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• l’aménagement paysager ou récréatif


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• l’aménagement paysager ou récréatif qui peut être intéressant si la parcelle se trouve près

d’un mas. Les interventions à  réaliser combinent débroussaillement,  éclaircie et  éventuellement

plantation.

Que planter sur cette station ?

Les sols sont généralement profonds et frais.

* Convient au niveau écologique mais des réserves sont émises au niveau patrimonial car il peut s’hybrider avec le Sapin pectiné,

ce qui menacerait l’écotype local de Sapin pectiné, très bien adapté semble-t-il aux conditions particulières des Aspres.

suite de la page 39

E S S E N C E S   U T I L I S A B L E S

x

Sans réserves

Merisier, Chêne rouge d’Amérique,

Erable à feuilles d’obier, Frêne com-



mun, Alisier torminal.

x

Avec réserves

Sapin de Nordmann*, Sapin de

Bornmüller* : croissance juvénile

lente imposant de nombreux entre-

tiens.


x

A tester

Noyer noir, Noyer commun, Dou-

glas.


Les termes qui apparaissent en caractères italiques figurent en fin de document dans la flore ou le lexique des termes techniques.

41

Station 15

Landes d’altitude en conditions favorables,

sur schistes

Êtes-vous vraiment

sur cette station ?

Altitude


x

Supérieure à 750 mètres.

Position topographique

x

Versant, rentrant de



versant (combe), crête

large, bas de versant.

Expositions

x

Toutes.



Pente

x

Faible à moyenne



(inférieure à 25%).

Position géographique

x

Ouest des Aspres.



Végétation

la plus fréquente

x

Canche flexueuse, Fougère



aigle, Ronce, Eglantier,

Aubépine, Poirier sauvage.

x

Bouleau verruqueux.



Caractéristiques

essentielles du sol

x

Roche mère : schistes.



x

Texture : limono-sableuse,

limoneuse.

x

Profondeur : faible à



moyenne (inférieure à

50 cm).


x

Pierrosité : forte.

x

Roches apparentes : rares.



Caractéristiques

du sous-sol

Un plan de schistosité non

parallèle au sol et des

feuillets minces favorisent

l’enracinement des arbres et

leur croissance.

Couverture spatiale

x

Assez répandue et



étendue.

Les formations les plus fréquentes

Il s’agit de landes d’altitude servant souvent de parcours aux troupeaux. Dans les combes ou sur

les replats, la situation protégée et la position topographique (secteurs d’accumulation)

permettent de bénéficier de meilleures conditions. On y observe en particulier le développement

du  Genêt  à balais et de la Fougère aigle. Quelques arbustes (Aubépine, Poirier sauvage…) ou

même quelques arbres (Bouleau verruqueux) sont souvent disséminés dans ces landes.

Par endroit, quelques chênaies (surtout pubescentes) ou châtaigneraies ont échappé aux

incendies et subsistent sur des surfaces restreintes. Leur hauteur atteint 10 à 15 mètres.

Lande à Genêt à balais et Fougère aigle sur crête large

suite page 42


42

Les termes qui apparaissent en caractères italiques figurent en fin de document dans la flore ou le lexique des termes techniques.

Station 15

Que faire dans ces formations ?  

(voir pages 43, 45 et  46)

Il s’agit de stations qui peuvent être favorables à la forêt. Il faut toutefois prendre en

considération le vent en crête, facteur très défavorable au développement des arbres. Par ailleurs,

ces espaces étant très souvent parcourus par les troupeaux, on pourra réfléchir, en concertation

avec les éleveurs, à un aménagement global incluant à la fois des aménagements pastoraux (pose

de clôture,  débroussaillement…) et des opérations de boisement dans la mesure où une

intégration judicieuse forêt-élevage garantit la protection du massif contre les incendies.

L’objectif principal peut être



• la production de bois de chauffage par coupe de taillis dans les chênaies existantes,

• la production de bois d’œuvre par plantation d’essences adaptées (voir ci-dessous) après

exploitation des chênes ou sur les landes, dans le cadre d’une réflexion sur un aménagement

sylvopastoral de l’espace,

• la protection contre les incendies qui restera présente à l’esprit des gestionnaires même si,

à cette altitude, les risques sont moins élevés,



• la protection des sols qui est importante à prendre en compte sur les versants et les crêtes

car ils pourraient être érodés.

Que planter sur cette station ?

Les sols sont généralement de profondeur moyenne. Il faudra tenir compte, avant toute

plantation, des contraintes dues au vent en crête et mener une concertation avec les éleveurs

dont les troupeaux utilisent ces espaces comme parcours.



suite de la page 41

E S S E N C E S   U T I L I S A B L E S

x

Sans réserves

Pin sylvestre, Cèdre de l’Atlas,

Pin laricio de Corse.

x

Avec réserves

Sur les versants exposés au nord,

dans les secteurs à  Genêt  à balais

et/ou Fougère aigle : Sapin pectiné,

Hêtre.


x

A tester

Douglas dans les secteurs abrités du

vent et dans les sols les plus 

profonds.



Taillis de Châtaignier

et Chêne pubescent

sur versant



Production de bois d’oeuvre

avec les essences en place.



Production de bois d’oeuvre



par substitution d’essence 

STATIONS ET PEUPLEMENTS CONCERNÉS

10 et 12. Chênaies et châtaigneraies



INTERVENTIONS POSSIBLES ET CONSEILLÉES

Coupe  à blanc et plantation d’essences capables de pro-

duire du bois d’oeuvre (voir fiches de station et, page 49,

les interventions à réaliser pour reboiser).

Attention : dans certaines conditions, des précautions

doivent être prises contre l’érosion des sols (voir page 46).



Production de bois d’œuvre

par plantation sur landes ou maquis

STATIONS CONCERNÉES

2, 10, 12 et 15



INTERVENTIONS POSSIBLES ET CONSEILLÉES

Plantation d’essences capables de produire du bois d’œuvre

(voir fiches de station et, page 49, les interventions à réa-

liser pour reboiser).



Production de bois de chauffage

Production de brins de 5 à 15 cm de diamètre entre 40

et 60 ans.

STATIONS ET PEUPLEMENTS CONCERNÉS

3. Chênaies vertes et pubescentes

6 et 8. Chênaies vertes et pubescentes, suberaies

10. Chênaies vertes et pubescentes, suberaies, châtaigneraies

11. Chênaies vertes

12. Chênaies vertes et pubescentes, châtaigneraies

15. Chênaies vertes et pubescentes

INTERVENTIONS POSSIBLES ET CONSEILLÉES

- Traitement en taillis simple :

A maturité, tous les brins sont exploités sans exception :

c’est la coupe de taillis. L’année suivante, les souches rejet-

tent pour créer un nouveau taillis.



- Traitement par « éclaircie de taillis » :

Tous les 15 à 30 ans, une certaine proportion des brins (la

moitié au maximum) est exploitée, les arbres prélevés étant

choisis parmi les moins vigoureux au profit des plus beaux.

Ce type d’intervention est difficilement rentable écono-

miquement. Il sera surtout pratiqué si d’autres objectifs sont

poursuivis : protection des sols, préservation du paysage,

sylvopastoralisme...  

La production de bois



Pour la production de bois d’œuvre, le but est de produire des arbres d’au moins 40 cm de diamètre à la fin de la

vie du peuplement. Sauf en station 14 qui représente des surfaces restreintes ou dans certains peuplements issus de

reboisement, les essences existant dans les Aspres ne permettent pas de produire de bois d’œuvre de qualité.

En revanche, les nombreux taillis de chênes méditerranéens permettent souvent de produire du bois de chauffage de

qualité, recherché dans le département. Cette production présente un réel intérêt économique pour le propriétaire.

Mini-Guide de Sylviculture



Les termes qui apparaissent en caractères italiques figurent en fin de document dans la flore ou le lexique des termes techniques.

43

STATIONS ET

PEUPLEMENTS CONCERNÉS

10 et 12. Peuplements issus

de reboisement

INTERVENTIONS POSSIBLES

ET CONSEILLÉES

Dans ces peuplements issus

de reboisement, le proprié-

taire peut espérer produire,

à terme, du bois d’œuvre.

Les interventions à  réaliser

consistent :

- en éclaircies successives  à

rotation de 5 à 10 ans

selon la vitesse de crois-

sance des arbres, la pre-

mière de ces éclaircies

intervenant quand la hau-

teur des arbres atteint 10

à 14 mètres,

- en  élagage

jusqu’à  6

mètres des 200 à 300 plus

beaux arbres à l’hectare.

STATION ET

PEUPLEMENTS CONCERNÉS

14.  Peuplements mélangés

de divers feuillus

INTERVENTIONS POSSIBLES

ET CONSEILLÉES

Dans ces peuplements de

superficie restreinte, on

essaiera de tirer parti au

maximum des feuillus pré-

cieux (Merisier,  Frêne…) en

réalisant des éclaircies à leur

profit  à condition qu’ils

soient de bonne qualité

(droits,  élancés et vigou-

reux) et dominants. Les

autres arbres de qualité

(Châtaignier,  Chêne pubes-



cent…) seront également

favorisés. Ces interventions

ne devront pas être brutales

(mieux vaut prélever peu

d’arbres plus souvent) et le

sous-étage sera conservé

autant que possible pour

préserver la qualité des

arbres.

Dans les secteurs où il n’y a



pas d’arbres de qualité, on

peut mettre en lumière les

taches de semis naturels

(Frêne,  Châtaignier, Sapin

pectiné…) et de drageons

(Merisier) à condition qu’ils

soient vigoureux et que les

entretiens ultérieurs puissent

être réalisés (dégagements,



tailles de formation…).

44

Les termes qui apparaissent en caractères italiques figurent en fin de document dans la flore ou le lexique des termes techniques.



Production de liège

Les suberaies peuvent être traitées en futaie régulière (réali-

sation d’éclaircies puis renouvellement des peuplements

quand ils sont âgés) ou en futaie irrégulière (dans les mêmes

peuplements, à la fois éclaircies et régénération par bouquets).

Ce dernier traitement convient particulièrement bien au



Chêne-liège : lors du passage pour lever le liège (tous les 12

à 15 ans), une coupe est marquée prélevant les arbres trop

vieux et dépérissants, et éclaircissant les bouquets de jeunes

tiges pour favoriser les plus belles et les plus vigoureuses.



STATIONS CONCERNÉES

5, 6, 8, 10



INTERVENTIONS POSSIBLES ET CONSEILLÉES

Dans les suberaies en état de production, les levées

interviendront généralement à rotation de 12 à 15 ans selon

la vitesse de croissance du liège.

Mais dans la plupart des cas, une phase de remise

en valeur des peuplements, souvent à l’abandon depuis

plusieurs dizaines d’années et qui ont parfois subi le pas-

sage d’un ou plusieurs incendies, est nécessaire :

débroussaillement suivi, si la parcelle est exposée aux

incendies, d’un entretien pastoral,

éclaircie pour prélever les arbres dépérissants, de mau-

vaise qualité ou en surnombre,

levée du liège, souvent de mauvaise qualité (liège mâle,

liège brûlé, liège surépais). Les levées suivantes inter-

viendront à rotation de 12 à 15 ans selon la rapidité de

croissance du liège.

Si la densité est trop faible pour former un peuplement com-

plet, la plantation de Chêne-liège sera nécessaire sauf si de

jeunes semis naturels sont présents et peuvent être préservés

et éduqués.



Production de truffes

Cet objectif peut être envisagé pour valoriser certaines par-

celles sur les roches calcaires, en terrains non argileux. Le

principe est de concilier les deux objectifs sylvicole et truf-

ficole par la conduite d’une « sylviculture truffière » pour

réhabiliter d’anciennes truffières ou en créer de nouvelles,

sachant qu’en forêt, la trufficulture restera extensive.



STATIONS CONCERNÉES

3 et 4


INTERVENTIONS POSSIBLES

Pour réhabiliter d’anciennes truffières

- repérer les 50 à 200 meilleurs arbres à l’hectare à conser-

ver et exploiter les autres,

- pratiquer ensuite un élagage très brutal et si possible un

crochetage du sol ou un labour pour faire réapparaître

une production de truffes.



Pour créer une truffière de toutes pièces : planter

des arbres mycorhizés avec la truffe du Périgord

(Tuber melanosporum)

- choisir des essences adaptées (voir dans les fiches de sta-

tion pages 18 et 20),

- travailler le terrain soit en plein (labour), soit de façon

localisée (réalisation de potets à la pelle mécanique ou à

la pioche),

- si l’entretien mécanique du sol n’est pas facilement envi-

sageable, il est conseillé d’installer les arbres sur paillage,

- la densité à utiliser est de 200 à 400 plants à l’hectare.

Quand il est possible, un arrosage raisonné peut être très

bénéfique. Vers 20 ou 25 ans, une éclaircie prélevant les

arbres non producteurs de truffe est nécessaire, suivie plus

tard d’autres interventions pour éviter que le milieu se

referme.


Les produits autres que le bois : le liège, la tru

ffe


La production de liège est possible dans la plupart des suberaies existantes, moyennant certains aménagements si

les peuplements ne sont pas dans un parfait état de production. La production de truffe concerne quelques

secteurs sur roche carbonatée.

Stock de planches de liège

Sylviculture

Les termes qui apparaissent en caractères italiques figurent en fin de document dans la flore ou le lexique des termes techniques.

45

Sylviculture

Deux types d’intervention sont nécessaires

dans les parcelles boisées ou non :



Contrôle de la végétation basse 

dans les parcelles boisées ou non pour limiter les risques

de départ et de propagation du feu.



Rupture de la continuité verticale 

dans les peuplements forestiers pour éviter la transmission

du feu à l’ensemble de la végétation.

STATIONS ET PEUPLEMENTS CONCERNÉS

Toutes sauf les stations 1, 2 et 14 qui sont très peu

exposées aux incendies étant donné leur situation

INTERVENTIONS POSSIBLES ET CONSEILLÉES

Dans les chênaies pubescentes et les suberaies

Réaliser une éclaircie légère ayant pour objectif principal

de supprimer les petits brins (« remonter le couvert »).

Cette  éclaircie peut  être suivie d’un  élagage des brins

restant sur pied, et de pâturage en sous-bois pour éviter

un développement de la végétation basse.

Si le couvert est clair et le sous-bois très embroussaillé, il

est conseillé, quand le relief le permet, de réaliser un



débroussaillement mécanique avant de faire pâturer la

parcelle.

Si cette intervention préalable n’est pas réalisable, il est

possible de faire passer des animaux lourds (bovins ou

équins) pour entamer un débroussaillement progressif.

Dans les chênaies vertes au couvert complet

Réaliser le même type d’interventions que ci-dessus 



(« remontée du couvert ») mais en préservant un couvert

très dense qui empêchera un développement de la

végétation basse (« autoprotection » du peuplement).

Dans les landes et les maquis

Si le relief le permet, débroussailler les parcelles puis les

entretenir :

- en vouant les terrains à une activité agricole : élevage,

verger, vigne, etc.

- en réalisant une plantation qui sera entretenue jusqu’à

ce que le couvert se referme.

D’autres aménagements sont réalisables (installation de

points d’eau, création de pistes de protection contre

l’incendie). Tout projet de ce type doit faire l’objet d’une

concertation avec le service forestier de la Direction

départementale de l’agriculture et de la forêt car ces

aménagements sont réfléchis à l’échelle des massifs dans les

schémas départementaux d’aménagement des forêts contre

l’incendie (SDAFI), les plans d’aménagement des forêts

contre l’incendie (PAFI ou PIDAF) du massif et, à  l’avenir,

dans les plans de protection contre les risques d’incendie de

forêt (PPRIF).

La protection contre l’incendie



Cet objectif doit être pris en considération partout mais plus particulièrement dans les secteurs de basse altitude

qui cumulent les handicaps :

- un climat méditerranéen avec de longues périodes de sécheresse et des vents forts,

- de vastes espaces délaissés par l’agriculture et l’élevage depuis le début du siècle, et envahis d’une végétation

basse hautement combustible présentant le maximum de risques pour le départ d’un feu et pour sa transmission

aux peuplements forestiers.

Lande boisée de Chêne vert

en crête débroussaillée et

pâturée

46

Les termes qui apparaissent en caractères italiques figurent en fin de document dans la flore ou le lexique des termes techniques.



Dans les parcelles non boisées : 

Maintien de la végétation existante ou boisement si c’est

possible.



Dans les parcelles boisées : 

Maintien du couvert forestier



STATIONS ET SITUATIONS CONCERNÉES

5 et 6 : partout

7, 9, 11, 13 et 15 : sur les pentes fortes et les reliefs saillants

INTERVENTIONS POSSIBLES ET CONSEILLÉES

Dans les chênaies vertes et pubescentes

La non intervention est le meilleur garant de protection

des sols. Toutefois, si le propriétaire souhaite récolter du

bois de chauffage, il préférera le traitement par « éclaircies

de taillis » en étant très prudent sur le prélèvement de façon

à garder un couvert dense.



Dans les suberaies

Le propriétaire préférera le traitement en futaie irrégulière

(voir page 44) qui permet de gérer le peuplement sans jamais

mettre le sol à nu.



Dans les landes et les maquis

Sur les pentes fortes et les reliefs saillants rocheux, la non

intervention est la meilleure protection. Dans les stations

5 et 6, les maquis situés sur les pentes peuvent être boisés

en prenant de grandes précautions quant au travail du sol

avant plantation (voir dans les fiches de station).

La protection des sols

Cet objectif doit être pris en considération partout où les conditions de relief et de constitution du sol rendent ce

dernier sensible à l’érosion en particulier sur les pentes fortes, dans les situations très exposées (relief saillant) et

sur les sols légers ou sur les matériaux détritiques du Pliocène.

Sylviculture

Erosion sur une piste

sur matériaux détritiques

du Pliocène


Les termes qui apparaissent en caractères italiques figurent en fin de document dans la flore ou le lexique des termes techniques.

47

Sylviculture

La préservation du paysage et l’agrément



L’aspect paysager peut avoir de l’importance pour le propriétaire, par exemple pour les parcelles visibles depuis

son mas ou qu’il réserve à son agrément. Il peut également prendre cet aspect en considération s’il exerce une

activité d’accueil du public (restauration, hébergement…). Le propriétaire peut donc être amené à y réfléchir pour

toute station et pour tout peuplement.

Peuplement de jeunes

chênes pubescents,

chênes verts

et chênes-lièges

débroussaillé

et entretenu

L’essentiel est de prendre, lors de la réa-

lisation d’interventions sylvicoles, des

précautions pour éviter que l’œil d’un

observateur extérieur soit choqué. Ces

précautions consistent principalement

à :


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