Saint hyacinthe
Naissance da la concurrence
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Naissance da la concurrence C’est durant les années “tren te'' que la concurrence surgit dans les transports terrestres, d'abord lentement, puis avec une vigueur toujours plus mar quée. Lorsque les besoins de transport commencèrent a changer sous l’effet du progrès de l'industrie manufacturière et de l’accroissement des ag glomérations urbaines, de nou velles méthodes de transport furent adoptées. Le fait le plus notable a été le développe ment spectaculaire du trafic automobile, qui répond admi rablement au besoin croissant de modes de transport plus souples. Les entreprises indus trielles avaient tendance à se concentrer dans les régions ur baines, afin d'étre a proximité rie leurs marchés, d'où une for te augmentation des transports sur de courtes distances, di sons, jusqu'à 500 milles, la ra pidité et la souplesse des ser vices étant la première préoc cupation. En plus d'être le mo de préféré de transport pour un bon nombre des marchandi ses en tonnes-milles par voie d'eau, au lieu de 22 pour cent en 1945. La part de recettes du transporteur maritime ou flu vial. toutefois, a constamment, diminué, surtout parce qu’il peut compter seulement sur les produits pondéreux, a taux de fret peu élevés. L'ouverture rie la Voie mari time du Saint-Laurent en 1958 a agrandi le champ du trans port par eau au Canada, mais nous sommes loin d'avoir réa lisé tous ses avantages. Pour la plupart, les transporteurs par eau ont pu augmenter leur part du trafic, grâce a l’accroisse ment de la production de miné raux, notamment le minerai de fer et. a un degré moins mar qué, de bois Le prix de revient du transport par eau est très bas, d'abord à cause des gran des dimensions de l’instrument de transport, puis de l'écono mie de force motrice et, si l'on excepte les péages dans les ca naux, de la gratuité des routes d'eau. Le transport par eau, toutefois, offre l’inconvénient d’être saisonnier. Pour surmon ter l'obstacle que constitue le champ restreint de leurs opéra tions, les transporteurs par eau se sont intégrés avec les trans porteurs routiers, afin de met tre leurs bateaux a la disposi tion de ceux qui sont éloignes des ports. Les oléoducs La construction des oléoducs est le phénomène le plus ré cent en matière de transport et ils prennent maintenant un* place considerable. L’Alberta, il est vrai, a connu dès les an nées ‘trente' quelques canalisa tions de petit diamètre et de peu de longueur, mais le pre mier pipe-line important de pé trole, l'Interprovincial, a été construit entre Edmonton et les Grands Lacs en 1950. Ce fut le commencement d une pé riode d'expansion rapide. En 1950, il y avait seulement 1.400 milles de pipe-lines, et leur part du trafic était quasi inexistan te En 1959, plus de 7.500 milles de pipe lines formant un vaste reseau de ramifications et em branchements ont transporté 13 pour cent du trafic interurbain en tonnes-milles. La même an née, les chemins de fer n'ont transporté qu'un quart du vo lume de pétrole brut qu'ils transportaient dix ans plus tôt et cela, malgré l'accroissement énorme de la production et de la consommation au Canada du rant cette période. Le développement des oléo ducs est lié directement à l'im portance grandissante du Cana da comme producteur de pé trole et à la demande crois sante des produits pétroliers. Le coût du transport par oléoduc est extrêmement has, à condi tion d'avoir un volume suffi sant : la fixité des points de livraison ne pose pas de pro blèmes, l’on n'a aucune diffi culté à assurer le service pen dant toute l'année, et il n'y a pas de frais rie retour à vide à absorber. L'exploitation d'un oléoduc exige relativement peu de main-d’œuvre et le capital d'installation requis, s'il est considérable, peut-être ramené au chiffre le plus bas, a con dition de faire passer l’oléoduc par la campagne. La construction des oléoducs, depuis quelques années, a ten dance a ralentir malgré les nombreux embranchements qui se sont ajoutés aux réseaux. Il est intéressant de constater que les oléoducs occupent le troi sième rang en volume parmi les transporteurs, même s'ils sont au dernier rang pour leur part de recettes, ce qui montre bien qu'il leur suffit d'avoir des taux peu élevés. Comme le volume des marchandises transportées s accroît plus vite que celui du petrole, la part du trafic des oléoducs a fléchi depuis quel que temps, Transport aérien Le perfectionnement des tech niques de construction des avions leur a permis de péné trer dans le champ du trans port des marchandises, mais jusqu’ici seulement sur une pe tite échelle. Le transport aerien ser le prix de revient et accroî tre le potentiel de ce mode de transport. En tonnes-milles, toutefois, les lignes aérien nes transportent actuellement moins d’un dixième peur cent du trafic marchandises interur bain et, même si l'on tient compte de l'amélioration de la structure de leur prix de re vient, leur part du trafic en tonnes-milles restera probable ment très petite dans l'avenir prévisible. La concurrença accentua la* problâmai des chemins da for En s’accentuant, la concur rence a mis en évidence le pro blème fondamental inhérent à Mal* les parts raapactivas ont changé . CÂÜ
OLlOOUC intéresse surtout les marchan dises de nature périssable, ou celles qui ont une grande va leur sous un faible volume. Ses principaux avantages sont la vitesse — inappréciable en cas d'urgence — et la possi bilité d'accès aux régions éloi gnées qui sont au-delà des limi tes du rail et de la route. Mê me des cargaisons pondéreu- ses, souvent, sont envoyées a des avant-postes ou à des équi pés d'exploration — la livraison étant alors moins une affaire de prix que l'absence d une autre solution. Les taux de fret aérien sont coûteux à cause du prix élevé des appareils, des limites de chargement et, souvent, de la nécessité de réexpédier les la construction des chemins de fer canadiens, à savoir les ef fets combinés des principes économiques et de questions telles que l'unité nationale, la mise en valeur des ressources naturelles, la politique de la Défense et ainsi de suite. L'in compatibilité de ces concepts à l’occasion saute aux yeux lorsque la suppression d'un ser vice non rentable, que l’on con sidère nécessaire pour d’excel lentes raisons d'ordre écono mique, se trouve pratiquement impossible pour des motifs ex* tra-commerciaux. | Les chemins de fer n'ont pas négligé la concurrence, toute fois. et ils y ont fait face en modernisant leur matériel et améliorant leur service. Malgré duits finis de haute qualité, sur lesquels les chemins de fer ont toujours prélevé des tarifs éle vés: il reste donc à ces der niers une proportion croissan te de produits à bas tarifs. En 1959, par exemple, les charge ments de produits minéraux étaient de 38 pour cent plus élevés que dix ans plus tôt. Malgré la baisse générale de leurs affaires, les chemins de fer ont connu quelque expan sion. Depuis 1945. ils ont ajouté à leur reseau environ 200 mil les de votes, malgré l’abandon de certaines lignes non renta bles Ces nouvelles lignes, pour la plupart, desservent des cen tres miniers importants et éloi gnés qui ont surgi durant les dernières années. L’entre prise qui exploite les gisements de minerai garantit habituelle ment un tonnage minimum, ce qui assure au chemin de fer une marge déterminée, ou bien elle utilise sa propre ligne. Une des façons de lutter con tre les concurrents est l'emploi du procédé de transport "rail- route’’ (piggyback), qui consiste à transporter des remorques de camionnage sur des wagons plats. Ce service a débuté en 1952 entre Montréal et Toronto et s’étend maintenant d’un litto ral à l'autre. Bien qu’il ne re présente encore qu’environ trois pour cent du total des charge ments ferroviaires et de quatre à cinq pour cent des recettes des chemins de fer, ce procédé est poussé plus loin et les char gements de ce genre en
ont
dépassé le double du chiffre de 1958. Le transport “rail rou te” semble une combinaison parfaite. Let perspective* Les changements remarqua bles qui sont survenus dans le reseau national de transport de puis ta tin de la Seconde Guerre mondiale ne sauraient se sépa rer de l'expansion rapide qu’a connue l’économie canadienne durant cette période. L’organi sation des transports est deve nue plus complexe : les trans porteurs routiers ont presque quadruplé leurs affaires et les lignes aeriennes ont 12 fois plus rie trafic (bien que leur part du total soit encore sans im portance), tandis que les oléo ducs prennent maintenant un bon pourcentage du total. Chez les transporteurs traditionnels, le transport par eau a presque doublé son volume grâce à la mise en valeur des ressources naturelles, mais les chemins de fer éprouvent de la difficulté à maintenir le leur. Le deuxiè me grand changement, qui ré sulte en grande partie de l'ap parition de modes de transport rie substitution, est le degré plus marqué de la concurrence qui règne dans les transports. Cha que mode de transport s'efforce évidemment de trouver les mar chés qu'il peut le mieux desser vir, et cette industrie connaîtra probablement un état continuel de fluctuation jusqu'à ce qu'une forme de "coexistence dan* la concurrence’’ soit réalisée. En attendant, les transpor teurs qui perdent leurs mar chés au profit de transporteurs rivaux devront reviser leurs opérations, revisions d'autant plus faciles que les opérations ont plus de souplesse. Le che min de fer, qui est depuis long temps le principal transporteur, va sans doute continuer à jouer le premier rôle, mais il devra probablement supporter le plus fort de la concurrence des transporteurs spécialisés. Cette situation n’est pas propre au Canada et dans le monde entier les chemins de fer subissent une grande concurrence. Man quant de souplesse, au sens ma tériel du mot, ils s'adaptent difficilement, mais ils expéri mentent sans cesse des moyens de combiner leurs opérations avec celles des transporteurs concurrents. Toutes ces adaptations indis pensables vont sans doute pren dre du temps et, dans l'inter valle, les nouveaux progrès de la technique viendront peut-être retarder la réalisation d’un ré seau de transport entièrement intégré au Canada. Il est évi dent, toutefois, que les phéno mènes que nous avons vus au cours des dix dernières années nous orientent vers ce résultat. L
moi .500 actions ties Industrie» AM. ! Puis, dites-moi quent I téléphones-moi et ca qu'elles fahri• W, C. Pitfield & Co. Commentaires sur le marché Indices des valeurs industrielles 722.41 601.13 325.7 plus en
Canadian Arsenals Limited Les anciennes usines Longueuil deviennent de la Cdn Pratt & Whitney Aircraft de canons de la propriété Difficultés économiques de l'Angleterre Les causes de la disparition de l'excédent des recettes invisibles Jeudi — 1ère édit. — Finance Un excédent des recettes in visibles a marqué d'habitude LA COTE DES GRAINS Marché I larmas : WlnnlMS Avalna :
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1 33 la balance de paiements de l'Angleterre depuis la fin du siècle dernier, selon le Bul letin Economique publié par le Service d'information du Royaume-Uni. Il se composait surtout du revenu des place ments massifs outremer au XiXe siècle et de la forte pro portion du commerce mondial transporté dans les navires an glais. Les importations ont dé passé les exportations avant le début du siècle actuel et c'œf. l'excédent des recettes invi sibles qui a permis à l'Angle terre aussi bien de faire les fonds du déficit visible que de faire face aux frais nets des placements continus outre-mer. Au cours des années de l'avant-guerre immédiat, l'ex cédent anglais des recettes in visibles dépassait probable ment 300 millions de livres ster ling par année. Malgré la li quidation, au cours de la guerre, des placements outre-mer, et malgré les pertes de navires, les recettes ont recommencé à augmenter rapidement après la guerre : au début des an nées 50, elles atteignaient un niveau net d'environ 300 mil lions de l.s. Mais, l'an dernier, le revenu net au compte invi sible tombait â 22 millions de l.s. et cette chute s'est produite depuis 1958. A l'heure actuelle, il n’existe pas de revenu net a la rubrique invisible. Les résultats décevants de la navigation, les dépenses accrues de l’Etat à l’étranger et l’abais sement du revenu net prove nant des intérêts et des béné fices représentent les causes principales de cette chute. 140-
Le volume «’«st accru 130-
120 - OLÉODUC lOO- eo- «oure EAU
60- «50-
RAIL 30-
20- Les anciennes usines de ca nons de la Canadian Arsenals Ltd., situées à Longueuil sur la rive sud du St-Laurent en face de Montréal, et qui apparte naient au gouvernement cana dien, passent aujourd’hui aux mains de la Canadian Pratt & Whitney Aircraft Co Ltd. Cet te vente, que l'on dit s’élever à $1.400,000, est l'une des plus considérables que la Corpora tion de Disposition des Biens de Guerre ait faites au cours des années récentes. La pro priété vendue a l'avionnerie de Longueuil comprend quarante- cinq acres de terrain et des usi nes de 404,384 pieds carrés. Le président de la Canadia» Pratt & Whitney Aircraft, M. T. E. Stephenson, a déclaré que cet achat fait partie du pro gramme à long terme de sa
cargaisons à l’arrivée aux aéroports, car dans les grands centres, ceux-ci sont souvent a plusieurs milles des villes des servies. La nécessité d’équili brer les chargements sans dé passer des limites bien déter minées. et la difficulté de res pecter des horaires réguliers à cause de l'imprédictibilité du temps ont l’effet d’augmenter encore ce coût. La construc tion de cargos aériens de plus fort tonnage et l'amélioration des aéroports devraient abais- cela, leur prédominance com me transporteurs a diminué constamment. Entre 1945 et 1959, le tonnage qu’ils ont trans porté n'a pas augmenté sensi blement, en dépit de l’énorme expansion de l’économie cana dienne, et leur part du trafic a baissé de 75 à 51 pour cent. Plus importante, peut-être, que cette diminution de leur part du trafic est le changement dans sa composition. La vogue des camions s'accroît constam ment pour le transport des pro che nucléaire. L'installation sera mise à la disposition de l'Institut pour le magnétisme terrestre, à Washington, où sa capacité pour être exploitée au maximum.
LAUSANNE. — L’Office suis se d'expansion commerciale an nonce qu’un groupe de physi ciens de Bâle, placé sous la di rection du professeur P. Huber, savant atomiste bien connu, est parvenu à mettre au point un appareil destiné a la recherche
nucléaire et capable de pro- r duire des deutérons polarisés. Ce groupe a réalisé cet exploit avec des moyens financiers re lativement modestes, puisque le Fonds national pour la re cherche scientifique n’avait mis à sa disposition que 70,000 fr. s. ($16,300 des E.U.), ce qui vaut la peine d'être mentionné. L'appareil offre la possibilité de suivre avec une plus grande précision encore que jusqu'ici les réactions nucléaires expéri mentales et d’obtenir ainsi de nouveaux et précieux éléments dans le domaine de la recher- Avoin» 2 CW t»v»; EX 3 CW, 3 CW At EX I Fourragère 87 mi ; 1
fnurraière 96V* ; 2 fourragère 83M»; 3 fourragère 0O%1 Fourragé! e m<* langée 50 Orge \ A, 3 CW A ran** 1 3,V\ ; î At 2 CW 2 rangs A* 3 CW G-rang* 127%. 3 CW 2 rang* At 1 fourragé re 1.23%; 2 fourragère 120**; 3 fourragère U7U Seigle: 1 Ai 2 CW 123’»: 3 CW 12lVfc: 4 CW 114V|; ergoté 1 Ofl%, •ur vole 1 237/* Un : 1 CW 3 7A; 2 CW 3.73; 3 CW 3.564*. aur voie 3 74V Marché du lin : Pn* au comptoir • 15 rent* de motna que l'option d'octobre (Jaa. Richardaon At «Son*). Compta
invisibla (en millions rie l.s.' 19.58 Etal
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76*4 73% 1 27 T* 1 13% 1 37% 36 1 36% 1 34 Total des recettes nettes ........ On a lieu de penser que la tendance rapide au fléchisse ment à l'egard des recettes commerciales invisibles de l'An gleterre ne se maintiendra pas 4 229
I960 —287
— 25 4179
— 17 4172
4 Chang
— 65 — 47
— 82 — 13
-207 à l'avenir. Mais le besoin reste de combler, pour l'ensemble rie la balance de paiements, les pertes déjà subies.
45*-4*
43-43 W 47 51 V1«4 55 «. DISTILLERS CORPORATION — SEAGRAMS I I MIT CD AVIS DF. DIVIDENDE Avis est par les présentes onné qu'un dividende de (rente pnts (10*) par action en argent inadien sur les actions ordi* aires en cour» de la compagnie été déclaré payable le I5 sep- «mbre 1961, aux actionnaire» n registres â la fermeture de» tfaire* le 25 août 1961. Par ordre du conseil H aritni- i*tration. H. C IO.V bei t éta ire lonuéal,__ Durant les six premiers mois de cette année, les importations françaises en provenance de l'Allemagne de l'Ouest ont at teint une valeur de 2,801.1 mil lions de nouveaux francs, com parai i ventent à 2.409 1 millions de NF pour le premier seme:®- tre de 1960 Les exportations françaises a l’Allemagne se sont élevées, pour la même période, a 2,639.2 millions de NF con tre 2,290 5 millions Lan dernier. ♦ *
*1 Au court dt r«xercic« ttrmi- ne la 31 mai 1961, Alberta Dis tillers Ltd. a fait un benéfica net de $394,034, à comparer à $342,264 l'exercice précèdent. * * * Le Canadien Pacifique a fait un revenu net de $7,201,857 au premier semestre terminé le 30 juin t%l, soit l’équivalent de .19 cent® l'action ordinaire, en com paraison de $11,852,271 ou cents l'action l’an dernier. recettes ferroviaires ont dimi nue de $15.165,107 â $12,504,801. * *
Le rendement moyen de 114 valours a dividend# coteas en Bourse de Toronto s’établissait â 4.11% la 14 août 1961, d'après la compilation de la maison Moss, Lawson & Co. Cost un» diminution de 0,01% par rap port i la samaina précédent». Le mois dernier, || s’élevait à 4.18%; l’an dernier è pareille date, il était da 4.75%, Le ren dement moyen des actions ordi naires a monte de 0.03% é 3.65%, comparé é 3.6Sr< la mois dernier et à 4.36% il y a un an. ♦ * * L'indice de la production in dustrielle a atteint un nouveau sommet de 112 pour cent de la moyenne de 1957 aux Etats-Unis durant le mois de juillet C'est une hausse de 3 points par rap- '2
Les port au mois de juin et de 9 points par rapport à juillet I960 Le sommet précédent de 111 a été établi en janvier 1960. * * *
L’actif disponibla de Hakaoo Development Co. Ltd, s'établis sait é $1,039 au 30 avril 1961 at la passif txigible à
porte M. L. G. Wood, un admi nistrateur da la compagnie. Du rant l'annéa, 250,000 actions ont été vendues au prix de $18.750. La production sidérurgique s'est maintenue de façon remar quable au Canada durant la semaine terminée le 12 août, qui comptait un congé civique. La production s’est élevée, en effet, à 121.512 tonnes, soit 1% seulement de moins que la se maine précédente durant la quelle les aciéries canadiennes ont produit 122.810 tonnes. * * *
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Les importations canadiennes de toutes provenances ont aug menté légèrement durant le mois de juin, mais le total du premier semestre est inférieur à celui de l'an dernier En juin, elles ont augmenté de 2 6' - a $499,400,000, Pour le premier semestre, elles ont baisse de 1.1* soit de $2,805,6(H),000 en 1960 a $2,776,200,000. pris H. R O. Power a , et Interprovincial Le marché était calme a Montréal avec une tendance mixte. Les changements se li mitaient à des fractions. Les actions privilégiées rie Gaz Naturel du Québec ont continué leur haisse pour perdre 1. Les papier, les banques, les titres divers et les spiritueux étaient soutenues. Les services publies et les raffineries étaient mix tes. Les acier, les métaux non- ferreux, l'alimentation et les textiles étaient plus faibles. Fraser a pris 4- Banque de Montréal a gagné '4. Banque de Nouvelle-Ecosse 1 et Banque Canadienne Nationale 4 Mol- son A
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a fléchi de 4 ainsi que Alu minium. Asbestos a perdu -’s et International Nickel 4. Les mines et les pétroles de l'ouest étaient tranquilles avec peu de changement. La crise de Berlin exerçait toujours sa pression sur la bourse de NEW YORK. Le mar ché était peu actif et les cours mixtes Les trois grandes com pagnies d'automobiles étaient un peu plus faibles mais Stu- dehaker-Paekard et American Motors accusaient de légers gains. Les aciers, les chimi ques, les avionneries et les électroniques étaient mixtes. Ford était active et a perdu deux points. Anaconda a pris près de 1 A TORONTO, les industrielles sont demeurées fermes mais tous les autres compartiments ont fléchi Les virements étaient peu nombreux Les gains n'é- taicnt pas limités a un seul groupe et il n'y avait aucune tendance bien définie Banque de Nouvelle-Ecosse a gagne 4 pour atteindre un nouveau som met Traders Finance A a pris 1. Les aciers ont fait preuve de fermeté, ainsi que certaines valeurs du secteur des services publics Les métaux non-ferreux ont faibli Le kilo d'or était coté $36.15-$36 40 l'once. La bourse de LONDRES est demeurée tranquille avec pou de changements d'importance Dans l'ensemble, les valeurs libellées en dollars étaient plus faibles mais quelques emissions de banques canadiennes étaient plus soutenues. Les fonds d'état britannique» n'étaient pas en demande mais U y eut une certaine demande pour des valeurs industrielles choisies. La tenue des cours était ex cellente sur la place de PARIS si l'on considère l'évolution rie la conjoncture depuis la der nière réunion des boursiers.
Jamaica Public Serv ice Limi ted rapporte un bénéfice net de $1,785,681 pour l’exercice ter miné le 30 juin 1961, contre $1,667.250 ou $3.25 l’action un an plus tôt. Pour la dernière année, son bénéfice par action était de $3 52. * * * Shawinigan Water and Power Company rapport» un bénéfice net de $6,816,107 pour le premier semestre, soit 75.3 cents par action, contre $7,159,131 ou 80 cents l’action ordinaire un an plus tôt. * * *
Au 30 avril 1961, les disponibi lités de Makaoo Development Co. Ltd se chiffraient â $8,039 contre des exigibilités de $43.- 336 Au cours de l'année, la compagnie a vendu 250.000 ac tions pour un montant de $18,- 750.
* • * Le revenu net de Giant Mas cot Mines Ltd pour les quatre derniers mois a été évalué é $85.000 par mois. La société n’a pas de dettes et son fonds de roulement s’élève i $300,000. • * * A la suite d'une majoration des impôts sur le revenu, le bénéfice net de Northern On tario Telephone Ltd était de $238,867 ou 12 4 cents l'action pour le semestre terminé le 30 juin 1961, contre $248.943 ou 14 5 cents un an plus tôt Son revenu global a augmenté de 15.4% à $2,036,853 et ses dépen ses de 13.5% à $1,145,786. Ses impôts sont passes de $107,000 à $138,000. * * *
HAMILTON. - The Stee Company of Canada Limited a annoncé aujourd’hui que ses offres d’acheter toutes les ac tions emises de la Canadian Drawn Steel Company Limited ont été acceptées par plus de 90% des détenteurs d'actions or dinaires et privilégiées. Selon le terme des offres, la Stelco achè te et prend livraison des ac tions. Les offres sont valables jusqu'au 13 novembre 1961. Au cours d'une assemblée du conseil de direction de la Ca nadian Drawn Steel Company, Limited, le 16 août, MM. Mark B. Holton, Donald J. Wilkins, R Warren Biggar et Wilfrid Mavor ont démissionné et ont été remplacés par MM. L. T. Craig, H. M Griffith, N. J. Brown et R. B Taylor qui sont tous des administrateurs de la Stelco
M. Ralph Biggar, CR, a dé missionné en tant que président mais demeure en qualité d'ad ministrateur. M. L. T. Craig et M. H. M. Griffith, vice-pre sidents de la Stelco, deviennent président et vice-president res pectivement de la Canadian Drawn Steel Company. M R. H. Macdonald a été nommé gérant general et sera responsable de toutes les opérations de la com pagnie. Les autres nominations comprennent relies de R War ren Biggar. gerant général ad joint, L H. Howe. trésorier, W. C. Chick, secretaire, B C. Evenden, gérant des ventes et secrétaire adjoint.
SARNIA. — En créant un produit qui mousse dans l'eau de lessive froide. l’Imperial Oil a pris pied sur un marché d’ex portation en Amérique du Sud dont l'importance est grandis sante.
Le produit d'exportation en cause est 1’alkylate détersif, liquide incolore qui est le prin cipal ingrédient des détersifs synthétiques. Depuis 1946, les détersifs synthétiques ont pres que complètement remplacé les savons de lessive naturels au Canada et aux Etats-Unis, et ils sont maintenant de plus en plus préférés des ménagères sud-américaines. Mais comme plusieurs foyers d’Amérique du Sud n'ont pas l'eau chaude cou rante, les fabricants de déter sifs avaient besoin d'un alkylate détersif qui puisse faire mousse dans l'eau froide. Au cours de longs trav aux de recherche en vue d’améliorer les alkylates détersifs, l’Impe- rial Oil a créé un produit qui, en plus de provoquer une écu me abondante dans l’eau froide, nettoie efficacement le linge et la vaisselle. On écoule déjà ce nouveau produit en Colombie, au Vénézuéla et au Brésil. Le ministère fédéral de l'Industrie et du Commerce estime même que 1’alkylate détersif se classe maintenant au troisième rang parmi les exportations cana diennes de produits chimiques en Amérique du Sud. ^ Le nouveau produit est fabri que à la raffinerie locale de | l'Iniperial Oïl et expédié en i vrac dans des navires-citernes spécialement conçus pour le transport des produits chimi ques.
FONDS D'ETAT ETRANGERS Australie 3% % 196G B real! 1%%. Série 1 5 Rrèail 3%%. Séria G-30 Bolivie T-r Chili 2%% 1091 Colombie 3 - 1970 Grèce 6% 1908 compagnie, qui a besoin d'es pace additionnel pour ses opé rations de fabrication, de ré fection, de recherche et de développement. M. Stephenson a dit que sa compagnie louait de l’espace dans ces usines de puis 1928. La compagnie occupera im médiatement l’espace requis aujourd’hui. On installe présen tement des ponts roulants dans l’usine de Longueuil et on transporte les machines-outils a leur nouvel emplacement en vue de la production de pièces de rechange pour les marchés d'exportation. L'ancienne propriété de la Canadian Arsenals comprend deux usines principales et trois bâtisses supplémentaires. Avec cet espace additionnel et son usine de Jacques-Cartier, la Canadian Pratt & Whitney dis posera dorénavant de 854,313 pieds carrés d'espace de bu reau et d'usine et d'une super ficie totale rie terrain de 195 acres.
Dow Jones Toronto Montréal Certains signes rie plus apparents confirment la presence de la reprise prévue pour cet été et annoncent aus si, pour l'automne, une ronso- lidation semblable
celle da l'été dernier. Analysons quelque peu ces signes : tout d'abord, ils sont principalement de caractère technique. Les indices économi ques et financiers conservent imp note optimiste et, en cer tains milieux, on est d'avis qu'ils annoncent une activité croissante des affaires pour 1962 et même pour 1963. Ceci est très possible et c'est pour quoi nous recommandons una politique de placement qui est basée principalement sur des titres de premier choix. Cepen dant, tel que nous l’avons déjà souligné, les prix en bourse sont très élevés comparative ment aux normes connues et touchent des sommets jamais atteints auparavant, ce qui commande une très grande pru dence ; à ceci, si nous ajoutons la tension de la scène interna tionale, nous pouvons dire que la situation n’est pas sans ris que.
Au début de l'année, nous suggérions à ceux qui mainte naient leur portefeuille dans un rapport de 50% en titres à re venu fixe et 50% en actions, de modifier cette position de façon à en arriver au rapport 30%» 70%, Nous suggérons mainte nant de modifier ce rapport à 40% -60% tant que l’avenir ne sera pas plus précis. Plutôt que de recommander la liquidation de certains titres en particulier, nous suggérons de conserver les titres très surs et de vendra ceux qui affichent une cer taine faiblesse.
TORONTO. (PC) - Falcon bridge Nickel Mines Ltd rap porte un bénéfice net de $8,443,377 ou $2 24 l’action pour le semestre terminé le 30 juin 1961, contre $7,753,709 et $2.06 l'année précédente. Selon le président de la com pagnie, M. H. J. Fraser, les facteurs les plus favorables étaient les expéditions accrues, un revenu plus élevé provenant de ses contrats a long terme et le taux du change favorable entre le dollar canadien et le dollar américain. Par contre, la compagnie a souffert de la faiblesse des prix du cuivre et d'une hausse de son prix de revient. M. Fraser a ajouté que la demande demeure ferme pour le nickel en Europe et qu'elle s'est améliorée au cours des derniers mois aux Etats-Unis. “L'on peut, s'attendre a ce que la majoration du prix du change à la suite du budget fé déral auront un effet favorable sur le bénéfice du second se mestre."
COURS DES DEVISES A New York, le dollar cana dien est en hausse de l 64 a un escompte de 3 8 21 pour cent. La livre sterling est en hausse de 3 32 à $2.80 9 32. A Montréal, le dollar améri cain est inchangé à une prime de 31* pour cent. La livre ster ling est invariable à $2.8815/16. y—....... ...................................................-....... -................-
MONTREAL. P. Q Le conseil d'administration a pris les dispositions ci-dessous au su jet des dividendes :
Quarante-trois cents et trois quarts l'action (43*4** pour le trimestre courant du 1er juillet 1961 au 30 septembre 1961 a été déclaré payable le 30 sep tembre 1961 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bu reaux le 25 août 1961.
Vingt-cinq cents <25f) l'action, pour le trimestre courant du 1er juillet 1961 au 30 septembre 1961 a été. déclaré payable le 30 septembre 1961 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bu reaux le 25 août 1961. actions ordinaires Trente cents <30?) l'action pour le troisième trimestre de 1961 a été déclaré payable le 30 septembre 1961 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bu reaux le 25 août 1961. Le secrétaire, A. G. ALLAN Le 16 août t961. Nommés directeurs de la Progressive Compagnie d'Assurances Brazilian Traction Light and Power Co. Ltd., $1 50 l'action privilégiée 6%, 29 septembre, inscription 15 septembre. Famous Players Canadian Corporation. 374 cents l'action ordinaire, 8 septembre, inscrip tion 23 août. Fleetwood Corporation. 13a4 cents l'action ordinaire, 15 sep tembre, inscription 25 août. Standard Structural Steel Llri 15 cents l'action ordinaire, 29 septembre, inscription 15 sep tembre.
B anque
C an ADI K XNE X ATI ONALE DIVIDEND* TRIMESTRIEL Un
dividends d» 45 -»nt»
p»r setion du capital varié da la Oanqua »»t
déclaré pour la vrimestr* finissant le 31 août 1961 Ca dividand», portant le no 282, tara payable
è compter
du ter septembre 1961, au bureau prirt- oal et
tout* luccurtale de la îjnque. au» actionnaire» micrit» la 31 «t
guichtn
Par ordre du Conseil d administration, l* garant général, LOUIS HEBERT M. LOUIS N. DE ROME M» G. de L. DEMERS, C.R. M Louis N De Rome de Montréal et Me Georges de L. Demers, C.R de Québec, viennent d'être nommés directeurs de La Progressive Compagnie d'Assurances. M De Rome est directeur de Marine Industries Ltd Me Demers est membre senior de l'Etude legale Demers. Lesage et Vaillancourt, président de l’Equitable Compagnie d'Assurances Générales, directeur de la Société Provinciale d'Assurances Générales et du Fonds d'indem nisation des Victimes d'Accidents d'Automubile, et vice-president de 1. Chambre de Commerce de Québec. Botirxp de Vloniréal (Sé aso 809 ini 4M M M Vantti Abltihl lORb Alfoma :iia Alumint MO Aluin 2 pr z20 An* T 4V»Pr 70 Argu» 17S Asbcitoi 77S AU** Stl Rk Mont Rank NS Rauq t'N Ranq PC Hath P A Bail Phon 2212 Row « Pr lis Powater 400 R rail I 800 RA on 2nS5 RC Pow #65 Hrofkvl pr z2S Brown 34B Buüd Prod iio Cal Pow IM Cm Cem :ius C Cem pr lOR C Dom Su* 323 n Fndry 400 CSC 9 r Aviation 100 Cdn Braw 23S0 < Br Alum 2SS CBAL A wt 200 C Brome z25 Cdn Celan 600 C Tel 175 pr 50 C Krbka A 350 C Im Bk C 1518 en, 400 CI Pow i84 Cl Pow pr Tio Cdn Oil 18R CPR 000 Cdn Pet or 100 C Vickers iS Comb Knt 1600 Con MS 1097 C Glass 300 Corb.v A z25 Coronation z50 nist Seag D Bridge D Fndry D Glass n Glass pr P Steel P Stores Haut Bat t 4P. 4P. * 43’. 434. » 33 321.» » 47 47 ( 43 43 * 44>4 44'-. » 32*. 31*4 Southam 75 SS Steel 200 Steel Can .50 Steinbe A 1.100 Texaco C 5.50 Tor Pom zâ T Fin A 2450 Tr Can PI, 350 l-'n Steel Walk GW 300 165
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$ 14% 14% $ 26 26 $8 8 S 20 20 $ 18% 18% $ 27% 27 .375 375 $ 20% 20% S 21 20% $ 21 2t $
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Advocate 100 Alla T A 550 C Delhi 200 Cdn Dev aoo Cent Del 600 C Paper 334 Con Gas 1050 Gateway 4000 Giant YK .500 Hollinger 3150 Kerr Add .300 LobCo A w’ z25 M L M j U 150 MO Paper 600 Moore 100 Murray 20000 Sherrilt 600 .Sîeep R 1550 Trans Mt .570 Tn Gas 260 l n Keno .300 460 $ .32% .385 400 595 $ 46% $ 19 2 $ 12% $ 27'4 $ 10% $ 22% $ 1.5% $ 35 $ 6.3 70 .525 785 $ 13% $ 19% $ 12 British American OU Download 4.64 Mb. Do'stlaringiz bilan baham: |
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