Si encore, plus courant aujourd’hui : Plus rien désormais (...) que l'épou-vantable solitude (...) Si encore elle avait été préparée (...) par de longs mois demaladie [...], mais non, une mort (...) qui avait été comme un coup de foudre(E. De gonc., Faustin, LXIV). — Me voilà perdu. Si, encore, je l'avais faitexprès ! (J. Renard, Journal, 31 janv. 1887.) — Mais si encore Françoise nes'était liée qu'avec des femmes de chambre amenées par des clients, le mal n'eût pasété grand (Proust, Rech., t. II, p. 693). — si encore il voulait céder sur cepoint, on pourrait lui accorder le reste (Ac. 1932). — si encore je pouvais mefier à lui ! (Ac. 2001.)
Même : cf. § 647, b.
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