Fete du jour
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! ; ïiï.r.t.T-— 1 lli Vichy*Céie»tin« Une aide prteleuse — «ans Iss cas de dyspepsie — Prévient le rhumatisme et
l’arthritisme ! Embouteillée A la source même nous
la surveillance du
Qouver- nement français. EN VENTE PARTOUT Prescrite par Iss médecins du monde entier 99 fols sur 100. vi© agence vichv - celestins -Ot7 Are MeUUI t'ePrcr. Montré*!. LA PRESSE. MONTREAL, Lt'NDT 27 AVRIL Ï931 Dans une pièce double Jne jeune Etrangère qui vou drait bien mettre les Cana diennes à sa main. ; ^ Pourquoi t-iis. u b'iii - filles fWqiUMifcu- [ten de gureons île imtioiiallté étrangère à la leur? Voici mon cas. et Je vous prie d'en juucr! Veul-(tre ai-je tort de user comme je le fais, main je souffre île l’ftal de chose que je vêtis oas exposer. Je suis et l anière en ce pays et nos parents, à nous, ne eus permettent dp recevoir que des garçons de notre nationalité. Or, nos ri rc*s et no» amis ont tonte 11 Is* etc de rencontrer des jeunes filles cann» tonnes; celles-ci les reçoivent librement, s'en font aimer souvent et les ■pousent enfin, lie sorte que nous, nous sommes condamnées à attendre, «U*enl en vain, quo le mariage se présente. Est-ce que ces jeunes filles légères n’ont personne pour leur mou le vrai chemin; U me semble que de bons parents devraient veiller tr elles et les empêcher d’épouser ainsi des étrnngi'rs, car ces mariages inf tntUheureux, la plupart du temps. USE ETRANGERE qui UT VOTRE COURRIER. R,—Votre dépit, ma obère enfant, est fort sincère, sans doute, il '•ôtt est pas moins injuste. Quand on quitte son pays pour en adopter un autre, il est élemeu- «drenrant misonna-ble qu’on se conforme aux moeurs et aux coutume» 0 ceux qui nous reçoivent, plutôt que de voulotir leur Imposer ses propres lois, loi, au Canada, nous accueillons fnrilemenf, cordittlemont mémo, ; a
t ien-être qu’ïls n’ont pu trouver cbez eux. Nous leur faisons place vofcm- uers parmi noua, leurs ouvriers, parfois, prennent la place dos nfttras. .ms que noua réc-riininionj? trop fort Noua exerçons, en un mot, une Hospitalité que peut-être nous ne recevrions pas dans d’autre» pays. C’est bien 1© motus que nos hôtes nous laissent suivre en paix nos ■jiitumea. même si elles la» gênent. Dan» ce cas. il me semble qu'il vau- irait mieux pour eux les adopter. Si vos parent# tenaient à von» marier absolument à un de vos com- i,trioM .s. ila auraient mieux fait de n* pa» quitter leur i>aja. Ou bien, H'/ils vous donnent plus de liberté; qu’ils vous laissent aller, venir, voue tébroulllér, seule comme le font les jeunes Oauadicnnns. Vos idétv? ont ir. peu besoin de prendre l’air, je vou» assure, et un pmi de liberté n© roua ferait pas d© ma) Ou bien encore, qu’ils aient assez d’empire sur nessieurs leurs fil» pour les envpécUer de fréquenter ©e» monstres 1- Canadiens. Vous «tes suis dont© très jeune. C'est ce qui explique la naïveté le vos récrimination». SI vous êtes inteliligente, vou» en comprendrez l’énormité et, plu» tard, quand vous aurez épousé un de vos compa- ■ riote» et que vous aurez des fille» à élever, si vou» continuez d’habiter
es élever non comme voua l'aurez été vous-même, mais dans la saine ibsrté et la belie tolérance qui leur permettront de vivre à l'alæ an sein ;© la société qui les aura adoptée».—COLETTE. ti ■ /
U -V,5 ..c
I lie ipexermortcmc La coquetterie de la maîtresse de maison se manifeste dans les moindres détails de l'intérieur. FRAICHEUR ESTIVALE mi-* ■■yTJà -<4 fi.
J/ Le linge de table et son entretien Uns maîtresse de maison sou- üe». Ce» derniers articles sont tou- cieuse de son renom d’élégance jours de faniairte. On rocomman- s’fngénlera à multiplier lus nappe- de. toutefote, d’avoir au moins nn rone dentelés et brodés destinés à service à thé en beau linge blanc garnir le» plateaux, les tablette», , orné de dentelle ou de broderie, tes étagères, le milieu de là table, Enu,.ti(,„ (lu H dp fab,e la corbeille a pain. Ello couiection- j nera des pochettes pour les oeufs j N’attendez pas qu’un service soit à la coque ou le» pommes de terre : hors d’usage pour le remplacer et ou robe do chambre, une housse faites passer à l’usage journalier le
?>,.—j’ai un ami que .i'airru', en ’qui j'M mis une t-ran !* cotifliinic», J u U m Vautro jt.Air. au '■•nir* î'UTitt par- :* pLaisir, i; a pronté d’un moimot In j« n& le voy^ua pew pour «nVbrasîser
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paraûw^ii bien flôre l’apprendr© i»m> UJL.* noirv^lk*. Ju n’ai >in ui-f fi mon ami, H1 doute s'em- i:fy, de mol. Ce iettae tvomrru> prôtertetî Q*aicn«r- Que -vou-it de K-.i t> emver» n>oi ë Je LM iTtx* |
j R.—dJje ntolih^ur coivwtl q’.i^ je » ’donavec dw ?v? pdas.: appeler Jorm .unio œiWo qui t‘»çalo «irw»i irendre vedre ajnowmxx^ qiai
î De ne demander aucune La beauté d’un visage résulte moins de la perfection des traita que de leur complète harmonie. Certaines défectuosité» mémo peu vent donner de l'expression, du pi quant ou de la douceur à la phy sionomie: aussi, de tous temps, la coquetterie féminine s'est-elle in géniée tant â mettre en valeur les agréments qu’à masquer les dé fauts pour en tirer parti. Avec quel art se dissimulent les Imperfections d’un front trop haut au-dessus du front et autour des tempes.
Puis, on porta sur le front, rete nu par une chaînette, le joyau qu’est la ferronnière et qu’affec tionnaient encore les belles dames de la Renaissance. La Reine Elisabeth d’Angleterre découvrait hardiment son front ra vagé, osseux et trop vaste, sous une bizarre coiffure de perles et de dentelle. A la Cour de France, et même ailleurs, les bonnets à la Marie Stuart s’avançaient en poin te au milieu du front, entre de» toufles de frisures crespelées. Les Frondeuses arboraient en core, comme sous Louis XIII, la frange un peu garçonnière; à la Cour du Roi Soleil, les fronts s’au- pour la théière, etc Elle placer» un rond linement ajouré et dentelé au fond des as siettes h fruits, à patisserie, â pe tite four» et sous les carafes. Les étagères des bahuts et des argentier» seront ornées de dentel le. On recommande surtout, pour cet usage, l’emploi de grosse toile, qui sert aussi à la confection des chemina de table. Ou va même jus- j qu’à assortir le» serviettes à ces , nappes si coquettement ouvragées, j Serviettes las serviette» à thé eont brodées au plumetis ou ajourées a i'auglai- se 11 n’©et pas indispensable de le» assortir à la nappe â thé, qu'il faut ajourer de broderie et incrus ter de dentelle et que l'on pose sur transparent roe®, or ou blanc. Les broderie® de couleur sont de moins bon gotlt et «urtom moins élégantes que la broderie blanche. Joli trousseau linge qui commence à se défraîchir Surveillez le» “clairs” qui appa raissent dans la trame et faites fai re des reprises soignées. Tous les ans, renouvelez une pe tite quantité de linge. La dépense sera insignifiante et vous ne serez jamais prise à court.
^NTERO/Auf l'ain de morue. — Prenez une li vre de belle morue, la plus blanche possible. Faites-la dessaler le temps suffisant, puis cuisez-la dans une casserole pleine d’eau. 0® met la Morue à l’eau froide. Vous îa cui sez eai mèrflp temps que 6 grosses pommes de terre bleu farineuses, que vous aurez pelée» bien euten
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ai, du- Quand tes pommes de terre 1! ne faut pas se cou enter d a- 8 voir de beau lins© de table pour les ( z,»ou#*~7 i- totit voua dAharrAasp/
jours où Von reçoit | Hobe ,l(’ shantung blanc Imprimée de larges pastilles rouge» avec peine
C’eet une coquetterie élémentaire ^ yollg ja ipne8 alors dans un mor de la maîtresse de maison, que e
avec jfos pommes de terre, j jaquette de velours transparent rouge.
.....
fj, i./.n- : ’ton demande à érhanger recete 2 ou trop bas, trop large ou trop étroit, de cheveux mai plantés, «voislent de fines bouclettes entre
I erre u*.. t pos Invent.-.* o- ' >in." . ifr», chanson* oti renseigne-X lèoee, a <10 sans doute provaqtKr 1-a | i
.une iw-ritn- jtasqu'au iKiint qu'U n'eu* nient».
1,0 ranbranees. Ensuite, reu.t feriez bien. , + » . . .
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c>n, mate en nraniwiwt bien que voue py «Ætacliez pas une gra a-de tmvortUtt- '
et que vouj.- avez totsea ■*.t; 1 pour ne pa, .kurter de «n. paroL. '
foiss auriez tort. Je oroht. de douter de i lu, û cause de cet irciAenr.
Que srtgnfflent lew tottres D.C. ! !
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! ..aser'.’ t'«U:'le «vOtar?—FHI> l*rr CE-, I - i D.~OmsIJe net ., i itnMkiMion dtaa R.—x.«n i"e. carde cour danser, on ; rire l>our gortler f>.—manteaux de .qatvu aeront-ii» merle ost r-:Ç - - VEÏ *~VE i de 4;i A \ - •R—On es verra, mu.» form,- do re- r.
mats i« crép,- j»Uu mi !* crêpe Ir.'dxrquin liront plu» de faveur D.—Pour une veuve qui a bien aimé etabrieite, Ma4«Mno, Cécile, Yvette, L ".r.-.-© (LO t’ISK D. U.—Anner:,'., o i:*'- iftir*uvrite. p,îrle. Ciaihrteûe, me-s- sag'ôtrq de tréu, .VÆaideletn#. bNfiiattfie,
iWlàe, qutl vt trleuse. LoMse, .ya# livre de nobb» oom-
1 bat».
d’une oreille mal ourlée bous
la re
netteté
ou
fri
revanche, comme le dia dème de» cheveux relevés à racines
droites fait valoir !a ligne et le dessin pur
d’un
La coiffure antique s’est déjà pliée aux accommodements, alors
que le chignon reposait sur la nu que ou couronnait le sommet du
crttne; que les bandeaux s'éta laient avec plus ou moins d'aban
don.
me lee femmes d’Orient, ramenaient pudiquement leur voile sur les
yeux pour cacher les cheveux que saint Paul considérait comme une
des armes tes plus dangereuses de leur séduction. Mais les reines
franques ne craignaient point de réjeter les leurs en arrière, sous
leur bandeau d’orfèvrerie, tout eu laissant pendre jusqu'à leurs ge
noux des tresses entrelacées de ru ban.
Les élégantes du Moyen Age hennins, bourrelets, mitres, enca drant sèchement leur figure. L’é quilibre de cés horribles coiffures n’était assuré qu'en rasant les che veux sur une largeur de deux doigts les grappes de papillottes Les édifices capillaires de la se conde moitié du XVIIIe siècle n'a- vantagealent point les femraos dont le haut du visage était large ment développé. Marie-Antoinette, pourtant, refusa longtemps de re venir à la simplicité de la coiffure basse, prônée par Mme Vlcée-Le brun.
Cette charmante femme-peintre ('efforçait de persuader ses modè les. Kilo échoua près de la fille de Marte-Thérèse, déjà tant, abreuvée d’amertumes et qui redoutait les critiques: "Non! disait la souve raine, je serai la dernière à adop ter une pareille mode: on ne man querait. pas de dire que je l’ai In- vintéc pour cacher mon grand front!” Dans les murmures de la mal veillance. la pauvre Reine enten dait peut-être passer le grondement des haines populaires qui devaient la conduire à l’échafaud? posséder un. joli trousseau de linge d© table à l'état neuf. En principe, ayez dans vos ar moires quatre grands services de table composés chacun d'une gran de nappe suffisante pour un cou vert de douze- personnes et de douze serviettes fines. En réserve En outre de ce® services, ayez deux ou trois services de fantaisie pour les besoins journaliers. Cha cun d'eux comprendra une grande nappe pour un couvert de six il huit personne» et douze serviettes.
Tamil» qu» le linge de luxe doit être invariablement blanc, d© pré férence damassé, ourlé à la main et chiffré selon la mode, les services journaliers peuvent être de couleur, c’est-à-dire à dessins de couleur sur fond blanc. Tous oes services doivent être de dessin différent, ce qui permettra d'éviter le numérotage inélégant et facilitera néanmoins le classement. Faites cylindrer le linge do luxe pour lui donner l’apprèt du neuf. En dehors des «ervlcee de table, raunts&oz-vous d’une ou deux nap pes à thé de couleur et. d’une ou deux douzaines d© serviettes assor tes Modèles "Vogue’
Henry Morgan & Co.
Limited On LAVE les CARPETTES IT T on vous les retourne fraîches et nettes ^ — comme des neuves. Nous savons que vous en serez enchanté. Le coût n’est pas exhorbitant, mais les résultats sont merveilleux. Vous ferez le nettoyage du printemps dans quelques jours. Cela simplifiera beaucoup votre tâche que de ne pas avoir ces carpettes dans vos jambes. Téléphonez à la Division du Service de notre Fabrique, LANCASTER 4121 — et vous aurez de belles carpettes propres à remettre dans votre maison nette. Ce n’est pas un procédé coûteux Vous considérerez cela comme une des meilleures dépenses que vous ayez jamais faites. N'oubliez pas: LAncaster 4121 Vous délayez peu à peu avec un verre de lait, ti de livre de beurre tiédi et trois jaunes d’oeufs. Vous ajoutez tes blancs battus en neige. Puis vous versez cette composition dans un moule de fer-blanc bien beurré et saupoudré de chapelure blanche. Faites cuire au four pen dant trois quarts d'heure. Démou lez et servez avec une sauce béeha- raelîe. Cela vous fournit nn très gros plat, très nourrissant et des plus appétissants. Quelques personnes ajoutent la moitié d’une peau d’oranga hachée très fin, quo l’on incorpore à la purée de marné.
Pigeon au i-lz. — Les pigeons sont fort «hors, mais en s'em ser vant pour agrémenter un plat de riz. on peut ie® rendre plus écono miques, puisque un seul pigeon, vous fournira un bon plat de riz. Lavez dix onces de riz, mettez-le dans une casserole de cuivre avec de l’eau salée, de façon que l’eau le recouvre d'environ un pouce. Faites bouillir à feu vif et casse role découverte. Lorsque le riz a bu toute l’eau, ajoutez 2 onces de beurre, mêlez légèrement, couvrez la casserole et laissez cuire douce ment pendant 3» minutes. Pendant ce temps, vous coupez en cinq ou six morceaux un beau pigeon. Fai tes revenir au beurre pendant huit’ minutes, ajoutez cinq ou six gros oignons hachée fin, laissez cuire doucememt, mouillez avec un verre de bouillon. Mettez un bouquet garni, une cuillerée d® purée de to mate. Couvrez et laissez cuire. Au moment de servir, mettez toute la sauce. Pute servez en arrangeant le pigeon sur le dessus du riz. trempez un quart de cette farine avec la levure et nn peu d’eau tiè de. de façon à former un petit le vain. que vous laissez reposer un instant. Ajoutez alors le restant de la farine, une pincée de sel. une pincée de sucre, un verre à liqueur de rhum, 4 oeufs entiers, que vous démêlez avec la cuiller à bols. Ajoutez encore quatre cuillerées de crème double et 2 onces de beurre tiédi. La pAte ne doit pas ère trop! moile.mais il faut cependant qu'elle l puisse s'étendre facilement dans un! gaufrier. Laissez-la lever douce ment pendant deux heures, tout ’ près du four. Il ne vous reste plus !qu’à cuire les gaufres dans un 'gaufrier Quadrillé bien beurré. Sau poudrez chaque gaufre de sucre et ■ servez de suite. longüeur de robes j La question de la longueur des ! robes a fait couler beaucoup d’en- icre depuis deux ans. Les journaux de Mode n’étaient point seuls à la traiter: nu en parlait Jusque dans le® quotidiens dont la gravité ne dé- | daigne pas d’introduire un peu de j frivolités en marge des affaires «é- rionses, politique®, mondaines ou financières qui constituent plus spé cialement leur domaine. S'allongeront-elles? Ne s’allonge ront-elles pas? demandaient les sceptiques. On citait, en exemple la sévérité de certaine gouvernements, soucieux do la décence, qui régle mentaient à quelques jîonces prè^. la hauteur des jupe®. On invoquait i’opinion dès arbitres de ia Mode décidé^ à nous faire porter des ro be» longues. Le choeur des observations se poursuivait eu parties dissonnantes, les uns approuvaient, le® autres dis entaient, au nom de l’hygiène, et réclamaient un compromis, Fina lemon t c'est le compromis qui l'em porte!
Sans doute. Te® robe® longues d’antan eurent, une grâce poétique et leurs partlasns n’évoquent pas sans regret la silhouette élégante et noble, le port majestueux de nos aïeules dont des flots de velours cachaient les petits pieds et dont la traîne bruissait en murmures soyeux sur les tapis. Nous avons beau jeu de leur ré torquer les inconvénients de la “balayeuse”, nid à poussière et re fuge des microbe» — sans parler de l'embarra^ causé los jours de pluie par une jupe traînante qu’il faut bien relever pour marcher dans la rue. Le changement étant l’essence même de la mode, qn pouvait crain dre que la tyrannie absolue de la robe longue ne succédât à la tyran nie de la robe courte: les femmes de goflt, cette fois, ont évité l’écueil et refusé de s© laisser Imposer de» costumes vestimentaires faits pour compliquer leurs soucis et mettre une entrave â leur activité. La plu part, d'ailleurs, avec !e bon sens qui les caractérise, ee refusaient à suivre de près une mode que le écervelées outraient en montrant leur» genoux. • VQGUB
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