mont-Royal.

9309—


I/originalité rie cetlr rn- 

bp fort simple reside

dans le col arrondi agré­

menté de boulons et dont 

la ligne se perd dans un 

empiècement en forme 

de V. Un jersey imprimé 

est tout indiqué pour ce 

vêtement de fin d’étc 

Grandeurs : 9, 13. 15, 17. 

Prix : 

S3 cents, 



taxe in­

cluse.


Adresser comme 

suit 


: Travaux 

de 

fantaisie, "La Presse", Montréal 



Mentionner la srandeur nil y a 

lieu) elle numéro du patron. Intlur# 

51» par patron, 

taxe comprit) 



par bon postal ou mandat d'express 

Ne 

pas (aire 



de 

réclamation avant 

15 Jours. 

"La 

ï’resae" n'est 



pas 

res­


ponsable 

des lettres 



r.n reçues 

Prltre de 

mentionner snn nom et 



son adresse 

TOt'TE 


ADRESSE 

DOIT 


(IMPORTER 1 r. NUMERO 



DU DIS 

TR1CT POSTAL, ( es patrons, avec 



la traduction «les 

principaux 



termes 

en 

français, 



ne 

sent pas erhantea- 



blea. Ils ne sont pas en venl* a nos 

bureaux On ne peut 

s'v procurer 



rnn plut ni cattlofui ni cahier de 

model.


Les anciens clients de L. P. Lazare ne pourront que se louer des nombreuses 

innovations de pratique commerciale, de décor et de choix adoptées par 

Swears & Wells. Les nouveaux clients qui viendront acheter leurs fourrures 

chez Swears & Wells seront ravis de l'accueil qu’ils y recevront.

Vous pouvez toujours compter sur l’attention personnelle des conseillers 

en fourrures expérimentés que sont MM. Gérard Lemoine, A. Grande, J. A. 

Godin, Louis Beaudry et Jean Madison, Notre maison se spécialise dans 

les vêtements de fourrure soigneusement confectionnés selon les préférences 

particulières de chaque cliente, ainsi que dans les transformations et répara­

tions. Il va sans dire que tout achat comporte la garantie de renommée 

mondiale de Swears & Wells qui vous assure satisfaction et valeur authen­

tique.

wewiA&

lUCCItStURS 



DI 



r.



 IAZARI 8 

CO.


1451, RUE PEEL 

MONTREAL


MAGASINS AU CANADA: MONTREAL • TORONTO ® OTTAWA • HAMILTON • KITCHENER • LONDON • WINNIPEG • CALGARY • EDMONTON

20/lA PRESSE, MONTREAL, JEUDI 17 AOUT 1961

Le croiriez-vous

1

m

Le trac se

surmonte


facilement

La plupart des gens qui ont 

à parier en public sont pris de 

panique lorsque vient le mo­

ment douloureux. Pour vous ai­

der à vous guérir de ce cauche­

mar, voici quelques suggestions 

qui peuvent vous être utiles :

1— Ecrire sur un bout de pa­

pier votre discours, si court 

soit-il Même si vous n'avez 

qu'a faire une courte annonce 

à la fin d’un banquet, par exem­

ple, écrivez les quelques phra­

ses que vous aurez à dire. Cela 

vous aidera à clarifier votre 

pensée et à n’oublier aucun dé­

tail important. Vous ne lirez 

certes pas ces phrases textuel­

lement mais cette préparation 

vous rassurera et vous évitera 

de bafouiller.

2— Se rappeler que le trac est 

une sensation normale et que 

tout le monde en est atteint ! 

Le mal des uns ne guérit pas 

le mal des autres, mais le seul 

sentiment de savoir que tous les 

êtres humains se ressemblent 

est parfois une bienfaisante con­

solation.

3— Respirer profondément à 

plusieurs reprises, juste avant 

de vous lever, et plusieurs fois 

pendant votre discours. Une 

pause de respiration aide énor­

mément les orateurs et impose 

le silence aux auditeurs.

4— Remuer tout en parlant. 

Ne craignez pas de reculer, 

d'avancer, de vous dandiner 

quelque peu (sans exagération), 

cela diminuera votre tension 

nerveuse et vous rendra plus 

confiant.

5— Oublier vos mains. Si vous 

avez peur qu’elles tremblent, 

tenez un carnet de notes, ou 

même saisissez quelques objets 

autour de vous pour illustrer 

votre discours.

Bonne chance !



Ex-vedette américaine

Mme 

Logan 

de 

la rampe

cède les feux 

à son mari

par Marie LESSARD-LAURIER



LA NOUVELLE LIGNE "A" — Robe à la fois chic et simple, 

arborant cette nouvelle ligne de jupe légèrement évasée. Elle 

est taillée dans un lainage, imprimé pour le corsage, uni 

pour la jupe.

Le cuir verni ne 

fendillera plus...

Philippe Del Grande, un pré­

curseur de l’industrie cana­

dienne de la chaussure, est le 

premier modéliste à offrir au 

public canadien une matière 

entièrement nouvelle dans le 

domaine de la chaussure — 

matière connue sous le nom de 

"Pattina”.

Cette matière imite le cuir 

mais a un envers en coton. 

L'automne dernier, lorsqu'elle 

fit son apparition au Canada, 



on

 décida d’étudier ses possibi­

lités. On l’utilisa dans la con­

fection de plusieurs paires de 

chaussures en vue de les sou­

mettre à des essais d'usure, de 

même qu’a d'autres expérien­

ces en atelier. Les résullats lui 

démontrèrent que le “Pattina” 

était une matière non seulement

élégante, niais résistante pour 

la fabrication des chaussures 

de dames.

Le cuir verni a toujours con­

nu une grande vogue auprès 

des femmes. A Vancouver, il 

se porte toute l'année. Celui-ci 

bien que jouissant d’une faveur 

inlassable a toujours fait l’ob­

jet d’un mécontentement tant 

auprès des femmes que chez 

les fabricants de chaussures. 

Apres une courte période d'usa­

ge, 


il

 se produit immanquable­

ment un fendillement qui nuit 

à son éclat. Le cuir verni s’ob­

tient en utilisant du cuir que 

l’on a dégraissé pour appliquer 

ensuite sur cette surface le 

fini verni. La peau desséchée



Voir LE CUIR en page 23

Modèle d'auto 

soumis aux 

rédactrices

LONDRES. (Reuters) — Tout 

le monde sait que la femme 

exerce une influence décisive 

dans le choix d’une nouvelle voi­

ture. Consciente de ce fait, une 

compagnie de Grande-Breta­

gne a invité les journalistes 

féminines dans ses ateliers 

pour leur montrer en primeur 

un nouveau modèle de marque 

sedan que le commun des 

mortels ne pourra voir avant 

le 14 septembre.

Un porte-parole de la com­

pagnie a dit qu’il accordait 

une grande importance aux ré­

actions des journalistes devant 

le style et les couleurs de l’au­

tomobile.



Marcia Winn 

est décédée

CHICAGO. (Reuters) — Mme 

Marcia Winn Morgenstern, ré­

dactrice au Chicago Tribune 

est décédée mardi. Elle était 

âgée de 50 ans. Elle rédigeait 

la chronique “You and your 

Child" signée de son nom de 

fille, Marcia Winn, reproduite 

dans plusieurs journaux.

“Je ne suis que l'épouse de 

mon mari”, avouait Mme Jos­

hua Logan au cours d’une en­

trevue qu’elle avait l’amabili­

té de nous accorder. M. Logan 

est le directeur du film “Fan­

ny” que le cinéma Loew’s pré­

sente en première canadienne, 

vendredi.

Derrière cette modestie se 

cache quand même une vie 

d’activité intense dans les do­

maines du théâtre, du cinéma 

et des organismes de bien-être.

—J’ai commencé à jouer à 

l'âge de 15 ans sur les scènes 

newyorkaises, et lorsque j’épou­

sai Walter Connolly j’ai tourné 

plusieurs films en Californie.

—Quel genre interprétiez- 

vous ?

—Celui de la femme fatale ou 



mystérieuse, celui qui me con­

venait le mieux, quoi ! Après la 

mort de mon mari, je revins à 

New Y’ork et c'est en jouant 

dans la comédie loufoque 

"Charlie’s Aunt” ( avec pour 

partenaire José Ferrer) que je 

fis connaissance de Joshua Lo­

gan. Et je suis devenue sa 

femme...


—Uniquement ?

—Depuis mon mariage, je 

n’affronte plus les feux de la 

rampe. Je crois définitivement 

que la femme peut détenir une 

carrière tout en étant épouse 

et mère, mais dans mon cas, 

cela m'est impossible. Nous 

voyageons tellement...

—Vous aimez voyager ?

—Enormément. Mais les ba­

gages, quel cauchemar ! Il faut 

réduire au minimum ... j’avoue 

que je n’ai pas encore maîtrisé 

cet art.

Amis de Marcel Pagnol

M. et Mme Logan se comp­

tent parmi les amis intimes de 

Marcel et Jacqueline Pagnol 

avec qui ils ont travaillé en 

étroite collaboration. Les scè­

nes extérieurs du film “Fan­

ny” ont été tournées à Mar­

seille même, et les intérieurs 

dans les élégants studios de 

Boulogne, à Paris.

—J’adore Paris î 

Quelle exclamation délicieu­

se ! Et Mme Logan poursuit :

—C’est la première fois que 

je viens à Montréal et il me 

semble y respirer un peu d'air 

de la Ville-Lumière. Votre ville 

est charmante.

—Et vos enfants ?

—Ma fille est présentement 

à l’Ecole Champlain, dans 

l'Etat du Vermont, où elle étu­

die la langue française. Mon 

fils s’intéresse à toutes les ga­

mineries de ses neuf ans.

—Votre premier séjour en sol 

canadien ?

—Il date de 1943 alors que

g#

Opinion de philosophe



Le XXe siècle réclame 

des apôtres modernes

par 


Cecile BROSSEAU

Au Carmel, dans le parloir étroit d’où l’on peut apercevoir un coin de 

jardin, une femme solide, habillée d’un tailleur noir, nous rejoint. Perspi­

cacité emumière dansent joyeusement dans le regard clair.

Mlle Pilla, supérieure générale de l’Institut carmélitain Notre-Dame de 

çie, a été pendant vingt-cinq ans professeur de philosophie à Marseille. Née 

à Orange, elle a fait ses études de philosophie à la Sorbonne. Cette Proven­

çale a été l’élève de Bergson dont elle fait l’éloge.

— Bergson qui a conduit Jacques et Raïssa Maritain au catholicisme, 

aimait, recherchait la présence des mystiques dont il disait qu’ils possé­

daient la vraie vie de l’esprit. J'ai retrouvé la même expression de pensée 

chez des philosophes d’Aix, entre autres, chez M. Poullard, professeur de 

faculté qui me confiait : “Les philosophes approchent de la vérité, les 

mystiques y entrent tout à fait.”

Mlle Pilla poursuit, en revenant à Bergson : “Le livre de chevet de ce 

catholique de désir était Saint Jean de la Croix.”

l

 'mm*:



■ mi

Mme Joshua Logan

j'avais mis sur pied une trou­

pe de théâtre itinérante à l’in­

tention des soldats américains 

cantonnés en dehors du pays.

Nous avons présenté “Per­

sonal Appearance" à Terre- 

Neuve, Halifax et en Nouvelle- 

Ecosse. Puis nous sommes allés 

en Europe.

—Ne vous occupez-vous pas 

maintenant des artistes amé­

ricains ?

(photo LA PRKSSK)

La mode en 

raccourci

—rQui, je suis membre du Bu­

reau de direction de l’organis­

me “Actors’ Fund of America" 

qui comprend 18,000 membres. 

A ce titre, je préside la campa­

gne annuelle de recrutement de 

donneurs de sang faite parmi 

les artistes pour ceux de leurs 

confrères qui en auraient be­

soin en cas de maladie.

Et c’est ainsi que l'on déchi­

re le voile d'une vie...



Fillette 

bien douée

HALIFAX. (PC) - Gwen 

Hills est une adolescente de 

15 ans qui excelle aussi bien 

dans ses études que dans les 

divers sports qu’elle pratique. 

Plus de 30 trophées ornent le 

salon familial, prix de concours 

locaux ou interprovinciaux 

qu’elle a gagnés comme cou­

reuse et sauteuse.

Fichus et foulards arbore­

ront la saison prochaine des 

motifs variés : fleurs, abstrac­

tions, dessins géométriques, 

coups de pinceaux sans comp­

ter les modèles inspirés des 

grands maîtres italiens du XlVe 

siècle. Quelques uns portent 

une frange. Les plus audacieux 

seront en simili-fourrure.

La tunique demeure un vête­

ment toujours à la mode. On 

peut en varier le thème à l'in­

fini par le ton du chemisier ou 

du tricot destiné à l'accompa­

gner. Les tuniques s’accommo­

dent bien du jersey de laine, 

du velours de coton ou de 

plaids.


Les chaussures destinées aux 

hommes en devenant plus étroi­

tes et plus allongées leur ont 

apporté aussi plus de confort. 

Les souliers sport sont mieux 

ajustés grâce à des bandes élas­

tiques qui dispensent des tradi­

tionnels lacets. Les semelles 

sont confectionnées de cuir plus 

souple et permettent une aisan­

ce parfaite. Les courroies et les 

boucles empruntées à la mode 

anglaise seront en vogue cette 

saison.


Mais qu'est-ce que l’Institut 

séculier carmélitain ? Où et 

comment a-t-il été fondé? A 

qui est-il ouvert? Quel en est 

l’esprit? Le but? Comment 

est-il organisé ? Quel rôle 

jouent ses membres dans no­

tre société moderne ?



Institut séculier

L'Institut Carmélitain de No­

tre-Dame de Vie est un insti­

tut séculier approuvé par le 

Saint-Siège, selon la Constitu­

tion apostolique “Provida Ma­

ter Ecclesia’’ parue en février 

1947. Il a été agrégé officielle­

ment à l’Ordre du Carmel.

Il a été fondé en 1932, dans 

le Comtat-Venaissin, auprès de 

l'antique Sanctuaire de Notre- 

Dame de Vie, où la Vierge est 

honorée depuis le Vie siècle. 

Mlle Villa fut de la première 

heure avec quelques compa­

gnes sous la direction du rév. 

Père Eugène de l'Enfant Jé­

sus, de l'Ordre des Carmes, au­

teur du célèbre ouvrage : "Je 

veux voir Dieu” qui a été tra­

duit en plusieurs langues.

L'Institut Carmélitain comp­

te 200 membres venus des ré­

gions diverses de la France et 

des pays étrangers : Amérique, 

Canada (Mlle Germain de Qué­

bec, Philippines, Allemagne, 

Japon, Chine, Mexique, Afri­

que.


Esprit et but

Son esprit est celui du Car­

mel, en son double mouvement 

de contemplation et d’action. 

L’Institut vit de la doctrine des 

Maîtres et Réformateurs du 

Carmel : sainte Thérèse d'Avi­

la, saint Jean de la Croix et 

sainte Thérèse de l’Enfant. Jé­

sus, maîtresse spirituelle de no­

tre temps.

L’Institut veut être dans le 

monde le témoin du Dieu vi­

vant pour le révéler aux âmes 

et les orienter vers les profon­

deurs de son intimité. C'est, en 

effet, ce témoignage qu’atten­

dent les âmes modernes en qui 

la disette spirituelle laisse en­

dormi, mais vivant, le besoin 

de Dieu.

“Nous travaillons dans le 

siècle, d'affirmer Mlle Pilla,

aux temps nouveaux il faut des 

apôtres nouveaux.”

Organisation

La vie de l'Institut, réalisant 

une synthèse de contemplation 

et d’action, se présente sous 

un double aspect : en la solitu­

de de Notre-Dame de Vie et 

dans l'apostolat.

Dans le cadre de l'ancien cou­

vent des Minimes, se fait le 

travail de formation à la vie 

contemplative. La vie réguliè­

re carmélitaine s'y poursuit 

avec les deux heures d’oraison 

quotidienne, la récitation du 

grand office, la prière nocturne 

trois fois la semaine. Une part 

égale est faite dans la journée 

au travail manuel et au travail 

intellectuel. Sur la colline, non 

loin du monastère, des ermita­

ges accueillent les membres qui 

peuvent s'y retirer pour leur 

retraite en solitude complète.

Tous les membres, à leur en­

trée dans l’Institut, doivent pas­

ser deux ans à Notre Dame de 

Vie, en vue de leur formation. 

Dans la suite, elles ont l’obli­

gation essentielle d'y revenir 

au moins 45 jours par an, dont 

30 consécutifs.

Après les années de prépara­

tion, les membres reviennent 

dans le monde pour s’adonner 

à l’apostolat, suivant les dé­

cisions des supérieurs et, s’il 

y a lieu, compléter leur forma­

tion technique.

Ici Mlle Pilla insiste sur l’im­

portance de cette formation 

technique des membres dont le 

rayonnement va de pair avec 

la compétence.

Apostolat

L’apostolat spirituel carmé­

litain, qui oriente les âmes vers 

la recherche de Dieu, est le 

seul but de l'action extérieure 

de l'Institut. Il est, en premier 

lieu, celui du témoignage de la 

vie. un apostolat de présence, 

de contact. Il n’est donc orien­

té vers aucune oeuvre particu­

lière, mais prend toutes les 

formes de l'apostolat moderne 

et s’exerce dans tous les mi­

lieux comme dans toutes les 

professions.

En effet, au sein de l’Institut, 

depuis la petite employée de

bureau en passant par l'assis­

tante sociale jusqu’aux profes­

seurs de facultés, toutes les pro­

fessions sont représentées et 

s'exercent librement dans le 

monde. Une secrétaire d’am­

bassade, membre de l’Institut, 

était invitée récemment à pré­

sider une fête mondaine aux 

côtés de l’ambassadeur, elle se 

prêta à ce devoir avec grâce et 

sourire. Une autre, surveillan­

te dans un lycée mixte, écrit à 

sa supérieure : “Ici, je mange 

à la table des incroyants. Je 

suis heureuse et malheureuse 

à la fois. Depuis quelque temps 

deux enfants, de 16 et 18 ans, 

viennent le soir faire une demi- 

heure d'évangile. Je ne-eais ce 

que cela donnera...



Rôle des membres

Le rôle des membres est 

d'etre dans la masse comme 

le “levain" dans la pâte, d« 

même couleur que la pâte, ha­

bituellement caché, silencieux, 

pour être profond et efficace, 

selon les désirs de l’Eglise.

Un tel apostolat exige des 

membres de l'Institut la fidélité 

à l’exercice essentiel de leur 

vie spirituelle : les deux heure» 

d’oraison et le retour annuel 

dans la solitude. Ce va-et-vient 

de la solitude à l’apostolat réa­

lise un équilibre dans lequel, 

en dépit des vissicitudes néces­

saires, contemplation et action 

se nourrissent et se soutien­

nent mutuellement.

Cet idéal carmélitain vécu 

dans notre monde moderne 

prouve que cette présence au 

monde est conciliable avec une 

vie mystique authentique.

Heure uniforme — Le Wo­

men's Institute de la province 

de l'Ile-du-Prince-Edouard pres­

se le gouvernement d’établir 

une heure identique pour toute 

la population durant les mois 

d’été. Présentement les milieux 

ruraux gardent l’heure solaire 

tandis que les populations des 

grandes villes ont adopté depuis 

longtemps l’heure avancée. Le 

Women’s Institute n’affiche au­

cune préférence pour une heure 

ou pour l’autre.



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GRIS NATUREL OU TEINT BRUN



VENTE D ÉTÉ

Le mouton de Perse est une fourrure aimée et versatile, la seule qui ait pour 

nous une origine aussi lointaine de notre continent. Dans le sud-ouest de 

I Afrique il y a d'importants secteurs d'élevage du mouton de Perse; on les 

trouve en bordure des montagnes, groupés en immenses troupeaux gardés 

par les pasteurs noirs. Les autres régions d'origine sont l'Iran, l'Irak, l'Afgha­

nistan et des endroits précis de la Russie septentrionale . .. autant d'habitats 

naturels du mouton de Perse. Selon son lieu d'origine, cet animal présente 

dans sa fourrure des variétés de caractères, de lustre et de boucles. Même ses 

teintes naturelles sont variées: gris, du ton perle clair jusqu'au foncé anthracite, 

brun bronzé, beige sable et même blanc pur.

De grandes quantités de peaux gris naturel, teintes en noir ou brun, envahissent 

chaque année le marché canadien. Le mouton de Perse est un favori de la 

Canadienne de tout âge; c'est un manteau classique, durable et recherché comme 

prix ... ou bien une jaquette très élégante, unie ou parée de vison de teinte 

assortie. En coopération avec les spécialistes-manufacturiers REID et la Fair 

Trade Furriers Association nous vous donnons un exposé des prix en vigueur 

présentement pour les manteaux de mouton de Perse gris naturel ou teint brun

La jeune fille est également 

bien connue des auditeurs de 

la radio où elle interprète le 

rôle d’une paysanne dans une 

* émission hebdomadaire.

M. et Mme Reginald Hills 

sont fiers de leur fille mais 

craignent que les succès qu’elle 

remporte ne nuisent à ses étu­

des. Ils n’ont pas eu à se plain­

dre d’elle en ce sens, car Gwen 

se classe facilement première 

à l’école. Elle entrera à l’école 

secondaire Queen Elizabeth de 

Halifax, à l’automne. Ses ma­

tières préférées sont le fran­

çais et les sciences.

Elle fait partie des équipes de 

tennis, de volleyball, de ballon 

panier de son école, et est très 

habile patineuse.

Gwen n’a aucun plan précis 

pour son avenir, sinon que de 

poursuivre sagement ses études 

pour le moment.

Réunion de 

l'Association 

des Veuves

Les veuves membres de l’As­

sociation sont priées de noter 

qu’elles sont cordialement invi­

tées, le dimanche 20 août pro­

chain, à Hie Ste-Hélène, pour 

prendre part au souper qui les 

réunira au restaurant Hélène- 

de-Champlain. A l’issue de cet­

te réunion, il y aura représen­

tation de la pièce de Musset 

“II ne faut jurer de rien", au 

théâtre de la Poudrière.

Pour de plus complets rensei­

gnements, s’adresser à DU. 7- 

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1 c. à tabla d'eau 

1 tasse d'huile à salade 

pour frire

Essuyer les filets avec un lin­

ge humide; couper en portions; 

rouler dans ia panure assaison­

née de sel et de poivre: tremper 

dans l’oeuf et l’eau qui ont été 

battus ensemble; couvrir encore 

de panure; chauffer l’huile dans 

un gros poêlon de 10 pouces; 

mettre le poisson dans l’huile 

chaude; frire 5 à 10 minutes, 

selon la grosseur; retourner 

pour brunir les deux côtés; en­

lever le poisson; égoutter sur 

du papier absorbant; servir 

chaud; garnir si désiré. Donne 

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re laine, lainages pure 

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Sylva Tremblay, de Lachine, et M. JACQUES LEGAULT, fil* 

de M. et de Mme Oscar Legault, de Pierrefonds, dont le ma- 

riage sera célébré â dix heures, le samedi, 26 août, à l'églis. 

des Sts-Anges de Lachine.

MLLE ANDREE PARADIS, fille de M. Léo Paradis, de Kéno- 

gami, et M. JEAN-PAUL BERGERON, B.A.E.E.P., fils ds 

M. et Mme Victor Bergeron, de Jonquière, dont le mariage 

sera célébré le samedi, 2 septembre, à dix heures, à l'église 

Ste-Famille.

MLLE GUYTA VEILLEUX, fille de M. et de Mme Noël Veil- 

leux, de Rivière-des-Prairies, et M. JACQUES CHAGNON, 

fils de M. et de Mme Ls-Philippe Chagnon, de Montréal-Nord, 

dont le mariage sera célébré le samedi, 2 septembre, à l'église 

Ste-Marthe, de Rivière-des-Prairies, par Mgr Louis Aucoin.

Photo» : J. A. St-Mar*

MLLE MARGUERITE FRENETTE, fille de M. et de Mme 

O. Frenette, de Montréal, et M. MARCEL FOUCHER, fils de 

M. et de Mme G. E. Foucher, de Berthierville, dont le mariage 

sera célébré le samedi, septembre, 

à 

l'église St-Charles- 



Garnier, de Montréal.

Récents mariages

A l’église de St-Siméon, com­

té de Charlevoix, Mgr Louis- 

Thomas Imbeau, P.D..V.P., bé­

nissait, samedi dernier, le ma­

riage de Mlle Johanne Zadra, 

fille du docteur et de Mme Mo- 

desta Zadra, de St-Siméon avec 

M, Alphonse Dwane Raymond, 

fils de M Alphonse Raymond, 

Jr. et de Mme Julien Savignac, 

de Montréal.

—A l’église St-Gabriel de 

Bouchette, a été béni, ces jours 

derniers, le mariage de Mlle 

Roberte Patry, fille de M. et de 

Mme Donat Patry, de Bouchet­

te à M. Jean Raymond, fils de 

M. et de Mme J.-Léon Ray­

mond, notaire et greffier à la 

Chambre des commune?. Par- 

mis les invités venus de l’exté­

rieur, mentionnons : M. Yvan 

Dupuis, notaire, d’Ottawa ; M. 

Dave Bélec, détective provincial 

et Mme Bélec, de Hull ; M. 

Jean-Paul Alain, ing. de Hull ; 

Mlles Denise, Georgette et Ma­

rie Labelle, de Hull ; Mlle Mo­

nique Langelier et Mlle Edmon- 

de Boularis, de Thurso ; M. Gé­

rard Desjardins, député provin­

cial ; le Dr Rodolphe Leduc, dé­

puté fédéral ; Me Réjean Pa­

try, tous de Maniwaki.

—Le mariage de Mlle Emma 

M. McGuire, fille de M. et de 

Mme Charles McGuire, décédés 

à M. William J. Sullivan, fils de 

Mme Joseph Sullivan et de M. 

Sullivan, décédé, a été récem­

ment béni, par Mgr S. P. Owens, 

à la cathédrale de Pembroke.

Mlle Lilian O’malley était la 

dame d’honneur et Mlle Gayle 

McGuire, la demoiselle d’hon­

neur. M. John Côté agissait 

comme garçon d’honneur alors 

que MM. Barry McGuire et Lor- 

ne Sullivan plaçaient les invi­

tés. A l’issue de la cérémonie 

religieuse, il y eut réception à 

l’hôtel Copeland, d’où les jeunes 

mariés partirent pour Kimber­

ley, C.B.

—A la chapelle St-Maurice, 

du camp d’entrainement de Pe- 

tawawa, a été célébré, récem­

ment, le mariage de Mlle Caro­

le Sauvé, fille de M. et de Mme 

A A. Sauvé, du camp Borden 

à M. J.-R, Ethier de Petawawa, 

fils de M. et de Mme Paul 

Ethier, de Cornwall, Ont.

Voyages

Le docteur et Mme Camille 

Laurin, d’Outremont, sont ac­

tuellement en vacances à Ocean 

City, New-Jersey.

—M. et Mme Nilo Passamon- 

ti, de Lima, Pérou, quitteront 

Montréal sous peu, après un 

séjour de deux semaines, pour 

retourner au Pérou en passant 

par les Barbades, les Antilles, 

et Rio de Janeiro.

—M. Gilles Perreault, de l’a­

venue Girouard, est rentré d’une 

croisière à Nassau, à bord du 

S.S. Bahama Star.

—M. et Mme Jean-Paul Mar­

chand sont de retour d’un voya­

ge en Europe.

—Mlles Louise Painchaud et 

Delphine Tremblay sont par­

ties pour une croisière de quin­

ze jours à Gaspé.

—Mlle Gilberte Veilleux est 

rentrée d’un séjour de deux ans 

à Vancouver où elle a poursuivi 

des études spécialisées.

Conférence

Le Congrès du cercle d’état 

de la province de Québec des 

Filles d’Isabelle se tiendra à 

l’hôtel Reine Elisabeth, du 15 

au 18 septembre prochain.

Pour plus de renseigne­

ments, s'adresser à Mme Y. 

C. Martin, R.R.3, North Hat­

ley, P.Q. — VI 2-2256 a Sher­

brooke.

Avant 


d’acheter 

un tapis

...


Août est le mois des ventes de tapis. Si vous songez à vous en acheter 

un, nous vous suggérons fortement de venir comparer chez Yervant’s la 

valeur des nouvelles séries d'automne dans tout le magasin de hroadloom 

et le magasin de tapis orientaux. Chaque tapis est garanti par une répu­

tation d’un quart de siècle aussi bien pour sa valeur durable que pour 

Vhonnêteté et Vintégrité de la maison.

N’oubliez pas que votre tapis est un placement important. Usez de 

sagesse ... voyez les aubaines d'août chez Yervant’s avant d'acheter.

Facilités de paiement

ervants

ORIENTAL


/UCÿd

LTD.


5182, Chemin Côfe-des Neiges • RE. 9-2461 — 4903 ouest, rue Sherbrooke • HU. 9-5411

LA PRESSÉ, MONTREAL, JEUDI 17 AOUT 1961 /2f



Prochains

mariages

M. et Mme Georges Antoine 

Boileau, d e Notre-Dame-de- 

Grâce, sont heureux de faire 


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