Fete du jour


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passe chez vous

Fait de farine non blanchie 

qui garde la saveur naturelle 

de blé.............



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rience dans la fabrication du pain de qualité. Seuls les 

ingrédients les plus beaux et les plus purs sont employés.

Quand vous essaierez ce pain, vous verrez qu’il garde 

plus longtemps sa fraîcheur — la dernière tranche a la 

même saveur que la première. Que votre famille y goûte 

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30 

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28

901

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son. il est utile de savoir en quel j 

temps de l'année les produits prin- ! 

cipaux ont leur saveur la plus fine, j 

Un menu bien composé tient comp- ; 

te des ressources exactes de la sal- j 

son. La recherche exagérée des : 

primeurs, des raretés est une erreur ! 

gastronomique, mise & la mode pari 

des snobe. Un produit de primeur ; 

n’a jamais la qualité d'un produit | 

de saison et le plaisir de manger 

une chose parce qu’elle coûte cher i 

n’a absolument rien à voir avec le : 

goût de la bonne table.



Janvier

Mois des festins. Les huîtres, les 

crustacés, les coquillages, les pois­

sons sont alors excellents. La vian­

de de boucherie est bonne. Le gi­

bier est abondant, savoureux, les 

voiaiîles déjà délicieuses, surtout 

l'oie, la dinde, les grosses poular­

des. Comme légumes, choisissez 

les choux, les choux-fleurs, le céleri, 

les épinards, les endives, accompa­

gnées de betteraves vous serviront 

aussi pour les salades. Au dessert, 

servez des irotnoges: le camembert 

est délicieux en janvier, et des pâ­

tisseries tous les gâteaux fourrés 

ou crémeux sont bien accueillis en 

hiver. Votre corbeille de fruits se 

remplira d'ananas, de bananes, de 

pommes, de poires, de noix, d'a­

mandes Les oranges et les mar.da- 

rihee sont souvent encore acides.



Février

Poissons et coquillages, huitres 

et crustacés sont encore très bons. 

Lia viande de boucherie est bonne 

aussi surtout le boeuf r. le mouton. 

Le porc est tout à fait à point; U la 

campagne, dans .les petites fermes 

j où le cochon n'est tué qu'une fois 

l'an, il l'est généralement en fé­

vrier. C'est ie vrai mois des bou­

dins. plus encore que décembre.

Le bon gibier se fair plus rare; 1! 

fuut commencer à choisir de préfé­

rence le canard sauvage, la sarcelle, 

las pluviers dorés. La volaille est 

parfaite surtout la grosse comme 

en Janvier. L'oie grasse est à point, 

et c’est l'époque du confit et des 

pâtés de foie gras.

Les légumes sont les mêmes 

qu'en janvier; les premières asper­

ges apparaissent mats elles sont en­

core "de primeur", mieux vaut les 

consommer deux mois plus tard.

Parmi les fromages, le camem­

bert, le Pont-I'Evéque. le Brie sont 

encore comme en décembre et jan­

vier en leur meilleur saison. Les 

gâteaux et ies fruits sont les mémos 

qu'en Janvier.

Mars


Mois de carême donc pas un mois 

de banquet». Mats c’est le mois qui 

volt triompher les meilleurs pois­

sons. C'est en mars qu'il faut man­

ger l'esturgeon, le saumon, l'alose, 

ie brochet, la carpe, le turbot et la 

sole ainsi que la morue salée. La 

viande de boucherie est bonne. La 

volaille perd un peu de sa qualité 

et te gibier devient rare. Les légu­

mes nouveaux commencent â pa­

raître. Les fromages à pâte molle 

et à goût accentué sont un peu 

moins appréciés. Les fruits sont 

les mêmes qu’en hiver, mats ce 

mois-cl les oranges, les mandarines 

sont douces tout en demeurant très 

Juteuses.



Avril

Les poissons fins et les crustacés 

sont encore en leur bonne saison.

• voces


POU K ALLER AU JARDIN : — La 

robe-tablier est très pratique 

|*>ur cet usage. Le« poches simu­

lent de mignons pot* île fleurs. 

Le petit chapeau «le toile en for­

me «le cloche, est simple «*t co­

quet. patron "Vogue”. (Service 

spécial à la "Presse").

En boucherie c'est l’époque des 

agneaux, des chevreaux, des c«>- 

chons de lait. On ne trouve plus de 

gibier et ta bonne volaille est pas­

sée. Les carottes, ies pommes de 

terre nouvelles, les salades vertes 

font leur apparition. Les asperges 

commencent.

Avril est uu mauvais mois pour 

les fruits. Les fruits d’hiver ne 

sont plus bons et les fruits du prin­

temps en ont encore pour plus d'un 

mois avant d'avoir quelque saveur. 

11 faut les remplacer par des crê­

pes, des brioches et toutes les pâ­

tisseries qui exigent des oeufs très 

frais, abondants à cette époque.



Mal

Abandonnez les poissons de riviè­

re et les salmonidés. C’eet le mo­

ment de manger du poisson de mer 

et surtout la sole, le hareng, le tur­

bot, et le maquereau. La viande 

est bonne dans l'ensemble. Comme 

volaille ne prenez que des pigeons 

bien tendres et des canards. Vous 

les accommoderez aux navets nou­

veaux qui sont dans toute leur 

fraîcheur. Les pommes de terre, 

les carottes, les salades sont exqui­

ses. Les asperges ont toute leur 

saveur.

Comme en avril, il y a encore 



peu de fruits qui ne soient pas d'im­

portation. Toutefois vous pouvez 

trouver des fraises.

L'entente 

entre ces 

deux chefs



Elle serait parfaite entre MM. 

Bennett et Houde. — Les 

jeunes conservateurs. 

Réunion à Québec

(Du correspondant de la PRESSE)

Québec. 27. — Lay Jeunesse con­

servatrice a tenu une assemblée 

qui a réuni quelque deux cents 

personnes, samedi soir, à la salit- 

paroissiale de Limoilou. Eu l'ab­

sence de M. Thomas Maher, parti 

à la rencontre de M. Houde, â 

Trols-Rivièrs, M. Wilbrod Bherer 

présenta les orateurs, dans l'ordre 

suivant: MM. Paul Miquelon, Char­

les De Boucherville, président de 

la fédération des clubs de jeunes 

conservateurs de Montréal; Noél 

Dorion. président de la Jeunesse 

conservatrice du comté de Québec; 

Gérard Thibault, de Montréal; 

Charles Napoléon Dorion, M.P., 

pour Québeo-Montmonrency ; An­

toine Itivard et Pierre Audet. On 

remarquait aussi, sur la scène, 

MM. J -L.-A. Tanguay et Léopold 

Pouliot.

Les orateurs ont surtout parlé 

Je politique provinciale, sans négli- 

[ger cependant le domaine fédéral.

M. Bherer transmit à l'assistance 

les excuses de M. Maher, puis il dit 

le but de l’assemblée; organiser 

] une fédération des clubs de jeunes 

! conservateurs du district de Québec.

M. Paul Miquelon, faisant allu­

sion aux élections provinciales, dé­

clare qu’il n’en connaît pas la date, 

mais que lui-même et tous les con­

servateurs sont prêts h se lancer à 

l'attaque.

M. De Boucherville dit un mot de 

l'organisation, à Montréal, où cin­

quante-cinq clubs out été groupés. 

L’orateur déclare plus loin, aux ap­

plaudissements dé l'assemblée : 

"J'ai ren«K>ntré, k Ottawa, M. Du- 

pré. 11 m’a dit; “L'entente entre 

M. Bennett et M. Houde est parfai­

te”.


L'orateur fait l'éloge du chef de 

l'opposition provinciale et aborde la 

question des ressources naturelles, 

traitant plus particulièrement de la 

crise du papier.

Une |M‘tite Russie 

M. Gérard Thibault, de Montréal.

dit de la politique provinciale :"Ce 

n'est pas une question de rouges j 

ou de bleus, c'est l'avenir d’une i 

province qui est en jeu." L’orateur 

j 

reproche au gouvernement d'avoir j 

marqué de prévoyance en vendant 

toutes nos richesses naturelles, et 

11 ajoute; "Si encore on ne s'ana- 

BLiait qu'aux choses matérlelle.s, 

mais non, on est en train d’établir 

ici une petite Russie. Et le plus 

grand bolchévisle que je connaisse 

est M. Taschereau.”

M. Thibault s'attaque aux com­

missions nommées par le gouverne­

ment, à la commission des acci­

dents du travail, à la commission 

des liqueurs, "toutes composées", 

dit-il, "de gens non responsables 

envers le peuple”. Puis il ajoute 

“SI on continue, bientôt, sur les 

grains de semence, 11 faudra, com­

me sur les bouteilles de la commis­

sion, l'étiquette: “Je me sou­

viens”.”


Voyez vos

- fous 

e •

-vou*

Des drapeaux en berne à 

l’Université de Montréal

Deux drapeaux flottent en berne i 

depuis ce matin sur le péristyle de ! 

l’Université de Montréal pour rap-1 

peler le deuil de la Faculté de mé- 

declne qui vient de perdre l'un de i 



ses anciens professeurs en le per­

sonne du Dr Alcée Tétreault. en 



j 

son temps professeur de maladies ! 

nerveuses et mentales.

Le Conseil de la Faculté de mé- ! 

declne fera parvenir aujourd’hui! 

une résolution de sympathies à la | 

famille du défunt et la Faculté se-j 

ra officiellement représentée lors 1 

des funérailles.

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d'un blaiH*. hilsant, et de* gencive-» r'-ua 

fermes, adoptez tout de suite la toohni- 

qu*- Koiynofi de la hrosfw sèche — un 

demi-pou tie d«- Kolynoe sur une brosse 

sèche matin et soir. Au bout de 3 jours 

le» dent» paraîtront 3 nuance» plus 

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 — les gerwdvee plus rosez. phis 

ferme»- J ai mous-se antiseptl<|tu\ Kolyno* 

chusse la cause des taches de la cartô 

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les 15 première® secondes. Elle pénétra 

dans le» moindre** fissures — puadflfc *~- 

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qut* jamais d’économiser. Un de mes 

moyens d’économiser sur les vêtements 

c’est de renouveler la couleur de» robes, 

manteaux, bas et sous-vêtements fanés 

ou démodés. Pour teindre, ou teinter, 

je me sers toujours des Teintures Dia­

mond. Elles sont de beaucoup les plus 

économiques parce qu'elles ne man­

quent jamais de produire de» résultats 

qui voue rendent fière. En vérité, le 

linge paraît mieux qu^ neuf quand il 

est teint avec les teintures Diamond, 

lesquelles ne laissent jamais de taches, 

de stries ni de coulées, même entre les 

main« d un enfant de dix ans. Une au­

tre chose* c’eat que les Teintures Dia­

mond ne rendent jamais le tissu mat ou 

boiteux comme font d’autres teintures. 

Elles méritent d'être appelées ' les meil­

leures teinture» au monde!”

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re un dé jeûner à ses 

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et fait le choix de ses officiers

.rte Lucette Valin, d’Ottawa, devient président de 

' association des clubs de l’est de l’Ontario, section 

féminine, et M. A.-H. Lief, président de la 

section masculine.

M. Bennett et les chômeurs



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fédéral et aussi chef du parti libé­

ral, à la Législature d’Ontario. Le 

déjeuner fut survl de rassemblée 

annuelle de l'association. Au déjeu­

ner, 315 personnes étaient présen­

tes, sous la présidence de Mme Dou- 

glaa-B. Blair. d’Ottawa. Mlle Ann»

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MONTREAL 

WINNIPEG

2080, avenue Union, immédiatement au-dessous de Sherbrooke

Tél. : LA. 4281

Fogarty chanta “O Canada", puiai 

Mme Blair souhaita la bienvenue 

aux hOtes d’honneur, en donnant 

aussi le but de cette réunion. Quinze 

comtés de l’Bst d’Ontario étaient 

représentés.

Le bnt est d’unir les jeunes libé­

raux, afin d'obtenir plus de coopé­

ration dans le travail. A cause de 

plusieurs avantages qu'offre Otta­

wa, il est desirable que le congrès 

annuel de l’asauciation soit tenu 

dans la capitale. L’association en­

tend maintenir une grande activi­

té. dans tous les clubs libéraux, et 

d’ici six mois, des clubs seront éta­

blie dans les localités oû il n’y en a 

pas. Le parti libéral doit s’organiser 

et travailler en intime coopération 

avec ses chefs.

Clubs qu’on fondera

Mlle Béssie Welr, de Spencerville, 

présenta ensuite la résolution 

créant l’association des clubs libé­

raux du XXe siècle, dans l’est d’On­

tario. Il fut également décidé de 

fonder des clubs à Ottawa-Est, Ot­

tawa-Sud, Ottawa-Nord, Renfrew- 

Nord et Su d,-. Lanark-Nord et Sud, 

Russell, Prescott, Grenville, Dun- 

das, Glengarry, Carleton et Brock- 

ville.


Cette résolution fut appuyée par 

M. M. Tremblay, d'Ottawa, qui in­

sista sur l’unité des différentes sec­

tions des clubs, dans le but de 

mieux propager chez les jeunes les 

principes du libéralisme.

On a lu un télégramme de M. R.- 

Percy Baker, premier vice-président 

de l’association libérale d'Ontario, 

regrettant de ne pouvoir se rendre 

à Ottawa, pour la circonstance.

20,000,000 

Le très hon. Mackenzie King et 

■M. Hepburn ont parlé de la situa­

tion sérieuse qui existe au pays. Il 

y a, dans le moment, vingt millions 

d’hommes sans travail dans le mon­

de entier, chiffre qui Indique les 

misères dont souffre l'humanité. Au 

Canada, la situation est également 

sérieuse et les promesses électorales 

de M. Bennett, en rapport avec le 

chômage, sont loin de se réaliser. 

L’attention qu’il portait aux sans- 

travail, il y a quelques mois, a bien 

diminué, s’il faut en juger par la ré­

ponse qu’il leur donnait, ii y a quel­

ques jours, à Ottawa. Toutes les 

classes de la société sont désap­

pointées du programme du gouver­

nement actuel. Notre commerce, ex­

térieur et intérieur, diminue consi­

dérablement; le revenu tombe rapi­

dement. Notre méthode ds distri­

bution a besoin d’ètre réorganisée, 

en faisant cesser certains privilèges 

et en lee transférant au bénéfice 

de la masse.

Les orateurs ont été remerciés 

par M. Edwin Oharleson, président 

du club libéral des hommes; Mlle 

Florence Nolan, de Smith Falls: Mlle 

Lenore Skinner et M. Walter-J. Gil- 

hooley, d’Ottawa.

L’assemblée des dames

L’assemblée des (James, qui a sui­

vi le déjeuner, fut présidée par Mlle 

Lucette Valin. Mme Douglas Blair 

et "Mlle Olive Wilson, toutes d’Otta­

wa.


Mlle Nancy McCarthy, agiseait 

connnc secrétaire.

Les rapports des clubs ont été 

reçus de Mlles Bessie Welr, de Spen­

cerville; B. Claude, de Clarkstown; 

C. Drummond, de Nepean; Florence 

Nolan, de Eatavlew; M. Leelauriers, 

■d'Embrun: Anna Fogarty, de Met­

calfe, et de Mme Gordon MacLareu, 

d’Ottawa.

Mlle Lucette VaMn, fille du Dr 

R.-E. Valin, d’Ottawa, a été élue 

présidente de la section fémlnlme, 

présidente du club d’Ottawa. Mlle 

Valin fit une revue générale des 

activités du club, depuis sa fonda­

tion, et du travail qu'il a accompli, 

au tours de la campagne électorale 

do 1930.

Par cette élection, Mlle Valin de­

vient présidente de l'association li­

bérale des clubs du XXe siècle de 

l’Est de l’Ontario.

Au coure de cette réunion, Mlle 

Olive Wilson a condamné l'admi­

nistration Bennett, pour les nom- 

breuees démlseione de fonctionnai­

res, spécialement dans le ministère 

de l'intérieur. La guillotine fonc­

tionne à Ottawa d’une façon alar­

mante, dit-elle. Il est vrai que 

l'économie est nécessaire, mais pas 

de cette manière. Les grandes cor­

porations, au lieu de congédier leurs 

employés, les font travailler une 

partie du tempe ordinaire; c'est plus 

humain.

Mme A.-H. Lieff. d’Ottawa, criti­



que aussi le gouvernement pour l'é­

conomie rigide poussée à l'extrême, 

qui a été jusqu'à faire résilier $30, 

000, de bourses accordées par le 

Conseil national des recherches 

scientifiques. Le Canada, en géné­

ral, perdra par le manque d’études 

spéciales que devaient faire plu­

sieurs gradués (hommes et fem­

mes) do nos universités. Le gou­

vernement Bennett pratique une 

fausse économie au détriment de 

l’avancement de la science.

Mme John-G. Boome, de Brock- 

ville ne voltvpas pour quelles rai­

sons il n’y aurait pas une femme 

ministre dans le gouvernement fé­

déral. et également dans les admi­

nistrations provinciales. Lee fem­

mes représentent 50 pour cent du 

nombre des votants en Canada, 

mais, à l'exception du très hon. 

Mackenzie King, qui a nommé une 

femme au Sénat, le» droits de la 

femme sont généralement ignorés 

par les gouvernements. Dans lee 

provinces, le portefeuille de l’édu­

cation devrait être accordé à une 

femme; celui de la santé publique 

pourrait également être confié à 

une femme.

Mlle Rosanna Stewart, vice-pré­

sidente de l’assooiatlon nationale 

des femmes, a parlé de l'oeuvre 

réalisée par l'association libérale 

des clubs du XXe siècle, depuis un 

an. et de l'Importance qu'il y a de 

fonder des clubs dans tous les com­

tés du Canada, de même que dans 

toutes les villes.

La section des hommes

Pendant cette réunion de jeunes 

femmes, la section des hommes de 

l'association tenait également son 

assemblée, sous la présidence de 

MM. B.-H. Charleson et Arthur 

Ash. Il y a eu discours par MM. J.-

L.  Wilson, de Toronto, président de 

l’Association libérale; R.-A. McDou­

gall et W.-H. Cornstalk, de Brock- 

ville. La section masculine a fait 

l'élection des officiers suivants : 

président, M. A.-H. Lief, d’Ottawa; 

vice-pré«idents, MM. Wm. Low, de 

Renfrew ; Chas. M r Ta vieil. de Corn­

wall; Geo. Fulford. de Brockville; 

Claude Moore, de Carleton comté; 

E.-H. Charleson, d'Ottawa nord; 

Jean Richard, d'Ottawa Est; L. 

Clayton. d'Ottawa sud; D.-D. Mac­

intosh, de Glengarry et Dr Morrow 

de Metcalfe; secrétaire-archiviste,

M.  M. Tremblay, d’Ottawa; secré­

taire-correspondant, M. Arthur-R - 

J. A»h. d'Ottawa; trésorier, M. 

John O’Keefe, d'Ottawa.

Les présidents honoraires do ' 

l'Association sont le très hon. Mac­

kenzie King et M. il.-F. Hepburn.

Accident survenu

à 3 infirmières

(Du correspondant 

de !

h

 



PRESSE)

Ottawa, 27. — Trois Infirmières 

de l'hôpital Civique ont failli être 

tuées, hier, lorsque leur automoible 

a frappé le côté d'une locomotive, 

au passage à niveau de l’avenue 

Bronson. Mlle Laura Berry n'a 

rien eu, mais «es deux compagnes, 

Mlles Grace Froata et Mabel Cam- 

ley ont été légèrement blessées. 

Mlle Berry, qui conduisait l’auto­

mobile, l’avait reçu de Toronto, 

samedi seulement.

Feu le Dr A. Tétreault

Nous avons le regret d’apprendre 

le décès, survenu le 26 courant, en 

sa demeure, No 7450 rue Notre- 

Dame-Est, du docteur Alcée Té­

treault. professeur titulaire hono­

raire de {'Université de Montréal, 

médecin en chef de la section des 

pensionnaires privé» de l'hôpital 

S.-Jean-de-Dteu.

Le docteur Alcée Tétreault na­

quit le 29 février 1880, du maria­

ge de feu Augustin Tétreault, en­

trepreneur, et de Alphonsine Goyel- 

te, qui lui survit. Il fit ses études 

commerciales à l'école Sainte-Croix, 

«t son cours classique au Collège

Feu le Dr ALCEE TETREAULT

de Montréal. Après l’obtention, de 

son baccalauréat, il fit ses études 

médicales à l'Université Laval de 

Montréal et fut reçu Docteur en 

Médecine, avec distinction, en 

1905.

Avant de se livrer à l'exercice de 



sa profession, il alla passer deux 

années à Paris, pour y perfection­

ner ses connaissances médicales. 

De retour à Montréal, il fut nom­

mé assistant de feu le docteur 

Bourque à l’Hôpital S.-Jean-de- 

Difiu, et en 1908, U devenait méde­

cin en chef de cette institution qui 

lui doit, pour une très large part, 

son orientation scientifique et ses 

méthodes thérapeutiques modernes 

actuelles. Extrêmement dévoué, 

très attentif à ses malades, médecin 

averti, autant que consciencieux, il 

était aimé de tous ceux qui l'ont 

connu, et son départ laisse un vide 

bien difficile à combler.

Nommé professeur agrégé à l’U- 

nlverslté de Montréal, en 1910, il 

fut créé professeur titulaire de la 

chaire de Clinique des maladies 

mentales en 1919, succédant au 

docteur G. Villeneuve, poste qu’il 

occupa jusqu'en 1928, alors que la 

maladie le força à diminuer ses ac­

tivités bienfaisantes; il était, égale­

ment professeur de la chaire de 

psychiatrie à l'école d’hygiène So­

ciale Appliquée, depuis sa fonda­

tion en 1925.

Lui survivent, son épouse, née 

Corinne Dufresne, fille de feu A. N. 

Dufresne, industriel de St-Césaire, 

et quatre enfants: Augustine, Ger­

trude, Armand et Jacques, ainsi 

qu’un frère, Augustin, et deux 

soeurs, Mme L.-H. Gagnon et Mme 

J.-A. Patenaude.

Les funérailles auront lieu 

à 

la 



Résidence Ste-Thérèae, hôpital St- 

Jean-de-Dleu, demain matin, à 9.30 

heures, heure d'été.


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