Fete du jour


partie d'u.ne UoufceHle du votre mer-


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partie d'u.ne UoufceHle du votre mer- 

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perbe cadran gravé à l’eau forte-—un achat très spécial. Ne devrait pas 

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10

LA PRESSL, 3IONTREAL. IA .Nl)t 

21

 AVRIL 1031

L’ART ET LES ARTISTES



EXPOSITION DE TABLEAUX 

CANADIENS ET EUROPEENS

Une sérié d'oeuvres qui dorme l'impression d'ètre la collectiori for­

mée par un connaisseur au goût sûr et éclairé. Les meilleurs 

peintres du pays représentés par des toiles remarquables.

AUX SALLES DE MORENCY FRERES

un polntro riohc-

tlfle fort intéressante exposition dont il avait le serrât, ainsi qu’un 

tableaux e'ost ouverte samedi charmant petit paysage

aux salles de la maison Morency 

Frères, 458 rue Sainte-Catherine 

Est. Elle se compose d’environ aoi- 

.vante-quinze toiles par des artistes 

anadieus et européens.

Lorsqu'on pénétre dans le salon 

oft sont réunies los peintures on a 

plutôt l'impression de voir la col­

lection do tableaux formée avec 

amour par un connaisseur éclairé 

et de goût sûr plutôt qu’une série 

d’oeuvres destinées à être vendues.

La plupart des principaux artis­

tes canadiens sont représentés u 

cette exposition par des oeuvres ca­

ractéristiques de leur talent. Parmi 

les noms les mieux connus citons: 

Henri Julien, Suzor-Côté, J.-C. 

F ranch ère, Charles deBelle, Kaoul 

Ttarré, M. A. Fortin, Adrien Hébert, 

tille Marguerite Lemieux. Mlle 

PJta Mount, Maurice LeBol. Ivan 

.iobin, André Morency, Robert Pi­

lot, Narcisse Poirier, Georges Dei- 

fosse. J. Johnstone, Mlle Italy, Ed­

gar Contant. Octave Bélanger, J. 

Jutras, Frank lacurto, etc.

C’est une jole.de voir ces «ou­

vres dont <;uelqtits-unbs sont par 

des peintres disparus. On apprécie 

et on admire là les créations des 

..rtistes quo nous avons connus.

Henri Julien est représenté par 

:in dessin à !a plume fait pour il­

lustrer le livre "Chasse Gâterie”.

De J -C. Franchère, parti .préma­

turément, dans toute la force do son 

talent, nous admirons l'une de ces 

jolies et, délicieuses tètes de femme

Messieurs Morency ont eu !a 

bonne fortune de trouver quatre 

compositions de 9uzod-Côté, trois 

pastels et une peinture. La princi­

pale de ces oeuvres est Vieux Mou­

lin, Arthabaska. Nous admirons 

une étude de nu. aux lignes harmo­

nieuses. comme Suror-Côté en a fait 

un grand nombre.

Quatre petits pastels nous di­

sent le talent délicat du peintre- 

poète Charles deBelle. Chacun de 

ces tableaux est un poème de grâ­

ce et d'harmonie. Ce sont des cho­

ses ravissantes.

Mlle Marguerite Lemieux qui ex­

celle à peindre les tableaux de 

fleurs a composé ici un bouquet 

aux couleurs éclatantes qu'elle a 

placé près d'un vase vert. ' C’est 

joli et gracieux comme tout ce que 

peint Mlle Lemieux. Citons encore 

par la même artiste une Tète Na­

politaine à l'aquarelle.

De Maurice LeBol, un maître de 

la gravure sur bois, citons Le Cri- 

eur de Pommes, gravure réaliste et 

très vivante.

Adrien Hébert est représenté par 

deux toiles, dont l’une. Scène de 

Neige, avec une voiture chargée de 

bois, revenant de la forêt, est dans 

notre opinion, l’un des meilleurs 

tableaux de cet artiste.

Citons «nainteiïant une cbarmaa- 

te tête dé femme par Raoul Barré 

et un Vieux Coton aiguisant un

me là comme 

ment doué.

Mlle Rita Mount expose chez Mo­

rency l’une des superbes toile» 

qu’elle avait envoyées au Salon du 

Printemps, une scène de Gaspé avec 

une flotill» de barques de pêche. 

C’est là une toile d’un riche coloria 

qui peut prendre place dans les 

meilleures collections de tableaux. 

i-e« Eboulement pan- la même ar- 

[ liste eet une autre toile d’un rare 

mérite et qui sera fort appréciée.



M. Octave Bélanger nous montre 

i !e Vieux Pont de Lourdes, peinture 

| que nous avons toujours aimée. Les 



beaux grands peupliers verts qui 

sont dans le paysage donnent à ce 

tableau une note décorative qui 

plaît fort, AL Bélanger a été très 

heureusement Inspiré en peignant 

cette toile.

M. Georges Del fosse est représen­

té par trois toiles considérables 

dont la principale est le grand pay­

sage intitulé Sainte Famille, lie 

d’Orléans, qui nous montre une 

campagne avec soit église, un grou­

pe de maisons, des arbres, la riviè­

re qui coule doucement dans la ver­

dure et les montagnes dans le loin­

tain, M. De If esse a peint là un ta­

bleau d’un riche coloris.

Une petite peinture, une étude, 

qui n&us montre des gens protégés 

par des parapluies, traversant une 

place publique, 

mous

 

une averse, 



nous fait voir le talent de Mlle Dai­

ly.


Nous nous arrêtons devant Le 

Béguinage, toile peinte pat le re­

gretté J. Johnstone. Ce sont deux 

vieilles dentellières travaillant à 

leur métier L’artiste a su rendre 

le calme, l'apaisement, qui règne 

dans ces établissements de femmes 

retirées du monde.

Une aquarelle et un pastei npus 

montrent le talent robuste, vigou­

reux, et les riches qualités de colo­

riste de Marc Aurèle Fortin. Nous 

avons particulièrement goûté sa 

scène des Laurentides.

Signalons une toile fort Intéres­

sante, Inondation; par Frank lacur- 

to, jeune artiste de grand talent, 

qui a été autrefois l'un des plus 

brillants élèves de l'école des Beaux 

Arts et qui promet d’avoir une belle 

carrière.

Port de Montréal et Rivières des

permettent de prédire que leur au­

teur. André Morency, sera un jour 

l’un de nos bons artistes. C'est un 

tout jeune homme qui s'affirme ï 

comme un paysagiste admirable­

ment doué.

M. Narcisse Poirier, un artiste 

consciencieux qui a fait son che­

min et qui est un exposant régulier 

à chaque Salon de la Art Associa­

tion est représenter par quatre pay­

sages fort intéressants.

Parmi les peintres européens ci­

tons R.-V. Maiîiaco avec ûne scène 

d'Algérie très impressionnante. 

L'artiste nous montre un minaret 

et autres édifices en stuc, ombra­

gés par de grands palmiers. G. 

Barthélémy nous montre une vue 

de la Côte d’Azur qui est d’une rare 

beauté. Nous voyons la mer bleue, 

avec sa plage de sable blond, son 

ciel limpide et une foule de bai­

gneurs.


La Bergerie de J. Bahieu est 

l'un des plus importants tableaux 

de l’exposition. Nous voyons une 

bergère faisant entr.er ses moutons 

à l’étable. Cette peinture est fai­

te par un peintre amoureux du dé­

tail et peignant avec un soin mi­

nutieux. C’est de la peinture d'au­

trefois mais intéressante tout de 

qième. - Citons encore les noms 

d'André Cabane, Oaro-Delvaille. 

Communale, J. Garbaÿe, A. La­

grange, < t ■■

1 l'Angleterre veut 

combattre le plan 

cinq ans russe

Londres, 2". — L'association des 

Chambres de Commerce anglaises 

vient d'autoriser, par résolution, 

son exécutif à faire enquête sur les 

effets, eu ce qui concerne les indus­

tries britanniques, du plan de qinq 

ans russe, puis à étudier les moyens 

â prendre par le gouvernement et 

les hommes d’affaires en général 

pour combattre cette nouvelle mé­

thode de commerce.

Sir John Sanderman Allen, pro- 

poseur de la résolution, a dit que le 

gouvernement des soviets achète et 

utilise les meilleures machineries 

cependant qu'il voit à s’assurer le 

concours des meilleurs experts du 

monde. Nombre de produits russes, 

a-t-il ajouté, sont d’excellente qua­

lité, et le temps n'est pas éloigné où 

la Grande-Bretagne se ressentira 

des effets de !a compétition russe. 

M. H.-E. Metcalf, de la Chambre de 

Commerce russo-britannique, a dé­

claré, de son côté, que plus de 20,- 

000 experts américains et alle­

mands sont actuellement à ensei­

gner aux russes ce qu'ils veulent sa-

méme que le chauffeur eût pu stop­

per le vécule. Le Dr C. Rowan, de 

l’hôpital militaire, ee rendit sur les 

lieux. Les blessés furent déposés 

dans l’auto de M. Percy Culmer, qui 

passait par là. et conduits à l'hôpi­

tal. Le chef de police J.-B. Lunt, de 

la Baie d'Urfé, qui fit enquête dans 

cette affaire, a appris que cette 

famille avait passé la journée à 

File Perrot et revenait à Montréal.



Le problème 

des finances 

en '

L’avez-vous 

entendue 

2

Un verdict qui est 

vivement commenté

La pièce la plus importante de 

l'exposition est une peinture ne Gio-| voir.

vanni Luigi Valeslo, La Nativité, 

i- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -

xrs “ciLt'-rr es SU personnes Messees

do composition et d'un riche colo- 

donc lin Oftêidont H'ftlltn

ris. Les siècles n’ont pu amoindrir; 



Uflllà UH aulilUCili U ÛUiw

Féclat de ces vives couleurs. C'est!

une toile de musée et il est â espé­

rer qu’elle trouvera un jour sa pla­

ce dans quoiqu'une de nos galeries 

nationales.

Ce soir, S heures, salle du Club 

I.emieux, angle Iberville et Lafon­

taine. assemblée de la Jeunesse Li­

bérale de Sainte-Marie. Plusieurs 

orateur* sont au programme. Invi- 

outtt sur sa meule. M. aBrré s’afftr- [Prairies sont deux toiles qui nous italien à tous les libéraux.

jeunes libéraux de S,-Marie

Six personnes ont été légèrement 

blessées vers 7 h. 15, samedi soir, 

lorsque l'auto qui !e« ramenait à 

Montréal dévia sur la route et vint 

s'écraser contre une clôture, à Baie 

d’Urfé.

L«i occupants furent conduits à 



l’hôpital militaire de Sainte-Anne 

de Bellevue, où ils reçurent les pre­

miers soins.

L'auto appartient à M. B. Pilon, 

:

î

(}20 rue Jacques-Hertel. qui était 



accompagné de son épouse, son frè­

re. l’épouse de ce dernier et trois 

enfants, âgé» respectivement de 3, 

5 et 9 ans. L’accident est survenu 

dans un détour de la route, avant

ëtte car 

te dans 


la 

vitrine de

votre épicier

yous 

dit

i

Londres, 27. — William Herbert 

Wallace, mis en accusation à Li­

verpool. pour le meurtre de sa fem­

me, a été déclaré coupable, samedi, 

et condamné à mort. Le juge 

Wright, qui présidait le tribunal, a 

déclaré que le meurtre pour lequel 

Wallace avait été déclaré coupable 

éta't sans exemple dans les annales 

du crime. Le proqès a duré quatre 

jours. Les spectateurs n’ont pu 

s’empêcher de témoigner leur sur­

prise quand le verdict a été rendu. 

Wallace n’a pas bronché et a de 

nouveau protesté de son innocence.

Wallace et sa femme habitaient 

le faubourg Anfield, à Liverpool. 

D’après la version de l’accusé, il a 

quitté ia maison le soir du meurtre 

à la suite d'un appel par téléphone 

qui lui aurait été envoyé par un 

ami et lui demandait de venir à 

un certain endroit éloigné: il n’a 

pas découvert l’adresse qui lui 

avait été donnée et est revenu à la 

maison où il a eu assez de diffi­

culté à entrer. Il a appelé des voi­

sins pour l’aider et, quand ils sont 

entrés. Ils ont trouvé Mme Wallace 

morte de plusieurs blessures. On 

n’a pas découvert d’arme, mais le 

mari affirma que Î20 manquaient. 

Plus tard, la police a découvert 

cette somme cachée dans la mai­

son.


L’enquête da la police amena 

l’arrestation du mari d’après des 

preuves qui tendaient à démontrer 

que l’appel au téléphone avait été 

fait par le prisonnier lui-même, afin 

de se préparer un alibi. Le mari 

n’a donné aucune raison établissant 

que quelqu'un pouvait en vouloir 

à sa femme. Bien qu’il ait déclaré 

n’avoir pu entrer que difficilement 

dans la maison, on n'a découvert 

aucune trace d'effraction. Des té­

moins ont déclaré que. pendant 

leurs 18 ans de mariage, les époux 

semblaient très heureux et la mort 

de sa femme n’apportait aucun 

avantage au condamné.

la raison d'être des 

Fils Natifs du Canada

Melbourne (Australie) 21.—Hier, 

le conseil du Commonwealth a ; 

adopté une résolution exprimant 

l’opinion due les taux actuels *n; 

térét sont trop élevés et devraient 

être réduits. Il exprima aussi le 

désir de voir la banque du Corn-; 

monwealth conférer avec les ban­

ques d’épargnes et lea banque.scom- 

merciales dans le but d'arrêter des 

taux uniformes pour les dépôtsj 

taxes, les prêts de banques, les dé­

pôts et les emprunts des banques 

d’épargnes. Le conseil a donné le 

pouvoir à son président, le tréso­

rier. l'hon. E.-C. Théodore, de s'en-, 

tendre avec sir Charles Gibson, 

président de la banque du Common- ; 

wealth dans le but de trouver un j 

emprunt de *60,000.000 en Austra­

lie. Eu attendant, les réponses aux ■ 

demandes de Victoria, de Queens-1 

land et de l’Australie occidentale j 

pour des emprunts ont été retar­

dées. 


!

Le conseil croit aussi qu’une ! 

conférence entre les premiers mi-, 

nistres et les trésoriers, s’impose et j 

il suggère d’inviter aussi les lea­

ders des parlements. Le but de la j 

conférence serait de rétablir l’équi-) 

libre financier en Australie. Ce-i 

pendant, on attendra à la prochai-! 

ne séance pour agir.

Après avoir exprimé l'opiniou 

que l’Australie devrait avoir pou- 

but do produire un budget équili­

bré eu 1934, le conseil a nommé un 

comité composé de sir James Mit-, 

chell, premier de l’Australie Occi­

dentale: l’honorable J.-P. Joues.; 

trésorier intérimaire de Victoria,! 

et de l’honorable L.-K. Hlll, pre- i 

mier de l’Australie Sud pour étu-: 

dler la situation future et déler-j 

miner les résultats probables des; 

économies actuelles et projetées. Ce' 

comité fera ensuite rapprot.

L'honorable W.-H. Barnes, trê-i 

sorter de Queensland, dit que cetj 

Etat ne voudra pas se joindre auxj 

efforts pour équilibrer le budget eu | 

1934' parce que M. Theodore ne|

Avez-vous

ffoûté à la 

céréale qui par! d'elle-ménic 

—l’avez-vous entendue dire 

au monde combien est bonne 

chaque bulle de riz grillé ? 

Versez du lait ou de la crèm 

dans un bol de Riee Krispic 

dorés — puis écoutez - le 

éclater et craqueter. Crou. 

tiliante. Délicieuse. Comma- 

dez-cn un paquet rouge t\ 

ver! chez votre épicier. Fa^ 

briquée par Kellogg à Lon

don, Ontario.

RICE

KRISPIES

fait pas partie du comité. Le cou

Nourriture X

pour les 



^y

Bébés,


pour le* J;

Estomacs 

Délicats

En vente partout-

sell a discuté les lettres reçues ré-: 

cemment des banques où celles-ci 

déclarent quo toate avance dej 

fonds au-delà du montant déjà dé-j 

terminé sera refusée. Le conseil 

répondra à ea prochaine séance.

Trapue fin d'un

duel au pistolet

CRAQUE BOrTETLLE 

EN VAUT DEUX COMME

LES AUTRES



SAPINOL

rentra TOUX. RHUM EX, *tr. 

i

4W 


b

V

Me Oscar Boulanger, député de 



Beüechasse aux Communes, premier 

vice-président national de l’associa­

tion des Fils Natifs dù Canada, à 

l’assemblée 78 de l'association, qui 

donnait son dîner-causerie annuel 

hier soir, à l’hôtel Queen's, a parlé de 

l’idéal recherché par les Fils Natifs 

et du patriotisme qui anime leurs 

actions. L’assemblée était sous la 

présidence de M. François Turgeon. 

Le conférencier a été remercié par 

Me Salluste Lavery, président de 

l’assemblée Lafontaine. Exposant 

les progrès constant* de l’associa­

tion des Fils Natifs. M. Lavery a 

parlé de leurs diverses activités, et 

a fait l’éloge des assemblées fémi­

nines, telles les Filles Natives du 

Canada.

M. Boulanger a fait un appel aux 



membres présents en faveur de3 pro­

duits canadiens, déclarant que le 

but de l'association des Fiis Natifs 

étant d’agir sur l’opinion publique, 

il importait qu’en une circonstance 

aussi grave de l’histoire économique, 

le peuple soit Invité instamment â 

encourager les nôtres. M. Boulanger 

souhaita aussi que d’ici peu l’asso­

ciation compte 25.000 membres.

M. I.-J. Kent-L’Ëspérance, prési­

dent de l’assemblée Albani des Fil­

les Natives, a aussi adressé la parole.

La Russie des soviets 

préparée à la guerre

arrivée!

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New-York, 27. —- La Russie so­

viétique espère gagner les Indee* et 

la Chine au communisme en moins 

de trois ans. Quant à l’Angleterre 

et â l’Europe continentale, 14 ans 

sont estimés nécessaires pour un 

pareil revirement. Les Etats-Unle, 

eux. ne pourront pas être “con­

quis” avant deux siècle*. Toutes

ces statistiques furent transmisee 

hier pa.r M, Clarence Warren, un 

Ingénieur, qui vient de rentrer aux 

Etats-Unis après un séjour d’un an 

en Russie en qualité de conseiller 

technique du gouvernement sovié­

tique.

L’impression de M. Warren est 



que la Russie a définitivement dé­

cidé de convertir le monde entier 

à la doctrine communiste et que. 

conséquemment, l’éventualité d’une 

guerre est considérée comme plus 

que probable par les dirigeants so-' 

vi étiques.

“Toutefois, dit M. Warren, la 

Russie ne pourra jamais se suffire 

complètement à elie-même et l’ha­

bileté mécanique ainsi que l’aug­

mentation des connaissances là-bas 

ne pourront jamais être comparées 

avec leur progression aux Etats- 

Unis.”

Boston, Mass., 27.—Un homme a 



été tué et un autre est mourant par 

suite d’un duel au pistolet dans 

une rue 

Scailone, de Boston, qui fut ac­

quitté d’une accusation de meurtre, 

l’an dernier, était, mort quand le 

duel s’est terminé. Son corps gi­

sait sur le seuil d'un magasin où il 

avait tenté de se réfugier. Giuseppe 

Vitale, de Medford, était blessé 

d’une balle dans l’abdomen lors­

qu'il fut arrêté par un policier, et 

est dans un état critique dans un 


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