Saint hyacinthe
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Veir CAMIONNEURS en page 32 ?
A-T-IL VU DENISE ? — Mme Boissy montre ici à son mari l'article qui a paru dans LA PRESSE de mardi dernier concernant la disparition de Mlle Denise Therrien. M. Boissy a fait monter dans son auto, le 8 août, deux jeunes filles dont l'une ressemblait à la jeune Therrien. AVANT l L'OUVERTURE DES CLASSIS CRAYONS “PRISM ACOMMtM Un mélanga parfait de tout r* qua voué détirez dans un crayon d» couleur — rival i*# avec celui de» peinture» à l'huile. — Etui» en couleur». 24 CRAYONS REG. S3 95 SPECIAL 60 CRAYONS REG. $9 45 SPECIAL u mi Mint uiiu n iimititi » mi n uiati -
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— Un homme a été tué instantanément hier après-midi lorsque sa voiture a violemment heurté un arbre et a pris feu. L’accident est survenu à l’intersection du troisième rang et de la route 40A à Iberville. La victime est M. Marcel Grenier, 33 ans, d’Iberville, employé régulier à la Southern Canada Power à St-Jean. L’automobile de M. Grenier filait à 80 milles à l’heure et se dirigeait vers St-Grégoire lorsqu’elle heurta violemment un arbre. D’après les témoins. M Grenier, après avoir perdu la maîtrise de son véhicule, donna un coup de roue pour redresser sa voiture et l’auto versa sur le côté. La tête de la victime heurta durement l’arbre, ce qui occasionna une fracture du crâne. Une boite à lettres placée à six pieds de l’arbre fut retrouvée 150 pieds plus loin tandis que la vitre arrière de la voiture fut trouvée à trente pieds du lieu de l’accident. La mort a été instan tanée. L’automobile a pris feu après l’accident et est une perte totale. Les constatations d usage ont été faites par la Sûreté provinciale.
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OUVERT LE SOIR juiqu'i 9 h, - SAMEDI 1 p.m. DURANT JUILLET ET AOUT PAGE 4 I-* plu» grand quotidien français d'Amérique Imprimé et publié ou 7 ouest, rue Saint-Jacquet, Montréal, par la Compagnie de Publication de LA PRESSE limitée f.« “PWESSE”, telle qu'étahUe pur Vhonoreble Tréfilé BI.RTIIIM VIK, e*l une institution trrérorablemeni
le bien contre le mal, tient plut à éclairer qu'à goucerner, fait rayonner la vérité par ton pulttani •mice din formation, est la champion des réformée pouvant améliorer le sort des classes sociales 77e ANNEE MONTREAL, JEUDI 17 AOUT J»6I N» 256 Un piège tendu à M. Lesage? L E PROBLEME des octrois fédéraux aux uni- i versités du Québec, que l’on avait cru à peu près définitivement réglé au printemps de 1960 par le premier ministre Barrette, semble bien devoir se poser à nouveau. M. Jean Lesage, en tout cas, a clairement laissé entendre qu’il aimerait le soulever avec les autorités gouvernementales d’Ottawa, le plus tôt possible. Nous avouons, en toute candeur, que son initiative nous rend passablement son geur. Si la formule Barrette n’était pas tout à fait idéale, nous croyons, en effet, qu’elle était à peu près la plus acceptable dans les circons tances.
Rappelons, le plus brièvement possible, comment les choses s’étaient passées à l’époque. Ottawa votait, chaque année, depuis huit ans en viron, des montants destinés aux universités de la province de Québec. Ces universités, sous l’instigation de M. Duplessis, les refusaient, allé guant qu’Ottawa empiétait sur la juridiction exclusivement provinciale en matière d’éduca tion. Nous croyons sincèrement que la majorité du peuple québécois partageait cette façon de voir. Par contre, tout le monde trouvait souve rainement injuste que nos institutions ne pus sent encaisser ces montants provenant tout de même de taxes perçues dans le Québec. A la mort de Duplessis, Paul Sauvé s’empressa de trouver une solution. Il fit le premier travail que compléta M. Barrette. Québec, donc, au printemps de 1960, décida d’augmenter son impôt sur les sociétés de 1 pour cent et de verser lui-même à ses universités des subventions équivalant à $1.75 par tête de popu lation. Evidemment, M. Barrette avait l’assu rance que le gouvernement Diefenbaker ren drait cet impôt accru déductible de l’impôt fédé ral, mais il posa un geste qui n’était pas, dans sa loi du moins, subordonné à l’action de l’adminis tration centrale. De son côté, Ottawa légiféra aussi pour sti puler que toute province désireuse de subven tionner ses universités pouvait bénéficier d’un dégrèvement additionnel de 1 pour cent de l’im pôt sur les sociétés, pourvu que ces subventions equivalent aux subventions versées par Ottawa, soit $1.50 par tête de population. Il eut été plus délicat, surtout plus respectueux de l’autonomie, de prévoir, tout simplement, que les provinces opposées aux paiements fédéraux à leurs univer sités puissent hausser leur impôt sur les sociétés avec assurance du dégrèvement fédéral, sans spécifier ce que les provinces devaient faire de cet accroissement de revenus. C’est le seul accroc, toutefois, que nous croyons déceler à l’autonomie dans la législation fédérale. Ottawa stipulait que si cet accroisse ment d’impôt rapportait plus au trésor provin cial que n’auraient signifié les subventions fédé rales aux universités, la province devait remet tre ce surplus au fisc fédéral sous forme de retenue sur ses paiements de péréquation. Tout cela nous semble normal. Le procédé contraire eut provoqué des avalances de demandes d’ajus tement de la part des autres provinces. Si notre mémoire est fidèle, M. Lesage cri tiqua assez violemment la façon de procéder de M. Barrette, à l’époque. Il parla d’accroc à l’au tonomie. Nous n’avons jamais bien compris les attaques de l’actuel premier ministre, car M. Barrette n’a ni accepté, ni refusé les conditions contenues dans la loi fédérale. D’accord, lesdites conditions devraient disparaître de la loi fédé rale quand celle-ci sera renouvelée. Mais pour le reste, nous n’insisterions pas ... sauf, évidem ment, pour réclamer un dégrèvement plus gé néreux dont les autres provinces pourraient d’ailleurs bénéficier. A moins que M. Lesage, fidèle à la politique du gouvernement dont il faisait partie au mo ment de l’institution de ces subventions fédé rales, n’ait décidé, tout simplement, de les accepter. Si telle était son intention, nous opi nons qu’il ferait un faux pas que la majorité de l’opinion populaire québécoise aurait peine à lui pardonner. C’est peut-être ce que M. Diefen baker avait à l’esprit quand il lui a dit, dans sa lettre, qu’“il me serait agréable d’apprendre de vous quel arrangement vous jugez approprié pour l'avenir..M. Diefenbaker aurait-il, tout simplement, décidé de tendre un piège à M. Lesage ? Vincent PRINCE Un problème est réglé; un autre naît I E Canada réussira, enfin, à se •1^ débarrasser de ses excédents de blé. Les ventes à l’extérieur ont été abondantes, depuis douze mois, et porteront le total des ex portations à 354,000,000 de bois seaux. D’autre part la moisson de 1961 a lourdement souffert de la sécheresse de cet été; elle sera sensiblement inférieure à la moy enne des dernières années. Au total les réserves de blé disponi bles pour la consommation inté rieure et le commerce extérieur ne présenteront rien d’embarras sant. Ainsi disparait un problème dont on a beaucoup parié depuis une demi-douzaine d’années. La présence d’excédents considéra bles, se chiffrant dans les sept à huit cents millions de boisseaux, était une source d’inquiétudes. Elle entraînait en particulier des frais assez lourds de stockage, qui se répétaient d’année en année. On redoutait que cette situation ne devienne permanente. 11 a fallu penser même à réduire les embla- vures. Il est heureux que l’on en soit venu là, enfin. Mais ce bonheur n’est pas sans mélange. Car on prévoit que ce qui restera de blé pour l’intérieur et l’extérieur, au cours des douze prochains mois, ne sera pas suffisant pour la de mande courante. Et cette perspec tive n’est pas sans soulever des inquiétudes, à son tour. Car si le Canada est incapable de fournir à d’autres pays le blé qu’ils ont l’habitude d'acheter chez lui, on se doute bien de ce qu’ils feront, de ce qu’ils seront obligés de faire. Ils s’adresseront à d’autres fournisseurs. Et les mar chés perdus de cette manière, rien n’assure que nos producteurs pourront les récupérer plus tard. Rien n’illustre mieux les aléas les productions agricoles. 11 est impossible d'en fixer à volonté, et à l’avance, les quantités, comme cela se fait dans l’industrie. 11 faut toujours compter avec les capri ces de la température. On obtien dra de forts rendements, même lorsqu’ils ne sont ni désirés ni dési rables. Les moissons seront mé diocres, au moment où au contrai re il faudrait qu'elles soient abon dantes, ou au moins de propor tions moyennes. Cette incertitude dont ont à souffrir tous les agriculteurs de vient particulièrement angoissan te pour ceux d’entre eux qui se spécialisent dans une seule pro duction. Ils sont à la merci des variations inopportunes. S’ils pew vent espérer de gros profits, pen dant les bonnes années, la catas trophe les attend lorsqu’ils sc voient dans l’impossibilité de trow ver des marchés pour l’écoule ment de leurs produits ou que la température leur est soudainement hostile. C'est le cas, on le sait, de bier des fermiers des provinces df l’Ouest. Aux années de prospérité qu’ils ont connues avant la gran de crise de 1929 ont succédé les années creuses de la depression Leur blé s’est bien vendu plue tard, durant la dernière guerre ei plusieurs années par la suite Puis sont venus les excédents qu'ils ne pouvaient pas écouler et maintenant la menace de perdre des marchés à l’extérieur. Le correctif se trouverait dam la diversification des cultures pour atténuer les risques des mé ventes ou des mauvaises récoltes On a cherché à orienter les agri culteurs do la Prairie dans cette direction. Mais sans obtenir beau coup do succès. L’espoir dos béné fices alléchants promis par de belles moissons, en monoculture fait passer au second plan les con soils de la sagesse. Marius GIRARD Maintenant, que la roue tourne! I T'NFIN, nous avons un Conseil -J du tourisme ! Enfin, nous pos sédons un corps provincial res ponsable de cette industrie ! Jus qu'à maintenant, il existait à
bec. un organisme chargé de la publicité et du tourisme, mais il n’avait pas le caractère que revê tira désormais le Conseil provin cial. De même certaines villes, comme Montréal, Québec et quel ques autres, ont créé leur propre office du tourisme. Tout cela est louable, mais il manquait toujours une sorte d’organisation supérieu re, une sorte de tète aux diffé rents membres que sont, en réa lité, les officiers épars à travers la province. Non seulement ceux- ci pourront continuer à exister, mais ils verront vraisemblable ment leur rôle s’étendre, encou ragés par le Conseil provincial lui- même. Nous disposerons donc à l’ave nir d’un ensemble d’organismes officiels propres à
nouissement des voyages d'agré ment à
bec. Par là même nous contribue rons à
tout le Canada. En effet, plus le Québec attirera de visiteurs, plus le Canada tout entier en profitera. L t Conseil provincial du touris me se composera de sept mem bres. M. Lionel Bertrand, secré taire de la Province, en est le mi nistre responsable. Représentant d'un comté des Laurentides, jour naliste de profession, M. Bertrand comprend mieux que nombre d’au tres toute l'importance de l’indus trie touristique. On peut dire qu'il est un convaincu de la nécessité d’une organisation efficace dans ce domaine, comme le sont ri’ail leurs les six membres qu’il a choi sis. M. Gérard Delage s’esl identifié depuis des années au monde de l’hôtellerie; M. Lucien Berge ron. nouvellement nomme direc teur de l’Office municipal du tou risme de Montréal, sera le porte- parole des Chambres de commer ce ; M. J.-Emile Renaud fera en tendre la voix des automobilistes comme président et gérant général du Club automobile de Québec ; M. Orner Vernier se fera l’écho de la région du Saguenay et des mi lieux préoccupés de la conserva tion de la faune et do la forêt ; M. Gaston Cloutier saura faire va loir le sport du ski dans le tou risme hivernal, et M. Tom Wheeler sera lui aussi un conseiller averti dans le monde du sport et du transport. Ces sept personnages sont en me sure de représenter toute la pro vince et non seulement leurs ré gions respectives. On sait que MM. Delage et Bergeron sont de Mont réal, que MM. Cloutier et Wheeler sont des Laurentides, que M Re naud est de Québec et que M. Ver nier est d’Arvida. On s’étonnera tout de même qu’il n’y ait pas un conseiller de la vaste péninsule de la Gaspésie. Même si la saison y est courte, la Gaspésie demeure l'un des grands actifs touristiques du Québec et les voitures améri caines y sont nombreuses pendant les mois de juillet et août. Le ministre Bertrand a expliqué qu’il désire un conseil peu nom breux de façon qu’il soit facile d’en réunir tous les membres. Rien ne l’empêche d'ailleurs d’en ajouter un ou deux si le besoin s’en fait sentir. Le 23 août, le nouveau Conseil tiendra sa première réunion. Nous lui souhaitons d’accomplir un tra vail fructueux de façon que le tourisme devienne et reste une in dustrie de première importance pour notre province. Nous espé rons également que les conseillers ne craindront pas de prendre les mesures voulues pour que notre province affiche un véritable ca ractère français de bon goût, dans les villes comme dans les campa gnes, partout. Alfred AYOTTE. La prison se ferme M. Nikita S. Khrouchtchev visnt d* poser l'octo brutal devant Itqusl avait rsculé Jo seph Stalins lui-mém». Avec un bruit qui a fait I» tour du monde, il a fermé la porta berlinois# de la prison d'Alle magne orientale. Le geste de M. Khrouchtchev constitue un rappel opportun
la réalité, pour te nombre crois sant d'Occidentaux qui sa sont hypnotisés sur le Vostok. Les impressionnants succès maté- riots da l'URSS na changent rien au caractère foncier de la société communiste. De fait, toute société communiste res semble à une vaste prison, ou à un camp da concentration. Pendant longtemps la prison d'Allemagne orientale a béné ficié de nombreux avantages pratiques par rapport aux au tres "démocraties populaires". Pourvu de toutes sortes de moyens de supériorité, par exemple les crédits extraordi- neires de l'URSS et une main- d'œuvre exceptionnellement en traînée, l'odieux geôlier prin cipal, Walter Ulbricht, aurait vraiment dû faire de sa prison un établissement supportable, dans la mesure où uno prison peut l'être. Mais M. Ulbricht a échoué d'une manière telle ment flagrant# qu'il a fallu for mer la porte do la prison, sur l'ordre direct do M. Khroucht chev. Telle est la signification mo rale qui se dégage des tristes événsments d» Berlin, événe ments qui condamnent proba blement
à la prison perpétuelle, sous M. Ulbricht, Its millions d'Allemands de l'est qui hésité- ront trop longtemps i prendre le sortie de Berlin. La politi que étant ce qu'elle est, la signi fication politique do la porte fermée ne coïncide pet exacte ment avec se signification mo rale. Il faut, forcément, rester prêt â toute éventualité. Il est cer tain que les ouissances occiden tales gardent leur poudre très sèche. Pourtant l'impitoyable J. ALSOP fermeture do la porte, qui pro voque si justement tant d'indi gnation vertueuse, peut amélio rer les chances d'un règlement pacifique de la crise da Ber lin. Las faits sont pénibles, bru taux, mais il faut las affronter. D'abord, la politique do "libé ration", que tou John Foster Dulles avait annoncée avec la ferveur d'un prédicant en 1951, s'est révélée aussi faussa qu'un billet de $3 lorsque M. Dulles en personne e refusé en juin 1953 d'exploiter "occasion que présentait l'insurrection dos Al lemands de l'Est. Depuis, il s'est manifesté à l'évidence qus les puissances occidentales ne courront aucun risque pour "libérer" les Eu ropéens do l'Est, pas plus las Allemands qua las autres. Lo giquement, cotte attitude exclut le combat pour faire rouvrir la porto do la prison. En second lieu, aucun gou vernement occidental, ni do» Etats-Unis ni da l'Europe, n'a proposé de déclarer la guerre pour empêcher M. Khroucht chev de signor le traité da paix séparé avec l'odieux M. Ul bricht. Los plus hardis,
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