Fete du jour
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aussi surtout le boeuf r. le mouton. Le porc est tout à fait à point; U la campagne, dans .les petites fermes j où le cochon n'est tué qu'une fois l'an, il l'est généralement en fé vrier. C'est ie vrai mois des bou dins. plus encore que décembre. Le bon gibier se fair plus rare; 1! fuut commencer à choisir de préfé rence le canard sauvage, la sarcelle, las pluviers dorés. La volaille est parfaite surtout la grosse comme en Janvier. L'oie grasse est à point, et c’est l'époque du confit et des pâtés de foie gras. Les légumes sont les mêmes qu'en janvier; les premières asper ges apparaissent mats elles sont en core "de primeur", mieux vaut les consommer deux mois plus tard. Parmi les fromages, le camem bert, le Pont-I'Evéque. le Brie sont encore comme en décembre et jan vier en leur meilleur saison. Les gâteaux et ies fruits sont les mémos qu'en Janvier. Mars
Mois de carême donc pas un mois de banquet». Mats c’est le mois qui volt triompher les meilleurs pois sons. C'est en mars qu'il faut man ger l'esturgeon, le saumon, l'alose, ie brochet, la carpe, le turbot et la sole ainsi que la morue salée. La viande de boucherie est bonne. La volaille perd un peu de sa qualité et te gibier devient rare. Les légu mes nouveaux commencent â pa raître. Les fromages à pâte molle et à goût accentué sont un peu moins appréciés. Les fruits sont les mêmes qu’en hiver, mats ce mois-cl les oranges, les mandarines sont douces tout en demeurant très Juteuses. Avril Les poissons fins et les crustacés sont encore en leur bonne saison. • voces
POU K ALLER AU JARDIN : — La robe-tablier est très pratique |*>ur cet usage. Le« poches simu lent de mignons pot* île fleurs. Le petit chapeau «le toile en for
quet. patron "Vogue”. (Service spécial à la "Presse"). En boucherie c'est l’époque des agneaux, des chevreaux, des c«>- chons de lait. On ne trouve plus de gibier et ta bonne volaille est pas sée. Les carottes, ies pommes de terre nouvelles, les salades vertes font leur apparition. Les asperges commencent. Avril est uu mauvais mois pour les fruits. Les fruits d’hiver ne sont plus bons et les fruits du prin temps en ont encore pour plus d'un mois avant d'avoir quelque saveur. 11 faut les remplacer par des crê pes, des brioches et toutes les pâ tisseries qui exigent des oeufs très frais, abondants à cette époque. Mal Abandonnez les poissons de riviè re et les salmonidés. C’eet le mo ment de manger du poisson de mer et surtout la sole, le hareng, le tur bot, et le maquereau. La viande est bonne dans l'ensemble. Comme volaille ne prenez que des pigeons bien tendres et des canards. Vous les accommoderez aux navets nou veaux qui sont dans toute leur fraîcheur. Les pommes de terre, les carottes, les salades sont exqui ses. Les asperges ont toute leur saveur. Comme en avril, il y a encore peu de fruits qui ne soient pas d'im portation. Toutefois vous pouvez trouver des fraises. L'entente entre ces deux chefs Elle serait parfaite entre MM. Bennett et Houde. — Les jeunes conservateurs. Réunion à Québec (Du correspondant de la PRESSE) Québec. 27. — Lay Jeunesse con servatrice a tenu une assemblée qui a réuni quelque deux cents personnes, samedi soir, à la salit- paroissiale de Limoilou. Eu l'ab sence de M. Thomas Maher, parti à la rencontre de M. Houde, â Trols-Rivièrs, M. Wilbrod Bherer présenta les orateurs, dans l'ordre suivant: MM. Paul Miquelon, Char les De Boucherville, président de la fédération des clubs de jeunes conservateurs de Montréal; Noél Dorion. président de la Jeunesse conservatrice du comté de Québec; Gérard Thibault, de Montréal; Charles Napoléon Dorion, M.P., pour Québeo-Montmonrency ; An toine Itivard et Pierre Audet. On remarquait aussi, sur la scène, MM. J -L.-A. Tanguay et Léopold Pouliot. Les orateurs ont surtout parlé Je politique provinciale, sans négli- [ger cependant le domaine fédéral. M. Bherer transmit à l'assistance les excuses de M. Maher, puis il dit le but de l’assemblée; organiser ] une fédération des clubs de jeunes ! conservateurs du district de Québec. M. Paul Miquelon, faisant allu sion aux élections provinciales, dé clare qu’il n’en connaît pas la date, mais que lui-même et tous les con servateurs sont prêts h se lancer à l'attaque. M. De Boucherville dit un mot de l'organisation, à Montréal, où cin quante-cinq clubs out été groupés. L’orateur déclare plus loin, aux ap plaudissements dé l'assemblée : "J'ai ren«K>ntré, k Ottawa, M. Du- pré. 11 m’a dit; “L'entente entre M. Bennett et M. Houde est parfai te”.
L'orateur fait l'éloge du chef de l'opposition provinciale et aborde la question des ressources naturelles, traitant plus particulièrement de la crise du papier. Une |M‘tite Russie M. Gérard Thibault, de Montréal. dit de la politique provinciale :"Ce n'est pas une question de rouges j ou de bleus, c'est l'avenir d’une i province qui est en jeu." L’orateur
reproche au gouvernement d'avoir j marqué de prévoyance en vendant toutes nos richesses naturelles, et 11 ajoute; "Si encore on ne s'ana- BLiait qu'aux choses matérlelle.s, mais non, on est en train d’établir ici une petite Russie. Et le plus grand bolchévisle que je connaisse est M. Taschereau.” M. Thibault s'attaque aux com missions nommées par le gouverne ment, à la commission des acci dents du travail, à la commission des liqueurs, "toutes composées", dit-il, "de gens non responsables envers le peuple”. Puis il ajoute “SI on continue, bientôt, sur les grains de semence, 11 faudra, com me sur les bouteilles de la commis sion, l'étiquette: “Je me sou viens”.”
Voyez vos - fous e • -vou* Des drapeaux en berne à l’Université de Montréal Deux drapeaux flottent en berne i depuis ce matin sur le péristyle de ! l’Université de Montréal pour rap-1 peler le deuil de la Faculté de mé- j declne qui vient de perdre l'un de i ses anciens professeurs en le per sonne du Dr Alcée Tétreault. en j son temps professeur de maladies ! nerveuses et mentales. Le Conseil de la Faculté de mé- ! declne fera parvenir aujourd’hui! une résolution de sympathies à la | famille du défunt et la Faculté se-j ra officiellement représentée lors 1 des funérailles. y. KpiYN.qs_ 3 nuances plus blanches en 3 jours Si voua* voulez avoir d*nts. saines, d'un blaiH*. hilsant, et de* gencive-» r'-ua fermes, adoptez tout de suite la toohni- qu*- Koiynofi de la hrosfw sèche — un demi-pou tie d«- Kolynoe sur une brosse sèche matin et soir. Au bout de 3 jours le» dent» paraîtront 3 nuance» plus blannh-
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LA PRESSE, MONTREAL, LUNDI 27 AVRIL 1931 13 K.C.NJ
La J HovaJ Ses®?! messe libérale du XXe siècle re un dé jeûner à ses l patrons et fait le choix de ses officiers .rte Lucette Valin, d’Ottawa, devient président de ' association des clubs de l’est de l’Ontario, section féminine, et M. A.-H. Lief, président de la section masculine. M. Bennett et les chômeurs IL" ■ n
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libéraux du XXe siècle, p&ur î'Eat (l'Ontario, a offert, samedi, au château Laurier, un déjeuner «n l’honneur du très lum. Mackenzie King «t de M. F. Hepburn, député fédéral et aussi chef du parti libé ral, à la Législature d’Ontario. Le déjeuner fut survl de rassemblée annuelle de l'association. Au déjeu ner, 315 personnes étaient présen tes, sous la présidence de Mme Dou- glaa-B. Blair. d’Ottawa. Mlle Ann»
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Tél. : LA. 4281 Fogarty chanta “O Canada", puiai Mme Blair souhaita la bienvenue aux hOtes d’honneur, en donnant aussi le but de cette réunion. Quinze comtés de l’Bst d’Ontario étaient représentés. Le bnt est d’unir les jeunes libé raux, afin d'obtenir plus de coopé ration dans le travail. A cause de plusieurs avantages qu'offre Otta wa, il est desirable que le congrès annuel de l’asauciation soit tenu dans la capitale. L’association en tend maintenir une grande activi té. dans tous les clubs libéraux, et d’ici six mois, des clubs seront éta blie dans les localités oû il n’y en a pas. Le parti libéral doit s’organiser et travailler en intime coopération avec ses chefs. Clubs qu’on fondera Mlle Béssie Welr, de Spencerville, présenta ensuite la résolution créant l’association des clubs libé raux du XXe siècle, dans l’est d’On tario. Il fut également décidé de fonder des clubs à Ottawa-Est, Ot tawa-Sud, Ottawa-Nord, Renfrew- Nord et Su d,-. Lanark-Nord et Sud, Russell, Prescott, Grenville, Dun- das, Glengarry, Carleton et Brock- ville.
Cette résolution fut appuyée par M. M. Tremblay, d'Ottawa, qui in sista sur l’unité des différentes sec tions des clubs, dans le but de mieux propager chez les jeunes les principes du libéralisme. On a lu un télégramme de M. R.- Percy Baker, premier vice-président de l’association libérale d'Ontario, regrettant de ne pouvoir se rendre à Ottawa, pour la circonstance. 20,000,000 Le très hon. Mackenzie King et
■M. Hepburn ont parlé de la situa tion sérieuse qui existe au pays. Il
y a, dans le moment, vingt millions d’hommes sans travail dans le mon
de entier, chiffre qui Indique les misères dont souffre l'humanité. Au
Canada, la situation est également sérieuse et les promesses électorales
de M. Bennett, en rapport avec le chômage, sont loin de se réaliser.
L’attention qu’il portait aux sans- travail, il y a quelques mois, a bien
diminué, s’il faut en juger par la ré ponse qu’il leur donnait, ii y a quel
ques jours, à Ottawa. Toutes les classes de la société sont désap
pointées du programme du gouver nement actuel. Notre commerce, ex
térieur et intérieur, diminue consi dérablement; le revenu tombe rapi
dement. Notre méthode ds distri bution a besoin d’ètre réorganisée,
en faisant cesser certains privilèges et en lee transférant au bénéfice
de la masse. Les orateurs ont été remerciés
par M. Edwin Oharleson, président du club libéral des hommes; Mlle
Florence Nolan, de Smith Falls: Mlle Lenore Skinner et M. Walter-J. Gil-
hooley, d’Ottawa. L’assemblée des dames
L’assemblée des (James, qui a sui vi le déjeuner, fut présidée par Mlle
Lucette Valin. Mme Douglas Blair et "Mlle Olive Wilson, toutes d’Otta
wa.
connnc secrétaire. Les rapports des clubs ont été
reçus de Mlles Bessie Welr, de Spen cerville; B. Claude, de Clarkstown;
C. Drummond, de Nepean; Florence Nolan, de Eatavlew; M. Leelauriers,
■d'Embrun: Anna Fogarty, de Met calfe, et de Mme Gordon MacLareu,
d’Ottawa. Mlle Lucette VaMn, fille du Dr
R.-E. Valin, d’Ottawa, a été élue présidente de la section fémlnlme,
présidente du club d’Ottawa. Mlle Valin fit une revue générale des
activités du club, depuis sa fonda tion, et du travail qu'il a accompli,
au tours de la campagne électorale do 1930.
Par cette élection, Mlle Valin de vient présidente de l'association li
bérale des clubs du XXe siècle de l’Est de l’Ontario.
Au coure de cette réunion, Mlle Olive Wilson a condamné l'admi
nistration Bennett, pour les nom- breuees démlseione de fonctionnai
res, spécialement dans le ministère de l'intérieur. La guillotine fonc
tionne à Ottawa d’une façon alar mante, dit-elle. Il est vrai que
l'économie est nécessaire, mais pas de cette manière. Les grandes cor
porations, au lieu de congédier leurs employés, les font travailler une
partie du tempe ordinaire; c'est plus humain.
Mme A.-H. Lieff. d’Ottawa, criti conomie rigide poussée à l'extrême, qui a été jusqu'à faire résilier $30, 000, de bourses accordées par le Conseil national des recherches scientifiques. Le Canada, en géné ral, perdra par le manque d’études spéciales que devaient faire plu sieurs gradués (hommes et fem mes) do nos universités. Le gou vernement Bennett pratique une fausse économie au détriment de l’avancement de la science. Mme John-G. Boome, de Brock- ville ne voltvpas pour quelles rai sons il n’y aurait pas une femme ministre dans le gouvernement fé déral. et également dans les admi nistrations provinciales. Lee fem mes représentent 50 pour cent du nombre des votants en Canada, mais, à l'exception du très hon. Mackenzie King, qui a nommé une femme au Sénat, le» droits de la femme sont généralement ignorés par les gouvernements. Dans lee provinces, le portefeuille de l’édu cation devrait être accordé à une femme; celui de la santé publique pourrait également être confié à une femme. Mlle Rosanna Stewart, vice-pré sidente de l’assooiatlon nationale des femmes, a parlé de l'oeuvre réalisée par l'association libérale des clubs du XXe siècle, depuis un an. et de l'Importance qu'il y a de fonder des clubs dans tous les com tés du Canada, de même que dans toutes les villes. La section des hommes Pendant cette réunion de jeunes femmes, la section des hommes de l'association tenait également son assemblée, sous la présidence de MM. B.-H. Charleson et Arthur Ash. Il y a eu discours par MM. J.- L. Wilson, de Toronto, président de l’Association libérale; R.-A. McDou gall et W.-H. Cornstalk, de Brock- ville. La section masculine a fait l'élection des officiers suivants : président, M. A.-H. Lief, d’Ottawa; vice-pré«idents, MM. Wm. Low, de Renfrew ; Chas. M r Ta vieil. de Corn wall; Geo. Fulford. de Brockville; Claude Moore, de Carleton comté; E.-H. Charleson, d'Ottawa nord; Jean Richard, d'Ottawa Est; L. Clayton. d'Ottawa sud; D.-D. Mac intosh, de Glengarry et Dr Morrow de Metcalfe; secrétaire-archiviste, M. M. Tremblay, d’Ottawa; secré taire-correspondant, M. Arthur-R - J. A»h. d'Ottawa; trésorier, M. John O’Keefe, d'Ottawa. Les présidents honoraires do ' l'Association sont le très hon. Mac kenzie King et M. il.-F. Hepburn. Accident survenu à 3 infirmières (Du correspondant de ! h
PRESSE) Ottawa, 27. — Trois Infirmières de l'hôpital Civique ont failli être tuées, hier, lorsque leur automoible a frappé le côté d'une locomotive, au passage à niveau de l’avenue Bronson. Mlle Laura Berry n'a rien eu, mais «es deux compagnes, Mlles Grace Froata et Mabel Cam- ley ont été légèrement blessées. Mlle Berry, qui conduisait l’auto mobile, l’avait reçu de Toronto, samedi seulement. Feu le Dr A. Tétreault Nous avons le regret d’apprendre le décès, survenu le 26 courant, en sa demeure, No 7450 rue Notre- Dame-Est, du docteur Alcée Té treault. professeur titulaire hono raire de {'Université de Montréal, médecin en chef de la section des pensionnaires privé» de l'hôpital S.-Jean-de-Dteu. Le docteur Alcée Tétreault na quit le 29 février 1880, du maria ge de feu Augustin Tétreault, en trepreneur, et de Alphonsine Goyel- te, qui lui survit. Il fit ses études commerciales à l'école Sainte-Croix, «t son cours classique au Collège Feu le Dr ALCEE TETREAULT de Montréal. Après l’obtention, de son baccalauréat, il fit ses études médicales à l'Université Laval de Montréal et fut reçu Docteur en Médecine, avec distinction, en 1905. Avant de se livrer à l'exercice de sa profession, il alla passer deux années à Paris, pour y perfection ner ses connaissances médicales. De retour à Montréal, il fut nom mé assistant de feu le docteur Bourque à l’Hôpital S.-Jean-de- Difiu, et en 1908, U devenait méde cin en chef de cette institution qui lui doit, pour une très large part, son orientation scientifique et ses méthodes thérapeutiques modernes actuelles. Extrêmement dévoué, très attentif à ses malades, médecin averti, autant que consciencieux, il était aimé de tous ceux qui l'ont connu, et son départ laisse un vide bien difficile à combler. Nommé professeur agrégé à l’U- nlverslté de Montréal, en 1910, il fut créé professeur titulaire de la chaire de Clinique des maladies mentales en 1919, succédant au docteur G. Villeneuve, poste qu’il occupa jusqu'en 1928, alors que la maladie le força à diminuer ses ac tivités bienfaisantes; il était, égale ment professeur de la chaire de psychiatrie à l'école d’hygiène So ciale Appliquée, depuis sa fonda tion en 1925. Lui survivent, son épouse, née Corinne Dufresne, fille de feu A. N. Dufresne, industriel de St-Césaire, et quatre enfants: Augustine, Ger trude, Armand et Jacques, ainsi qu’un frère, Augustin, et deux soeurs, Mme L.-H. Gagnon et Mme J.-A. Patenaude. Les funérailles auront lieu à la Résidence Ste-Thérèae, hôpital St- Jean-de-Dleu, demain matin, à 9.30 heures, heure d'été.
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