Tili o’rganilayotgan
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3-курс мажмуа бахорги семестр 22-23
partout. Nombre de jeunes esprits romanesques, vivant en province, étaient persuadés que « la vrai vie n`existe qu`à Paris ». En introduisant de personnage de Roudolphe sorte de condensé du parisien, fat, imbu de sa propre personne, incapable déprouver un sentiment vraiment des intéressait, l`auteur nous montre le peu de fondement d`une telle idée. Les années cinquante et soixante représentent le sommet de son activité créatrice. Le ridicule procès intenté contre l`auteur de « Madame Bovary » en l`accusant d`avoir écrit une oeuvre « immorale » ne fit qui accoître la célèbrité de Flaubert. En réalité ce n`étaient pas le roman qui était mis en cause par le pouvoir, mais la méthode réaliste elle même qui accusait les tares de toute une société. Le bourgeois et tous les vices moraux qu `il représente devint la cible de la haine multiple de l`écrivain. Il le voit partout et le traque avec une secrète délectation, étalant sa sottisse, sa mesquinerie, sa veulerie, le raillant sous les traits de personnages typiques dont le nom seul, comme celui de Homais, deviendra symbolique. En 1869, Flaubert donne son second roman « Sallambô ». Comme « Madame Bovary » qui a eu pour point de départ un récit authentiquement vrai, Flaubert évoquait ici un fait historique réel, se rapportant au III siècle avant notre ère et mentionné par l`historien grec Polybe : la révolte des mercenaires contre le pouvoir de Carthage.Salammbô est élevée par le prêtre Schahabarim. Elle doit devenir prêtresse de la déesse Tanit . Dès son enfance ,on l’élève dans l’idée , que tous ses rêves, toutes ses aspirations,tous ses desires sont animés par la volonté de la déesse.Salammbô y croit et explique tout ce qui se passé en elle par l’influence de Tanit.Quand elle voit Mâtho dans le jardin de son père,elle interprète son inclinaison envers lui comme l’influence de la déesse. Entre temps,les milieux dirigeants de Carthage font quète des bijoux et de l’argent à la population pour payer mercenaries.Quand les trésors sont amassés ,ils décident de se les approprier .Ils proposent aux mercenaires de récupérer ce qui leur est du dehors des murailles de la ville .Crédules , ces gens ,venus des différentes tribus africaines dans l’espoir de gagner un peu d’argent pour subvenir aux besoins familiaux ,sortent de la ville Dès que tous les mercenaires ont en quitté Carthage ,ses portes ont fermées . Ayant compris qu’ils ont trompés ,les mercenaires coupent la ville du monde extérieur ,des sources d ‘eau .Les souffrances des habitants commencent .Pour que les habitants ne comprennent pas les véritables causes du malheur,on annonce à la population ,que le dieu Molochs s’est mis en colère .Les prêtres font le tour des maisons pour emmener de chaque famille un garcon qui sera sacrifié afin d’apaiser le Dieu en courroux .Les lamentations des enfants et de leurs parents atteignent le camp des mercenaire .Mâtho monte l’enceinte de la ville pour savoirla cause de ces cris .Il faut noter ,que Carthage se croiyait un pays civilisé et considérait les mercenaires comme des barbares. Ce que Mâtho a vu dépassait toutes les limites de la cruauté et de la barbarie :les prêtres jetaient les enfants dans le feu flamboyant dans le ventre de Moloch et le roulement des tambours étouffaient les cris des enfants.Le grand prêtre Schahabarim est initié aux plans du commandement de Carthage qui prépare le massacre des mercenaires. Pour réaliser le plan du massacre,il faut tromper la vigilence de Mâtho ,stratège de talent .Schahabarim ordonne à Salammbô de se rendre au camp des mercenaires chez Mâtho pour reprendre la déesse Tanit-Zaïmph.Salammbô est surprise. Elle ne comprend pas le pontif :autrefois, il lui disait, qu’il était intedit de toucher au voile sacré-on meurt si on le touche.La nuit, pendant que Salammbô se trouve dans la tente de Mâtho, l’encerclement des troupes mercenaires commence. La découverte du romantisme- le contraste comme moyen artistique-sert avec bonheur le réaliste Flaubert. Il utilise le contraste afin de mieux exprimer son attitude : le respect de l’amour et la répugnance que la cupidité fait naître.L’auteur procède à la description des cruautés appliquées aux mercenaires. Flaubert porte toute sa sympathie envers ces Noires, ces Numides qui ont aidé les Carthageois dans leur lutte contre Rome. Après la massacre des mercenaires, une fête est organisée à l’occasion de la victoire.Sur la place centrale,la noblesse occupe les places d’ honneur.Derrière le fauteuil Salammbô se tient debout Narr’ Havas qui a obtenu la main de la fille d’Hamilcar pour avoir trahi les mercenaires. Mâtho ,les mains liées, est traîné à travers les rues de la ville vers cette place.La population, persuadée que tous les malheurs de la ville viennent de cet homme,se livre à mille cruautés.Les uns lui arrachent des morcaux de chair,d’autres percent sont corps avec des barres de fer chauffées au blanc. Schahabarim fend d’un coup de couteau la poitrine de Mâtho,en arrache le coeur qu’il hisse sur la pointe du couteau. Au coucher du soleil le coeur de Mâtho a caissé de battre ; a l’ instant même ,un cri de joie est sorti de toutes les poitrines Ce roman mettait à nu le caractère antihumain de toute religion en général, et ceci, au moment où les forces de la réaction, groupées autour du Pape, entraient en conflits avec le gouvernement de Napoléon III. Certains episodes du roman faisaient écho à des événements récents. « Sallambô » se présentait donc avant tout comme une oeuvre visant le cléricalisme. De 1864 à 1869, Flaubert travaille à la seconde variante de « L`Education sentimentale » qu`il reprend sous une forme tout à fait nouvelle. Le large publique n`avait pas compris le roman, paru en version définitive en 1869 ; et se fut pour l`auteur une déception immence. Dans « L`Education sentimentale » Flaubert a peint la faillite de toute la génération issue du romantisme. En plus, c`était le récit de la révolution de 1848, et des conséquences que son échec a eues sur les destins individuels. Après 1871, l`écrivain s`isole de plus en plus dans ce qu`il appelle sa « tour d`ivoire, n`allant à Paris que pour de rares rencontre littéraires ». La dernière variante de « La Tentation de Saint –Antoine »(1871) reflétait l`ultime engoûement de Flaubert lui même : l`idée d`etendre à la psychologie la méthode des scienses biologiques. Il projette décrire « Bouvard et Pécuché »(1881), roman qui reste inachevé, car il exigeait une documentation excessive. La seule oeuvre qui du vivant de Flaubert obtint un succès inconditionné fut un recueil de trois nouvelles(« Les Trois Contes »1877) dont une surtout, « Un Coeur simple », est considérée comme un chef-d`oeuvre. La vieille servante Félicité qui en est l`héroïne, représente un des rares personnages positifs crées par l`auteur. L`unique procédée technique qui permettait à l`écrivain d`être à la fois réaliste et critique était celui du montage, assemblage des scènes diverses de façon à ce que leur opposition puisse créer des effets émotionnels, pareils à ceux du drame. Le grand mérite de Flaubert est de savoir rendre les sentiments intérieur par la description des faits extérieurs. Les caractères qu `il avait créés dans ses oeuvres étaient des figures typiques pour son époque. Le principal souci de Flaubert était aussi la clarté de style la simplicité. Toutes ces qualités font de lui un des maîtres incontesté du réalisme critique. Questions d’autocontrôle : 1.Quelles années représentent le sommet de l’activité de Flaubert ? 2.Quel roman historique de Flaubert est paru en 1869 ? 3.Contre qui luttent des mercenaires dans le roman « Sallambô » ? 4.Nommez les personnages principaux du roman « Madame Bovary » ? 5.Donnez la caractéristique aux personnages de « Sallambô » ? Download 1.43 Mb. 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