Visite du site de l’Écopôle de Gueltas Suez Environnement
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OUEST
Visite du site de l’Écopôle de Gueltas Suez Environnement 10 juin 2016
et Sita. Les activités eau et déchets représentent chacune la moitié du CA de l’entreprise. Le groupe emploie 80 000 salariés dans le monde. La filière déchets, qui compte 18 000 personnes en France, est divisée en 6 grandes régions, le Grand Ouest regroupe les Pays de la Loire, la Bretagne, la Normandie et le Centre. Pôle collecte : Collecte directe (particuliers), industriel Pôle traitement avec la valorisation matière, biologique, énergétique A noter sur les incinérateurs, les collectivités locales sont souvent propriétaires, Suez Environnement en assurant l’exploitation. Le site de Gueltas D’une superficie de 100 ha, le site est à vocation régionale. Le site a noué des partenariats divers -
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Syndicat des éleveurs du cheval breton -
Observation des laridés -
Actions locales (portes ouvertes, visites,…) Acceptation des déchets -
Fiche d’identification préalable (doc réglementaire, origine, caractéristiques, qualité,…) -
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Contrôle de la radioactivité (avec un portique avec un réglage à trois fois le bruit de fond, isolement pour observer la décroissance, procédure très cadrée) -
Contrôle visuel au déchargement En cas de refus de déchets, le site avertit : -
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le préfet du Morbihan -
le préfet du département du producteur
Une épée de Damoclès assez efficace donc rarement nécessaire (le plus souvent lié à des problèmes documentaires et non aux caractéristiques du déchet). Centre de Tri Déchets acceptés : Déchets industriels valorisables, pré- tri, mise en balle pour une valorisation matière. Risques liés à la nature des déchets. Incendie Caméra et caméra thermique, DI par différentiel de température (intérieur/ extérieur). Risque environnement : les envols. Risque SST : circulation, gestes répétitifs, sécurité machines. Pas d’activité le WE (tout est vide pour limiter le risque)
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Bois de classe B (le reste) : valorisation matière pour refaire du composite après broyage Les risques : Incendie Caméra et caméra thermique, éloignement. Risque environnement : les poussières. Risque SST : circulation (collision engin-piéton)
Déchets verts des Collectivités et des industriels, broyage et mise en andains, contrôle du suivi des températures, aération pour maintenir des conditions aérobie OK, criblage, suivi par rapport à la norme
Compostage des boues STEP urbaines ou industrielles Structuration des boues pâteuses avec le bois classe A broyé pour créer un espace solide Fermentation en casier, criblage Suivi selon la norme NFU 44-095 Suivi de la qualité des boues en fonction de la norme voir avec une périodicité plus importante Risques incendie : fermentation et montée en température. Risque environnemental odeurs (portes fermées, biofiltre, CA, tours de lavage), SST : biologique, engins, gaz – H2S, NH3 et CO – hygiène, Chronologie
janvier 1995 : stockage de déchets non dangereux,
1999, traitement des lixiviats,
2001 compostage des boues,
2007 nouvel AP avec le TMB,
2011 valorisation électrique du biogaz produits,
méthanisation CSR,
2016 cogénération
vêtement, accès piétons réglementé, gazbadge portatifs , risques gaz liés essentiellement aux périodes de mouvement des andains
Objectif : valorisation de la fraction fermentescible de nos poubelles Déchets acceptés : OM résiduelles, refus de fabrication (agro alimentaire), produits déclassés (idem), sous produits animaux de catégorie 3 Les déchets arrivent dans un tube fermenteur de 40 m de long (durée de passage 3 j, température 50 à 60°C) action de tri et pré-fermentation accélérée, puis criblage et tri balistique. Les métaux sont valorisés, les plastiques enfouis ou incinérés, matière organique en mélange avec du structurant bois puis fermentation, maturation et affinage, on arrive à un produit conforme à la NFU-44-051 vendu aux exploitants dans un rayon de 50 km. Pas d’ensachage pour mise en vente aux particuliers. Points d’autocontrôle et de surveillance tout au long du process, suivi qui a permis de ne pas avoir de lots non conformes depuis 2009 A noter, la norme précise les teneurs max en petits morceaux de verre, de plastique dur et souple. Sur 100 entrant 55 % refus, 25 % compost et 5 % métaux et le reste est volatile (eau, COV…) Captage des poussières au plus près des équipements, un traitement d’air avec mise en dépression de l’usine, tour de lavage acide, biofiltre, charbon actif. Débit 70 000 m3/h. Risques incendie : déchets, process, fermentation, détection incendie par différentiel de température, étude en cours sur DI et protection de la fosse, sonde de température, caméra, contrôles et déclassement.
Deux barrières pour isoler le déchet. Un casier découpé en 6 alvéoles -
Barrière passive : l’argile du site (5 m avec une perméabilité de 10 -6 m/s – minimum réglementaire + 1 m d’argile avec une perméabilité inférieure à 10 -9 m/s) -
Une barrière active, une géomembrane + un géotextile + 50 cm de matériaux drainants À noter : L’autorité préfectorale autorise le site mais c’est le préfet qui donne l’autorisation d’exploiter l’alvéole, avec un dossier de recollement beaucoup plus complet sur la qualité de la réalisation de l’alvéole. Les derniers textes réglementaires prescrivent une diminution du stockage de ISDND qui sont par définition des déchets ultimes non valorisables dans des conditions économiques acceptables (ce qui évolue année après année et donc on va vers une diminution de la quantité enfouie) Quand la cote maximum est atteinte : 70 cm d’argile du site, membrane et 30 cm de terre. La membrane permet de limiter la génération de lixiviat et la diffusion non contrôlée de gaz. Quand l’alvéole est fermée, on rentre en suivi long terme : gestion de lixiviat, biogaz, avec objectif de résultats (plus de biogaz et plus de lixiviat) et possibilité de prolongement de cette période de suivi à long terme par l’autorité de tutelle si le résultat n’est pas atteint. Financement par un prélèvement et provisionnement sur chaque tonne de déchet entrant Test ioniflamme régulier (test de détection de CH 4 pour voir si tout reste bien étanche après réaménagement) Piézo amont et aval de l’installation pour vérifier qu‘il n’y a pas d’impact sur la nappe + un réseau de drainage sous la barrière passive qui permet un contrôle supplémentaire. A noter : géologie idéale sur le site A noter : lixiviats relativement peu chargés par rapport à ce qui se passe ailleurs car il n’y a jamais eu d’OM dans les alvéoles Risque incendie : déchets, engins, pompes GNR et puits biogaz. De la caméra vidéo et des caméras thermiques, détecteur IR mobile. Entretien et nettoyage des engins. Extinction par réserve de terre. Environnement envols, lixiviats, biogaz : SST : poussières – aérosols, chutes de quai et circulations. Traitement : filtration des cabines, barrières de quai, règles de circulation sur le quai. Le risque principal reste la chute de plain-pied
Valorisation du biogaz par une cogénération Risque incendie biogaz : Détection gaz , alarme technique, torchère, environnement : contrôle légionnelle sur la tour aéroréfrigérante. Nombreuses analyses (1200/an) Effarouchage
La STEP : BAAP, dénitrification, post nitrification, ultra filtration, OI, et charbon actif en finition. NH 3 : 100° mg/l, DCO 1000 à 1500 mg/l, capacité 4,5 m 3 /h maxi, en général tourne à 4 m 3 /h.
Soit environ 25 000 m 3 /an Le coût si externalisé 35 €/m 3
Valorisation de l’eau issue du traitement par taillis très court production (saules irrigués qui serviront de biomasse énergie)
Demain : méthanisation, création d’un combustible solide de récupération (préparation) à partir de déchets d’encombrants de déchèteries ou de DIB industriels.
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