P I c a r d I e s e r V i c e r


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CLAUDINE POMMEPUY (1951-2002)
Claudine Pommepuy nous a tragiquement quittés ce lundi 9 septembre 2002, sur une route qu'elle
connaissait pourtant bien, celle de la vallée de l'Aisne.
Parisienne de naissance, elle était née en 1951 dans le quartier de Belleville dont elle a toujours
gardé la nostalgie, puis elle avait passé son adolescence au Maroc, pays qui l'avait profondément
marquée et lui avait donné très tôt le goût de l’archéologie. Passionnée par cette discipline, elle
débuta ses études d'abord à Censier, puis à l'université Paris l (Panthéon-Sorbonne), dans ce
bâtiment baroque qu'est l'Institut d'Art et d'Archéologie où elle obtint en 1979 un DEA de Préhistoire.
D'abord orientée vers la Préhistoire ancienne, elle participa activement plusieurs années de suite
à la fouille et à l'étude du site d'Étiolles (Essonne) sous la direction d'Yvette Taborin, puis intégra,
également en 1979, ce qui s'appelait, à l'époque, la Direction des Antiquités préhistoriques de
Picardie.
Dès le début des années quatre-vingt, elle se consacre à l’archéologie de la vallée de l'Aisne et
participe à l'élaboration du premier numéro spécial de la Revue archéologique de Picardie consa-
cré aux Cinq années de fouilles dans la vallée de l'Aisne. Puis elle prend la direction des recherches
sur le site protohistorique de Bucy-le-Long, et intègre officiellement l'équipe de l'URA 12 du CRA-
CNRS à l'origine du programme de recherches archéologiques sur la vallée de l'Aisne. En 1984,
elle prend la direction du Centre archéologique départemental de Soissons et contribue ainsi à
regrouper au sein d'un même bâtiment l'ensemble de la communauté archéologique du départe-
ment de l'Aisne. Elle assure ainsi une sorte de relais entre archéologues, professionnels et béné-
voles, et la population axonnaise et n'hésite pas à s'engager pleinement pour faire partager au plus
grand nombre sa passion et ses connaissances. Désormais bien ancrée dans le département,
elle s'implique dans la vie associative de la Fédération départementale des Archéologues de
l'Aisne et à la création du Centre de Recherches archéologiques de Soissons et ce, sans pour autant
négliger son engagement syndical. Puis elle oriente ses recherches scientifiques vers une pério-
de plus récente, celle de la fin du I’âge du Fer ou époque de La Tène et continue à assumer la res-
ponsabilité de certaines opérations archéologiques portant sur des sites d'habitat ou des nécro-
poles. Elle innove même en étudiant un matériel archéologique jusqu'alors sous-estimé, le matériel
de mouture gaulois (meules et broyons), ainsi que l'économie des matières minérales protohisto-
riques. Elle participe régulièrement à différents colloques et publications où elle expose les résul-
tats de ses recherches, dont l'intérêt est aujourd'hui reconnu par la communauté scientifique.
La disparition brutale de Claudine Pommepuy a profondément bouleversé ses amis et collègues,
tant ceux de la Direction régionale des Affaires culturelles de Picardie, du Service régional de
l’archéologie, que les archéologues de toutes institutions et les nombreux étudiants dont elle avait
assuré la formation sur différents chantiers et qu'elle avait soutenus activement dans la réalisation
de leurs travaux universitaires.
Le Service régional de l’archéologie
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L’année 2002 a été marquée par le changement radical
de la pratique de l'archéologie préventive, liée à l’applica-
tion de la loi n° 2001- 44 du 17 janvier de 2001 relative à
l’archéologie préventive. La nouvelle réglementation, com-
plétée par le décret n° 2002-89 du 16 janvier 2002, est
entrée en application le 1
er
février 2002. Elle confie la réa-
lisation des opérations à un établissement public adminis-
tratif, l’Institut national de recherches archéologiques pré-
ventives (INRAP), qui s’est en quelque sorte substitué à
l’Association pour les fouilles archéologiques nationales
(AFAN). 
La mise en œuvre de cette nouvelle réglementation ne
s’est pas faite sans difficulté. Le Service régional de l'ar-
chéologie a du s’adapter aux nouvelles procédures. Elles
ont le mérite d’être bien définies par le cadre réglementai-
re mais elles nécessitent une grande rigueur dans l’appli-
cation, car les délais sont très encadrés. En outre, elles
génèrent un grand nombre de documents administratifs.
Pour répondre, il a été nécessaire d’élaborer un système
informatisé de gestion, à l’échelle régionale (POPAR). Bien
évidemment, les premiers mois d’application ont mis en
évidence la relative complexité des procédures, et le sys-
tème a du être peaufiné au fur et à mesure. D’autre part,
il a fallu aussi faire face aux interrogations de nos interlo-
cuteurs, administrations concernées et aménageurs, rela-
tivement déroutés par toutes ces nouveautés. L’information
des différents partenaires a donc occupé une part impor-
tante de l’activité du Service régional de l'archéologie. 
Il est encore trop tôt pour tirer un bilan de tout cela.
Néanmoins, il apparaît que l’assimilation de ce nouveau
système réglementaire pendra un certain temps. En outre,
des difficultés ont été rencontrées au niveau du finance-
ment des opérations archéologiques. Il semblerait que la
redevance d’archéologie préventive ne permette pas de
prendre en charge correctement la réalisation des dia-
gnostics. D’autre part, les modalités de calcul de la rede-
vance pour les fouilles aboutissent, dans quelques cas, à
des montants très importants, difficilement supportables
pour les aménageurs. D’ores et déjà, il semble que des
ajustements s’imposeront lors de l’évaluation du nouveau
dispositif par le Parlement, en décembre 2003. 
Pour conclure, 2002 restera, sans aucun doute, comme
l’année d’un tournant fondamental pour l’archéologie fran-
çaise, plus encore que 2001. C’est celle de la mise en
application du nouveau cadre réglementaire qui clarifie et
précise les procédures de l'archéologie préventive. Il est
apparu que cette réorganisation nécessaire n’était pas
facile à mettre en oeuvre, mais elle permettra, à terme,
une meilleure prise en compte du Patrimoine archéolo-
gique national.
Claude JEAN
Directeur régional
des affaires culturelles
de Picardie

livrer des informations intéressantes. Sa position aux fron-
tières des aires culturelles du Chasséen septentrional et du
Michelsberg constitue l’un des intérêts du site. Les deux
phases d’utilisation de la sépulture collective en fosse de
Bury (Oise) ont encore été confirmées cette année : la pre-
mière se place au Néolithique récent, la seconde au Bronze
ancien. 
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La nécropole de La Tène ancienne (seconde moitié du
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siècle - milieu du IV
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siècle avant J.-C.) explorée à
Vasseny (Aisne), dans une carrière, a livré 40 tombes (39
inhumations). La variété des dépôts mobiliers permet
d’appréhender la hiérarchie sociale au sein de cette peti-
te communauté. Signalons trois tombes à char, dont une
féminine. Parmi les fouilles d’établissements ruraux laté-
niens, deux sites se distinguent. À Ronchères (Aisne) sur
le tracé du LGV Est, une petite ferme fouillée exhaustive-
ment possédait une enceinte encore en partie conservée
en élévation, grâce à sa localisation dans un bois. Elle a
livré des vestiges d’une activité métallurgique conséquen-
te et d’autres indices qui suggèrent une résidence aristo-
cratique. L’occupation s’est poursuivie au début de
l’époque romaine mais il ne s’agit plus que d’un modeste
établissement agricole. À Croixrault (Somme), sur l’A.29,
plusieurs établissements à enclos fossoyé, occupés entre
le II
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siècle avant J.-C. et le tout début de l’époque romai-
ne ont été étudiés sur 15 ha, ainsi que leurs alentours,
riches en réseaux parcellaires. 
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De nombreux sites de cette période ont été explorés sur le
tracé de l’A.29. Parmi les plus importants, signalons le
mausolée de Revelles (Somme), qui succède à un très
probable relais routier. Le mausolée qui a livré des élé-
ments architectoniques remarquables, présente la parti-
cularité d’avoir été transformé en fortin dans la seconde
moitié du III
e
siècle (notice dans le BSR 2003). À Pont-de-
Cette année, le nombre des interventions archéologiques
est un peu supérieur à celui des années antérieures : 215
contre 191 en 2001. Cela est principalement dû aux inter-
ventions préventives liées à l’autoroute A.29, section
d’Amiens à Poix et à la ligne ferroviaire à grande vitesse
(LGV), vers l’est de la France. Comme toujours, la majori-
té des opérations correspond à des sondages d’évalua-
tion ou des diagnostics : 180 (133 en 2001). Les fouilles
préventives sont un peu moins nombreuses que l’an
passé : 24 (34, en 2001). Le nombre des fouilles pro-
grammées est stable : 11 (10 en 2001).
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Les fouilles programmées occupent toujours une place
prépondérante pour l’étude de cette période. Plusieurs
opérations de longue durée continuent d’apporter des infor-
mations fondamentales, comme les deux fouilles de Cagny
(Somme), pour le Paléolithique inférieur, et celles de
Saleux (Somme) et Verberie (Oise), pour le Paléolithique
supérieur. Cette dernière opération s’interrompt cette
année, pour préparer la publication. Un site du
Paléolithique moyen a fait l’objet d’une fouille importante,
aux résultats très significatifs, à Fresnoy-au-Val (Somme),
dans le cadre des opérations préventives de l’A.29. A
Warluis (Oise), des sondages ont permis de reconnaître
une dizaine de concentrations mésolithiques : le potentiel
de ce secteur est particulièrement remarquable. 
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Un site Cerny  a été reconnu à Conty (Somme), ce qui
constitue une première pour ce secteur géographique. À
Bazoches (Aisne), de nouvelles fouilles préventives ont
permis de compléter le plan de la grande enceinte néoli-
thique déjà étudiée il y a quelques années. Cet ensemble
de dimension considérable (9 ha), qui a livré un mobilier
abondant, sera présenté dans le BSR 2003. L’enceinte du
Néolithique moyen de Crécy-sur-Serre (Aisne), qui fait
l’objet de fouilles programmées depuis 1998, continue de
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Metz (Somme), une petite agglomération routière possédait
un minuscule théâtre (notice dans le BSR 2003). Sur le
tracé du LGV Est, à Goussancourt (Aisne) à la périphérie
d’un habitat groupé lié à une voie secondaire et qui se
développait pour l’essentiel hors de l’emprise, une implan-
tation du IV
e
siècle a été étudiée. Elle comprenait un grand
édifice élevé sur poteaux, interprétable comme une maison
étable, type architectural étranger à la région. 
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Un habitat des X
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siècles a été fouillé, à Varesnes
(Oise), dans une carrière. Il présente la particularité de
s’inscrire dans de petits enclos curvilignes qui pourraient
former une sorte d’enceinte. Une partition semble entourer
une unité d’habitation principale. Cette organisation origi-
nale conduit à s’interroger sur le statut de cet habitat, mais
il n’y a pas d’élément caractéristique dans le mobilier qui
démontre qu’il s’agit d’une ferme ou résidence aristocra-
tique. La fouille programmée du complexe castral de Boves
(Somme) a continué de livrer des informations qui
confirment le caractère exceptionnel de cet ensemble. Des
fouilles urbaines intéressantes ont été menées à Beauvais
(enceinte médiévale), Saint-Quentin (fortifications
modernes) et Soissons (occupation dans le castrum). On
signalera, en particulier, l’exploration aux alentours de la
cathédrale à Noyon, d’une partie de la curia episcopalis.
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Rappelons que la diffusion des résultats scientifiques
s’effectue grâce à différents supports éditoriaux, comme la
Revue du Nord
et principalement la Revue archéologique
de Picardie

La diffusion des résultats des opérations archéologiques
les plus significatives, à destination du grand public, se fait
aux moyens de plaquettes éditées dans la collection
Archéologie en Picardie
. Ces documents donnent au public
une information très synthétique et illustrée sur les résul-
tats d’opérations significatives. Ils sont diffusés gracieu-
sement. Cinq nouvelles plaquettes ont été réalisées :
Les ressources animales du Néolithique à l’âge du Fer
dans les vallées de l’Aisne et de l’Oise, Soissons « Abbaye
Saint-Jean-des-Vignes », Sur le tracé de l’autoroute A29
Amiens - Saint-Quentin, Déviation de Canchy (Somme) :
complexe funéraire celtique et habitat gallo-romain, Laon
« Le cimetière mérovingien de la ville haute »
.
D. BAYARD
T. BEN REDJEB
J.-L. COLLART
B. DESACHY
J.-O. GUILHOT
M. LE BOLLOCH
C. POMMEPUY

PROJETS COLLECTIFS DE RECHERCHES
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Thème
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Époque
Rapport
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PCR “Géoarchéologie du silex du Nord-ouest de la
France”
FABRE Jacques (AUTR)
PCR
PAL - NÉO
PCR “Le III
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millénaire avant J.-C. dans le Centre Nord
de la France”
SALANOVA Laure (CNRS)
PCR
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PCR “Les théâtres gallo-romains de la Gaule Belgique et
Lyonnaise”
LABASTIE Éric (COLL)
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Parcants – Le Cul des Cinq Faulx – Le Gravier
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BEUVARDES – TGV EST
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M. DERBOIS (INRAP)
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Zone intercommunale du Champ du Roy
P. LE GUEN (INRAP)
OPD
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CHARLY-SUR-MARNE
Voie de Contournement
M. FRIBOULET (INRAP)
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15
8673
CHARLY-SUR-MARNE
Sous les Carrières
F. MALRAIN (INRAP)
OPD
GAL
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7782
CHARMEL (LE) – TGV EST
Le Bois de Fère
D. LUKAS (INRAP)
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GAL
42
7991
CHÂTEAU-THIERRY – TGV EST
Les Étangs – Le Champ d'Asil
R. JEMIN (INRAP)
ÉV
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17
PICARDIE
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Do'stlaringiz bilan baham:
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