P I c a r d I e s e r V i c e r


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Ce diagnostic concerne plusieurs zones boisées traver-
sées par le tracé du TGV Est. Les sondages archéolo-
giques dont la profondeur a atteint de 0,90 à 1 m et qui ont
inclus de manière ponctuelle et sous assistance d’un pré-
historien des sondages profonds n’ont permis de retenir
aucun vestige anthropique dans ce secteur ; seules
quelques traces isolées d’une fréquentation humaine des
lieux à l’époque moderne ont été recensées.
LUKAS Dagmar (INRAP)
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Goussancourt - TGV Est. « La Fontaine des Grèves ». Plan du bâtiment sur poteaux 3600 (Réal. C. Hosdez, K. Libert INRAP)
1/100
1 cm = 1 m
05 m
Légende : 
: limite d'emprise du bâtiment 3600
: tranchées
: foyers, zones rubéfiées
: pierres
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Cette évaluation archéologique a été motivée par la créa-
tion d’une déviation de la R.N. 2 de Soissons à Laon, entre
les communes de Chavignon et Urcel. 
Dans l’emprise concernée, d’une surface totale de deux
hectares, les tranchées d’évaluation n’ont pu mettre au
jour que des déblais de constructions modernes et des
restes d’engins de guerre ayant déjà fait l’objet d’une détec-
tion préventive par les services concernés.
FRIBOULET Muriel (INRAP, AOROC-
UMR 8546 CNRS-ENS)
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CONTEMPORAIN
La réalisation d’un bassin pour la Ligne Grande Vitesse
Est est à l’origine du diagnostic. Les tranchées de son-
dages n’ont permis la mise au jour que d’une inhumation
d’époque gallo-romaine. Le squelette était directement
placé sous les terres de labour dans une légère cuvette.
L’acidité du terrain n’a pas permis le prélèvement des os.
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GALLO-ROMAIN
Cette opération de sondage s'est déroulée préalablement
à la construction d'un foyer d'action éducative pour la
Direction régionale de la protection judiciaire. Cet aména-
gement concerne une parcelle de 1 740 m
2
, localisée sur
la commune de Laon au lieu-dit Le Chemin de Semilly.
Cette phase de reconnaissance n'a pas permis de mettre
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Le seul mobilier découvert est une boucle de ceinture à
extrémités zoomorphes de la deuxième moitié du IV
e
siècle
qui était déposée au niveau du genou droit.
HOSDEZ Christophe (INRAP)
en évidence la moindre présence d'occupation humaine.
Aucune trace liée à l'activité des tuileries modernes n'a
été repérée sur l'emplacement du projet de construction du
foyer d'action éducative.
JOSEPH Frédéric (INRAP)
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L'environnement archéologique immédiat de la parcelle
concernée se situe au cœur de la plus forte occupation
historique de la plaine de Limé, c'est-à-dire près de la villa
gallo-romaine et médiévale, qui est l’un des plus grands
complexes agricoles antiques connus dans la région. Dans
l'état actuel de nos connaissances, le corps de bâtiment
principal se situerait à quelques 150 m à l’ouest. Toutefois,
les fouilles sur la parcelle du Gros Buisson, au sud et au
sud-ouest du Pont d'Ancy, montrent que le sud et l'est de
la  villa ont largement été occupés durant le haut
Moyen Âge et que les vestiges protohistoriques et antiques
L’opération de diagnostic réalisée en 2002 dans la vallée
de la Vesle, concerne l’extension de la carrière de granu-
lats de l’entreprise Granulats de Picardie. La superficie de
la parcelle concernée est de 3,85 ha. Cette intervention
fait suite aux nombreuses campagnes de fouilles qui ont
été menées sur ce secteur depuis 1991, dans le cadre de
la convention entre l'État et l'Association des exploitants de
granulats de Picardie. Elle précéde à peu de temps d'in-
tervalles une autre phase d'évaluation, sur une surface
d'environ 15 ha qui correspond aux abords de la villa
antique et médiévale de Limé (parcelle Le Gros Buisson). 

36
La limite sud-ouest de la villa est marquée par au moins
trois générations d’enceintes dont l’angle nord-ouest avait
été reconnu lors des fouilles de 1998 (Thouvenot, 1998).
Une de ces trois phases est constituée d’un muret (St 431,
437, 441, 450, 458, 554 etc). Ce dernier a été reconnu sur
toute la longueur de l’emprise de la tranchée 1 à la tran-
chée 26. Il matérialise donc non seulement la limite de la
villa
mais également une parcelle adjacente à la façade
arrière du bâtiment principal dont la limite est semble être
l’actuel chemin vicinal. 
Un retour sur un fossé d’enceinte a été reconnu à l’extré-
mité nord-est de la Tr. 26. Il pourrait marquer la séparation
entre la partie résidentielle et la partie agricole, schéma
récurant dans les villae du nord de la France.
La vaste fenêtre ouverte sur l’aile de la villa a permis de
reconnaître un grand nombre de bâtiments et a clairement
démontré la nature stratifiée du site à cet endroit (fig. 3).
Les tranchées contiguës et deux tests en profondeur indi-
quent une épaisseur des sédiments archéologiques com-
prise entre 0,20 m et 1,20 m. L’analyse du plan montre au
moins quatre phases d’occupations et une phase de récu-
pération des matériaux, mais l’absence de mobilier ne per-
met actuellement aucune datation précise.
La première étape est constituée de trois tranchées de
fondation (519, 532, 528) ainsi que trois calages de poteau
(530, 531, 526). L’antériorité est démontrée par le recou-
vrement du sol 523 clairement rattaché à l’étape suivante.
L’organisation spatiale de cette phase d’occupation de la
villa
n’est pas discernable à ce niveau des recherches. 
La seconde étape semble fixer les principales lignes direc-
trices dans l’organisation des bâtiments qui vont largement
contraindre les multiples reconstructions ultérieures. Deux
murs (522, 534, 544, 546) à angle droit en grande partie
Le diagnostic archéologique effectué sur le site de Limé
intervient dans le cadre de l’extension de la carrière au
lieu dit Le Gros Buisson dont l’exploitation a débuté en
1994. Ces recherches intègrent une surface totale de
18,1 ha fractionnées en deux interventions réalisées au
cours de l’année 2002. Une première tranche (placée sous
la responsabilité de S. Thouvenot) a été réalisée en urgen-
ce, sur une surface d’environ 3 hectares, pour répondre
aux impératifs d’exploitation de la carrière. La seconde
intervention, objet de cette présente notice, a porté sur les
15 hectares restants.
Deux principaux objectifs ont guidé cette opération de
diagnostic. Le premier concernait la mesure précise de
l’extension de la villa d’Ancy explorée depuis la fin du
XIX
e
siècle. Le second concernait le développement de
l’occupation médiévale (habitat et nécropole) reconnue en
2001 par Guy Flucher (INRAP).
L’essentiel des structures en rapport avec la villa ont été
reconnues dans les tranchées 26 à 33 (fig. 1). Le report de
ces ensembles inédits sur le plan des vestiges déjà connus
démontre l’existence de bâtiments sur l’aile nord-ouest de
la villa jusqu’alors totalement inconnue. La présence d’un
talweg colmaté par un limon orangé avait considérable-
ment altéré la lecture sur la photographie aérienne de
M. Boureux (1978) dans ce secteur. 
Cette nouvelle campagne permet d’apporter bon nombre
d’informations concernant l’organisation spatiale de ce
vaste établissement (fig. 2). 
En premier lieu, la longueur de la façade du bâtiment
principal peut être portée à environ 300 m pour une pro-
fondeur de 100 m soit un édifice, cours incluses, de
trois hectares. Le caractère exceptionnel de cet établis-
sement plusieurs fois souligné n’est pas démenti. 
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y sont également nombreux. La parcelle concernée a été
occupée aussi du Moyen Âge à l'époque moderne. Textes,
terriers et cadastres anciens signalent de manière récur-
rente la présence au Pont d'Ancy d'un corps de ferme
dépendant de la ferme des Bruyères, du moulin et du pont
en bordure de l'île d'Ancy ainsi que d'un vivier. 
Quinze tranchées de sondage ont été creusées jusqu'à
des profondeurs de 50 à 70 cm. Elles représentent une
surface ouverte équivalente à 8,73 % de la surface totale.
Les vestiges sont tous directement affleurants sous la
semelle de labours. Ces sondages archéologiques ont per-
mis de mettre en évidence la présence de vestiges en
nombre important sur l'ensemble de la parcelle. 
Quatre grandes phases d'occupation sont représentées.
Elles confirment, d'une part, l'étendue des implantations
reconnues sur les parcelles périphériques et l'existence
de sites connus par les sources écrites. La plus ancienne
phase d'occupation pourrait correspondre à un établisse-
ment rural de La Tène finale. L'occupation antique com-
prendrait des aménagements importants en relation avec
le terroir de la villa, mais à l'exception d'un possible bâti-
ment isolé, elle ne révèle pas de vestiges d'occupation
domestique. À l'inverse, la parcelle semble largement
occupée par un habitat du haut Moyen Âge, confirmant
ainsi l'étendue d'un site correspondant à une villa royale
mérovingienne et carolingienne. À ce jour, ces témoins
couvrent une surface de plusieurs dizaines d'hectares dans
un périmètre d'environ 500 m autour du corps principal de
la villa. Enfin, la mise en évidence des témoins de la ferme
et du moulin signalés par les sources écrites dans la plai-
ne de Limé, durant le Moyen Âge et l'époque moderne,
vient conforter l'intérêt majeur des recherches archéolo-
giques sur la plaine de Limé. En l'état des connaissances,
cette micro-aire est l'un des rares endroits où il nous est
donné de comprendre toute la dynamique et l'évolution de
l'occupation d'un terroir depuis ses origines jusqu'à nos
jours.
THOUVENOT Sylvain (INRAP)

37
pour 3 m de longueur. Un mur (535) totalement récupéré
marque la limite sud-ouest de cet aménagement. Deux
murs (545, 539) assurent la jonction entre l’hémicycle et le
couloir.
La quatrième étape est marquée par l’abandon du carac-
tère fastueux des ensembles. Un bâtiment d’une longueur
minimum de 27 m pour une largeur de 4,5 m est créé (508,
510, 504, 507, 512, 514, 517). On notera que le mur nord-
ouest du couloir existant à la phase précédente est réuti-
lisé. Sept pièces ont été reconnues. La plus petite atteint
des dimensions de 4 m par 2 m. La plus vaste mesure 4 m
par 5,5 m. Il ne fait aucun doute que d’autres murs et amé-
nagements doivent perdurer, mais les dimensions réduites
du décapage et l’absence de fouille ne permettent pas de
les attribuer avec certitude à cette phase.
L’ultime étape est caractérisée par la récupération des
matériaux (497, 518, 524, 538, 537, 533).
L’occupation médiévale occupe la majorité des terrains au
sud et à l’est de la villa. L’organisation spatiale du site n’est
pas actuellement perceptible (fig. 1). Les vestiges sont
caractérisés par la présence de fossés, de bâtiments sur
récupérés et un bâtiment rectangulaire de 5 m de largeur
pour 6 m de longueur se rattachent à cette phase. La fonc-
tion de la bâtisse n’est pas connue, mais des traces de
rubéfaction sont visibles sur les quelques pierres conser-
vées constituant la maçonnerie. Il convient de souligner
que cet édifice est adossé à une des limites (554) de la
villa.
La présence d’un niveau (563) en rapport avec la
démolition du bâtiment à été reconnu.
La troisième étape marque le passage à une architecture
monumentale. Les nombreux fragments de marbre,
d’enduit peint, de mosaïque et de béton au tuileau sont
autant d’indices qui trahissent un niveau très poussé du
decorum. Le bâti s’organise autour d’un couloir (540, 508,
510, 520, 521) large d’environ 5 mètres aboutissant à une
salle en hémicycle (564, 557, 548) légèrement ovale. Cette
vaste pièce partiellement dégagée est appuyée sur une
des limites (465, 473) de la villa visiblement élargie de 4 m.
Le mur nord-ouest du couloir est agrémenté d’une série
d’exèdres rectangulaires (4 reconnues) ou semi-circulaires
(3 reconnues) en alternance (St. 542, 500, 502, 503, 506,
511, 513, 515, 516). Leur profondeur est d’environ 2 m
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Villa : zone bâtie dense
Site Xe-XIe
Fig. 1 : Limé. « Le Gros Buisson - Le Pont d’Ancy ». Plan général des vestiges (L. Duvette, INRAP, UMR 8142) 

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- Phase de récupération
- Phase 4
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Intervention 
S. Thouvenot,
 1998
Cliché M. Boureux et
 Fouilles XIXe, XXe
Fig. 3 : Limé. « Le Gros Buisson - Le Pont d’Ancy ». Plan des vestiges appartenant à la villa (L. Duvette, INRAP, UMR 8142)
Fig. 2 : Limé. « Le Gros Buisson - Le Pont d’Ancy ». Restitution de la villa (J.-L. Collart, SRA, L. Duvette, INRAP, UMR 8142)
poteau et sur semelle de fondation. Les matériaux de
constructions utilisés proviennent très largement de la villa
d’Ancy toute proche. L’emploi de tegulae, et de moellons
calcaires est clairement démontré. Les indices chronolo-
giques recueillis indiquent une fourchette X
e
-XI
e
siècles.
Quelques structures carolingiennes ont également été
reconnues. L’emprise de la nécropole reconnue en 2001
(Flucher, 2001) est circonscrite au nord. Elle ne déborde
pas sur les parcelles sondées cette année.
DUVETTE Laurent (INRAP, UMR 8142)

39
Cette intervention, réalisée du 21 avril au 7 mai 2002 est
venue compléter les campagnes de sondages archéolo-
giques menées en 2001 et 2002 sur les lots 13 et 14 de la
ligne du TGV Est Paris-Strasbourg. Elle concerne trois
tronçons de l’emprise, situés dans le sud du département
de l’Aisne et localisés respectivement, d’ouest en est, sur
les communes de Marigny-en-Orxois, Lucy-le Bocage,
Essômes-sur-Marne (lot 13) et Épieds (lot 14). 
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