Mathieu alex
Download 1.97 Mb. Pdf ko'rish
|
Le Havre MATHIEU ALEX • +33 (0)6 26 59 19 18 Après le jumelé réalisé par Avenir Certain & Crisolles dans le Prix de la Nonette Gr.2
, la
2 ans QUEEN BEE remporte le Prix du Calvados Gr.3 à Deauville. Félicitations à tout son entourage ! SYLVAIN VIDAL • +33 (0)6 20 99 10 15 www.lacauviniere.com LA C
Lorsque nous avons rencontré Wesley Ward jeudi dernier, nous avons d’abord parlé avec lui de Hootenanny (Quality Road), candidat au Darley Prix Morny (Gr1). Puis nous avons prolongé notre entretien avec des sujets plus politiques : médication, dirt, élevage, etc. Depuis que la PETA a filmé l’écurie de Steve Asmussen à son insu, révélant mauvais traitements et dopage sauvage, les courses amé- ricaines se posent beaucoup de questions. L’avis de Wesley Ward – un des très rares entraîneurs américains à venir régulièrement en Europe – était donc particulièrement inté- ressant à connaître. Jour de Galop. – Rares sont vos confrères américains qui, comme vous, traversent l’Atlantique pour courir en Europe. Pourquoi ? Wesley Ward. – Deauville est un endroit somptueux. D’une cer- taine façon, Deauville me rappelle Del Mar, en Californie, où j’ai en- traîné pendant dix-sept ans. C’est une vraie ville de course, avec les chevaux qui s’entraînent sur la plage… Les autres entraîneurs américains vous posent-ils des ques- tions sur les courses européennes ? Pourquoi ne viennent- ils pas plus courir en Europe ? Les courses européennes leur font un peu peur et ils ne sont pas familiarisés avec ces courses. Même si j’ai rencontré du succès ici, cela représente un long voyage. Cela explique sans doute pourquoi peu d’entraîneurs veulent venir. g JOUR DE GALOP PARTENAIRE DES COURSES LES PLUS PRESTIGIEUSES EN FRANCE QATAR RACING AND EQUESTRIAN CLUB LE QUOTIDIEN DES SOCIOPROFESSIONNELS DU GALOP DEPUIS 2007 DIMANCHE 24 AOÛT 2014 # 2498 WESLEY WARD : L’INTERVIEW VÉRITÉ MÉDICATION, DIRT, ÉLEVAGE … 2015. Mais les dirigeants sont en train d’installer un très beau dirt. Ils ont vraiment investi pour trouver le top. Ils ont pris la plus belle surface de dirt qu’ils aient pu trouver : elle provient du lit d’un coude de l’Ohio River, et elle a vraiment l’air magnifique. Pour la première fois, les chevaux devraient évoluer dessus cette semaine. De nombreuses études ont montré que le taux de chevaux accidentés était plus important sur le dirt que sur la Polytrack. Ne craignez-vous pas d’avoir des problèmes avec les chevaux ? J’ai eu beaucoup de succès durant toute la période où j’ai entraîné sur la Polytrack de Keeneland, et j’ai pu garder beaucoup de chevaux en pleine santé. Le dirt est une sur- face un peu plus dure et un peu piège pour travailler. Il faut être très attentif, mais j’y suis par- venu pendant dix-sept ans en Californie. Et, je vous le répète, les responsables de Keeneland installent vraiment un beau dirt. Nous n’avons plus qu’à tra- vailler dessus, et à faire atten- tion à nos chevaux lorsqu’ils se rendent sur cette surface et lorsqu’ils en reviennent. Notre travail est différent avec la polytrack, où vous savez que vous pouvez sortir votre cheval de l’écurie et lui donner des entraînements plus poussés sans crainte de le voir se bles- ser autant que sur le dirt. Cette culture du dirt reste très spécifique aux Etats- Unis, même si Meydan vient de remplacer sa Tapeta par cette surface. Dans les autres pays, la sélection est sur le gazon. Courir sur le dirt est une tradition, nous faisons cela depuis longtemps. En Europe, les gens sont intéressés par les courses sur le gazon. Aux Etats-Unis, ce sont les courses sur le dirt qui les passionnent. g g WESLEY WARD Et puis les chevaux européens rencontrent beaucoup de succès lorsqu’ils viennent chez nous. C’est donc un autre facteur de méfiance : les Européens ont un tel taux de réus- site que beaucoup d’entraîneurs américains pensent peut- être que les chevaux européens sont meilleurs. Ils n’ont probablement pas envie de venir à un endroit qu’il leur est étranger, donc ils ne connaissent pas les codes, et préfèrent rester à la maison… Qui a envie d’effectuer un long voyage pour finalement être battu ? No Nay Never et Hootenanny sont tous deux des re- présentants de Coolmore. Comment êtes-vous venu à travailler avec eux ? J’ai la chance d’être très ami avec Paul Shanahan [un des plus proches conseillers des boss de Coolmore, NDLR]. Il a été très sympa avec moi lorsque je me suis installé comme entraîneur. J’avais quelques pouliches qui ne valaient pas grand-chose et que je faisais courir. Elles avaient de tous petits pedigrees, et je n’avais pas d’argent pour pouvoir les croiser avec les meilleurs étalons. Alors, il y a un certain nombre d’années déjà, je suis allé me présenter à Paul Sha- nahan. Je ne sais pas pourquoi, mais il m’a pris en sympa- thie. Et il m’a laissé croiser mes modestes juments avec leurs étalons exceptionnels. Nous avons rencontré beaucoup de succès avec ces produits. Pas dans les très grandes courses, mais les chevaux ont montré beaucoup de cœur et ont remporté beaucoup d’épreuves. Je les débourrais, et je les entraînais. J’ai fait ce que j’avais à faire, et cela a mar- ché. Et ce sont ces chevaux qui nous ont amené à la situa- tion actuelle. Nous avons une excellente relation, dans le travail et en dehors du travail.
Keeneland a malheureusement décidé de revenir au dirt, parce que l’hippodrome va accueillir le Breeders’ Cup en
Dimanche 19 octobre à Baden Baden - Allemagne 2.000m gazon – Corde à droite – 3ans & + - 55.000 € MARDI 26 AOÛT ENGAGEMENTS DE LA 12 e ÉTAPE Hubertus – Liebrecht – Gedächtnispreis (Gr3) Engagements à 10h30 à France Galop Champagne officiel des réceptions du Défi du Galop « Notre travail est différent avec la Polytrack, où vous savez que vous pouvez sortir votre cheval de l’écurie et lui donner des entraînements plus poussés, sans crainte de le voir se blesser autant que sur le dirt. »
g WESLEY WARD Et pas seulement les professionnels, mais les fans des courses aussi. Dubai revient au dirt, et je pense qu’ils dési- rent être forts sur les deux surfaces. Le gros problème est que la majorité des pedigrees européens ne permet pas de réussir sur le dirt. De même, lorsque les chevaux aux pedi- grees américains doivent courir sur le gazon, cela devient difficile, surtout sur longues distances. Les chevaux peuvent sprinter sur le dirt, ce n’est pas un problème. Mais je crois que plus la distance s’allonge, plus le pedigree ressort. Et de toute façon, tous les chevaux ont une préférence pour une surface ou pour une autre. Mais avec cette spécificité du dirt, les Etats-Unis ne se sentent-ils pas seuls ? Je suis le seul à venir ici et à courir sur le turf. Donc je me sens un peu seul ! Il y a beaucoup à apprendre, et j’ai réussi à attirer l’attention de quelques propriétaires et éleveurs américains, sur le fait que nous pouvions venir ici. Et aussi que nous pouvions gagner ici. Personne ne sait de quoi l’avenir est fait. Parfois, il suffit d’un petit homme comme moi pour entraîner de gros change- ments, et j’espère que ce sera le cas. L’autre gros problème aux Etats-Unis est la médication, infiniment plus per- missive qu’en Europe. Je trouve que toute cette histoire sur la médication aux Etats-Unis est un peu hors de proportions. J’ai l’impression que l’Europe entière pense que nous bourrons nos chevaux de médicaments. Lisez les études qui ont été réalisées : 99,9 % des tests reviennent propres. Des médications sont légales en compétition, comme le Lasix, qui est interdit en Europe. Il y a donc de la médication. On peut aborder ce sujet de nombreuses manières diffé- rentes. Evidemment, tous les chevaux que j’amène en Eu- rope courent sans Lasix. Ils sont totalement propres. Hootenanny, par exemple, n’a jamais reçu de médication de sa vie. Et c’est pareil pour tous ceux qui ont fait le voyage. Mais j’ai aussi eu des chevaux qui saignaient et j’ai dû les soigner. Croyez-moi, j’ai fait courir leur père, leur mère, leur deuxième mère parfois, et eux n’avaient rien. Le saignement n’a rien à voir avec la génétique, absolument rien. Je peux vous parler d’une jument que j’ai entraînée, et qui a rem- porté 250.000$ dans sa carrière. Sans Lasix, elle n’aurait probablement jamais rien gagné. A l’entraînement, elle sai- gnait un peu. En course, elle saignait par le nez. J’ai parlé à un vétérinaire reconnu par l’Etat, il lui a administré du Lasix, et elle a eu une belle carrière. Le Lasix aide un cheval à ne pas saigner et à respirer.
Prenons le cas de No Nay Never l’an dernier : ils ont prélevé des échantillons de crins, et tous sont revenus propres. Croyez-moi, je suis pour le dépistage le plus performant possible. Ce qui est le plus important, c’est que le meilleur gagne. Quant aux stéroïdes, cela n’est plus autorisé nulle part aux Etats-Unis. Ni à l’élevage, ni nulle part.
Oui, j’ai lu beaucoup d’études à propos de cela. Mais avec les tests modernes, c’est dif- férent. Nous testons l’urine et le sang et croyez-moi… S’ils doivent vous avoir, ils vous auront ! Aujourd’hui, le risque n’en vaut pas la chandelle. Vous faites un drôle de business, vous vous faites attraper, vous êtes banni. C’est simple. Êtes-vous donc d’accord avec le Jockey Club, qui sou- haite interdire toute médication le jour de course ? Si les Etats-Unis essayent de faire cela, de s’aligner sur l’Eu- rope, je pense qu’il va y avoir un problème concernant le programme. Aux Etats-Unis, nous courons toute l’année. Les chevaux en Europe bénéficient eux d’un break durant l’hiver. Ils ont le temps de respirer et de se reposer. Nous n’avons pas de pause aux Etats-Unis, et la médication vient donc aussi aider les chevaux à tenir le choc toute l’année. Sauf que le Lasix, par exemple, déshydrate les che- vaux et leur fait perdre beaucoup de poids. Ils ont donc besoin de plus de temps de récupération. La médication est une chose. Mais il faut savoir qu’il y a plein de nouveaux entraîneurs qui arrivent dans l’industrie actuellement. Du temps où j’ai appris à entraîner, on vous expliquait comment les travailler, mais aussi g
JDG – DIMANCHE 24 AOÛT 2014 – 3 Le Critérium du Fonds Européen de l’Elevage, 122.000€ The European Breeders’ Fund The EBF: Tel: +44 1638 667960 e: info@ebfhorseracing.co.uk WWW.EBFHORSERACING.COM 24 août à Deauville Une course sponsorisée, comme beaucoup d’autres, par le Fonds Européen de l’Elevage (FEE), qui a distribué 527.000€ d’allocations en France en 2014 Financé par les apports des Etalonniers européens, l’EBF (qui inclut le FEE) a alloué 100.000.000€ à l’industrie des courses européenne. « En Europe, les gens sont intéressés par les courses sur le gazon. Aux États- Unis, ce sont les courses sur le
dirt qui les passionnent. Et pas seulement les professionnels, mais les fans des courses aussi.»
g WESLEY WARD comment leur administrer de la médi- cation en vue d’un objectif, et com- ment les vétérinaires pouvaient cacher le problème d’un cheval. C’était légal, mais cela est en train de disparaître progressivement. Et c’est bien ! Je pense que toute la nouvelle généra- tion d’entraîneurs qui arrive actuelle- ment, avec toutes ces lois et juridictions d’Etats, aura une façon de faire plus proche de la méthode euro- péenne, et sauront amener leurs che- vaux sans aucune médication. La médication est revenue au premier plan avec l’affaire As- mussen. Comment avez-vous vécu cette histoire ? Je vais être franc : je pense que les Européens connaissent bien la famille Asmussen, étant donné que Cash a passé beaucoup de temps ici. Et ils sont tous respectés. Cash l’est, son frère aussi, son père aussi. Et je trouve que cette histoire est extrêmement triste : pre- nez un homme qui a travaillé toute sa vie, qui se lève à 3h30 du matin tous les jours depuis qu’il est gamin, et qui a de la réussite, partout dans le monde. Et voilà qu’arrive une fille, qui réalise une vidéo où l’homme en question n’est jamais montré, jamais présent, où il ne dit pas un mot. Elle n’a été qu’avec son assistant. Steve Asmussen a travaillé toute sa vie, et je trouve cela horrible. Il n’est pas dans les vidéos, mais il en est une victime. Pen- sez à toutes les années où cet homme a travaillé, s’est levé tout les matins, a entraîné des centaines de chevaux, a mis de côté sa vie de famille pour être certain que ses chevaux soient en meilleure santé pos- sible, et une fille débarque dans l’idée de faire du mal, et détruit tout cela. Des années et des années de travail. Je trouve cela terrible. Pour vous, Steve Asmussen a donc été piégé par la Peta, qui estime que les courses sont de la maltrai- tance ? Ce sont des chevaux de course ! Et je sais, depuis le premier jour où je suis monté sur un de ces chevaux, qu’ils aiment courir. Ils aiment la compétition. Et si vous n’en prenez pas le plus grand soin, vous ne pouvez pas réussir. Regardez le soin apporté à ce cheval là dans son box [Hootenanny, ndlr] : un box d’une propreté absolu, le cheval marche deux à trois fois par jour, son lad est présent avec lui tout le temps. Vous faites tout ce que vous pouvez pour prendre soin des chevaux… Surtout quelqu’un comme Asmussen : ce n’est pas par hasard s’il a eu du succès, c’est un perfec- tionniste. Et cette fille débarque et fout tout en l’air, alors qu’il n’est jamais nommé, ou montré dans un seul plan. Je trouve cela honteux d’avoir publié cela. En Europe, tout le monde considère que la médication est une chose horrible. Mais, comme je vous l’ai dit, vous donnez du Lasix à un che- val qui saigne et il peut réussir sa carrière. Il y a plusieurs points de vue là-dessus. Pour ma part, j’aime les courses et les chevaux. Et j’ai une ferme, où je peux envoyer les chevaux qui partent à la re- traite, et je peux les retrouver là-bas. J’aime mes chevaux. Lorsqu’un de mes pensionnaires a un petit problème, je vais voir un vétérinaire, et s’il me dit que mon cheval a besoin de soixante jours, je lui donne six mois. Et je le fais revenir quand je sais qu’il est en parfaite santé.
Non, mais personne n’est venu me proposer de la signer. L’auriez-vous signé si cela avait été le cas ? Si Paul Shanahan me l’avait demandé, je l’aurais fait ! Que pensez-vous du programme de Gulfstream Park, qui veut développer des courses sans Lasix ? Et que pensez-vous du Breeders’ Cup, qui avait interdit le Lasix dans les courses de 2ans avant de faire ma- chine arrière ? Voilà ce que je pense qu’il devrait se passer aux Etats Unis : n’importe quel cheval doit avoir le droit de courir où son en- traîneur le désire. Après une course, un vétérinaire reconnu par l’Etat doit examiner le cheval et faire des analyses. C’était ainsi auparavant. Si le cheval saigne, alors il a besoin de Lasix, peu importe son âge. Mais si ses analyses sont bonnes et qu’il ne saigne pas, il n’y a aucune raison de lui en donner. Cette médication ne doit être utilisé que si le cheval saigne, être administrée par un vétérinaire reconnu par l’Etat, et les examens pour en obtenir doivent être réa- lisés par un vétérinaire reconnu par l’Etat. Le Lasix est une chose utile pour les chevaux qui saignent. Imaginez avoir un cheval avec un potentiel extraordinaire mais qui saigne. Donnez-lui du Lasix, et il peut courir. Ne lui en donnez pas, et alors, que faire avec lui ? Beaucoup de fausses informa- tions sont diffusées par les personnes anti-Lasix. g
JDG – DIMANCHE 24 AOÛT 2014 – 4 Jour de Galop (JDG) et le site web www.jourdegalop.com sont exploités par la société Jour de Courses Editions, Sarl au capital de 1.000€, immatriculée au RCS de Nanterre (92) n°498635853. Siège social : 92, avenue du Général de Gaulle 92250 La Garenne Colombes. Directeur de la publication : Mayeul CAIRE. Numéro de Commission Paritaire : 0316W92237 Hébergement : SAS OVH, 2, rue Kellermann 59100 Roubaix (tél. : 0820698765). « Nous n’avons pas de pause aux États-Unis, et la médication vient donc aussi aider les chevaux à tenir le choc toute l’année. » Wesley Ward (a ̀ droite) avec No Nay Never et David Flores g WESLEY WARD Il ne faut pas les écouter, et croyez-moi, je ne suis pas un avocat du Lasix ! Les chevaux qui n’en ont pas besoin ne doivent pas en avoir. Ceux qui en ont besoin doivent en avoir. C’est triste de voir un cheval saigner. Certes, c’est un agent masquant. Mais avec les tests actuels, cela ne marche plus. De toute façon, quelle que soit la voie que les Etats- Unis choisiront, je la suivrai. Disparition de la médication ? Si c’est ce que nous faisons, beaucoup de chevaux de course disparaitront du système. Et nous n’aurons pas le choix.
California Chrome est une histoire très récente. C’est encore chaud dans les esprits. Beaucoup de chevaux avant lui ont tenté de faire ce qu’il voulait réussir. Et il a perdu. Seabiscuit, Secretariat ou encore Seattle Slew sont toujours dans les esprits. Mais je pense qu’il y a beaucoup de choses à chan- ger dans les courses américaines. Nous perdons beaucoup de fans. Et je ne pense pas que ce soit la médication le problème. Par exemple : j’étais à l’hôtel et je regardais Equidia. La qualité est très bonne, magnifique. Vous avez ces magnifiques images, avec ces très beaux hippo- dromes. Et, aux Etats-Unis, lorsque vous regardez les courses en dehors des grands jours, vous avez une qualité d’image digne des années 70. Il n’y a que deux chaînes pour les courses, pour 25 à 30 hippodromes par jour. Et après vous zappez et vous regardez le tennis, le baseball ou le soc- cer, et l’image est en HD. Imaginez une personne qui voit une image de mauvaise qualité et une image de grande qua- lité : c’est aussi comme cela que vous touchez les gens, et que vous les amenez à un sport. Il faut faire tout ce qu’il faut pour intéresser les gens, ne pas avoir une base immobile de fans, et perdre de potentielles personnes intéressées.
Non, ce n’est pas un bon moyen d’amener les gens aux courses. Mais c’est un bon moyen pour garder de bonnes allocations, c’est bien pour les personnes travaillant dans les courses, pour qu’ils puissent continuer. Au moins, avec les racinos, vous avez un moyen de gagner de l’argent. J’ai gagné un maiden pour 2ans avec un de mes représentants l’autre jour à Saratoga. J’ai touché 40.000 dollars : cela me donne envie de continuer. Vous avez besoin d’argent pour poursuivre. Si nous avions les mêmes allocations qu’en An- gleterre, nous n’aurions plus de propriétaires, et les courses disparaitraient. J
« Imaginez avoir un cheval avec un potentiel extraordinaire mais qui saigne. Donnez-lui du Lasix, et il peut courir. Ne lui en donnez pas, et alors, que faire avec lui ? » POURQUOI LE PRIX DES MARETTES ET LE PRIX DE CRÈVECŒUR ONT-ILS CHANGÉ DE DATE ? Traditionnellement, le Prix des Marettes et le Prix de Crève- cœur (F – 1.600m) se disputaient en début de meeting, et le Prix de la Reboursière ainsi que le Prix de Montaigu (F – 1.500m) plutôt en fin de meeting. En 2014, les dates de ces courses ont été interverties. François Boulard, directeur pro- gramme et régions de France Galop, nous a expliqué pour- quoi : « Il nous semblait plus logique de courir en premier les deux maidens
sur 1.500m, puis les deux maidens
sur 1.600m. Cela nous semblait tout simplement plus cohérent. Chez France Galop, nous essayons aussi de ne pas changer le nom des prix, mais certains entraîneurs nous ont fait la remarque qu’ils préféreraient que les Marettes et le Crève- cœur se disputent toujours à la même date, comme c’était le cas l’année dernière et depuis longtemps, quitte à passer sur la distance de 1.500m. C’est peut-être quelque chose que nous allons considérer l’année prochaine. » LE PRIX DES LÉGENDES RAPPORTE 68.000 € À L’ASSOCIATION DES JOCKEYS La troisième édition du Prix des Légendes a vu treize an- ciens jockeys enfiler leur casaque pour retrouver les sensa- tions qu’ils ont connues durant plusieurs années. Cette épreuve a été remportée de haute lutte par William Mongil, sur la P.S.F. de l’hippodrome. Cette course, placée sous le signe du sport et de la solidarité, a pour but principal de ré- colter des fonds pour l’Association des Jockeys. Elle a permis à France Galop, organisateur de l’événement, avec le concours des partenaires de la journée (Lucien Barrière, PMU, Longines, Étalons la Cauvinière, Equidia Live, Paris Turf, Arqana et l’Agence Martinez) de reverser 68.000 € à l’Association. LES PONEYS FONT LE SHOW À DEAUVILLE Pour la première fois à Deauville, deux courses de po- neys venant de toute l’Europe ont été organisées en fin de réunion. La première, réservée aux poneys de grande taille, a été gagnée de bout en bout par un poney venant de Belgique, Socks, associé à Milan Bulckaen. L’arrivée de la course des petits poneys a été plus disputée, et Zarkava a connu sa première défaite, malgré le port d’œillères. Elle a été devancée par Ruby, monté par Benoît de la Sayette.
FIN DE CARRIÈRE POUR SHEA SHEA Lauréat du Al Quoz Sprint (Gr1), puis deuxième des King’s Stand Stakes et des Nunthorpe Stakes (Grs1), avec Chris- tophe Soumillon, Shea Shea (National Emblem) ne sera plus revu en piste. C’est ce que son entourage a décidé, après sa défaite dans les Nunthorpe 2014. « Ses saigne- ments sont devenus un problème, a expliqué son entraîneur, Mike de Kock, sur son site web . Nous n’allons donc pas in- sister. C’est un superbe galopeur, qui possède une grande classe. Il mérite de se reposer et de s’amuser, sans la pres- sion des voyages et de l’entraînement. Nous lui avons trouvé une magnifique maison à Mauritzfontein Stud. Je tiens à ex- primer ma gratitude envers les propriétaires de Shea Shea. Nous avons eu le privilège de connaître Brian Joffe, l’un de ses copropriétaires, dont la joie à l'hippodrome était com- municative. Brian aime les chevaux et il a toujours mis les intérêts de Shea Shea avant toute autre chose. Il a suggéré et soutient pleinement la retraite du cheval . » Au total, Shea Shea aura remporté onze de ses vingt-six courses, pour un total de 854.436 £.
COURSE DES LÉGENDES : WILLIAM MONGIL CONSERVE SON TITRE Lauréat de la course des Légendes l’an dernier, William Mongil a conservé son titre cette année, associé à Lu-
copains d’apprentissage, Éric Legrix, avec Stranger in Paris (Oasis Dream), et Miguel Blancpain, avec Mon- synn (Rail Link). Les bénéfices des paris engagés sur cette course sont reversés à l’Association des jockeys, pour ses œuvres sociales.
(Ceci est un jeu.) Pour ceux qui veulent suivre l’actualité du galop, il y a On peut aimer le cheval sous toutes ses formes. Et préférer le galop. OH ! jourdegalop.com NOUVEAU DOUBLÉ POUR LE HAVRE Après Saint Grégoire et Sainte Croix, vainqueurs lors de la réunion de Clairefontaine, vendredi, Le Havre a eu deux nouveaux produits lauréats, ce samedi : Queen Bee, sa première gagnante de Groupe, âgée de 2ans, vainqueur du Prix du Calvados-Longines (Gr3) et Sona- dora, lauréate du Prix F. Ducassou (G), à Dax. Queen Bee (Le Havre) avait déjà justifié, en partie, les 67.235 € déboursés après son succès dans un "réclamer" par Bruno Barbereau, pour Gérard Augustin-Normand et Louis Duquesne (Écurie La Boétie), en remportant dès sa sortie suivante une course D. Elle avait ensuite couru en demi-teinte lors de ses deux essais au niveau supérieur. Dans le Longines Prix du Calvados (Gr3), sa pointe de vi- tesse, celle-là même qui avait séduit Bruno Barbereau, a fait DEAUVILLE, SAMEDI la différence. Placée dans le sillage de la favorite, Calypso Beat (Speightstown), par Grégory Benoist, Queen Bee l’a sûrement dominée à la fin. Queen Bee appartient donc dés- ormais, en association, à Gérard Augustin-Normand et à l’Écurie La Boétie. Sylvain Vidal, manager de la casaque blanc et violet, nous a dit : « Il manquait cette année un gagnant de Groupe de 2ans à Le Havre, et c’est désormais chose faite !
g JDG – DIMANCHE 24 AOÛT 2014 – 7 LONGINES PRIX DU CALVADOS (GR3) QUEEN BEE ÉCRIT SON HISTOIRE Prix du Calvados (Gr.3), Deauville Entraîneur : Elie Lellouche Propriétaires : Gérard Augustin- Normand et Ecurie La Boétie Vente d’Automne 2013 Prix : 6.000 € Acheteur : Con Marmane Vendeur : Haras du Logis F.12 Le Havre x Pan Tadeus
PROCHAIN RENDEZ-VOUS Vente de Pur-Sang Arabes Jeudi 2 octobre Saint-Cloud
© a p rh
s u
d a T Ta n a P x e r v a H e L 2 1 . F Acheteur : Con Marmane € Prix : 6.000 ente d’Automne 2013 V Normand et Ecurie La Boétie Propriétaires : Gérard Augustin- Entraîneur : Elie Lellouche .3), Deauville (Gr Prix du Calvados
Normand et Ecurie La Boétie Propriétaires : Gérard Augustin- .3), Deauville
endeur : Haras du Logis aint-Cloud V Vendeur : Haras du Logis Acheteur : Con Marmane S Jeudi 2 octobre -Sang Arabes ente de Pur V OUS
V Z- E D REN
N I CHA RO P
OUS
L’ŒIL DE BRUNO BARBEREAU Sylvain Vidal n’a pas manqué de féliciter Bruno Barbe- reau, qui avait repéré Queen Bee lors de son succès "à réclamer" à Longchamp et qui avait déposé le bulletin lauréat dans l’urne. Il nous a raconté : « La pouliche avait gagné avec des temps fractionnés qui sortaient de l’ordinaire, notamment ceux d’accélération. Il est vrai que l’on avait mis un peu d’argent, mais on n’a pas le droit d’hésiter quand on voit une telle ac- célération. Il faut fé- liciter Élie Lellouche, qui a fait de l’excel- lent travail et n’a pas hésité à la rallonger. C’est une grande sa- tisfaction d’être asso- cié à ce succès pour Gérard
Augustin- Normand, qui a com- pris depuis
longtemps qu’il n’y avait rien de tel que le concret pour son étalon Le Havre. » g
C’est la preuve qu’il produit aussi des chevaux précoces. La pouliche avait fait des sore-shines, ce qui explique ses deux dernières sorties moins convaincantes. À pré- sent, tout est calé et, logique- ment, elle devrait aller sur le Total Prix Marcel Boussac (Gr1). » Louis Duquesne était aussi présent à Deauville, et il nous a déclaré : « Le jour où Bruno Barbereau l’a récla- mée, j’avais aussi mis un bulletin, mais moins élevé… J’ai demandé si Gérard Augustin-Normand accepterait de s’as- socier avec moi, et il l’a fait très gentiment. C’est exception- nel de gagner cette course ! Nous étions loin d’être favoris, mais nous avons voulu tenter le coup. Cette pouliche adore les parcours en ligne droite, et même sur un terrain souple, elle garde une excellente pointe de vitesse. »
Deuxième, Calypso Beat n’a pas démérité. Martin Cockerill, le mari de la copropriétaire de la pouliche Pam Cockerill, a expliqué : « Christophe Soumillon nous a dit que la pouliche avait trébuché à un moment. Elle prouve en tout cas qu’elle appartient à cette catégorie. Elle est très dure, et plus elle court, plus elle progresse. Le terrain est assez collant au- jourd’hui. Nous sommes en tout cas très contents. »
terrain, comme ce fut le cas à Longchamp, lors du Prix Ro- land de Chambure (L). « La pouliche a fait un bon bout. Mal- heureusement, la piste est trop souple pour elle. Elle préfère le terrain plus ferme » , a déclaré Jean-Claude Rouget.
Queen Bee a été élevée par Julian Ince, au haras du Logis, qui nous a confié : « J’ai vendu sa mère en décembre der- nier, car ses premiers yearlings manquaient de taille. Queen Bee n’est pas grande non plus, et elle a été vendue pour seulement 6.000 € en novembre. Nous avions choisi Le Havre, car le croisement était excellent : on retrouve Pi- votal du côté de sa mère, et Le Havre est un neveu de Polar Falcon, le père de Pivotal. » La deuxième mère de la pouliche, Polish Romance (Dan- zig), a produit Irrésistible (Cadeaux Généreux), que l’on retrouve dans le pedigree de Garswood (Dutch Art), lau- réat du LARC Prix Maurice de Gheest (Gr1). JDG – DIMANCHE 24 AOÛT 2014 – 8 DEAUVILLE, SAMEDI LES CHRONOS TEMPS PARTIELS Du départ à 1.000m : 27’’32 1.000m à 600m : 25’’86 600m à 400m : 12’’37 400m à 200m : 11’’71 200m à l’arrivée : 11’’95 Temps total : 129’’21
Rahy
Noverre
Danseur Fabuleux Surako
LE HAVRE
Marie Rheinberg
Marie D'Argonne
Pivotal Kyllachy
Pretty Poppy Danzig
N. (FR)
F.b. 23/04/2012
2006 (GB)
Polish Romance 1994
Some Romance Qualifiée F.E.E. - Breeders' Cup - Owners' Premiums in France
Poule d'Essai des Poulains (Gr.1). Haras en 2010. Ses premiers produits ont deux ans. Père de vainqueurs dont LA HOGUETTE, Prix Hérod L., 1 re mère PAN TADEUS, n'a pas couru. Mère de :
N., (voir ci-dessus), son deuxième produit. 2 e mère POLISH ROMANCE, 1 vict., 6 places à 2 et 3 ans en GB. Mère de
10 produits en âge de courir, 3 vainqueurs dont : IRRESISTIBLE, (f., Cadeaux Généreux), 3 vict. à 2 et 3 ans en GB,
£54,825, Kilvington Fillies' St. (L.), 4 places, 2e EBF Brownstown St.(Gr.3), Firth of Clyde St. (L.). Mère de 4 vainqueurs dont :
vict. à 2 et 3 ans en GB, £159,232, Nell Gwyn St.(Gr.3), 2e Coronation St. (Gr.1), Falmouth St.(Gr.1). Mère de : Mutakayyef, (m.2011, Sea The Stars), à l'entraînement en GB.
Penchant, (f.), n'a pas couru. Mère d'un vainqueur : GARSWOOD, (m.2010, Dutch Art), 3 vict. à 2 et 3 ans en GB, £165,401, Lennox St.(Gr.3) (13), European Free Hcap (L.) (13), Harry Roseberry St.(L.), 2e Cornwallis St. (Gr.3), 3e Prix de la
Forêt (Gr.1) (13). Bruni Heinke, (f.2011, Dutch Art), à l'entraînement en GB.
Bold Desire, (f., Cadeaux Généreux), 1 place à 3 ans en GB . Mère de :
Irlande, Tipperary St.(L.), 7 places, 3e Darley Prix Morny (Gr.1), Whitehead Memorial St.(L.) (13), et £84,219.
Whowasright, (m.2011, Pivotal). 3 e mère SOME ROMANCE, 5 vict. aux USA, $545,355, Frizette S. (Gr.1), Matron S.(Gr.1), Post Deb S. (Gr.3), 2e Monmouth Oaks (Gr.1), S.A. Oaks (Gr.1), Las Virgenes S. (Gr.1). Mère de 7 vainqueurs dt:
vict. aux USA, $74,409, New Mexico State
Fair H.(L.), 2e Downs at Albuquerque H. (L.). Etalon. Crazy Fling (f.), 1 vict. aux USA, $47,990. Mère de 9 vainqueurs dont :
vict., 2e Waikato Guineas (Gr.3). Crazy Deputy, (m.), 2 vict. aux USA, 2e Sport of Kings Futurity (L.). Crazy Summer Fling (f.), 2 vict. aux USA. Mère de Summer Movie. 4 e mère ZIPPY DO, 15 vict. aux USA, $167,893, Columbiana H. (Gr.2). Mère de: VILZAK, 3 vict., $557,602, Hollyw. Turf Cup Cup Inv. H. (Gr.1).Etalon. JANE'S DILEMMA, 15 vict., $546,756, Gallant Fox H. (Gr.2). Etalon. CASEY'S ROMANCE, (f.), 7 vict., $212,510, Pacific Heig hts H.(L.). MINT COOLER, 4 vict., Primrose S.(L.), 2e American Oaks (Gr.1).
Deauv. 11/2013
5E · 14H32 > PRIX LONGINES - PRIX DU CALVADOS Gr3 - Plat - Femelles - 80.000 € - 1.400m Pour pouliches de 2 ans n'ayant pas gagné une course du Groupe II. Poids :56 k. 1re QUEEN BEE (56) f2 Le Havre & Pan Tadeus Pr/Assoc. G.Augustin-Normand/Ec.La Boetie - El/Julian Ince Ent/E. Lellouche - J/G. Benoist Arqana, Deauville, novembre 2013, yearling, 6.000€, vendue par le Logis à Con Marnane 2e CALYPSO BEAT (56) f2 Speightstown & African Skies Pr/Assoc. Cockerill/Hillen/Graham - El/Sh Bloodstock Ent/K. A. Ryan - J/C. Soumillon 3e SIVOLIÈRE (56) f2 Sea the Stars & Sefroua Pr/Mme M. de Chambure - El/Janus Bloodstock Inc. Ent/J.-C. Rouget - J/J.-B. Eyquem Arqana, Deauville, août 2013, yearling, 170.000€, vendue par Etreham à Meridian International Sarl Autre(s) partant(s) dans l'ordre d'arrivée : Kindly DismissAutre(s) partant(s) dans l'ordre d'arrivée : La Khaleesi, Santa Helena. Tous couru (6). (Turf) Très souple. 1'29''21. Ecarts : 1/2 - 1 1/4 - 3/4 - D/H. SYLVAIN VIDAL • +33 (0)6 20 99 10 15 haras@lacauviniere.com MATHIEU ALEX • +33 (0)6 26 59 19 18 malex@lacauviniere.com L e
H avre
www.lacauviniere.com ENCORE UN YEARLING ARQANA 02 31 92 40 84 ÉLEVÉ
& VENDU
www.haras-etreham.fr 6E · 15H08 > PRIX PMU - GRAND HANDICAP DES SPRINTERS Course B - Plat - Handicap divisé (+15 ; +16) - Première épreuve - 70.000 € - 1.000m
Pour chevaux entiers, hongres et juments de 3 ans et au-dessus, ayant couru depuis le 1er février 2014 inclus. 1er ROBERT LE DIABLE (56,5) H5 Dutch Art & Red Begonia Pr/B. Lynam - El/Frederic Flechner Ent/D. Prod'homme - J/F. Prat Arqana, Deauville, août 2010, yearling, 12.000€, vendu par Ellon à Antoine Lamotte d’Argy 2e CAMBIO DE PLANES (60) H5 Dutch Art & Barreda Pr/F. J. Lacosta Guindano - El/Felix Maria Gonzalez Vela Ent/C. Delcher-Sanchez - J/P.-C. Boudot 3e AKSIL (59) f4 Spirit One & Néra Zilzal Pr/Haras de la Gousserie - El/Bouzid Chehboub Ent/M. Boutin - J/C.-P. Lemaire Autre(s) partant(s) dans l'ordre d'arrivée : Frascata, Fred Lalloupet, Pretty Panther, Artplace, Sorry Woman, Sea Trial, Chopsoave, Pala- bre, Le Valentin, Spirit Quartz, Ghor, Ministre d'Etat, Vital Spirit. Tous couru (16). (Turf) Très souple. 0'58''78. Ecarts : 3 1/2 - 3/4 - NEZ. ENCORE UN YEARLING ARQANA ÉLEVÉ PAR LE Haras d’ELLON Thierry de la Héronnière - Tél. : 06.11.12.38.06 JDG – DIMANCHE 24 AOÛT 2014 – 9 DEAUVILLE, SAMEDI JDG PETITES ANNONCES PALEfRENIER-SOIGNEUR Haras, élevage pur-sang situé à proximité de Deauville (14) recherche pour renforcer son équipe
Vous serez principalement chargé de l'entretien quotidien du haras et des chevaux. Vous devez posséder une bonne connaissance des chevaux. Merci de transmettre vos candidatures (CV + photo et lettre de motivation) à CV_haras@yahoo.fr SEA THE STARS www.agakhanstuds.com amoureux des chevaux. J’ai beaucoup aimé la manière dont il a gagné. C’est encourageant pour l’avenir. » Freddy Head a expliqué en ce qui concerne Almanaar : « Il est difficile, très difficile. Aujourd’hui, dans les stalles, cela s’est relati- vement bien passé. À l’entraînement, lorsque les stalles s’ouvrent, il se retourne presque dans sa stalle et ne sort pas. Je n’ai jamais vu ça. S’il prend bien cette course, il va être un bon cheval. Tout se jouera dans la tête. Il court très bien, et il a beaucoup à gagner. C’est encore un gros bébé, c’est pour cela qu’il a les œillères. Il a une grosse marge de progression. » Toujours vu aux avant-postes, Capo Maximo (Cape Cross) a conservé la troisième place. Le frère de More than Sotka Acheté 205.000 € aux ventes Arqana d’août 2013, Mosta- neer est un propre frère de More Than Sotka, gagnant du Prix des Jouvenceaux et des Jouvencelles (L). Leur mère, King’s Doll (King’s Best), n’a jamais couru, mais a aussi produit le bon cheval d’obstacle Lough Kent (Barathea). Il s’agit d’une fille de Download 1.97 Mb. Do'stlaringiz bilan baham: |
ma'muriyatiga murojaat qiling