Saint hyacinthe


Naissance da la concurrence


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Naissance da la concurrence

C’est durant les années “tren­

te'' que la concurrence surgit 

dans les transports terrestres, 

d'abord lentement, puis avec 

une vigueur toujours plus mar­

quée. Lorsque les besoins de 

transport commencèrent a 

changer sous l’effet du progrès 

de l'industrie manufacturière 

et de l’accroissement des ag­

glomérations urbaines, de nou­

velles méthodes de transport 

furent adoptées. Le fait le plus 

notable a été le développe­

ment spectaculaire du trafic 

automobile, qui répond admi­

rablement au besoin croissant 

de modes de transport plus 

souples. Les entreprises indus­

trielles avaient tendance à se 

concentrer dans les régions ur­

baines, afin d'étre a proximité 

rie leurs marchés, d'où une for­

te augmentation des transports 

sur de courtes distances, di­

sons, jusqu'à 500 milles, la ra­

pidité et la souplesse des ser­

vices étant la première préoc­

cupation. En plus d'être le mo­

de préféré de transport pour 

un bon nombre des marchandi­

ses en tonnes-milles par voie 

d'eau, au lieu de 22 pour cent 

en 1945. La part de recettes du 

transporteur maritime ou flu­

vial. toutefois, a constamment, 

diminué, surtout parce qu’il 

peut compter seulement sur les 

produits pondéreux, a taux de 

fret peu élevés.

L'ouverture rie la Voie mari­

time du Saint-Laurent en 1958 

a agrandi le champ du trans­

port par eau au Canada, mais 

nous sommes loin d'avoir réa­

lisé tous ses avantages. Pour la 

plupart, les transporteurs par 

eau ont pu augmenter leur part 

du trafic, grâce a l’accroisse­

ment de la production de miné­

raux, notamment le minerai de 

fer et. a un degré moins mar­

qué, de bois Le prix de revient 

du transport par eau est très 

bas, d'abord à cause des gran­

des dimensions de l’instrument 

de transport, puis de l'écono­

mie de force motrice et, si l'on 

excepte les péages dans les ca­

naux, de la gratuité des routes 

d'eau. Le transport par eau, 

toutefois, offre l’inconvénient 

d’être saisonnier. Pour surmon­

ter l'obstacle que constitue le 

champ restreint de leurs opéra­

tions, les transporteurs par eau 

se sont intégrés avec les trans­

porteurs routiers, afin de met­

tre leurs bateaux a la disposi­

tion de ceux qui sont éloignes 

des ports.



Les oléoducs

La construction des oléoducs 

est le phénomène le plus ré­

cent en matière de transport 

et ils prennent maintenant un* 

place considerable. L’Alberta, 

il est vrai, a connu dès les an­

nées ‘trente' quelques canalisa­

tions de petit diamètre et de 

peu de longueur, mais le pre­

mier pipe-line important de pé­

trole, l'Interprovincial, a été 

construit entre Edmonton et 

les Grands Lacs en 1950. Ce 

fut le commencement d une pé­

riode d'expansion rapide. En 

1950, il y avait seulement 1.400 

milles de pipe-lines, et leur part 

du trafic était quasi inexistan­

te En 1959, plus de 7.500 milles 

de pipe lines formant un vaste 

reseau de ramifications et em­

branchements ont transporté 13 

pour cent du trafic interurbain 

en tonnes-milles. La même an­

née, les chemins de fer n'ont 

transporté qu'un quart du vo­

lume de pétrole brut qu'ils 

transportaient dix ans plus tôt 

et cela, malgré l'accroissement 

énorme de la production et de 

la consommation au Canada du­

rant cette période.

Le développement des oléo­

ducs est lié directement à l'im­

portance grandissante du Cana­

da comme producteur de pé­

trole et à la demande crois­

sante des produits pétroliers. Le 

coût du transport par oléoduc 

est extrêmement has, à condi­

tion d'avoir un volume suffi­

sant : la fixité des points de 

livraison ne pose pas de pro­

blèmes, l’on n'a aucune diffi­

culté à assurer le service pen­

dant toute l'année, et il n'y a 

pas de frais rie retour à vide à 

absorber. L'exploitation d'un 

oléoduc exige relativement peu 

de main-d’œuvre et le capital 

d'installation requis, s'il est 

considérable, peut-être ramené 

au chiffre le plus bas, a con­

dition de faire passer l’oléoduc 

par la campagne.

La construction des oléoducs, 

depuis quelques années, a ten­

dance a ralentir malgré les 

nombreux embranchements qui 

se sont ajoutés aux réseaux. Il 

est intéressant de constater que

les oléoducs occupent le troi­

sième rang en volume parmi les 

transporteurs, même s'ils sont 

au dernier rang pour leur part 

de recettes, ce qui montre bien 

qu'il leur suffit d'avoir des taux 

peu élevés. Comme le volume 

des marchandises transportées 

s accroît plus vite que celui du 

petrole, la part du trafic des 

oléoducs a fléchi depuis quel­

que temps,



Transport aérien

Le perfectionnement des tech­

niques de construction des 

avions leur a permis de péné­

trer dans le champ du trans­

port des marchandises, mais 

jusqu’ici seulement sur une pe­

tite échelle. Le transport aerien

ser le prix de revient et accroî­

tre le potentiel de ce mode de 

transport. En tonnes-milles, 

toutefois, les lignes aérien­

nes transportent actuellement 

moins d’un dixième peur cent 

du trafic marchandises interur­

bain et, même si l'on tient 

compte de l'amélioration de la 

structure de leur prix de re­

vient, leur part du trafic en 

tonnes-milles restera probable­

ment très petite dans l'avenir 

prévisible.



La concurrença accentua 

la* problâmai des 

chemins da for

En s’accentuant, la concur­

rence a mis en évidence le pro­

blème fondamental inhérent à



Mal* les parts raapactivas ont changé .

CÂÜ


OLlOOUC

intéresse surtout les marchan­

dises de nature périssable, ou 

celles qui ont une grande va­

leur sous un faible volume. 

Ses principaux avantages sont 

la vitesse — inappréciable en 

cas d'urgence — et la possi­

bilité d'accès aux régions éloi­

gnées qui sont au-delà des limi­

tes du rail et de la route. Mê­

me des cargaisons pondéreu- 

ses, souvent, sont envoyées a 

des avant-postes ou à des équi­

pés d'exploration — la livraison 

étant alors moins une affaire 

de prix que l'absence d une 

autre solution.

Les taux de fret aérien sont 

coûteux à cause du prix élevé 

des appareils, des limites de 

chargement et, souvent, de la 

nécessité de réexpédier les

la construction des chemins de 

fer canadiens, à savoir les ef­

fets combinés des principes 

économiques et de questions 

telles que l'unité nationale, la 

mise en valeur des ressources 

naturelles, la politique de la 

Défense et ainsi de suite. L'in­

compatibilité de ces concepts 

à l’occasion saute aux yeux 

lorsque la suppression d'un ser­

vice non rentable, que l’on con­

sidère nécessaire pour d’excel­

lentes raisons d'ordre écono­

mique, se trouve pratiquement 

impossible pour des motifs ex* 

tra-commerciaux. 

|

Les chemins de fer n'ont pas 



négligé la concurrence, toute­

fois. et ils y ont fait face en 

modernisant leur matériel et 

améliorant leur service. Malgré

duits finis de haute qualité, sur 

lesquels les chemins de fer ont 

toujours prélevé des tarifs éle­

vés: il reste donc à ces der­

niers une proportion croissan­

te de produits à bas tarifs. En 

1959, par exemple, les charge­

ments de produits minéraux 

étaient de 38 pour cent plus 

élevés que dix ans plus tôt.

Malgré la baisse générale de 

leurs affaires, les chemins de 

fer ont connu quelque expan­

sion. Depuis 1945. ils ont ajouté 

à leur reseau environ 200 mil­

les de votes, malgré l’abandon 

de certaines lignes non renta­

bles Ces nouvelles lignes, pour 

la plupart, desservent des cen­

tres miniers importants et éloi­

gnés qui ont surgi durant 

les dernières années. L’entre­

prise qui exploite les gisements 

de minerai garantit habituelle­

ment un tonnage minimum, ce 

qui assure au chemin de fer une 

marge déterminée, ou bien 

elle utilise sa propre ligne.

Une des façons de lutter con­

tre les concurrents est l'emploi 

du procédé de transport "rail- 

route’’ (piggyback), qui consiste 

à transporter des remorques de 

camionnage sur des wagons 

plats. Ce service a débuté en 

1952 entre Montréal et Toronto 

et s’étend maintenant d’un litto­

ral à l'autre. Bien qu’il ne re­

présente encore qu’environ trois 

pour cent du total des charge­

ments ferroviaires et de quatre 

à cinq pour cent des recettes 

des chemins de fer, ce procédé

est poussé plus loin et les char­

gements de ce genre en 

1960 

ont 


dépassé le double du chiffre 

de 1958. Le transport “rail rou­

te” semble une combinaison 

parfaite.

Let perspective*

Les changements remarqua­

bles qui sont survenus dans le 

reseau national de transport de­

puis ta tin de la Seconde Guerre 

mondiale ne sauraient se sépa­

rer de l'expansion rapide qu’a 

connue l’économie canadienne 

durant cette période. L’organi­

sation des transports est deve­

nue plus complexe : les trans­

porteurs routiers ont presque 

quadruplé leurs affaires et les 

lignes aeriennes ont 12 fois plus 

rie trafic (bien que leur part 

du total soit encore sans im­

portance), tandis que les oléo­

ducs prennent maintenant un 

bon pourcentage du total. Chez 

les transporteurs traditionnels, 

le transport par eau a presque 

doublé son volume grâce à la 

mise en valeur des ressources 

naturelles, mais les chemins 

de fer éprouvent de la difficulté 

à maintenir le leur. Le deuxiè­

me grand changement, qui ré­

sulte en grande partie de l'ap­

parition de modes de transport 

rie substitution, est le degré plus 

marqué de la concurrence qui 

règne dans les transports. Cha­

que mode de transport s'efforce 

évidemment de trouver les mar­

chés qu'il peut le mieux desser­

vir, et cette industrie connaîtra 

probablement un état continuel 

de fluctuation jusqu'à ce qu'une 

forme de "coexistence dan* la 

concurrence’’ soit réalisée.

En attendant, les transpor­

teurs qui perdent leurs mar­

chés au profit de transporteurs 

rivaux devront reviser leurs 

opérations, revisions d'autant 

plus faciles que les opérations 

ont plus de souplesse. Le che­

min de fer, qui est depuis long­

temps le principal transporteur, 

va sans doute continuer à jouer 

le premier rôle, mais il devra 

probablement supporter le plus 

fort de la concurrence des 

transporteurs spécialisés. Cette 

situation n’est pas propre au 

Canada et dans le monde entier 

les chemins de fer subissent 

une grande concurrence. Man­

quant de souplesse, au sens ma­

tériel du mot, ils s'adaptent 

difficilement, mais ils expéri­

mentent sans cesse des moyens 

de combiner leurs opérations 

avec celles des transporteurs 

concurrents.

Toutes ces adaptations indis­

pensables vont sans doute pren­

dre du temps et, dans l'inter­

valle, les nouveaux progrès de 

la technique viendront peut-être 

retarder la réalisation d’un ré­

seau de transport entièrement 

intégré au Canada. Il est évi­

dent, toutefois, que les phéno­

mènes que nous avons vus au 

cours des dix dernières années 

nous orientent vers ce résultat.

L

J'ai en un tuyau I Acheté», 



moi .500 actions ties Industrie» 

AM. !

Puis, 

dites-moi 

quent I

téléphones-moi et 

ca qu'elles fahri

W, C. 

Pitfield & Co.

Commentaires 

sur le marché

Indices des valeurs 

industrielles

722.41

601.13

325.7

plus en


Canadian Arsenals Limited

Les anciennes usines 

Longueuil deviennent 

de la Cdn Pratt & Whitney Aircraft

de canons de 

la propriété



Difficultés économiques de l'Angleterre

Les causes de la disparition de 

l'excédent des recettes invisibles

Jeudi — 1ère édit. — Finance 

Un excédent des recettes in­

visibles a marqué d'habitude



LA COTE DES GRAINS

Marché I larmas : 

WlnnlMS

Avalna :


On. 

nrr. 


Mai.

Ont i


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Mal

Haut 

1 0014 


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1 22'»-'» 

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Oct. 


9 81», 

3  77'4  3 784,

Dér. 



3  724»  3.7344-44



Mai 

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3  771»  3 7814-V,

Saisi* •


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1 2* '» 


1 281» 

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Marsh* tu eamaitn»!

t 27 s, 


1 29'» 

1 3* Mi


t 25'» 

1 28


1 33

la balance de paiements de 

l'Angleterre depuis la fin du 

siècle dernier, selon le Bul­

letin Economique publié par 

le Service d'information du 

Royaume-Uni. Il se composait 

surtout du revenu des place­

ments massifs outremer au 

XiXe siècle et de la forte pro 

portion du commerce mondial 

transporté dans les navires an­

glais. Les importations ont dé­

passé les exportations avant le 

début du siècle actuel et c'œf. 

l'excédent des recettes invi­

sibles qui a permis à l'Angle­

terre aussi bien de faire les 

fonds du déficit visible que de 

faire face aux frais nets des 

placements continus outre-mer.

Au cours des années de 

l'avant-guerre immédiat, l'ex­

cédent anglais des recettes in­

visibles dépassait probable­

ment 300 millions de livres ster­

ling par année. Malgré la li­

quidation, au cours de la guerre, 

des placements outre-mer, et 

malgré les pertes de navires, 

les recettes ont recommencé à 

augmenter rapidement après 

la guerre : au début des an­

nées 50, elles atteignaient un 

niveau net d'environ 300 mil­

lions de l.s. Mais, l'an dernier, 

le revenu net au compte invi­

sible tombait â 22 millions de 

l.s. et cette chute s'est produite 

depuis 1958. A l'heure actuelle, 

il n’existe pas de revenu net 

a la rubrique invisible.

Les résultats décevants de la 

navigation, les dépenses accrues 

de l’Etat à l’étranger et l’abais­

sement du revenu net prove­

nant des intérêts et des béné­

fices représentent les causes 

principales de cette chute.

140-


Le volume «’«st accru

130-


120

-

OLÉODUC



lOO-

eo-

«oure

EAU


60-

«50-


RAIL

30-


20-

Les anciennes usines de ca­

nons de la Canadian Arsenals 

Ltd., situées à Longueuil sur la 

rive sud du St-Laurent en face 

de Montréal, et qui apparte­

naient au gouvernement cana­

dien, passent aujourd’hui aux 

mains de la Canadian Pratt & 

Whitney Aircraft Co Ltd. Cet­

te vente, que l'on dit s’élever 

à $1.400,000, est l'une des plus 

considérables que la Corpora­

tion de Disposition des Biens 

de Guerre ait faites au cours 

des années récentes. La pro­

priété vendue a l'avionnerie de 

Longueuil comprend quarante- 

cinq acres de terrain et des usi­

nes de 404,384 pieds carrés.

Le président de la Canadia» 

Pratt & Whitney Aircraft, M. 

T. E. Stephenson, a déclaré que 

cet achat fait partie du pro­

gramme à long terme de sa

Initiative suisse dans 

la recherche nucléaire

cargaisons à l’arrivée aux 

aéroports, car dans les grands 

centres, ceux-ci sont souvent a 

plusieurs milles des villes des­

servies. La nécessité d’équili­

brer les chargements sans dé­

passer des limites bien déter­

minées. et la difficulté de res­

pecter des horaires réguliers à 

cause de l'imprédictibilité du 

temps ont l’effet d’augmenter 

encore ce coût. La construc­

tion de cargos aériens de plus 

fort tonnage et l'amélioration 

des aéroports devraient abais-

cela, leur prédominance com­

me transporteurs a diminué 

constamment. Entre 1945 et 

1959, le tonnage qu’ils ont trans­

porté n'a pas augmenté sensi­

blement, en dépit de l’énorme 

expansion de l’économie cana­

dienne, et leur part du trafic a 

baissé de 75 à 51 pour cent. 

Plus importante, peut-être, que 

cette diminution de leur part 

du trafic est le changement 

dans sa composition. La vogue 

des camions s'accroît constam­

ment pour le transport des pro­

che nucléaire. L'installation 

sera mise à la disposition de 

l'Institut pour le magnétisme 

terrestre, à Washington, où sa 

capacité pour être exploitée 

au maximum.

Séance de mercredi en Bourse

LAUSANNE. — L’Office suis­

se d'expansion commerciale an­

nonce qu’un groupe de physi­

ciens de Bâle, placé sous la di­

rection du professeur P. Huber, 

savant atomiste bien connu, est 

parvenu à mettre au point un 

appareil destiné a la recherche 

Imperial Oil 

nucléaire et capable de pro- r 

duire des deutérons polarisés.

Ce groupe a réalisé cet exploit 

avec des moyens financiers re­

lativement modestes, puisque 

le Fonds national pour la re­

cherche scientifique n’avait mis 

à sa disposition que 70,000 fr. s.

($16,300 des E.U.), ce qui vaut 

la peine d'être mentionné.

L'appareil offre la possibilité 

de suivre avec une plus grande 

précision encore que jusqu'ici 

les réactions nucléaires expéri­

mentales et d’obtenir ainsi de 

nouveaux et précieux éléments 

dans le domaine de la recher-

Avoin» 2 CW t»v»; EX 3 CW, 

3 CW At EX I Fourragère 87

mi

; 1 


fnurraière 96V* ; 2 fourragère 83M»; 

3 fourragère 0O%1 Fourragé! e m<* 

langée 50

Orge \ A, 3 CW A ran** 1 3,V\ ; 

î At 2 CW 2 rangs A* 3 CW G-rang* 

127%. 3 CW 2 rang* At 1 fourragé 

re 1.23%; 2 fourragère 120**; 3 

fourragère U7U

Seigle: 1 Ai 2 CW 123’»: 3 CW 

12lVfc: 4 CW 114V|; ergoté 1 Ofl%, 

•ur vole 1 237/*

Un : 1 CW 3 7A; 2 CW 3.73; 3 

CW 3.564*. aur voie 3 74V

Marché du lin :

Pn* au comptoir • 15 rent* de 

motna que l'option d'octobre (Jaa. 

Richardaon At «Son*).

Compta 


invisibla

(en millions rie l.s.'

19.58

Etal 


...............................

Navigation

Intorêt, bénéfices et dividendes 

Voyages


Autres postes ............................

-222 

t 22 

261 


- 17 

i 185


Chic»*»

*1* i


Sept,

Dér


Man

Mai


Juil.

Mali t


Sept.

Déc

Marx


Mai

.lull.


Avoine t

«Sept


Déc

Mar»


Mai

Juil.


Stielt t

Sept 


Dec 

Mar*


Mai 

Juil.


Haut 

2

 



00



3 07 

3 12

2  13H

3  14

1 12»* 


1 tG% 

1 20% 


1 23 

t



1 26%

70%


75

76 » %

73 H 


73%

1 26*4


1 34 V* 

1 38 

1 38 


1 34 «%

rave» leva

Sept.

Nov.


.tan

Mar*


Mai

Juil.


2 46 » 

2 45 Vf


2  4714»

3  51

2 53 H 


2 56va

Bas


1  99%

2  00% 


3 11% 

2 13


2 13%

M2 


1 l.V» 

1 20 «a


1 33 V* 

1 25%


68%

74%


78%

76%


73%

1 27%


1 ,13 

1 37% 


1 38% 

1 34


3 45':

2  42'


3  46 

3 50' 


2

 «

2



Cl At

1  98%


2  06%-% 

2

 



11

% % 


2 13% 13 

2 13% %


1 12»*.% 

1 15% 16 

1

 



20

'*

1 2.1%



i 26%

70-70%

74%

78' * 


76*4 

73%

1 27 T*

1 13%

1 37% 36 

1 36%

1 34

Total des recettes nettes ........

On a lieu de penser que la 

tendance rapide au fléchisse­

ment à l'egard des recettes 

commerciales invisibles de l'An­

gleterre ne se maintiendra pas

4 229


I960

—287


—  25 

4179


—  17 

4172


4

Chang


—  65

—  47


—  82

— 13


-207

à l'avenir. Mais le besoin reste 

de combler, pour l'ensemble rie 

la balance de paiements, les 

pertes déjà subies.

Tendance mixte avec des Stee, Co, of Conada 

changements fractionnels Acquisition

de Cdn Drawn 

Steel Company

POUR VOTRE INFORMATION...

45*-4*


43-43 W

47

51

V1«4 



55 «.

DISTILLERS

CORPORATION —

SEAGRAMS I I MIT CD

AVIS DF. DIVIDENDE

Avis est par les présentes 

onné qu'un dividende de (rente 

pnts (10*) par action en argent 

inadien sur les actions ordi* 

aires en cour» de la compagnie 

été déclaré payable le I5 sep- 

«mbre 1961, aux actionnaire» 

n registres â la fermeture de» 

tfaire* le 25 août 1961.

Par ordre du conseil H aritni- 

i*tration.

H. C IO.V 

bei t éta ire

lonuéal,__

Durant les six premiers mois 

de cette année, les importations 

françaises en provenance de 

l'Allemagne de l'Ouest ont at­

teint une valeur de 2,801.1 mil­

lions de nouveaux francs, com­

parai i ventent à 2.409 1 millions 

de NF pour le premier seme:®- 

tre de 1960 Les exportations 

françaises a l’Allemagne se sont 

élevées, pour la même période, 

a 2,639.2 millions de NF con­

tre 2,290 5 millions Lan dernier. 

♦ * 


*1

Au court dt r«xercic« ttrmi- 

ne la 31 mai 1961, Alberta Dis­

tillers Ltd. a fait un benéfica 

net de $394,034, à comparer à 

$342,264 l'exercice précèdent.



*

Le Canadien Pacifique a fait 

un revenu net de $7,201,857 au 

premier semestre terminé le 30 

juin t%l, soit l’équivalent de .19 

cent® l'action ordinaire, en com­

paraison de $11,852,271 ou 

cents l'action l’an dernier.

recettes ferroviaires ont dimi­

nue de $15.165,107 â $12,504,801. 



*



Le rendement moyen de 114 

valours a dividend# coteas en 

Bourse de Toronto s’établissait 

â 4.11% la 14 août 1961, d'après 

la compilation de la maison 

Moss, Lawson & Co. Cost un» 

diminution de 0,01% par rap­

port i

 

la samaina précédent». 

Le mois dernier, || s’élevait à 

4.18%; l’an dernier è pareille 

date, il était da 4.75%, Le ren­

dement moyen des actions ordi­

naires a monte de 0.03% é 

3.65%, comparé é 3.6Sr< la mois 

dernier et à 4.36% il y a un an. 

♦ * *

L'indice de la production in­

dustrielle a atteint un nouveau 

sommet de 112 pour cent de la 

moyenne de 1957 aux Etats-Unis

durant le mois de juillet C'est 

une hausse de 3 points par rap-

'2 


Les

port au mois de juin et de 9 

points par rapport à juillet I960 

Le sommet précédent de 111 a 

été établi en janvier 1960.

* * *


L’actif disponibla de Hakaoo 

Development Co. Ltd, s'établis­

sait é $1,039 au 30 avril 1961 at 

la passif txigible 

à 

$43,336, rap­



porte M. L. G. Wood, un admi­

nistrateur da la compagnie. Du­

rant l'annéa, 250,000 actions ont 

été vendues au prix de $18.750.

La production sidérurgique 

s'est maintenue de façon remar­

quable au Canada durant la 

semaine terminée le 12 août, 

qui comptait un congé civique. 

La production s’est élevée, en 

effet, à 121.512 tonnes, soit 1% 

seulement de moins que la se­

maine précédente durant la­

quelle les aciéries canadiennes 

ont produit 122.810 tonnes.

* * *

Au 30 juin 1961, l'actif dispo­

nibla da Langii Silver and Co­

balt Mining Co. s'établissait é 

$315,930, plus des placements 

ayant una valaur négociable de 

$11.000. Le passif exigible se 

plaçait é $44 892. M. A. W. 

White, président, qui donne cas 

précisions, ajoute que la com­

pagnia continue 1 poursuivre 

son programme de développe­

ment souterrain an vue d'ac­

centuer l'exploitation du gise­

ment.

a a a


Les importations canadiennes 

de toutes provenances ont aug­

menté légèrement durant le 

mois de juin, mais le total du 

premier semestre est inférieur 

à celui de l'an dernier En juin, 

elles ont augmenté de 2 6' - a 

$499,400,000, Pour le premier 

semestre, elles ont baisse de 

1.1* soit de $2,805,6(H),000 en 

1960 a $2,776,200,000.

pris H. R O. Power a 

, et Interprovincial

Le marché était calme a 

Montréal avec une tendance 

mixte. Les changements se li­

mitaient à des fractions. Les 

actions privilégiées rie Gaz 

Naturel du Québec ont continué 

leur haisse pour perdre 1. Les 

papier, les banques, les titres 

divers et les spiritueux étaient 

soutenues. Les services publies 

et les raffineries étaient mix­

tes. Les acier, les métaux non- 

ferreux, l'alimentation et les 

textiles étaient plus faibles. 

Fraser a pris 4- Banque de 

Montréal a gagné '4. Banque 

de Nouvelle-Ecosse 1 et Banque 

Canadienne Nationale 4 Mol- 

son A 


perdu 

Pipe 1


a fléchi de 4 ainsi que Alu­

minium. Asbestos a perdu -’s 

et International Nickel 4. Les 

mines et les pétroles de l'ouest 

étaient tranquilles avec peu de 

changement.

La crise de Berlin exerçait 

toujours sa pression sur la 

bourse de NEW YORK. Le mar­

ché était peu actif et les cours 

mixtes Les trois grandes com­

pagnies d'automobiles étaient 

un peu plus faibles mais Stu- 

dehaker-Paekard et American 

Motors accusaient de légers 

gains. Les aciers, les chimi­

ques, les avionneries et les 

électroniques étaient mixtes. 

Ford était active et a perdu 

deux points. Anaconda pris 

près de 1

A TORONTO, les industrielles 

sont demeurées fermes mais 

tous les autres compartiments 

ont fléchi Les virements étaient 

peu nombreux Les gains n'é- 

taicnt pas limités a un seul 

groupe et il n'y avait aucune 

tendance bien définie Banque 

de Nouvelle-Ecosse a gagne 4 

pour atteindre un nouveau som­

met Traders Finance A a pris 

1. Les aciers ont fait preuve 

de fermeté, ainsi que certaines 

valeurs du secteur des services 

publics Les métaux non-ferreux 

ont faibli Le kilo d'or était coté 

$36.15-$36 40 l'once.

La bourse de LONDRES est 

demeurée tranquille avec pou 

de changements d'importance 

Dans l'ensemble, les valeurs 

libellées en dollars étaient plus 

faibles mais quelques emissions 

de banques canadiennes étaient 

plus soutenues. Les fonds 

d'état britannique» n'étaient pas 

en demande mais U y eut une

certaine demande pour des 

valeurs industrielles choisies.

La tenue des cours était ex­

cellente sur la place de PARIS 

si l'on considère l'évolution rie 

la conjoncture depuis la der­

nière réunion des boursiers.

En résumé...

Jamaica Public Serv ice Limi­

ted rapporte un bénéfice net de 

$1,785,681 pour l’exercice ter­

miné le 30 juin 1961, contre 

$1,667.250 ou $3.25 l’action un 

an plus tôt. Pour la dernière 

année, son bénéfice par action 

était de $3 52.

* *



Shawinigan Water and Power 

Company rapport» un bénéfice 

net de $6,816,107 pour le premier 

semestre, soit 75.3 cents par 

action,  contre $7,159,131 

ou  80

cents l’action  ordinaire 

un  an

plus tôt.

*  * *


Au 30 avril 1961, les disponibi­

lités de Makaoo Development 

Co. Ltd se chiffraient â $8,039 

contre des exigibilités de $43.- 

336 Au cours de l'année, la 

compagnie a vendu 250.000 ac­

tions pour un montant de $18,- 

750.


• 

*



Le revenu net de Giant Mas­

cot Mines Ltd pour les quatre 

derniers mois a été évalué é 

$85.000 par mois. La société n’a 

pas de dettes et son fonds de 

roulement s’élève i $300,000.

• 



*

A la suite d'une majoration 

des impôts sur le revenu, le 

bénéfice net de Northern On­

tario Telephone Ltd était de 

$238,867 ou 12 4 cents l'action 

pour le semestre terminé le 30 

juin 1961, contre $248.943 ou 

14 5 cents un an plus tôt Son 

revenu global a augmenté de 

15.4% à $2,036,853 et ses dépen­

ses de 13.5% à $1,145,786. Ses 

impôts sont passes de $107,000 

à $138,000.

* * *

Selon M. Bram Dees, prési­

dent de Hardee Farms Interna­

tional Ltd, les actionnaires 

ordinaires de cette société en 

date du 18 août 1961, recevront 

des droits de souscription à de 

nouvelles actions è raison de 1 

nouvelle action pour chaque 

cinq détenues. Le prix d’achat 

a été fixé a 510.50 chacune. Ces 

droits seront valables jusqu'au 

12 septembre 1961.

HAMILTON. - The Stee 

Company of Canada Limited 

a annoncé aujourd’hui que ses 

offres d’acheter toutes les ac­

tions emises de la Canadian 

Drawn Steel Company Limited 

ont été acceptées par plus de 

90% des détenteurs d'actions or­

dinaires et privilégiées. Selon le 

terme des offres, la Stelco achè­

te et prend livraison des ac­

tions. Les offres sont valables 

jusqu'au 13 novembre 1961.

Au cours d'une assemblée du 

conseil de direction de la Ca­

nadian Drawn Steel Company, 

Limited, le 16 août, MM. Mark

B.  Holton, Donald J. Wilkins, 

R Warren Biggar et Wilfrid 

Mavor ont démissionné et ont 

été remplacés par MM. L. T. 

Craig, H. M Griffith, N. J. 

Brown et R. B Taylor qui sont 

tous des administrateurs de la 

Stelco


M. Ralph Biggar, CR, a dé­

missionné en tant que président 

mais demeure en qualité d'ad­

ministrateur. M. L. T. Craig 

et M. H. M. Griffith, vice-pre­

sidents de la Stelco, deviennent 

président et vice-president res­

pectivement de la Canadian 

Drawn Steel Company. M R. H. 

Macdonald a été nommé gérant 

general et sera responsable de 

toutes les opérations de la com­

pagnie. Les autres nominations 

comprennent relies de R War­

ren Biggar. gerant général ad 

joint, L H. Howe. trésorier, W.

C.  Chick, secretaire, B C. 

Evenden, gérant des ventes et 

secrétaire adjoint.

Nouveau détersif 

d’eau froide pour 

l’Amérique du Sud

SARNIA. — En créant un 

produit qui mousse dans l'eau 

de lessive froide. l’Imperial Oil 

a pris pied sur un marché d’ex­

portation en Amérique du Sud 

dont l'importance est grandis­

sante.


Le produit d'exportation en 

cause est 1’alkylate détersif, 

liquide incolore qui est le prin­

cipal ingrédient des détersifs 

synthétiques. Depuis 1946, les 

détersifs synthétiques ont pres­

que complètement remplacé les 

savons de lessive naturels au 

Canada et aux Etats-Unis, et 

ils sont maintenant de plus en 

plus préférés des ménagères 

sud-américaines. Mais comme 

plusieurs foyers d’Amérique du 

Sud n'ont pas l'eau chaude cou­

rante, les fabricants de déter­

sifs avaient besoin d'un alkylate 

détersif qui puisse faire mousse 

dans l'eau froide.

Au cours de longs trav aux de 

recherche en vue d’améliorer 

les alkylates détersifs, l’Impe- 

rial Oil a créé un produit qui, 

en plus de provoquer une écu­

me abondante dans l’eau froide, 

nettoie efficacement le linge et 

la vaisselle. On écoule déjà ce 

nouveau produit en Colombie, 

au Vénézuéla et au Brésil. Le 

ministère fédéral de l'Industrie 

et du Commerce estime même 

que 1’alkylate détersif se classe 

maintenant au troisième rang 

parmi les exportations cana­

diennes de produits chimiques 

en Amérique du Sud. 

^

Le nouveau produit est fabri­



que à la raffinerie locale de | 

l'Iniperial Oïl et expédié en i 

vrac dans des navires-citernes 

spécialement conçus pour le 

transport des produits chimi­

ques.


FONDS D'ETAT ETRANGERS

Australie 3% % 196G 



B real! 1%%. Série 1 5 

Rrèail 3%%. Séria G-30 



Bolivie T-r 

Chili 2%% 1091 

Colombie 3 - 

1970

Grèce 6% 1908

compagnie, qui a besoin d'es­

pace additionnel pour ses opé­

rations de fabrication, de ré­

fection, de recherche et de 

développement. M. Stephenson 

a dit que sa compagnie louait 

de l’espace dans ces usines de­

puis 1928.

La compagnie occupera im­

médiatement l’espace requis 

aujourd’hui. On installe présen­

tement des ponts roulants dans 

l’usine de Longueuil et on 

transporte les machines-outils a 

leur nouvel emplacement en 

vue de la production de pièces 

de rechange pour les marchés 

d'exportation.

L'ancienne propriété de la 

Canadian Arsenals comprend 

deux usines principales et trois 

bâtisses supplémentaires. Avec 

cet espace additionnel et son 

usine de Jacques-Cartier, la 

Canadian Pratt & Whitney dis­

posera dorénavant de 854,313 

pieds carrés d'espace de bu­

reau et d'usine et d'une super­

ficie totale rie terrain de 195 

acres.


Dow Jones

Toronto

Montréal

Certains signes rie 

plus apparents confirment la 

presence de la reprise prévue 

pour cet été et annoncent aus­

si, pour l'automne, une ronso- 

lidation semblable 

à 

celle da 

l'été dernier.

Analysons quelque peu ces 

signes : tout d'abord, ils sont 

principalement de caractère 

technique. Les indices économi­

ques et financiers conservent 

imp note optimiste et, en cer­

tains milieux, on est d'avis 

qu'ils annoncent une activité 

croissante des affaires pour 

1962 et même pour 1963. Ceci 

est très possible et c'est pour­

quoi nous recommandons una 

politique de placement qui est 

basée principalement sur des 

titres de premier choix. Cepen­

dant, tel que nous l’avons déjà 

souligné, les prix en bourse 

sont très élevés comparative­

ment aux normes connues et 

touchent des sommets jamais 

atteints auparavant, ce qui 

commande une très grande pru­

dence ; à ceci, si nous ajoutons 

la tension de la scène interna­

tionale, nous pouvons dire que 

la situation n’est pas sans ris­

que.


Au début de l'année, nous 

suggérions à ceux qui mainte­

naient leur portefeuille dans un 

rapport de 50% en titres à re­

venu fixe et 50% en actions, de 

modifier cette position de façon 

à en arriver au rapport 30%» 

70%, Nous suggérons mainte­

nant de modifier ce rapport à 

40% -60% tant que l’avenir ne 

sera pas plus précis. Plutôt que 

de recommander la liquidation 

de certains titres en particulier, 

nous suggérons de conserver les 

titres très surs et de vendra 

ceux qui affichent une cer­

taine faiblesse.

Falconbridge 

Nickel Mines

Bénéfice net 

plus élevé au 

1er semestre

TORONTO. (PC) - Falcon­

bridge Nickel Mines Ltd rap­

porte un bénéfice net de 

$8,443,377 ou $2 24 l’action pour 

le semestre terminé le 30 juin 

1961, contre $7,753,709 et $2.06 

l'année précédente.

Selon le président de la com­

pagnie, M. H. J. Fraser, les 

facteurs les plus favorables 

étaient les expéditions accrues, 

un revenu plus élevé provenant 

de ses contrats a long terme 

et le taux du change favorable 

entre le dollar canadien et le 

dollar américain. Par contre, 

la compagnie a souffert de la 

faiblesse des prix du cuivre et 

d'une hausse de son prix de 

revient.

M. Fraser a ajouté que la 

demande demeure ferme pour 

le nickel en Europe et qu'elle 

s'est améliorée au cours des 

derniers mois aux Etats-Unis.

“L'on peut, s'attendre a ce 

que la majoration du prix du 

change à la suite du budget fé­

déral auront un effet favorable 

sur le bénéfice du second se­

mestre."


COURS DES DEVISES

A New York, le dollar cana­

dien est en hausse de l 64 a un 

escompte de 3 8 21 pour cent. 

La livre sterling est en hausse 

de 3 32 à $2.80 9 32.

A Montréal, le dollar améri­

cain est inchangé à une prime 

de 31* pour cent. La livre ster­

ling est invariable à $2.8815/16.

y—....... ...................................................-....... -................-

CANADIAN CELANESE LIMITED

MONTREAL. P. Q

Le conseil d'administration a pris 

les dispositions ci-dessous au su­

jet des dividendes :

actions privilégiées, sérié à $1.75

Quarante-trois cents et trois 

quarts l'action (43*4** pour le 

trimestre courant du 1er juillet 

1961 au 30 septembre 1961 a 

été déclaré payable le 30 sep­

tembre 1961 aux actionnaires 

inscrits à la fermeture des bu­

reaux le 25 août 1961.

actions privilégiées, série 

i

 $1.00

Vingt-cinq cents <25f) l'action, 

pour le trimestre courant du 1er 

juillet 1961 au 30 septembre 1961 

a été. déclaré payable le 30 

septembre 1961 aux actionnaires 

inscrits à la fermeture des bu­

reaux le 25 août 1961.



actions ordinaires

Trente cents <30?) l'action pour 

le troisième trimestre de 1961 

a été déclaré payable le 30 

septembre 1961 aux actionnaires 

inscrits à la fermeture des bu­

reaux le 25 août 1961.

Le secrétaire,

A. G. ALLAN

Le 16 août t961.



Nommés directeurs de la 

Progressive Compagnie d'Assurances

Brazilian Traction Light and 

Power Co. Ltd., $1 50 l'action 

privilégiée 6%, 29 septembre, 

inscription 15 septembre.

Famous Players Canadian 

Corporation. 374 cents l'action 

ordinaire, 8 septembre, inscrip­

tion 23 août.

Fleetwood Corporation. 13a4 

cents l'action ordinaire, 15 sep­

tembre, inscription 25 août.

Standard Structural Steel Llri 

15 cents l'action ordinaire, 29 

septembre, inscription 15 sep­

tembre.


B

anque


C

an

 ADI K XNE X ATI ONALE



DIVIDEND* TRIMESTRIEL

Un 


dividends d» 45 

-»nt» 


p»r setion 

du capital 



varié da la Oanqua 

»»t 


déclaré pour la vrimestr* finissant le 

31 août 1961 Ca 



dividand», portant 

le no 282, 



tara 

payable 


è 

compter 


du 

ter septembre 1961, au bureau prirt- 

oal et 

è 

tout* luccurtale 



de la 

îjnque. au» actionnaire» micrit» la 31 

«t 

à la fermeture da. 

guichtn


Par ordre du Conseil d administration, 

l* garant général,



LOUIS HEBERT

M. LOUIS N. DE ROME M» G. de L. DEMERS, C.R.

M Louis N De Rome de Montréal et Me Georges de L. Demers, 

C.R de Québec, viennent d'être nommés directeurs de La 

Progressive Compagnie d'Assurances. M De Rome est directeur 

de Marine Industries Ltd Me Demers est membre senior de 

l'Etude legale Demers. Lesage et Vaillancourt, président de 

l’Equitable Compagnie d'Assurances Générales, directeur de la 

Société Provinciale d'Assurances Générales et du Fonds d'indem­

nisation des Victimes d'Accidents d'Automubile, et vice-president

de 1. Chambre de Commerce de Québec.



Botirxp 

de Vloniréal

(Sé4* mtrcrtdl)

aso

809

ini

4M

M

M

Vantti

Abltihl lORb 

Alfoma :iia 

Alumint MO 

Aluin 2 pr z20 

An* T 4V»Pr 70 

Argu» 

17S

Asbcitoi 77S 

AU** Stl 

Rk Mont 

Rank NS 

Rauq t'N 

Ranq PC 

Hath P A 

Bail Phon 2212 

Row « Pr lis 

Powater 400 

R rail I 

800

RA on 2nS5 

RC Pow #65 

Hrofkvl pr z2S 

Brown 34B 

Buüd Prod iio 

Cal Pow IM 

Cm Cem :ius 

C Cem pr lOR 

C Dom Su* 323 

n Fndry 400 

CSC 

9

r Aviation 100 

Cdn Braw 23S0 

< Br Alum 2SS 

CBAL A wt 200 

C Brome z25 

Cdn Celan 600 

C Tel 175 pr 50 

C Krbka A 350 

C Im Bk C 1518 

en, 

400

CI Pow i84 

Cl Pow pr Tio 

Cdn Oil 18R 

CPR 

000

Cdn Pet or 100 

C Vickers iS 

Comb Knt 1600 

Con MS 1097 

C Glass 300 

Corb.v A z25 

Coronation z50 

nist Seag 

D Bridge 

D Fndry 

D Glass 

n Glass pr 

P Steel 

P Stores

Haut Bat 

t 4P. 

4P.

* 43’. 

434.

» 33 

321.»

» 47 

47

( 43 

43

* 44>4 44'-. 

» 32*. 

31*4

Southam 75 

SS Steel 200 

Steel Can .50 

Steinbe A 1.100 

Texaco C 5.50 

Tor Pom zâ 

T Fin A 2450 

Tr Can PI, 350 

l-'n Steel 

Walk GW

300

165


Webb Knp .300

Wcoatt Tr 

Wcoast Tr

lOO

300

• 31*,. 3m 3P. 

I 8'.» 


RV» 

8V»


5 74 

74 

74

5 284. 

28V» 28H

$ 604. aov» 60<» 

( 89 

89 

88

» 52F» 

.52'.. 524.

( 22 

2|4.  22

8 8 



8

( .5456 

544» 544»

310 

310 

310

( 18 18 18 

t 161» 

161» 181»

Btturge Canadienne



$ 26>« 

t 28

$

$ ig>4 

t .«ig»*!

$ 22 

% S.3H 

S 12^ 

.37.5 

.

225

1000


50

3000

1000

010

500

25

50

,500

205

3795

nom Tar 1123 

r>om Tar p 400 

Dom Text 1200 

Du Pont 250 

Dupui» F A 100 

Kddy P 100 

Kam Play 670 

Fraser 725 

Fr P« P no 

Fro»5t A 200 

GL Paper 950 

Handy Andy z.5 

Kan A wt z30 

Horne Pf 300 

Hud B C 209.5 

K Bay M .335 

lmp In A 032 

lmp Oil 1322 

lmp Tob 125 

lmp Tob P 150 

Ind Accep 2002 

T Ar 4.5C P .50 

Int Nickel 600 

Tnt P xd 770 

Jnt Util 730 

înt Vtil P 75 

Inter PL 50 

sfamaica PR 25 

Labatt loo 

1 St L 25 

JMR and PR3650 

MariU Tel 100 

51asa F xfl 935 

MassSWpxd 55 

Met .Store 3200 

Met St pr 

M oison A 

Molson B 

Moîson pr 

Mont Trust

N St Car 

Noran xd 

NS LP 

OjlUvie 

Paj?e Kers 

Pow Corp 

Pnee Br 

QVGas

.^50

1120

90

722



50

750

1255

675

375

125

150

161

2073.3

QNGaswt 100 

QNGaspr 933 

Que Phone 100 

Que Ph wt 200 

Beed A E 500.5 

Reltman A 50 

RoeAVe 225 

Rolland A 1.^.50 

Rollaml pr 100 

Rothmans zSO 

Royal Bank 713 

RoyalUe 200 

St LCorp 6 

Saîada S 7.50 

Shawm 41.55 

Shawm .5 

3.5

Shaw 4 pr 200 

Su ard 19.50 

Ricaid 6 pr 100 

Simpson* 400 

So£ammes 200

S 23 

23

S 19<« 

19'ia

$ 19% 

194*

» 41% 4Dx 

$ 19 

18%

$61% 

61V4

$ 74 

74

$ 14% 

14%

t 13 

13

$ 17 

17

$ 19% 

19H



2121



$ 14% 

14%

$ 26 26 

$8 



S 20 

20

$ 18% 18% 

$ 27% 

27

.375 

375

$ 20% 20% 

S 21 

20%

$ 21 2t 



11



11



345 



340



1212



$54% 

54%

$ 21% 21 

$ 46% 

46

$ 15% 

15%

$ 6% 6% 

$ 64 

6.3

* 97 

97

$ 86% 66'» 

$ .36% 

.36%

$ 43% 

42^%

$ 48 

47%

$ 69% 

69%

$34% 

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$ 45% 

45

$ 37% 

37%

$ 17% 

17%

$ 20 

1.9'4

12 12 

$106% 106% 

$ 9''« 

8%



S 21% 

21%

$ 28% 28 

$ 27% 

27%

S 42 

42

$ 72% 72% 

$ 13% 

13V^

$ 53% 

53

$ 18% 18% 

$ .55 

55

$ 25% 25% 

$ 57% 

57

$ 50% 

50

525 

455

140 

140

$ 4.1 

.38

$ 45 

45

$ 25 

2.5

$ 7% 

7%

Ajax 

AUcop* ;t256 

Ani A M 4700 

Any Nfld 15:i3 

Atlas 1000 

Atlas Te! 25400 

Augustus z446 

Avalon 

Raker 

Bateman 

Reauce

Bellechas ___

Blue Wtr z200 

Boonyvl 300 

Bornite 3000 

C Colü pr 400 

r DrerUe 

335

CG Inv 

200

C Kodiak  8100

C Power 

/6

Canorama 2300 

Cabrer 1000 

ChemaJloy 2090 

Chib Cop 3000 

Copstrm 8000 

David K A rl3 

Denault 1.300 

Dolaan 6625 

I> Eng 695 

D Eplrers 2500 

D Lea^e 1000 

D Oilcloth r5 

Kaet Mal 500 

Falcon 240 

Fleet Mfg 500 

Fundy 500 

Ft Rince 3000 

Gaspe MOO 

Gold Age 1500 

Hastings 3700 

Inland C 

Inv Fnd 

Jubilee 

Lambt A 

Lith Corp 2500 

Mastval 4000 

McIntyre 500 

Mt W Iron 2000 

Mer Chip 1550 

Min Corp 400 

Molyb 

400

M Plsant 2100 

Mus.sens 300 

N Forma 3.500 

Nfld Light 2.50 

N Santiago 3000 

NW A mit 55000 

NA Rare 2700 

N3V Ind 100 

Ohalski 1000 

Opemiska 300

Paudath 10000 

Porcupine 4000 

P CP I P 200 

P rem Stl zlO 

Que Cobalt 300 

Q Smelt 1000 

Ragland 4800 

St L Col 1750 

Saucon D 2300 

Shop Sa 1620 

Sobry 

340

S Dufault 1000 

.SC P 6 pr 10 

Spartan .3800 

.Suptest or 100 

Tazin 2500 

Tib Expl 1300 

Titan 

2000

Tr C Corp 75 

U Asbestos 600 

V Prin 1600 

U Town.« E 300 

Vanguard 2000

Ventures 419 

Virginia 500 

Weedon 1000 

Wendel 1000

Ventes Haut 

5500 

26%

200

rîO

008

200

Section non efficient

S 24’


Advocate 100 

Alla T A 550 

C Delhi 200 

Cdn Dev aoo 

Cent Del 600 

C Paper 334 

Con Gas 1050 

Gateway 4000 

Giant YK .500 

Hollinger 3150 

Kerr Add .300 

LobCo A w’ z25 

M L M

j

U 150 

MO Paper 600 

Moore 

100

Murray 20000 

Sherrilt 600 

.Sîeep R 1550 

Trans Mt .570 

Tn Gas 260 

l n Keno .300

460 

$ .32% 

.385 

400 

595 

$ 46% 

$ 19 

2

$ 12% 

$ 27'4 

$ 10% 

$ 22% 

$ 1.5% 

$ 35 

$ 6.3 

70 

.525 

785 

$ 13% 

$ 19% 

$ 12

British American OU


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