Tili o’rganilayotgan

La peau de chagrin.Le roman La Peau de chagrin (1831) est une brillante œuvre 
d’art et en même temps une introduction philosophique dans la Comédie humaine. 
Le personnage principal du roman est Raphaël de Valentin.Raphaël de Valentin, un 
jeune homme appartenant à la noblesse par son origine et son éducation, se 
consacre après la ruine de sa famille à la philosophie.Il loue une mansarde à bon 
marché, vit dans la pauvrété.Cependant, il lui manque de volonté pour résister 
longtemps aux séductions de la haute société, il est attiré par le luxe, par la 
comtesse Fœdora, femme sans cœur ; il rejette l’amour de la charmante Pauline 
parce qu’elle est pauvre.Le contraste de deux jeunes femmes est nécéssaire pour la 
formation de l’image complexe du personnage central.Raphaël avoue que le luxe 
de Fœdora est froid, qu’il se sent bien à côté des deux pauvres femmes-Pauline et 
sa mère avec leur chaleur d’âmes, et tout de même son aspiration envers la richesse 
prévaut.Raphaël tâche de trouver dans la vie du grand monde quelque chose de 
spirituel, mais plus il se plonge dans cette vie,moins il resteen lui de noblesse 
humaine.Ayant reçu de Rastignac une partie d’un grand gain,Raphaël quitte la 
mansarde de Pauline, loue un appartement riche, achète des chevaux,gagne et perd, 
se livre aux passions, s’absorbe dans la débauche et se ruine.Pour payer un billet à 
ordre il vend la chose la plus sacrée-la petite île où sa mère a été enterrée.Raphaël 
se rend compte de sa décadence morale.Un jour un antiquaire donne à Raphaël la 
peau de chagrin capable de réaliser n’importe quel désir de son propriétaire «(sauf 
le désir de s’en débarrasser) au prix de l’abrégement de sa vie.La réception de la 
peau signifie le consentement de Raphaël d’admettre les conditions du monde 
bourgeois où Vouloir nous brûle et Pouvoir nous détruit.Raphaël de Valentin, après 
la perte dans la maison de jeu, passe devant la garde-robe sans réclamer son 
chapeau et en sifflant d’un souffle faible un air de Rossini et la profondeur de 
désespoir de Valentin se fait voir - expression des particularités de son caractère. 
Après l’enrichissement de Raphaël, c’est la peur qui devient son sentiment 
dominant.Il ordonne à l’intendant de la maison de le débarrasser de tous les désirs 

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possibles.Il a peur de tout ce qui peut provoquer un intéret pour n’importe quoi, et 
ainsi provoquer un désir.Quand son ancien professeur Porriquet pénètre chez lui, 
celui-là est frappé par la vue malade de Raphaël : le jeune homme ressemble aux 
habitués de la maison de jeu, ces cadavres vivants, avec les visages jaunes et les 
yeux éteints, avec qui Raphaël a fait auparavant un vif contraste par l’énergie et la 
vivacité de son tempérament.Mais Raphaël est encore capable de lutter.L’amour 
pour Pauline le fait revivre, le libère du peur devant la peau.Quand il voit Pauline,il 
veut qu’elle l’aime, pourtant la peau ne diminue pas – Pauline l’aime.L’amour 
appartient à la sphère des relations spirituelles, de la communauté spirituelle.La 
peau de chagrin n’est tout puissante et funeste que dans la sphère des relations 
d’argent.Raphaël tâche de se libérer de la peau en la jetant dans un ancien 
puit.Raphaël perd ses capacités.Si auparavant il a aspiré de tote son énergie vers la 
science, l’amour, les délices, maintenant étant revenu du sanatorium, il est pris de 
terreur pour son existence.Il renonce à tout ; il ne veut que dormir et sentir de cette 
manière la vie, « dormir c’est encore vivre ».L’anomalie de son choix de la voie sz 
dévoile.Les circonstances qu’il a choisies sont en contradiction avec la nature de 
l’homme.Raphaël ne peut pas rester longtemps dans l’état bestial.Tout son être de 
homo sapiens se révolte.Malgré que la peau de chagrin est devenu tout à fait petite, 
« comme la feuille d’une pervenche », Raphaël appelle Pauline, il veut mourir à 
côté d’elle.Et comme le dernier cercle du contraste,sont présentées dans 
l’épilogues, dans cet hymne du beau, Pauline et Fœdora. 
La composition du roman est soumise à la pensée sur la responsabilité de l’homme 
du choix de sa voie dans la vie.