N° 51 mars 2010 manager de rayon e9Ê1 0 17


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RENCONTRE

 

AVEC

 

RICHARD

 

COLIN

 - 

RESPONSABLE

 

DU

 

DISPOSITIF

 

EMSP

 

EN

 

RÉGION

 

LORRAINE

Richard COLIN, que va apporter aux Lorrains ce nouveau dispositif ?

De manière générale, l'EMSP sera en mesure d'apporter aux sportifs et 

aux clubs professionnels des réponses adaptées à chaque type de besoin :  

formation qualifiante, supérieure, validation des acquis de l'expérience, bilan 

de compétences, conseil et accompagnement, ... pour se former et se recon-

vertir, quel que soit son statut (scolaire, apprenti, stagiaire, professionnel).

Pour les demandeurs d'emploi, a fortiori, c'est une voie de reconversion 

 

totalement nouvelle à niveau supérieur, grâce à la filière Institut des forces 



de vente (IFV) : par exemple, un sportif qui ne poursuivra pas une carrière 

professionnelle de haut niveau pourra s'orienter vers les formations de mar-

keting sportif, voire de management de clubs avec à la clé une qualification 

de niveau II (BAC+3) comme le Bachelor. Et ce sont des formations véritable-

ment professionnalisantes, qui intègrent une part importante d'immersion en 

entreprise.



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Contact :

École des métiers du sport professionnel

03 83 95 44 89

emsp@nancy.cci.fr

www.cciformation54.fr

Édition INFFOLOR - OF n° 51 - MARS 2010

Richard COLIN

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Édition INFFOLOR - OF n° 51 - MARS 2010

Quels sont les grands enjeux de la formation aux métiers du sport, notamment à 

niveau supérieur comme vous souhaitez la développer ?

Ils sont multiples. Pour les clubs d'une part : confrontés à une complexité croissante 

de leur mode de fonctionnement, notamment au regard d'un environnement juridique 

et réglementaire en constante évolution, les responsables des sociétés sportives

1

 

doivent impérativement s'appuyer sur des professionnels qui se doivent de maîtriser 



des compétences de gestion, de management, et de posséder les connaissances 

indispensables en matière institutionnelle et organisationnelle spécifiquement liées au 

monde sportif, afin de gérer au mieux leurs intérêts, qu'ils soient sportifs bien sûr, 

mais aussi humains et financiers.



Des professionnels qualifiés dans un univers exigeant, donc. Mais les jeunes 

 

sportifs peuvent-ils y trouver leur voie ?

Très certainement, c'est l'autre grand enjeu de cette filière : l'accès au sport de 

haut niveau, par définition élitiste, est une voie étroite qu'empruntent peu d'élus. 

 

Par conséquent, il importe de proposer aux jeunes sportifs, qui sont également élèves, 



des formations leur permettant d'envisager leur avenir professionnel sereinement.  

A fortiori, lorsque ceux-ci voient leur aventure sportive stoppée à la porte du haut 

niveau après une ou plusieurs années de formation ; sans contrat d'engagement,  

désorientés, ils rejoignent les demandeurs d'emploi ou s'engagent dans une autre 

filière sans conviction. Cette voie de reconversion peut leur permettre d'évoluer vers 

un emploi dans le milieu sportif et de concilier ainsi leur vie professionnelle et leur 

passion.

Pas uniquement au sein des clubs professionnels, j'imagine ?

Effectivement, les possibilités d'emploi sont plus larges : il y a les grands clubs, 

certes, mais aussi les nombreuses associations sportives qui ont besoin de personnes  

qualifiées, ainsi que les communes et intercommunalités qui gèrent des équipements  

(la Lorraine est une région qui possède un des meilleurs taux d'équipements sportifs), 

sans parler des salles privées de remises en forme, ...



Peut-on parler de sécurisation des parcours pour les sportifs en formation ?

La sécurité absolue n'existe pas, mais ce qui est sûr, c'est que la formation propo-

sée constitue un atout considérable lorsqu'on connaît la déperdition importante qui 

s'opère à ce niveau.



RC

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CHIFFRES

-

CLÉS

 

EN

 

LORRAINE

 

-  6 600 clubs, adhérents de 75 ligues 

ou comités,

- 16 000 équipements sportifs,

- 525 000 licenciés.

uipements sportifs,

cenciés.

1

  il est à noter que les principaux clubs de haut niveau 

sont aujourd'hui constitués en Sociétés anonymes 

sportives professionnelles (SASP), sociétés ressor-

tissantes des Chambres de commerce et d'industrie.

Ce réseau est issu du rapprochement des Instituts de promotion commerciale (IPC), École du commerce et de la 

distribution (ECD) et Institut des forces de vente (IFV) qui présentaient le point commun de proposer des formations 

à vocation professionnelle dans les métiers du commerce et de la vente principalement. S'y ajoutent les métiers de 

l'Hôtellerie Restauration dans le cas des IPC.

 

Avec 74 Chambres de Commerce et d'Industrie adhérentes, 8 titres reconnus de BAC à BAC+3 et près de 



 

3 000 personnes (étudiants, apprentis, adultes) formés chaque année, le réseau NEGOVENTIS a pour ambition de se 

positionner en acteur incontournable des entreprises et des candidats à l'insertion professionnelle dans ces métiers.

Plus d'information : www.negoventis.fr

CRÉATION DE NEGOVENTIS, UN NOUVEAU RÉSEAU POUR LES FORMATIONS DES CCI



22

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PRÉSENTATION

 

Créé en 2004, le CFA du Travail Social de Lorraine compte actuellement cinq 

sections d’apprentissage préparatoires aux diplômes d’État dont trois nou-

velles* depuis la rentrée 2009.

Intitulé

Durée


Niveau

Site de formation

Moniteur Éducateur

2 ans


IV

Nancy


Éducateur Spécialisé

3 ans


III

Nancy


Éducateur de Jeunes Enfants - EJE*

3 ans


III

Nancy


Conseiller en Économie Sociale et 

Familiale*

1 an

III


Metz

Technicien de l'intervention Sociale

et Familiale*

2 ans


IV

Metz


 

Le CFA du Travail Social mène une vraie réflexion pour proposer une alter-

nance qui réponde à la fois aux besoins du secteur social et aux rythmes 

imposés de l’apprentissage (alternance école/terrain employeur à hauteur 

de 50% du temps du contrat). Le rythme souvent retenu est 15 jours à 

l’école/15 jours chez l'employeur.

D’autre part, l’accompagnement à la qualification des élèves se réalise dans 

le cadre d’un partenariat étroit avec les employeurs, qui doivent désigner 

un maître d’apprentissage et le former aux fonctions de tuteur (formation 

spécifique de 120 heures) au cours de la première année de formation de  

l’apprenti. À ce titre, le CFA a développé tout un dispositif de formations tuto-

rales apportant une réflexion et une expertise sur l’alternance et la fonction 

de tuteur.

DÉVELOPPEMENT

 

DU

 

CFA

 

Le développement fait partie des priorités pour le CFA. 

L’objectif, à terme, est de pouvoir accéder à tous les diplômes du secteur 

social (soit 14), via l’apprentissage et ainsi diversifier les voies d’accès aux 

diplômes. Rappelons que l’apprentissage s’adresse aussi à un public différent 

de celui qui passe traditionnellement les concours. 

En ce sens, il peut être identifié comme un dispositif de promotion sociale. 

Contact :

CFA du Travail Social de Lorraine

IRTS de Lorraine

03 83 93 36 57

www.irts-lorraine.fr

Édition INFFOLOR - OF n° 51 - MARS 2010

ADMISSION

 

AU

 

CFA

Les candidats éligibles à l’apprentissage doi-

vent répondre à trois critères : 

-  la réussite au concours d’entrée à l’IRTS de 

Lorraine, 

- être âgé de 18 à 25 ans,

- et trouver un employeur.

Outre l’admission au concours général d’entrée 

à l’école (session Janvier-Avril), il existe égale- 

ment une admission au concours d’entrée 

spécifique apprentissage (session en automne). 

Cette admission ne concerne que les candidats 

qui n’ont pas passé l'admission au concours 

général d’entrée du diplôme visé de l'année 

en cours. 

L’admission spécifique apprentissage est orga- 

nisée selon les mêmes modalités que le con-

cours général avec une épreuve écrite et 

deux épreuves orales. 

Elle est réservée aux candidats pré-recrutés 

par un employeur qui s’engage à les embau-

cher comme apprentis en cas de réussite au 

concours.


 

23

ZOOM

 

SUR

 

LE

 

DIPLÔME

 «

ÉDUCATEUR

 

DE

 

JEUNES

 

ENFANTS

 (

EJE

)» 

Créé en 1980, ce diplôme permet de devenir un travailleur social spécialiste de la 

petite enfance (métier en tension dans les collectivités territoriales).

La formation par apprentissage pour ce métier est particulièrement adaptée, car elle 

permet un accompagnement dans la qualification sur trois ans, mais aussi l’acqui-

sition de savoirs, de savoir-faire et de savoir-être (éthique, culture du métier, esprit 

d’équipe…).

De plus, 

elle constitue pour les employeurs publics un instrument de recrutement 

pertinent répondant aux besoins du terrain et limitant les difficultés d’embauche.

Cependant, plusieurs freins limitent son développement :

-  le faible financement État/Région de l’apprentissage dans le secteur public,

-  l’absence de financement ou financement limité du dispositif dans le secteur de la 

petite enfance,

-  des difficultés d’organisation de l’alternance.

Actuellement, le CFA du Travail Social de Lorraine «planche» pour proposer des solu-

tions dès la rentrée 2010, s'agissant notamment de la mise en œuvre de l'alternance 

qui se déroulera dès la première année de formation d'EJE au rythme de 15 jours 

école/15 jours employeurs.

CE

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Édition INFFOLOR - OF n° 51 - MARS 2010

En matière de sécurité, il existe une réglementation quant à l’utilisation des échafaudages. 

 

Malheureusement, elle est trop souvent méconnue, voire ignorée. Pourtant, si chacun devenait un 



peu plus responsable, on ne dénombrerait pas autant d’accidents, qui donnent lieu à des arrêts de 

travail (18%), à des incapacités permanentes (21%) ou plus grave encore, qui sont mortels (29%).

Pour ce faire, 

la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) a complété la réglementation en vigueur sur le 

«montage et démontage des échafaudages» par la recommandation «R 408»

. Celle-ci a pour objet de favoriser 

une mise en œuvre efficace des mesures législatives ou réglementaires en cours. Elle est applicable à «tous les chefs 

d’entreprise des industries du Bâtiment et Travaux Publics dont le personnel relève en totalité ou en partie du régime 

général de la Sécurité Sociale et met en œuvre (montage/démontage) ou utilise des échafaudages de pied*, même 

à titre occasionnel»

Elle vise tous les risques liés aux chutes en hauteur, aux chutes d’objet, à la manutention, à 

l’électrisation, à l'effondrement partiel ou complet de l’échafaudage, au renversement de l’échafaudage.

Aujourd’hui, plusieurs organismes de formation, dont les Greta de Lorraine, ont entrepris des actions de sensibilisation 

à destination des entreprises, pour expliquer les risques liés à la mauvaise utilisation des échafaudages et l’urgence 

qu’il y a de former les salariés, qu’ils soient peintres, couvreurs, maçons, électriciens, plombiers… Des formations 

sont ainsi proposées sur deux jours, dans les centres de formation ou sur le site de l’entreprise. Elles sont menées 

par des formateurs validés par les CRAM, qui décernent aux salariés une attestation à l’issue de la formation. À noter 

que cette formation peut être une bonne utilisation du Droit Individuel à la Formation.

LA SÉCURITÉ, L’AFFAIRE DE TOUS !



 *  Un échafaudage de pied est une structure métallique construite à partir d’éléments préfabriqués, reposant au sol ou sur des appuis solides par l’intermé-

diaire de platines et de vérins.

Contact :

 

Marie-Noëlle ROTH Conseillère en formation continue / Greta

03 29 69 51 00

Marc BURY - Ingénieur conseil BTP - CRAM Nord Est 

03 83 34 13 65


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Édition INFFOLOR - OF n° 51 - MARS 2010

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& 7 8 $



Le 2 mars dernier était signé le bilan d’une expérimentation portée par l’AFPA de Longwy - une formation ouverte et 

à distance pour des personnes handicapées - et le début d’une réinsertion professionnelle pour les 12 stagiaires de 

cette première promotion. 

Formation plébiscitée par Cap Emploi Meurthe-et-Moselle, et financée par AGEFIPH

Les offres de formations existantes ne permettent pas de répondre aux besoins de remédiation cognitifs, comporte-

mentaux, motivationnels, culturels… d’une partie du public handicapé en phase de réinsertion. En effet, pour ce public 

particulier, le passage par une formation traditionnelle de type «préparatoire» n’est pas envisageable, les freins et les 

risques de mise en situation d’échec sont trop nombreux et de natures diverses : rythme trop soutenu, pas ou peu 

de remise à niveau…

Aussi à la demande de Cap Emploi Meurthe-et-Moselle, l’AFPA de Longwy a mis en place une formation préquali-

fiante multifilières (Bâtiment, Industrie, Tertiaire). 

Cette formation PréH@ndy, financée par AGEFIPH, prépare les 

stagiaires à un accès en formation qualifiante de niveaux IV et V.

 

Formation ouverte et à distance (FOAD) : un outil d’intégration



Les 12 personnes de la première session formaient un groupe très hétérogène, tant en termes de niveau que d’orien-

tation, mais tous étaient éloignés depuis longtemps du monde de la formation et du marché du travail. 



«Nous devons adapter les parcours en fonction des individus mais aussi en fonction des conséquences induites par 

le handicap (problème de mémoire par exemple). La FOAD permet justement une individualisation des formations et 

une flexibilité dans le temps et dans l’espace», déclare Victorien LIBERATORE, formateur à l’AFPA de Longwy. Une 

souplesse qui permet également de limiter les déplacements (même si les temps de formation en présentiel sont plus 

importants que ceux à distance).

FOAD : un outil ludique

Construit en sept étapes, le parcours se veut ludique et actif. «Les stagiaires sont véritablement acteurs de leur forma-

tion. Chaque jour, ils doivent remplir leur agenda, participer à des travaux collectifs…», explique Victorien LIBERATORE.

Outils bureautiques pour se former à la FOAD, maîtrise de la langue pour réaliser un CV, maîtrise de l’arithmétique 

de base pour gérer son budget familial, résolution de problèmes… les savoirs trouvent toujours un pendant concret. 

Et au fur et à mesure, les stagiaires peuvent inscrire leurs nouvelles compétences dans un portfolio d’expériences.  



«Cela permet de faire le point sur soi, de prendre conscience de son potentiel, de sa valeur et de retrouver des  

repères». Cette action de formation est reconduite à l’AFPA de Longwy. Les AFPA de Nancy et Thionville expérimentent 

à leur tour PréH@ndy.

FORMATION PRÉH@NDY

UNE FORMATION INNOVANTE ET EXPÉRIMENTALE POUR LES PERSONNES HANDICAPÉES

Le Centre régional de ressources VAE propose à tout professionnel, amené à informer et orienter les publics vers la 

VAE, quatre journées d'information VAE sur les départements lorrains. 

Ces quatre journées se dérouleront à :

- Épinal  

Mardi 18 mai  

(9h/17h)  

GRETA - 2 rue de Nancy (salle Marine)

- Metz  


Mardi 25 mai  

(9h/17h)  

CCI Formation - 5 rue Jean-Antoine Chaptal (salle 120)

- Villers-lès-Nancy  

Mardi 1

er

 juin  



(9h/17h)  

Domaine de l'Asnée - 11 rue de Laxou (salle Berlin)

- Verdun  

Mardi 15 juin  

(9h/17h)  

CCI de la Meuse - Rue Robert de Cotte

Les objectifs de ces journées sont de faire connaître aux professionnels les principes, les usages et les possibilités 

offertes par la VAE, ainsi que son organisation en Lorraine, afin d'informer les publics, d'analyser l'opportunité d'une 

démarche, et d'intégrer l'outil dans ses pratiques et les projets de son institution. 

VAE : L'ESSENTIEL POUR BIEN INFORMER ET ORIENTER



Renseignement et inscription :

 

Centre régional de ressources VAE - INFFOLOR

03 87 68 10 21/30

www.inffolor.org/vae


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Édition INFFOLOR - OF n° 51 - MARS 2010

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SON

 

PARCOURS

 

PROFESSIONNEL

 

ET

 

ARTISTIQUE

Responsable manager, Bérangère 

n’a jamais délaissé la pratique du 

dessin, de la peinture, de la sculp-

ture ou encore de la poterie durant 

ses études comme dans ses diffé-

rents emplois.

«J'avais un réel besoin de travail-

ler une matière, de pratiquer un 

 

métier manuel. Je me savais très minutieuse, rigoureuse et 

passionnée par la décoration, les tissus d'ameublement, le 

mobilier. J’ai alors songé au métier de tapissier».

L’évidence pour elle de ce métier était si forte qu’elle savait 

ne pas se tromper en choisissant résolument de reprendre 

le chemin de l'école pour devenir tapissière.

En 2008/2009, elle intègre une formation de tapissier 

d'ameublement à Neufchâteau dans le cadre du programme 

régional de formation aux métiers d'art et obtient un CAP. 

Stagiaire chez HENRYOT & CIE, elle est repérée pour sa 

motivation par Monsieur ROITEL.

Le dispositif original de formation «concepteur-créateur», 

ultime «étage» du programme régional de formation aux 

 

métiers d’art



3

 lui est alors tout indiqué.



PARCOURS

 

AU

 

CERFAV

Bérangère a intégré cette formation au CERFAV en 2009 : 



«L’une des richesses de cette formation, c’est la diver-

sité d’origines des élèves. De milieux variés, d’âges et de 

 

métiers différents, certains débutent leur vie profession-

nelle, d'autres la recommencent, d'autres complètent leurs 

savoirs... Ce mélange des genres permet la fusion d'idées, 

l’émulsion de projets artistiques».

Cette formation lui a permis d’être plus à l’aise avec le 

dessin, la création, la gestion de projets artistiques et de 

connaître des stratégies de communication utiles au jeune 

créateur. Le temps de la formation permet d’oublier un peu 

le métier et laisser libre cours aux idées et à la créativité 

avant de mieux y revenir et de passer à la concrétisation.

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1

   Centre européen de recherches et de formation aux arts verriers (CERFAV) de Vannes-Le-Châtel

2

  La manufacture HENRYOT & Cie à Liffol-Le-Grand (88) réunit une multitude de savoir-faire qui lui autorise des clients et partenaires prestigieux tels que PINTO, 

PLASSIER, STARCK et occasionnant la participation à des travaux pour des lieux aussi prestigieux que le Palais de l’Elysée.

3

  Elaboré par Christophe de LAVENNE, chargé de mission métiers d’art INFFOLOR en Lorraine et par Denis GARCIA directeur du CERFAV. Dans le cadre d’une 

convention passée avec la Région Lorraine, chaque année le CERFAV forme entre 8 et 10 concepteurs-créateurs dans divers métiers d’art et pas uniquement 

dans le verre.


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