Saint hyacinthe
part du mariage de leur fille
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part du mariage de leur fille,
Berthe, avec M. Gilles Payne, fils do M. et de Mme René Payne, également de Notre* Dame-de-Grâce. La bénédiction nuptiale leur sera donnée à neuf heures, à l'église Notre- Dame-de-Grâce, par le Rév. Père Guay, curé de la paroisse, le samedi 19 août. — M. et Mme Frédéric Bru net, de Verdun, ont le plaisir d'annoncer le mariage de leur fille, Liliane, avec M. Georges Sabourln, B.A.Ing.P., fils de M. et de Mme Honoré Sabourin, de Montréal Le mariage sera cé lébré le samedi, 9 septembre, à l'église Notre-Dame des Sept- Douleurs, de Verdun. MLLE CELINE LAGACE, fille de M. et de Mme Alphonse Lagacé, et M. PIERRE PAUL DAVID, fils de M. et de Mme Léopold David, dont lo mariage sera béni dans l'intimité, le samedi, 26 août, â l'église St-Joseph de Bordeaux.
MLLE CLAIRE CHARLAND, fille de M. et de Mme R. F. Charlnnd, de Strathmore, et M. EARL WAGUESPACK, fil* d# M. et de Mm* H. Waguespack, de Garyville, Louisiane, dont le mariage sera célébré le samedi, 26 août, à l'église Sainte-Jeanne-de-Chantal, de Strathmore, Qué. MLLE CECILE MARCIL, fille de M. et de Mm* Rodolphe Mardi, et M. NORMAND VEILLETTE, fils de M. et de Mme Napoléon Veillette, dont le mariage aura lieu dan* l'intimité, le samedi, 16 septembre, à l'église de l'Enfant-Jésus, de Tracy. Réceptions Plusieurs réceptions seront données, ce jours prochains, en l’honneur de Me Paule Tardif, avocate de Pointe-Claire et do Beaconsfield, à l’occasion de son prochain mariage, le same di, 2 septembre, avec Me Jean- Claude de Lorme, avocat de Montréal. Mercredi le 23 août, un thé sera offert par Mme J.- Albert Francoeur, à sa résiden ce de Lakeside; vendredi, le 25, Mlle Hélène Ranger et Mme Stewart Spalding recevront, à la résidence de Mlle Ranger, pour un shower de verrerie alors que Mme Alfred Sirois rece vra, à l’heure du thé, à sa ré sidence de Notre-Dame-de-Grâ- ce, le lendemain. —Mme Jacques Gaulin a re çu, ces jours derniers, pour un sower de tasses, à la résidence de sa mère, Mme Henri Gau thier de Hull, en l’honneur de Mlle Louise Radakir, à l’occa sion de son prochain mariage. — Le notaire et Mme Gérard Tardif, de Pointe-Claire et Beaconsfield, sont heureux de faire part du mariage de leur fille, Paule, avocate, avec Ma Jean-Claude de Lorme, avocat, fils de M. et de Mme Adrien de Lorme, de Montréal La bé nédiction nuptiale leur sera donnée par le recteur du collè ge Ste-Marie, le Rév. Père Réal Lebel, s.j., le samedi, 2 septembre, à onze heures, à l’église St-Joachim, de Pointe- Claire. Ottawa Le colonel et Mme Guy de Pouvourville ont offert, lundi, ■ une réception à l’ambassade de France, à l’occasion de leur prochain départ d’Ottawa. Ils ont présenté à leurs invités, le nouvel attaché militaire près l’ambassade de France, le co lonel Yves Rupied et son épou se. Ils sont parmi les passa gers qui quitteront Montréal, à bord de l’Homeric, le vendre di, 18 août, pour Southampton et Le Havre. —Le chargé d’affaires (ad in térim) de l’Indonésie et Mme B. P. H. Bintara offrent une réception, ce soir, à l’ambassa de, à l’occasion de la fête na tionale. wiücce POUR LE MARIAGE Choisissez parmi la plut grand* collec tion de vêtement* de qualité au Cana da. Les plus nouveaux styles. Ajuste ment parfait. Prix raisonnables. • GUETS BLANCS • JAQUETTES • MI-FORMELS • HABITS FONCES • BLAZERS ET FLANELLES • ENSEMBLES POUR ENFANTS Mlle LUCILLE FRAPPIER, fille de M. et de Mme Roland Frappier, de Saint-Robert, et M. LEONCE SALVAS, B.Comm., fils de M. et de Mme Médard Salvas, de Yamaska, dont fa mariage sera béni le samedi 19 août, 6 onze heures, à l'église paroissiale de Saint-Robert. A4, et Mme Vanier sont à Paris PARIS. (AFP) — Le gouver neur général du Canada et Mme George Vanier font un séjour à Paris à titre privé après avoir passé des vacances en Breta gne.
Le vice-roi du Canada qui a résidé de longues années en France, comme ambassadeur, repartira, avec Mme Vanier, le 29 août, par avion, pour Québec. Ils passeront le mois de sep tembre dans leur résidence d’été de la citadelle. cmv "tmisi da, yalo, • 1227 carré Phillip* UN. 1-3625 • 1168 Sfe-Catherine est LA. 6-5531 • 4806 av. du Parc CR. 2-5704 • 6984 rue St-Hubert CR. 1-1166 Spéciaux de la Vente d’Eté HOLT RENFREW! (Photo LA PRESSE) MADAME ALBERT CHAUVET, passe quelques jours 6 Mont réal chez sa soeur Mme Yves Duchêno. Venue d'Haïti d'où elle est originaire, la visiteuse dit sa profonde admiration pour les arts pratiqués lè-bas : sculpture sur acajou, musique folklorique et théâtre français. Nina K. se montre très intéressée MOSCOU. (AFP) - "Il se peut que nous n’ayons pas le temps de revenir ici", avait tout d’abord déclaré Mme Nina Petrovna Khrouchtchev, venue visiter l’exposition française de Moscou. Mais, de plus en plus intéressée par ce qu’elle voyait, et charmée de l’accueil que lui avait réservé le personnel fran- ,s çais de l’exposition, elle a chan gé d’avis et a déclaré à plu sieurs reprises : “Il faut que i nous revenions voir toutes ces choses en détail.” Après qu’elle eut visité le stand de l’automobile, les jour nalistes ont demandé à l’épouse du président du conseil de l’URSS pourquoi l’on ne voyait pas dans les rues de Moscou la "Floride" qui avait été offerte à M. Khrouchtchev lors de sa venue en France. "C’est que, voyez-vous, a répondu Mme Khrouchtchev, le père ne veut pas que les enfants la prennent. C’est une voiture rapide, et avec les jeunes, on ne sait jamais ... ils peuvent non seu lement abîmer la voiture, mais aussi se faire du mal." | ‘'i Les journalistes français qui accompagnaient Mme Khrouchtchev ont été vivement impressionnés par l’intérêt qu’elle a manifesté devant une turbine de la centrale marée- motrice qui doil être montée, au cours des années
venir,
en Bretagne, dans l’estuaire de la France. “Cette nouvelle sour- U ce d’énergie, a-t-elle déclaré, est très ingénieuse et les tech- ; niciens français semblent avoir . marqué un point sur les nôtres." Il Beaux Mant. de Castor Tondu *339
de Perse (iri et Flânes de s naturel ^ •» |||| teint noir.. OcJcJ en Rat ” ' Tondu Teint en nouveaux La griffe II.R. est votre garantie Entreposage gratuit jusqu'à demande Conditions de paiement faciles Ouvert vendredi soir jusqu’à 9h . . et toute la journée samedi El « L T U K X F 15 F W Les premiers fourreurs du Canada depuis UV.17 m «Stationnement gratuit». « * < ,m ■mmmrnmm Sherbrooke et de la Montagne tssmm m m 22/LA PRESSE, MONTREAL, JEUDI 17 AOUT 1961 Le festival du cinéma La fresque de Federico Fellini mmm ■$ J Concerts par Gilles Marcotta, Renault Gariépy, Simona Augar, Claude Gingrat Qu’est-ce donc que "La dolce vita"? Une chronique scanda leuse ou, comme l’ont dit cer tains critiques, le réquisitoire le plus violent qui ait jamais été dressé contre certaine so ciété moderne? Une oeuvre fon cièrement païenne, ou d’inspira tion chrétienne? Un film à sket ches, discontinu, inégal, ou une fresque bien composée? Je ne risquerai, pour moi, de réponse nette qu'à la dernière question. Malgré l’abondance et la diversité des éléments qui y entrent, ‘‘La dolce vita" m’apparaît bien comme une oeuvre profondément une, sou tenue de bout en bout par une forte passion. Bien entendu, Fel lini a puisé abondamment dans la chronique romaine, allant même jusqu'à reconstituer cer tains événements (la baignade d’Anita Ekberg dans la fontai ne de Trevi) avec les personna ges mêmes qui les avaient vé cus. Mais Balzac a fait de mê me, et nul n’oserait prétendre que ‘‘Splendeurs et misères des courtisanes’’ soit un simple re portage. Ce qui compte, dans ‘‘La dolce vita’’, c’est moins la matière elle-même, son coeffi cient d’actualité immédiate, que son utilisation: le mouvement que lui imprime Fellini, le sens dont il charge les événements. Ce sens, il faut tenter de le définir ; ce qui signifie prendre parti devant le film. "La dolce vita”, c’est Sodome et Gomor- rhe. Trouvez-moi vingt justes ; trouvez-m'en dix ; cinq... La corruption décrite par le film n'est d’ailleurs pas circonscrite à la société de journalistes, de vedettes de cinéma, d’hommes et de femmes du monde qui en constitue la matière princi pale. Steiner (Alain Cuny) le pur intellectuel, qui lit le sans crit et joue du Bach, qui mène une existence quasi contempla tive, commet le crime le plus atroce : dans un moment de désespoir, il tue ses enfants. Une certaine façon de fuir la vie engendre une corruption plus profonde encore que de s’abandonner à ses turpitudes. Mais les personnages de Fel lini ne sont ni des monstres, ni des dévoyés à l'état pur. Chacun d’eux manifeste, dans un moment de grâce ou d’aban don, qu'il n’est pas seulement ce le concours artistique de la province QUEBEC. (DNC) - M. Geor- ges-Emile Lapalme, ministre des Affaires culturelles, rappel le à tous les artistes que le con cours artistique de la province, qui porte cette année sur la peinture â l’huile, ou autres sor tes de peintures ou dessins en couleurs, aquarelle, gouache, pastel, etc., se termine le ven dredi 15 septembre, à 5 heures de l'après-midi. On peut obtenir les règle ments et les formules d’inscrip tion en s’adressant à M. Gérard Martin, secrétaire des concours, ministère des Affaires culturel les, Hôtel du Gouvernement, Québec.
que la vie a fait de lui. Une certaine grâce enfantine, ré vélée tout à coup chez la vedette de cinéma (Anita Ek berg) ; une expression de ten dresse désolée dans le visage de la nymphomane Maddalena (Anouk Aimée) ; un geste dé sintéressé du journaliste (Mar cello Mastrioanni)... Mais ces lueurs de pureté s'éteignent une à une, au cours du film, et c'est ce qui en fait une sorte de descente aux enfers. Faut-il préciser que "La dol ce vita” n’est pas l'oeuvre sa lace qu’une certaine publicité a décrite ? Je n’oserais dire carrément qu'elle est d’inspi ration chrétienne, car Fellini ne se dépouille pas d’une com plaisance un peu équivoque à l’égard de ses personnages, mais je suis convaincu que le film exprime un profond scan dale, et que ce scandale — il faudrait peut-être dire : hor reur -- est efficacement com muniqué. Disons enfin l'évidence : que "La dolce vita” est, technique ment, un tour de force peut-être sans précédent dans l’histoire du cinéma. Court métrage : "Anna la bonne”, de Claude Jutra, sur un poème de Jean Cocteau, avec Marianne Oswald. Un bril lant exercice de style.
Les cinéphiles enragés (et ils (Mssski Kob.y.shi) LA DOLCE VITA (f*,,ini) LA PRIERE D'UN SOLDAT LA MANO EN LA TRAMPA (Torra Niltaon) FILMS EXPERIMENTAUX AMERICAINS "LA MANO EN LA TRAMPA" Un conte gothique, voilà com ment on pourrait définir “La main dans le piège”, de L. Torre Nilsson. Tous les élé ments
y sont : la tèmme sé questrée qu’on croit folle, le monstre bâtard qu’on a fait dis paraître, les soeurs exaltées qui vivent en recluses, l’étrange pa rente qui écrit toutes les se maines. Seule émerge de ce monde troublant une jeune fille qui perdra presque la raison à vouloir percer le mystère qui l’entoure. Elle croyait son demi-frère fou furieux ? Elle apprendra qu’il est enterré depuis belle- lurette et que sa tante Inès, loin de mener une existence luxueuse aux Etats-Unis, vit depuis 20 ans dans la chambre interdite. Elle découvrira sur tout qu’Inès n’a jamais pardon né à son fiancé d’avoir retardé le mariage après en avoir fait sa maîtresse, qu’elle a préféré rompre et sauvegarder ainsi son étaient nombreux ! ) qui avaient honneur. Elle s’attachera enfin pris rendez-vous avec “La Prié re d’un soldat” à minuit, mer credi matin, au cinéma Loew’s, ont pu voir là un des films les plus bouleversants qui soient. Le dernier d’une trilogie du réalisateur japonais Masaki Kobayashi (on l’a d’ailleurs pré senté au public) et qui a pour titre général ‘‘Ninken No Jo- ken” (La condition humaine), ce film en cinémascope, d’une durée de quelque trois heures, raconte la fuite devant les Rus ses, depuis le Mandchoukouo vers le sud de la Mandchou rie, de quelques soldats japo nais, sous la conduite de Kaji, qui est aussi le héros des deux premiers films. Le vocabulaire me manque pour évaluer avec justesse la présence de Tatsuya Nakadai dans le rôle principal. Disons seulement qu’il sait être de façon émouvante ce Kaji, tou jours en quête de l’humain, tant chez les siens que chez l’ennemi, en quête de son épouse qui, l’espère-t-il, l’at- * tend toujours là-bas, et qu’il ne reverra d’ailleurs pas. Ce sou venir et cet espoir de l’épou se conditionnera tout son com portement. Tatsua Nakadai est, il faut l’ajouter, admirablement ap puyé par les rôles secondaires, ainsi que par la caméra qui, se jouant de toutes les diffi cultés, fait ressortir toute la poésie de chacune des scènes ainsi que le caractère profon dément humain de Kaji et des autres. Vraiment, on se prend à re gretter de n’avoir pas vu les deux premiers films, en dépit do l’absence de sous-titres et de la longueur (jamais trop longue) de “La Prière d'un soldat”.
R. G. à celui qu’a aimé Inès se sé questrant à son tour dans l’ap partement où il viendra la vi siter : elle est tombée dans le piège.
Cette histoire, on le voit, est fortement teintée de romantis me : l’amour y est éternel, l’honneur, plus important que la vie, et le fantastique tout en semble, horrifiant et agréable. Certains plans, certaine ex pression de Francisco Rabal ou d’Eisa Daniel, certaine scène réaliste (je pense au moment où le héros, prêt à posséder Eisa, enlève lentement ses bou tons de manchette : dans un film d’Hollywood, il l’aurait plutôt embrassée passionné ment) révèlent un metteur en scène original. Mais dans l’en semble, le film ne dépasse guè re le cadre du traditionnalisme: il raconte excellemment une ex cellente histoire. Sans plus. Nous sommes loin d'Antonioni et de Bunuel auxquels une pu blicité tapageuse s’est plu à comparer L. Torre Nilsson. S. A.
FILMS EXPERIMENTAUX (U.S.A.) Hier après-midi, nouvelle séance de courts-métrages. Au programme : seize — je dis bien: seize films expérimen taux américains. "Expérimentaux”, c’est-à-di re des essais tantôt profession nels, tantôt amateurs, de ci néastes connus, méconnus ou inconnus, qui cherchent (...) et qui tantôt frappent juste, tan tôt réussissent en tous cas à nous ennuyer profondément. Bonne nouvelle : malgré l’in cohérence qu’entraine forcé ment une telle programmation, l’après-midi s’est assez bien passé. Nous avons vu surtout de bonnes choses et même quelques-unes qui pourraient être qualifiées de trouvailles. "Jamestown Baloos” et "Science Friction” utilisent la technique du papier-montage. Des figures historiques (dans le premier fiim) et des photos de nos hommes d’Etat (dans le second) sont accolées à d’au tres corps, à des objets hété roclites. On leur fait faire les pires bêtises. Dans le second film, à un moment donné, les monuments les plus célèbres du monde (de l’Empire State Building à la Tour Eiffel) de viennent des fusées interplané taires. Le tout se déroule à un tempo continuellement chan geant et le résultat est. du plus drôle effet sur le public. Robert Breer raconte la pro menade d'un monsieur et de son chien en couvrant l’écran blanc de petites lignes noires qui finissent par se rejoindre et former un dessin d'une du rée de quelques secondes seu lement. "Gumbasia" et "Yantra” sont des jongleries extrême ment habiles à partir de divers objets (qui m'ont semblé être de simples morceaux de caout chouc mou dans le premier, des perles multicolores dans le second). "A Movie” crée tout un ro man en mettant simplement bout à bout des images prises au hasard dans d'anciens films ou dans les actualités. Le nom du réalisateur, Bruce Conner, de gros chiffres de référence et les mots “THE END” revien nent sans cesse. Très divertis sant ! Dans le même genre comi que, Carmen d’Avino utilise le dessin purement cinématogra phique : tantôt la fioriture (comme dans "Motif”,) film "vertical” sur la construction d'une maison imaginaire, tan tôt le gros trait noir mêlé aux couleurs vives (les rails de che min de fer dans “A Trip”). D’Avino se distingue par sa brièveté et son effet toujours sûr.
En plus sérieux, voici tout d’abord “Desistfilm”, tourné dans une chambre où sont entassés des garçons et des filles rongés par l’ennui. Bien tôt, un couple se met à danser... La photographie et le son sont très mauvais, mais il est évi dent que cela complète l’atmo sphère.
"Dance Chromatic” est une réussite dans un genre nouveau montrant une danseuse à l’exer cice et, en surimpression, des traits de pinceau prolongeant les mouvements qu’elle fait, le tout sur une musique de Lou Harrison. Dans "Bridges Go Round”, Shirley Clarke (dont nous ne verrons pas "The Connection”) photographie, dans la nuit, et en couleurs, les ponts entou rant New York, et laisse courir son imagination au moyen de surimpressions souvent origi nales. Dans "House”, la camera se contente de photographier sous toutes sortes d’angles l’ensemble et toutes les pièces d’ameublement et de décoration d’une maison très moderne. Très belles couleurs, mais le tout dure deux fois trop long temps.
C. G. A la Comédie-Canadienne Download 4.64 Mb. Do'stlaringiz bilan baham: |
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