Saint hyacinthe
i» ■êàûmstiÊL v-r. r- jr
Download 4.64 Mb. Pdf ko'rish
|
- Bu sahifa navigatsiya:
- Pourquoi les curés à la Iféqie
- Représailles économiques
- Rempart contre la sauvagerie
- M«v!ni,qUe Celle de plus de
- Marcel Dedier
- Les Educateurs indignés I-«* rérpll
i» ■êàûmstiÊL v-r.
r- jr vh I ierftw j-— ’’■W ê . S
/y? - 6 » mm m? hower at Kennedy, ont simple ment dit qua nous devions combattr» s'il I» fallait pour détendre la liberté da Berlin- Ouest et les voies d'accès qui ta garantissent. En outre, tous les dirigeants occidentaux re connaissent la nécessité de proposer à M. Khrouchtchev des accommodements qui lui permettent do sauver la face, afin de défendre la liberté de Berlin sans guerre. Réfléchissons donc aux événe ments on tenant compta dot faits incontestables que nous venons d'exposer. D'une part la fermeture de la porta de la prison d'Ailemagno oriontala avec un bruit retentissant aura certainement les répercussions les plus dommageables pour M. Khrouchtchev. C'est l'aveu im- plicite d'une terrible vérité. En effet, si M. Khrouchtchev avait encore prévu qu'il pourrait s'emparer de Berlin entier, ce qui était beaucoup plus simple, il aurait probablement toléré la fuit# persistante. C'est pourquoi on s'attendait généralement a ce qu'il se con tentât d'interdire l'accès de Berlin-Est, au lieu do fermer la frontière entre les deux moi tiés de !a ville. Le flot do ré fugiés serait alors tombé â un filet ; la fermeture do la porta n'aurait pas retenti dans le monde entier. Mais au lieu de cela M. Khrouchtchev s'est porté à là limite. Cela donna â penser qu'il commence à comprendre qu'il peut être forcé de se con tenter de signer un traité de paix avec M. Ulbricht, mais en s'abstenant de ia moindre at teinte à Berlin libre et aux voies qui y conduisent. D'autre part, la fermeture de la porte de la prison sim- plifie pour l'Ouest la recher- che d'accommodements qui "sauvent la face" pour tous. Tant que les Allemands af- fluaient de l'est par la porte de Berlin, il était impossible d'en- visager un accommodement qui sauvât les apparances pour M. Khrouchtchev. Mais il était aussi impossible d'imaginer que l'Ouest acceptât la honte de re fuser asile aux fugitifs de l'Est allemand. On peut maintenant surmon ter cette difficulté qui semblait ne pouvoir l'être, puisque M, Khrouchtchev a lui-même or donné de fermer hermétique ment la porte de la prison. Il a accepté le déshonneur, mais rayé définitivement la question des fugitifs de la liste des pro blèmes berlinois. Ainsi, que ce soit volontaire ment ou à son insu, il a ouvert la voie d'un reglement négocié qui laissera Berlin-Ouest vrai ment et définitivement libre. L'horreur présente du moins cet avantage. (Tous droits rcser'és 1961. New York Herald Tribune Inc.' MW]
Pourquoi les curés à la Iféqie ? Monsieur le Rédacteur, En effet, pourquoi les curés dans cette galère ? Pourquoi les curés s’occupent-ils des référen dums au sujet des débits de bois sons dans leur paroisse ? Pour quoi s'occupent-ils de la façon dont sont tenus les débits de boissons chez eux ? La réponse est très simple : c’est parce que le problème de la boisson et du commerce des alcools comporte un angle mo ral et c’est là l’affaire des cu rés.
Pourquoi, tout de même, ne pas laisser aux laïcs de leur pa roisse le soin de prendre l’ini tiative et de décider seuls, en toute cette affaire des alcools? Soyons bien francs et disons la vérité sans détour: c’est que nos gens, d’une façon générale, ne sont pas assez renseignés pour être capables de choisir seuls, en tout cela, ce qui est le mieux, de choisir surtout en tenant compte du bien général rie la population. La plupart ju geraient le cas pour leur comp te personnel sans se soucier du bien commun. Les quelques intéressés au commerce des boissons alcooli ques se rendent voter avec leurs amis. Les autres ne s'occupent pas de cette affaire. Ça ne les regarde pas, disent-ils. Il faudrait à nos gens suffi samment de culture et de for mation pour poser des actes uniquement en regard du bien commun et non de l’intérêt per sonnel. 11 ne faut pas être sur pris que les curés essaient de ia leur donner. D’ailleurs, en faveur d’oeu vres et d’organisations à carac tère purement social, sportif, patriotique, combien de fois n’a-t-on pas fait appel au curé ? Chaque dimanche, j’entends un curé annoncer des réunions de ce genre et faire une réclame en faveur de telles organisa tions. Où serait l’U.C.C. sans les curés ? Où seraient les coopé ratives sans les curés ? A qui les Unités Sanitaires ont-elles fait appel, sinon aux curés, pour le dépistage de la tuberculose, pour la goutte de lait, pour an noncer la visite du médecin ou du dentiste dans les écoles ? La venue de l’agronome dans les colonies est annoncée par les curés. Les organisateurs des terrains de jeux, les dames pa tronesses, les dames fermières, en bien des endroits, les réu nions de la Saint-.Jean-Baptiste, les activités du Club Richelieu et même du plus humble club sportif, tout cela est annoncé du haut de la chaire. Pourquoi serait-on surpris de les voir s'occuper de la Régie des alcools, de la distribution des débits de boissons, des référendums dans leur parois se,
ce sujet ? Ici, les âmes sont en danger. Ici, il s'agit de la santé morale de toute la famille. Par les débits de boisson, des loups ravisseurs peuvent entrer dans la bergerie. Voilà pourquoi les curés se sont mêlés et se mêlent encore de cette affaire. Ubald Villeneuve, o.m.l.. Aumônier National des Cercles Lacordaire et Ste-Jeanne d'Arc Découverte Monsieur le Rédacteur, J'avais toujours pensé que les "Courriers - Confidences” n’étaient qu’une collection de potins, jusqu'au jour où par pure curiosité je me mis à lire celui de La Presse, signé “Ni cole". Depuis un an cette découver te a été pour moi presque cha que jour une expérience nou velle et enrichissante. Ainsi je découvrais enfin le point de vue des femmes vis-à-vis de la vie. Je devais apprendre que le Courrier de Nicole, loin d’être composé de comméra ges, est plutôt une riche et merveilleuse leçon de philoso phie sereine de la vie. Chaque jour l’on peut trou ver dans La Presse non pas une page éditoriale, mais deux, celle de l’actualité et celle de Nicole. Dans celle-ci l’on peut fort souvent découvrir la solu tion de ses secrètes angoisses et un peu de bonheur dans l'ac ceptation des autres, tels qu'ils sont, dans le vrai respect du prochain, dans l’admission de ses propres défauts. Car Nico le est un avocat qui ne plaide que la cause de l’amour. Pour elle l'amour de Dieu se trouve dans chaque être humain, quel les que soient sa race, sa reli gion, ses idées politiques. Pour Nicole le monde n’est pas en tièrement contenu dans les frontières du Québec, mais est de dimension universelle. D’où l'extrême actualité, souvent même d'avant-garde, de son courrier. O merveille qui est Nicole, cette petite fleur in comparable qui pousse sur no tre si aride et austère Bou clier Canadien ! Enfin, en lisant le Courrier de Nicole, combien nombreux sont ceux parmi nous qui peu vent entendre la voix la plus secrète de leurs épouses, voire même l'écho de certains ac cents longtemps étouffés de leurs propres consciences. R. Le R.
Monsieur le Rédacteur, Je lisais avec délectation et grand plaisir un article, signé Mildred Gibson, dans votre nu méro du 27 juillet. Son texte, intitulé “Une Belle Posture”, élait si riche d’implications que je m'empresse de la féli citer.
Est-il nécessaire, ici, de rap peler à vos lecteurs que la pro fession chiropratique a depuis très longtemps compris et dé montré l’importance de la "posture” ? Elle a donc pris l’initiative an début des mois de mai, par des campagnes gi gantesques et internationales, d'attirer l’attention des gens sur l’importance du maintien, sur les effets prophylactiques d’une bonne statique, d'une saine dynamique du corps hu main, et de les prévenir des effets pathogéniques de ces dernières lorsqu'elles sont fau tives.
Ainsi, par exemple, dans "La Vigie” des mois de mars- avril 1961, publication cana dienne de chiropratique et rie santé, autrefois l’organe offi ciel du Comité d’Action Chiro pratique, on lisait à la page deux : "Au début du mois rie mai (et durant toute l’année) observons la Semaine du bon maintien." J. O. Edgar Houle, B.A., D.C. étrangère—la presse étrangère—la presse étrangère — là p Pas de passion au procès f ichmann NEW YORK. - Dans un édi torial consacré mercredi au procès Eichmann, le NEW YORK HERALD TRIBUNE écrit : "La manière dont le tribunal a mené l’affaire a été non seulement méticuleusement correcte et empreinte de dignité mais aussi, étant donné la na ture du crime et la teneur des témoignages, presque dénuée de passion. Presque tout le monde au tribunal a semblé comprendre que ce procès por tait sur bien plus que le des tin d’un seul homme ; que son rôle était aussi de documenter et d’illustrer une grande tragé die humaine Le procès d’F.ich- mann a mérité rie l’histoire aussi bien que de la justice.” On ignore toujours, poursuit le journal, ce qui a fait Eich mann agir comme il l’a fait, comme on ignore pourquoi l’Al lemagne s’est comportée de cet te façon Mais, conclut le HE RALD TRIBUNE, “si le procès Eichmann n’a pas contribue a la compréhension des nazis, il a rendu évident en tout cas l’horreur et la souffrance de ce qu’ils ont fait, fournissant peut- être un avertissement aux futu res générations parmi lesquelles des fléaux semblables pourront apparaitre”. “Le procès Eichmann ne fe ra pas revenir les morts. Mais, en racontant leur histoire dans toute sa tragédie, il est devenu un monument planté dans l'His toire, à leur mémoire.” ”11 ne reste que la question de «noir ce qu’il adviendra d’Eiehmann : c’est presque le moins important." Représailles économiques PARIS - LE FIGARO 'droi te modérée' : "On comprend que les Alliés ne veuillent pas s’en tenir à une réaction pure ment verbale. Le geste rie Pan- kow constituant, à n’en pas douter, un premier sondage de l’esprit de résistance occiden tal. il est normal que de ce côté-ci du rideau de fer on veuille faire sentir au camp adverse qu’il n’est pas libre de faire impunément n’importe quoi, et qu’à un certain moment le point de rupture pourrait être atteint. Mais cette préoc cupation n’exclut pas un souci de prudence... On s'oriente rait donc vers des mesures de rétorsion d'ordre économique... (’es armes devront être adap tées à une situation presque paradoxale. Les Occidentaux se trouvent en effet amenés à agir alors qu’ils ne sont pas les victimes directes de l'initiati ve prise par Pankow et qu'a vrai dire ce sont les propres citoyens de la R.D A. qui sont cruellement atteints. Des me sures coercitives trop rigou reuses rendraient la situation de ces derniers plus difficile encore et par là même pour raient aggraver le risque d’ex plosion populaire justement redouté à l’Ouest, C’est assez dire combien est difficile la tâche que la diplomatie occi dentale doit assumer face à la nouvelle pression dont elle est l'objet. L’AURORE (droite radicale': Il s’agit en tout cas de faire comprendre aux Soviets et aux sous-ordres des Soviets que l’on n’est nullement disposé, de ce côté, à s'incliner devant l’arbi traire et devant la force, et que toutes dispositions, s'il le faut, seront prises pour maintenir le droit. II n’est pas d'autre atti tude qui vaille. Moscou averti dp la sorte doit réaliser claire ment que la protestation de Washington, Londres et Paris n'est pas une démarche plato nique. Moscou doit réaliser qu'une fin de non-recevoir de sa part amènerait les Occidentaux à montrer qu’ils sont capables aussi de recourir à des actes de rétorsion. Et si tel est le seul moyen de rendre la négociation possible, on ne s’étonnera sans doute pas qu’ils usent de fer meté.
PARIS-JOUR (gauche modé rée) : Les Occidentaux veulent à tout prix faire triompher la morale et la liberté. lis croient qu'il est impossible de négocier avec Khrouchtchev parce qu'il dicte ses conditions d'une posi tion rie force. Mais la seule position de force de Khroucht chev, comme de tous les chefs SERVICE FRANCE-PRESSE communistes, réside dans la négation de ia morale interna tionale et de toute morale. C'est la base de leur politique. C’est pour cela que Khrouchtchev vient de gagner une nouvelle manche à Berlin. C’est pour cela qu’il prépare déjà le pro chain coup, auquel les Occiden taux l’encouragent sérieuse ment par leur indulgence à propos de Berlin-Est.
NEW YORK. - Dans un édi torial consacré mercredi à la réaction occidentale à la fer meture de Berlin-Est, le NEW YORK TIMES écrit : ‘‘Une des raisons de notre humeur hési tante est le dilemme tragique d'une société démocratique qui, malgré toutes ses imperfec tions. adopte certains principes moraux comme dernier rem part contre la sauvagerie, face à une dictature amorale qui exploite ses avantages selon la loi de la jungle. Tandis que les Soviets cherchent à provoquer la révolution et la guerre con tre nous partout où ils peuvent — allant jusqu'à la perfidie du pacte Hitler-Staline — nous autres devons chercher à dé courager 1 e s révoltés anti communistes afin d’éviter l’ef fusion de sang et la guerre. Nous devons, d'après nos pro pres principes, vivre aux côtés du mal même si ce faisant nous contribuons à la stabilisation de régimes communistes chan celants. comme en Allemagne orientale, et soumettons peut- être même des redoutes de la liberté, telles que Berlin-Ouest, au danger de mort lente par
“Non seulement les Soviets se moquent de nos scrupules, mais ils ont appris à s'en ser vir pour atteindre leurs propres fins impunément. Mais l’histoire est parsemée des tombes de dictateurs amoraux tandis que les forces de la liberté, avec leur droit moral, continuent à avancer. Le dictateur soviéti que ferait bien de se souvenir que même la loi morale impose une limite au-delà de laquelle la capitulation devant l’amora lité devient immorale, et que l'Ouest ne poussera pas 1rs “scrupules” jusqu'à se suicider pour éviter une épreuve de for ce avec lui.” vï/hç
LA PRESSE por l’Académie Française
La Canadian Press est seule autorisée A faire amploi, pour réimpression ou radiodiffusion, de toutes les dépêches attribuées è la Canadian Press, à ('Asso
ciated Press ou i l’agence Reuter, ainsi que de toutes les informetions locales que LA PRESSE publie. Tous droits de reproduction des informations particu lières de LA PRESSE sont également réservés. Abonnement par la poste Caneda, sauf Montréal et banlieue, un en , $6.00 > Etats-Unis, $?0 00 "Atioriié comme envoi postal da le deuxième classe, Ministère des Penes, Ottawa** *
LA PRESSE, MONTREAL, JEUDI 17 AOUT 1961/f l'p* chantier» sociaux Monsieur le Rédacteur, chefs d industrie devraient avoir a coeur de donner d’abord, a qualité égale, du travail à farni„e.Ul °"1 des charfies de Ceux qui ne travaillent pas /' 9li! sfiv'ent qu’ils auront de a difficulté à se replacer dans leur metier), devraient se fai re connaître et se grouper. Nous savons que la misère d'un hom me n'intéresse personne. Il est M«v!ni,qUe Celle de plus de ftO,000 hommes sera très inté ressante celle-là, et qu’elle ne durera pas, s’ils se groupent. <1 est indispensable que les chantiers sociaux soient ouverts avant octohre pour recevoir tous ceux qui le désirent, ceci, sans
afin de leur permettre d’être utiles et de retrouver ainsi toute ia dignité de citoyen indispen sable a la communité canadien ne du Québec. Pour les jeunes, peu de per mis de travail avant vingt ans. De 18 à 20 ans: deux ans de travail pour le pays: déboise ment, désouchage, plantation, travaux sociaux. Plaines de sport, bassins de natation, créa tion de Centres de Jeunesse. Education physique, sport, na tation. Instruction civique et so ciale, continuation des études ou spécialisation. A vingt ans, on lâcherait dans la vie un homme développé phy siquement, mentalement et mo ralement. capable de se repré senter lui-même avec fierté dans une société qui aurait de l'estime pour sa valeur humaine et sa compétence dans son mé tier.
groupes pouvant se suffire a eux-mêmes : culture, élevage, artisanat. Je ne parle pas "à travers mon chapeau . . .” mais en connaissance de cause, ayant moi-même dirigé ce genre de camp. Nous avons besoin de 12 baraquements de l’Armée pour fonder le premier camp de 200 jeunes. Ceux-ci monteront les camps suivants et, avant l’hi ver, nous serons prêts à com mencer nos premiers travaux. Une fois le plan de travail exécuté, le camp est démonté et installé près d’un nouveau “Chantier Social’’. “Les Chan tiers Sociaux du Québec” sont à la veille d’exister. Le gouver nement, les syndicats et le peu ple tout entier sont responsa bles de leur création. Que l’on cesse donc de nous payer à ne rien faire, sinon à priver nos femmes et nos en fants du nécessaire. Qu'on nous donne l’occasion de nous réinté grer dans notre groupe social. Nous avons chacun une place dans l’économie du pays. Nous la revendiquons, c’est notre droit.
Merci à tous ceux qui ont ré pondu à “l'Appel aux Chô meurs".
8315, 24e avenue, Montreal 38
Honorable Paul Gérin-Lajoie Ministre de la Jeunesse Hôtel du Gouvernement Québec Honorable Ministre, Nous nous interrogeons depuis plus d’un mois sur l’attitude que prendra le gouvernement, et r\ / , i .
plus précisément l'honorable VOÎTe meCl0Cin VOUS Dâf S*. se lui-me- " ru Peut plus malsaine pour des milliers d'écoliers, et parfaite ment injuste pour des centaines de professeurs ? Nous faudra-t- )1 plutôt user des “grands moyens” pour obtenir JUSTI CE, bon gré, mauvais gré ? Les Educateurs indignés I-«* rérpll Monsieur le Rédacteur, Bravo pour les Gaspésiens, et bravo a St-Jean et aux Scouts. Bravo a tous ceux qui ont le courage de se réveiller et d aller de l’avant. La commence s bouger et ça bouge dans toute la province. Einie, la moutonnerie. La con fédération veut nous faire dis paraître; nous voulons le fran çais partout et pas d'autres langues; que ceux qui veulent vivre avec nous apprennent notre langue. Mes cher* compatriotes, soyez fiers, si l’on vous traite de fanatiques; c'est justement ce qui nous manquait. C'est pour cela que l'on nous rit au nez depuis la regrettable confédéra tion. J aimerais que quelqu’un me donne l'adresse des groupes séparatistes : écrire à 7471— 19e ave, St-Michel, tél. RA. 7- 7050.
Download 4.64 Mb. Do'stlaringiz bilan baham: |
ma'muriyatiga murojaat qiling