«Que ferait-il dans un calendrier de 80 matches?» Serge savard:«Je n'ai aucune assurance, aucune certitude et que de l'espoir dans le cas de Tretiak. J'ai toutefois la ferme conviction que ça peut marcher
Participez au concours et courez la chance
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R È G L E M E N T S 1. Pour participer au concours, il suffit de découper. a tous les jours, a compter du 3 janvier le héros ou le personnage de «La Petite Presse» que vous prêterez. Les samedis 7 et 14 janvier. LA PRESSE publiera une annonce sur laquelle vous pourrez coller, dans la case correspondant a la journée, le héros ou le person- nage. Par la suite, vous devrez nous faire parvenir l'annonce en y joignant le cou- pon de participation 2. Le tirage au sort des 500 gagnants aura heu les 23 et 24 janvier 1984 3 LA PRESSE et tes 500 gagnants recevront leur prix par courrier. 3. La valeur totale des prix est de 3 2 5 0 $ et comprend. 500 albums de bandes des- sinées dont 175 exemplaires d'Achille l a l o n . 175 exemplaires de Lucky Luke et 150 exemplaires de la Jungle en Folie. (Le prix unitaire de chaque album est de 6.50 S.) 4. Le texte des règlements relatifs a ce concours est disponible à LA PRESSE. 7. rue Samt-Jacques. Montreal. Quebec. LES RAIDERS PORTENT BIEN LEUR N O M «Cette réputation émane de la direction» - Torn Flores Tom Flores se soustrait à l'image de durs que transportent ses Raiders. Avec ses stars Jim Plunkett et Marcus Allen qui partagent cette attitude, il se contente de gagner des mat- ches et de participer au Super Bowl, laissant aux Davis et Alzado les opérations d'extravagance. E L
SEGUNDO, C a l i f o r n i e (AP) — Au cours des an nées, les Raiders de Los Angeles ont lentement façonné une image qui correspond bien à leur nom Les Haiders arborent le noir et l'argent et leur casque est orné d'épées croisées et d'une tète de pirate. Pourtant, les Raiders possè dent une réputation q u i . selon l'entraîneur T o m Flores,
pas méritée. «Nous ne sommes pas une équipe de salauds», pré tend Flores. «Nous formons une équipe agressive et les équipes agressives écopent de nombreu- ses punitions. Inversement,
équipes qui jouent de finesse sont souvent blanchies». Quelques j o u e u r s des Sea- hawks de Seattle ont laissé enten- dre que les Raiders ont souvent bousculé après le coup de sifflet, dimanche dernier, à l 'occasion du match de championnat de la conférence Américaine. «Nous traitions une réputation, arborons le noir et faisons les choses à notre façon. Cette repu- tation émane de la direction». Le propriétaire Al Davis repré- sente la pièce maîtresse de la di rection. I l a souventes fois eu
prises de bec avec le commissai- re Pete Ro/elle et il a même poursuivi la N F L en cour afin de pouvoir déménager ses Raiders de Oakland à Los Angeles en 1982. Ses méthodes se révèlent très heureuses Les Raiders participe- ront
à leur deuxième match du Super Bowl en trois ans lorsqu'ils se mesureront aux Redskins de Washington le
janvier à Tam- pa. Us feront également les frais de la grande finale pour une qua- trième fois en
ans d'histoire. Seuls les Cowboys de Dallas les devancent à ce chapitre, ayant participé
cinq classiques. Une image de durs Plusieurs joueurs des Raiders, dont le démonstratif ailier défen- sif Lyle Alzado. se conforment à
l'image de guerriers à la perfec- tion. D'autres, tels le quart J i m P l u n k e t t , le porteur de ballon Marcus Allen et
Flo-
res, s'y soustraient. Malgré les succès de l'équipe, Flores, qui a permis aux Raiders de remporter le XVÏe Super Bow I devant les Eagles de Philadel- phie en
1981, est moins connu que certains autres entraîneurs, qui ont pourtant présenté des résul- tats moins étincellants. «Je mentirais si je disais que la
situation ne m'ennuie pas», pour- suit l'entraîneur de 15 ans qui af- fiche un dossier de 45 21 et de 6-1 en éliminatoires en cinq années à la barre des Raiders. «Même en bas âge. un garçon ou une fille aime bien que papa ou maman les félicite. Dans cette galère, seuls les victoires importent.» Le caractère conventionnel de I lores a aussi fait en sorte qu
n'ait pas acquis la notoriété. Il a toujours préféré s'en tenir aux jeux de base. Il se dit lui-mémo de la vieille école. «Notre champ arrière se com- pose encore de deux demis et
attaque n'est pas très sophis- tiquée». Aux yeux des joueurs. Flores, bien que peu f l a m b o y a n t , est grandement apprécié. «Nous af fichons une grande constance dans notre jeu»,
le garde offensif Mickey Marvin. «Nous connaissons très peu de hauts et de bas». Flores a donné congé à ses équipiers hier. Les Raiders re prendront l 'entraînement aujour-
d'hui jusqu'à samedi. Ils se repo seront dimanche et mettront le cap sur la Floride lundi.
HOUSTON ( A P ) — Hugh Camp- bell, le nouvel entrameur-chef des Oilers de Houston, est confronté à un double problème dans sa tentative de redonner fière allure à l'une des pi- res équipes de la li'ïue Nationale de football. Campbell doit amadouer le porteur de ballon E a r l Campbell, malheureux de son sort avec les Oilers, et convain- cre les amateurs et les observateurs que l'équipe ne se retrouve pas en dé- tresse même si le quart Warren Moon, un joueur autonome, ne paraphe pas une entente avec les Oilers. «La concession ne depend pas de l'embauche de
», a f f i r m a i t Campbell lundi, devant la mitraille de questions concernant l'acquisition ou non du joueur par excellence de la l i - gue Canadienne en 1983. «Il existe d'autres possibilités tels les échanges, le repêchage et le développement de jeunes quarts dont nous disposons». Ces propos ne signifient pas pour autant que Campbell ne tente pas d'at- tirer Moon, son ancien protégé. Camp- bell et Moon ont travaillé main dans la main à l'époque où les Eskimos d'Ed- monton ont rafle cinq conquêtes de la Coupe Grey. «Je veux que Warren prenne con- science qu'il existe ici un excellent noyau de jeunes joueurs et l'équipe peut rapidement afficher des signes d'amélioration et plus encore. Je lui dirai qu'il n'existe pas une autre équi- pe» au sein de laquelle l'entraîneur a plus confiance en lui». En vertu de leur fiche de
en
1983, les O i l e r s , q u i possèdent le deuxième choix de la séance, pour raient repêcher un quart si Moon choi- sissait de se joindre à une autre équi- pe.
Rencontre Campbell-Campbell Campbell a également l'intention de rencontrer personnellement son équi- pier L a r l Campbell. «Pour le bien de nos relations, j e préfère lui parler directement plutôt qu'il lise dans les journaux ce que je veux lui dire. Autrement, il pourrait croire que je ne veux pas lui adresser la parole». «Il exécute des choses que lui seul peut faire. I l vaut alors la peine que nous nous rencontrions. Nous sommes deux individus qui n'avons jamais eu l'occasion de nous parler».
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2 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 û UJ
U HORIZONTALEMENT l—Dictionnaires abré ges limites a l'esseil- tiel.
2—Considérer a part — Orné de m é t a p h o r e s 3 — A n c i e n n e n o t e — Passionnées. 4—Extravagant — Trois f o i s . 5—
plus
de
— A r t i c l e — T r o i s i è m e person- ne. 6—Dune g r a n d e simpli- cité — Signal lumi-
neux conventionnel 7 — M o n n a i e du D a n e mark — D r a m e nip- pon — Double coup do baguette. 8—A toi — V o l c a n ita lien — Bomba> s'y trouve.
9—Abattus — Qui a les q u a l i t é s du f e u — Sert à lier. 1 0 —M i s e en v e n t e — Point cardinal. 11—Époque — A l i m e n - tée. 12—Arrose G r e n o b l e — Examiner attentive ment. VERTICALEMENT 1—Suranné» 2—Humérus — Elles ont
le teint fonce 3 —Parente — I r l a n d e . 1— Dénaturé — Se pre senter d e v a n t un juge. 5—Béryllium — C e qui S'oppose à l'être. K—Boeufs s a u v a g e s — D i a l e c t e d e la langue g r e c q u e . 7—Crainte — A r g e n t —
8 — M é l o d i e — G r a n d n a v i r e — T e r r e gras- se et h u m i d e . 9 — P r e n d p o u r m o d è l e — Ceux qui attachent des gerbes de ble 10—Importune — A d m i rateur — Période. 11—Conseillère secrète — E n v i e . 12—Possessif — Os four- chu f o r m e p a r l e s deux c l a v i c u l e s des oiseaux Sclwt.o* et, prKhom num^fe 1 2
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Larousse des fromages Pour les fins experts ou les no- vices, ce dictionnaire expose l'origine, l'histoire, le mode de fabrication, la qualité et le genre de saveur des froma- ges du monde entier. Plus un calendrier des fromages, plus une centaine de recettes à base de fromage. prix régulier: 51 30S UN ACCUEIL DE 20 JOURS Les Villeneuve touchés par I «Italie de Gilles» Que c e soit à Berthierville où sur l'Ile N o t r e - D a m e , au Québec ou en A m é r i - que du N o r d , Gilles Villeneuve n'est plus qu'un souvenir. Cette terre qui l'a vu gran- dir a vite oublié l e héros qu'il fut et les pre- m i e r s à déplorer cette pénible tiédeur sont G e o r g e t t e et Seville Villeneuve. « J ' a i parfois honte de dire que j e viens de Berthierville, avouait, hier, Seville qui se r e m e t à peine des émotions qu'ils ont v é - eus, lui et son épouse, lors d'un v o y a g e de 20 jours qui les a menés dans une quinzaine de villes d'Italie où ils ont été reçus à bras ouverts. Durant ces premières semaines de d é c e m b r e , les Villeneuve ont fait un indes- criptible v o y a g e dans le temps, dans un monde où le souvenir de leur fils, coureur automobile, pilote F e r r a r i , est plus vivant que j a m a i s . « I l s sont émotifs, les Italiens, mais ils sont touchants de sympathie, raconte Sevil- le. Chez eux, le souvenir de Gilles est im- mortel. C'est tellement fort que j ' a i vu des vieux qui ne l'ont m ê m e pas connu venir nous serrer la main, les larmes aux y e u x . » Incroyable fièvre L e s n o m m a g e s à Gilles Villeneuve ne se comptent plus en Italie. Des monuments, des clubs automobiles (il y aurait 500 clubs F e r r a r i et Gilles Villeneuve en I t a l i e ) , des bustes, des centres sportifs, des noms de rue et d'avenue, etc. On s'apprête m ê m e à j o u e r sur scène une pièce de théâtre, « P ô l e Position», qui rappelera la tragédie de Zol- der, mai 1S82. Cette invitation faite aux Villeneuve s'est dessinée en mai dernier. E i l e est due, en partie, à l'initiative de Giorgio Giovetto, un inconditionnel de F e r r a r i et de Gilles. L e restaurateur montréalais V i t e a couronné le tout en transmettant aux Villeneuve une dernière invitation, de sa ville natale. Villa- nova ( s i c ) . « C ' e s t à peine croyable cette fièvre Ville- neuve qui sévit en Italie, nous a communi- qué Vito. Gilles a conquis les Italiens au m ê m e litre que Nuvolari et son souvenir est omniprésent. L e s gens de ma ville m'ont re- mis des photos, des articles, des s o u v e n i r et surtout une invitation à venir cnez eux que j e dois transmettre à Seville Villeneu- v e » . Ce fut chose faite et les Villeneuve s'y sont rendus Enzo a pleuré Seville n'a pas savouré son voyage com- me il l'aurait souhaité. Il a été incommodé par d i v e r s malaises dès son a r r i v é e en Ita- lie. Il dit a v o i r m ê m e eu peine à serrer des mains
un
certain moment. Pour ajouter à îa difficulté, Giorgio, qui a été leur guide durant le
leur a payé 2.400 kilomè- tres de route ...les menant de réceptions en soupers, de rencontres en Inaugurations, Les Villeneuve ont revu Enzo F e r r a r i , à Fiorano, où ils ont emprunté la
c é l è b r e rue Gilles VWeneuve Dix minutes leur a suffi à tous les trois pour partager leur peine commune. Dans SOU nouveau bu- reau, toujours
F e r r a r i a été peu lo-
quace • M . Ferrari nous a parlé de ses 86 ans et a pris piaisir à nous dire combler' il se por- Le souvenir du piccolo canadese Gil- les Villeneuve plane toujours sur l'Italie. Monuments, bustes, peintu- res, etc. sont autant d'hommages qu'on lui rend quotidiennement. tait bien, raconte Seville. Puis il nous a re- mis des cadeaux-souvenirs (une carafe, des v e r s , un foulard et une cravate, le tout mar- qué au signe du cheval c a b r é ) . Au moment de quitter, alors qu'on se dirigeait v e r s la porte, il s'est retourné et j e l'ai vu essuyer une l a r m e .
vous savez, c'était un peu c o m m e son fi is aussi». Seville aurait voulu lui parler de Jacques mais, selon lui. « l e moment ne s'y prétait pas».
« J ' a i toujour- r ê v é de voir Jacques es- sayer, au moins une fois, une F e r r a r i , re- grette
comprend son désarroi mais c'était ma seule demande...» Dans les ateliers de course de la Scude n'a, les
Villeneuve ont revu les mécanos qui ont servi leur fus. lis ont discrètement sa-
prestigieuse organisation. De retour au pays, après un court séjour chez Joann. à Monaco, le contraste allait être marquant. «Le jour et la nuit, suren- chérit Seville C'a
se comprend parce que le sport automobile est le sport national des Italiens presque. I c i . ça n'a pas laissé beau- coup de
traces • i De l'exhibition au Masters PARIS, ( A F P ) — L'élite du tennis International est réunie a \ c \ \ York, du io au 15 jan\
ier, à l'occasion du Volvo Masters^ que clfaCUn considère comme
un sommet de
la saison, digne
de conclure l'année., avec quinze jours de
retard. Le Master du Grand
Prix, créé en 1970, n
pas toujours bénéficié, cepen- dant, de la m ê m e réputation. S'il regrou-
pait déjà,
en p r i n c i p e , les m e i l l e u r s joueurs de l'année, le Masters ancienne formule ressemblait d a v a n t a g e à une exhibition de luxe qu'à
un grand tournoi. Organisé en fin d'exercice, pauvrement doté
i! était dispute par des joueurs fat! eu.- ;>eu motivés. C esl en 1977 que l'épreuve a pris son envol avec I adoption par le conseil pro fessionnel, organisateur du Grand P r i x , de plusieurs réformes. Il était
d'abord décidé
que i»' tournoi, qui s'était prome- né de T o k y o à Houston en passant par P a r i s , B a r c e l o n e . Boston,
Melbourne, Stockholm aurait lieu tous les ans à New York, au Madison Square Garden, cadre
grandiose rendant plus solennel tout événement qui i\ déroule. Le mon tani des prix, ensuit tait sérieusement revisé à la hausse Kn 1973, le Roumain llie
Nastase re< i v a i t 15,000
dollars pour son
succès, quat • • plus tard l'Améri- cain Jimmy Connors en p e r c e v a i t 100.000... Le conseil professionnel décidait aussi de placer le Masters ail mois de janvier, afin d'en taire le premier grand rendez- VOUS
de Tannée
entre joueurs avides de se retrouver. Enfin,
pour mieux les «con- v a i n c r e » d'effectuer le déplacement de
New York,
il subordonnait le V6TS( ment
du « b o n u s » , ittribué
joueurs en fonction du classement final du Grand Prix, a leur participation au Masters, ( " e s t ainsi
qu'en 1978,
Connors, premier du clasement final du Grand P r i x , ne
toucha pas son ««bonus.. VA s j Wilander. vainqueur du Grand Prix 1983, n'était pas allé
à New
York disputer le Masters,
de ««bonus». Kn modifiant la formule «le l'éprouve, l'an passe -os organisateurs achevaient de lui donner ses lettres
de noblesse. De huit, le
nombre de
participants passait
a douze,
m a i s surtout le système du •Round Robin» était abandonne en
fa- veur d'une formule ( lasslque, à élimina tion d i r e c t e , l e s quatre premiers du Grand Prix étant seulement e x e m p t e s des huitièmes de finale. Auparavant, les huit joueurs étaient repartis en deux poules, les deux pre miers de chacune d'elle accédant aux demi-finales. M a i s comme le premier de la poule «A» affrontait le deuxième de la poule «H., et inversement, on pouvait avoir intérêt à perdre un match pour ne pas jouer en d» mi finale contre un ad- versaire redouté. On se souvient, ii y a trois ans, de la défaite suspecte de Leiidl contre Connors, qui valut ati Tchécoslo- vaque
de s o
faire traiter de «poule mouil
lée» par Connors mais lui permit d'évi- ter Borg en demi finale. Ces reformes successives ont méta- morphosé
le Masters. L'exhibition un peu poussiéreuse est devenu»- on offi- cieux championnat du monde, le tournoi le plus convoité après
Roland -Garros, Wimbledon et Flushing Meadow
NKVV Y O R K ( A F P ) Le Sud-Afri- cain Johnan K r i e k s'est i m p o s é , hier soir, au Madison Square Garden de Ni w York,
devant le jeune a m é r i c a i n J i m m y Arias, battu 7 6 (7-5), 6-1, lors du premier match de l'édition 84 du Tournoi des Masters Kriek affrontera donc John M c E n r o e demain soir, en quart de-finale du tour noi. Mais s'il entend surprendre le no 1 mondial, le joueur sud-africain devra mieux faire. Il a en effet profité de l'inexpérience relative de son jeune rival (19 ans), invité pour la premiere fois a pareille fête. Mais il a commis six dou-
bles fautes et e s t trop souvent demeuré en fond
de court tandis que son jeu se prête plutôt à l'offensive. Arias a un peu déçu, m ê m e s'il est par venu au premier set à remonter de 2 5 à K i; et à forcer Kriek au tie break. Il • ' vrai que la surface ( m o q u e t t e ) ne se prête guère à son tennis de force.
Dans l'autre match. 1'espatfnol lose Higueras s'est qualifié pour les quarts de finale en battant l'argentin Jean- Louis Clerc, 6-2 et 6-2. PREMIÈRE TRANCHE DE LA COUPE ESSO DE NATATION Pointe-Claire accueillera 260 athlètes Les meilleurs nageurs seniors du Quebec entreprennent leur nouvel- le saison hivernale le week-end pro- chain par la premiere tranche de la 6e Coupe du Québec Esso, laquelle regrou- pera quelque 260 athlètes provenant de 26 clubs, à Pointe-Claire Pour m o t i v e r davantage les nageurs qui luttent non seulement pour les pre- miers rangs, mais aussi pour améliorer leurs marques personnel >. un système de points cumulatifs a été mis sur pied pour les quatre rencontres provinciales et lors du championnat national d'hiver, lequel aura lieu à Winnipeg du 25 au 28 j a n v i e r . Des bourses d ' e n t r a î n e m e n t variant de $200 à $500 seront alors remi- ses aux trois premiers des diverses épreuves. Dans le p r e m i e r épisode de cette série de rencontres, on pourra donc voir à l'oeuvre les Julie Daigneault. Domini- que Roussy, Louis St-Laurent. Benoit Clément. François Dionne ainsi que de futures vedettes telles que la rapide P a s c a l e Choquet de Boucherville, Mar- co Cavazzoni, de Dollard-des-Ormeaux, Louise Dufour, M a r c L a p a l m c . Linda H a w o r t h , D a n i e l l e L e b r u n , S o p h i e Plante, Nancy Poudrier, Paul Szekula et bien d'autres. C
Nathalie Gingras, de Pointe- Claire, et François Dionne. des Sélects de L a v a l , qui ont remporté le combiné des épreuves de la Coupe Esso en 1983 et le club des Sélects a fini au p r e m i e r rang devant Pointe-Claire et Dollard- des-Ormeaux. Ils ont succédé à Julie D a i g n e a u l t ( P o i n t e - C l a i r e ) et Benoit Clément ( L a v a l ) , nageurs par excellen- ce de cette série en 1982. Plusieurs autres compétitions ont été annoncées hier lors d'une rencontre de presse, soit la 7e Invitation annuelle Bout-de-chou qui se tiendra aux Pisci- nes olympiques les 21 et 22 j a n v i e r (50 équipes et environ 600 participants); la 3c Rencontre des Maîtres à Montréal- Nord les 28 et 29 janvier (225 partici- pants québécois et ontariens); le Cham- pionnat senior du Québec à l ' U n i v e r s i t é L a v a l du 3 au 5 février ainsi que, le m ê m e week-end, le Championnat Jeu- nesse Esso qui. à Etobicoke en Ontario, procurera à la future élite nationale, 120 nageurs, des garçons de 15 ans et moins et des filles de 13 ans et moins, l'occa- sion de se bien préparer à a c c é d e r aux équipes d'élite. Le Québet sera représenté par une trentaine de jeunes dont Paul Szekula, M a r i e - C h r i s t i n e P o t v i n , I s a b e l l e B e r n a r d , Jennifer Hutchison, Michel Drouin, Martin Giroux, Brian Birche- nough. etc. «Toutes ces compétitions surviennent à quelque six mois des Jeux olympiques de Los Angeles et chacun des nageurs savent que le décompte olympique est m a i n t e n a n t c o m m e n c é pour e u x » , a c o m m e n t é E d g a r Théoret, le directeur technique de la Fédération québécoise. « I l s ont maintenant à consacrer toutes leurs ressources physiques et mentales, puisque chacun sait qu'en natation, le s o m m e t d'un athlete ne dure pas bien longtemps.» p.g.
Les trois autres tranches de la Coupe Esso
auront lieu à Que- becdu 30 mars au 1er avril: au Cen- tre-Robiilard du 1H a u 20 mai et aux Piscines olympiques du 13 au 15 juil- let... les épreuves Bout-de-chou au P a r c Olympique seront enregistrées dans le cadre de l'émission «tes Hé- ros
de Radio-Canada, le 22 j a n v i e r . . Plus de 100 nageurs qué- bécois participeront aux Nationaux d ' h i v e r à Winnipeg du 25 au 28 jan- vier, soit toutes les têtes d'affiches a i n s i q u e Glenn Luxenberg, l e s
s o e u r s K a r e n et K a t h e r i n e W a r d , Claude Lamy, André Théoret. Aline Larouche, H é b e r t H e n r y , Manon Venne, B r i a n H a s e g a w a , Albert Shaar, Josée Thériault, Daniel Lépi- ne, Bernard L'Heureux, Robin Rug- giero, Chanta) Martineau et autres... au moins 85 clubs au Québec entraî- nent des
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