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Les préférences révélées : deux droites de budget


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chap03-2

Les préférences révélées : deux droites de budget

  • R1
  • R2
  • B
  • A
  • Aliments (unités)
  • Vêtements
  • (unités)
  • D
  • Tous les paniers
  • dans la zone rose
  • sont préférés à A.
  • A est préféré à tous les paniers dans la zone jaune.

Les préférences révélées

  • En continuant à changer la droite de budget, les individus peuvent révéler quels paniers ils préfèrent aux autres.
  • Plus les individus se révèlent, plus on peut connaître leurs préférences et tracer leur courbe d’indifférence.

Les préférences révélées : quatre droites de budget

  • Tous les paniers dans la
  • zone rose sont préférés à A.
  • Aliments (unités)
  • Vêtements
  • (unités)
  • R1
  • R2
  • R3
  • R4
  • A est préféré à
  • tous les paniers
  • dans la zone jaune.
  • E
  • B
  • A
  • G
  • R3 : E est révélé préféré à A.
  • R4 : G est révélé préféré à A.

6. L’utilité marginale et le choix du consommateur

  • L’utilité marginale mesure la satisfaction supplémentaire engendrée par la consommation d’une unité supplémentaire.
    • L’utilité marginale associée à l’augmentation de la consommation (alimentaire) de 0 à 1 unité peut être de 9, de 1 à 2 peut être de 7, de 2 à 3 peut être de 5.
    • Conclusion : l’utilité marginale du consommateur est décroissante.

Utilité marginale décroissante

  • Le principe de l’utilité marginale décroissante signifie qu’au fur et à mesure que la consommation de biens augmente, l’utilité supplémentaire du consommateur diminue.
  • Cependant, l’utilité totale continuera à augmenter puisque le consommateur fait des choix qui le rendent plus heureux.

L’utilité marginale et le choix du consommateur

  • Le long de la courbe d’indifférence :
    • Le gain d’utilité associé à l’augmentation de la consommation d’un bien A (aliments) doit contrebalancer la perte d’utilité due à la baisse de la consommation de l’autre bien V (vêtements).

L’utilité marginale et le choix du consommateur

  • Formellement, on a :
  • Il n’y a pas de changement d’utilité totale le long d’une courbe d’indifférence. La substitution d’un bien à l’autre ne change pas le niveau de satisfaction du consommateur.

L’utilité marginale et le choix du consommateur

  • En transformant cette équation :

L’utilité marginale et le choix du consommateur

  • Quand le consommateur maximise sa satisfaction :
  • Puisque le TMS est aussi égal au ratio de l’utilité marginale de consommer A et V.

L’utilité marginale et le choix du consommateur

  • On en déduit que :
    • L’utilité totale est maximisée quand le budget est alloué de telle sorte que l’utilité marginale par euro dépensé est la même que pour chaque bien.
    • C’est le principe d’égalisation marginale.

7. Les indices du coût de la vie

  • Le système de sécurité sociale fait l’objet de débats intenses…
  • Actuellement, une personne retraitée perçoit une pension dont le montant initial est calculé au moment de son départ en retraite, entre autres.
  • Chaque année, le montant de la pension augmente à un taux égal au taux de croissance de l’indice des prix à la consommation (IPC).

7. Les indices du coût de la vie

  • L’IPC est égal au rapport du coût d’un panier de biens et services habituellement consommés par les individus dans la période courante au coût de ce panier durant la période de référence.
  • L’IPC reflète-t-il correctement le coût de la vie des retraités ?
  • Est-il légitime d’utiliser l’IPC comme indice du coût de la vie pour d’autres programmes gouvernementaux ?

7. L’indice idéal du coût de la vie

  • L’indice idéal du coût de la vie représente le coût pour atteindre un certain niveau d’utilité aux prix courants (2006) par rapport au coût pour atteindre la même utilité aux prix de référence (c’est-à-dire 1990).

7. L’indice idéal du coût de la vie

  • Il faudrait trop d’information pour obtenir cet indice idéal du coût de la vie.
  • Les indices de prix utilisés sont fondés sur les dépenses des consommateurs, non sur leurs préférences.

7. Les indices du coût de la vie

  • L’indice de prix de Laspeyres est le montant qu’il faut dépenser, dans la période courante, pour acheter un panier de biens et de services choisi l’année de référence, rapporté au coût de ce même panier acheté aux prix de l’année de référence.
    • Exemple : l’IPC.

7. Les indices du coût de la vie

  • L’indice de prix de Laspeyres suppose que les consommateurs ne modifient pas leurs habitudes de consommation quand les prix changent. Cet indice tend à surestimer le vrai coût de la vie.
  •  L’utilisation de l’IPC pour ajuster les pensions tend à surcompenser les retraites et nécessite des dépenses gouvernementales plus élevées.

7. Les indices du coût de la vie

  • L’indice de prix de Paasche est le montant qu’il faut dépenser, dans la période courante, pour acheter un panier de biens et de services choisi dans la période courante, rapporté au coût de ce même panier acheté aux prix de l’année de référence.

7. Les indices du coût de la vie

  • Comparaison des indices :
    • Les deux indices sont à pondérations fixes.
    • Les quantités des biens et services dans chaque indice restent inchangées.
    • L’indice de Laspeyres garde les quantités au niveau de la période de référence.
    • L’indice de Paasche garde les quantités au niveau de la période courante.

7. Les indices du coût de la vie

  • Les indices à pondération variable :
    • Ces indices tiennent compte des variations de quantités (et de qualité) de biens et services dans un panier de consommation.
    • Ils ont été adoptés (en 1995, aux États-Unis) pour surmonter les problèmes de surévaluation des prix qui apparaissaient avec des indices de pondérations fixes dans le long terme.

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