Publie a 8T. Jean d’iberville. Canada
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- : Coin des rues Grant et St. Thomas.
- The St. Johns Foundries Ltd I
- - - - - - - - - - - - - - - - - - la vieille impératrice Tsen HI avait si jie p^rdame aux habitants ses in ten- ,autr.e So,r- & Umilres, ont été cm n<‘ <*r d'énergie.
largement usé durant sa I oivmk
- vie. tiul|S en,Riantes, s. n respect de leurs Jfn*nT8 h Mais d«s milliers de g. ns achètent Envoie sur demande. *. rue O a ran- wm^ÉM msæm ##=
I a dynastie niPudehooe des Tsin autrefois détesté a su largement pro-* <|,c*ard ou il fallait mettre un terme 4" elle vient la petite et la grosse, la < (ironiques de la "Revue Hrbdoma- e'est emparée de Pékin en U»11 et ré- ’ au* échaffourées «le ces femmes. partie riche et celle qui est sans .va- dairc" : •I.-C., un épisode rl«>rieux et tragiqu». ment 11 ,
,,, va 8|. nroch line- îucs R*Wbt, Piccadilly et Oxford. Ia lun,i de* net levage On retire d un comme une publication dont la haute Cette race étraorère qui a Imposé sa ment r eg# craindre dit-on J,-4*8 b“rê*'»* du C. P. R . e- du tl minot seulement deux Inns d'avoine tenue littéraire lui a valu de prendre domination h Fenmlrr «le Chine lui a q„'„n'P majorité n» se forme pour nè T., ' 2f*1 endommagés. dorni-Ffnimense étendue qu il nessèdr paK ratifier le déc et d'annexion de JÏT,?‘ .S1 ,'X ,%C* deu* Cn,"Dfl; >• «n résulte que ce produit possède çaises tartar ses jusmi'aux frontières de i'Iltmlous * «.« o()»»T 1
4 siiFirit cavninr rmt immédiatement arrêtées, mais tan. Ce fut à ses origines une dv nas- * ........... ' eomme en les conduisait au poste, nourriture. tie be’liqueuse et conquérant^. Ihils. p . (t, ,,
« „ «=„.„» n paix. Elle en vint ii ch'daicner le SWAnne, mingrégation pr«,t«gée Vne bataille générale s'en est suivie métier militaire et. comme les emne- Paj" , . (r®n<.ai* upns et des femmes en grand nombre ont rears romains de la déend n e, ronfla ",
oln « a,^]!i*rai‘^Jie (a,t nlwvolr un grêle de pierres dans T "" "'—'—
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111 ÿ#La Banque Eastern Township. pillé comme II devait l’être su corn- qu'on en arrivera à un prompt que l'Allemagne par exemple. A reri . 4"e I"-pilule, opèrent II i, formc dPUX v„lun,es de 2iW pages. CAPITAL I14.H00 OtO.uO SURPLUS #1 '' vuomim SsSsESfeS SsSrfrs """
— * -riïït. t PILULES MORO *
4 * * #• M’ont Guéri de la Dyspepsie. S'IL M'EUT FALLU EN PRENDRE LE DOUBLE, JE L'AURAIS FAIT Wellington, ( Nouvelle "J'ai iléj.'i plis \ inti I • i s'il 11» f uit j I'll pi I II II U l'I-'il lv 1
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7 •iilniirviit. Il n’a a nr un II III' pi'lll I lx plljs ti* I - xailler à un mix-rage •’ * P If Il «le\ lent une presque nullité» d iih il \
* \\ : es Ilia • Il ». l e vi*li*rre. <"A i.n source de la vie parait d» truite en lui qu«* 1% xpiniae e«t faiPle.
Vu" f iiit-i! faire pour réparer tout .•ela; il faut renu-ltre l'estomac *.*:» tram cl aussitôt la eu té. I x i », l'esprit rai.aitionl. C.nJa prendra quelque- foi» un pei. ilv letup', mais |', .p,ii,ar rex i udr i *iïrenienl *1 l’on prend un rented;.* dans lequel on p ut avoir confiance. Vu
a n'eu conn ii"uiis p i* de mei'.eur que les .'ilule^ XJoro qui agis.mil sûrement
ral, un •lépuratif. un » \, dateur de la circidation II f ui parce !
l.'esPimac «**1 dérangé 1 a I p montagnes où il resta jusqu'au mois de novembr? dernier. Vest alors que commença ri table course vers le sommet ,lc la + UN K AUTRE VICTIME DK l.'.XVIA- TION 23
*1 nil tonique 1 , Clllniour, un des plu* fumeux avia
u piu. „.„d, d’une hauteur de tr.iis mit
Il
' unir dans tout le corps un ..mg \ if H puis'uul. régénéraleur «-t purifi-ati
pas (|
* tout s,i lie u:uc fiHirmt au corps 1rs aliments as'imilalilrs
i nourrissent et font le sanir : niai' le sang ,1 ne la puissance, l’énergie, le ;
fonctionner 1 estomac. En imlior tld le -ang. on fuis. I n de mes amis, «pii axait été quérl de la ttcrenliie le pouvoir da tion ,|e l'f-lomae qui, à ,,iéme maladi
Bon tour, améliore encore \X
\ .N "oublions M. JACQUES BELVSE. N. D. de Grâce, Qtf.
Il
voire remède rl me donna emi.'iaoee. Pendant di ux ans j'ai pris
de \os pilules: rt s'il me fallait en prendre meure, j'en prriitlruls, vur • Iles m'ont raoirnlemrtd qui ri. Lettre d'un \ini)| Imites et s'il eut fallu en av lier le douille, » Compagnie, je j'auiuis tail, ear je suis maintenant mrrvell- I. iisemeat qu. ri. J'ai lion appétit, je maiiqe bien, Messieurs—J al souffert pendant dix ans d'une I je ir.n idle bien et je dors bien, que p til-on dyspepsie ineevsante qui m'axait eomplèletiieul remander de plus.' ; léanti. J'étais devenu sans forer et iitrnpahlrj Pilules d'au* un travail. J'avais des areês intolérable.., bi dmiloumiv que j'aurais pièf n la mort milleI s in*. Il m» faut pas oublier que 1- moral a un effet| très defini sur la oj'pepsie el a\ee de I fiance dans un aussi bon renié.b1, on peut abrég"i | rte beaucoup la période <1 ■ guérison, homme guéri aux Médei in- -le Médicale Moro.
SANGLANTE BAGARRE A PARIS J eu ai absorbé ,IP Pari* (Frame), II.—De nombreux ,.n .r- XI.i saulê. je lu dois aux Muni, à i us bons ewiisi ils. H |e vous en s, remercie bien des luis.—.1 \< qi Es IlEEl’SE. â'JS !. ' «venue Décurie, Xotre-humv de Grâce, Vue. VAINSI LTATMNS lillATI IT ES pur le- M* I. m- .le It t:..mpumi* X!.*«Ii jours, excepté le dimanche, de 1» heures du matin 7i s heur» . du suii. au No L Montre il. Les hommes malades qui ne peuvent rendre île Moro. (.in. les
i iiu> bureaux surit invités a écrire à nos médecins. ! par
la poste, au Canada «’t
aux KtatWnis, Toutes
les lettres doivent être adressées : • renie ), s. Nous les envoyons aussi sur n evj.Lion du prix. ÛOc une boite, f2T>0 six boites.
ont COMPAGNIE MEDICALE V7'2 rue Saint-Denis. Montréal. jur II Crind Tronc manifautants, calmé* par la pour
le coin- % LES TOURISTES Y ONT AFFLUE CETTE ANNEE -/ D'après des statistiques compilées par les officiers du Grand Tronc le nombre des voyageurs qui ont été transportés dans les régions monta-
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<"~l # A UNE REVOLUTION »- Œ REGAL] * ™
• A» met* 'k f*»*» UJ'Hu *. w » r^, X <«•■ -* U.,. w« S« biP,'— b. |«« èn L.-i*na J»w. .» ».i i- U * ,.-» > *.* efcwdtr Dunnt Quarante Sicclrj, le Rie a Nourri l’Humanité Aune Certaine Epoque, il était i Unique Etalon des Echanges Il était, Alors Comme Aujourd hui, la Base de la Nourriture des Peuples. »m»r» t-V. A m «...
La Farine St Lawrence . .«» Iw> « « CW—»■ Wi pu» t «1» # L. >M ti. <. MWIil A.».' «MS .m QUATRE MARQUIS DÉGALE fUtETE \ 'Regal ‘National laurentia Daily Bread' /{ NATIONAL
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■ ' ' fin 1 M m . •» -.’W f . au w "" -nw i' LA REVUE HEBDOMADAIRE S» «t»4-*** A «eï ,ii
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ImtvUu. SU NL- 7.’t9 I.IOlU.WDwCWkAUMl * U Fm» h Uwfwe m > MuOc
UN"'—«Wl#»" -JJ
LAURfNTIÀ] DAILY BREAD > propre à fabriquer eelte nourriture rang parmi les premières revues Iran- Le Célébré Charbon Pittston une richesse et un goût exquis qui Elle doit ce succès à l'idée qu'elle lait lis délites de tout le monde, et a cherché h réaliser en offrant aux atteint le maximum de valeur comme lecteurs, à un prix modique et sous un format commode, une revue, ne elles parvinrent eneore à lancer de* Et la Quaker Oats, malgré ses qua- entifiques, et présentant enfin, sous bureau lités, ne revient qu'à une demi cent forme de suppléments annexes, uno du plat. Cela ne vaut pas la peine "partie illustrée" relatant les prht- d'acheter une nourriture inférieure, vipaux événements de la semaine, et une "partie documentaire'' résumant John Donaghy Fabriquée au Canada Awoierw
HUE RICHELIEU, ST. JEAN, V Q ♦ CANADIAN BANK of
COMMERCE AMALOAMKK AVEC •>X
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As-tu vu I’Ktoile au IrvaBt ? As-tu \u cotU* pMorino l a bas sut la cifi la divine 1 Mats oil sont I on Noel a d ant an 1 M'S, Vous créant des rcijsoun es win piemen t al res. in.iis s» ioni sat Ma., s. quand bien indue. la paît qui nous lesU'ia lie f*uie.rait que nos liais. “t/uv iv Itullvtiii moi pat Vous eon sel vé, lu et relu attentiveinent . qu'il puisse mois inciter à vous ai der voiis-iii. mes, \«o!» nulle soil- liait "
LA CHANSON DU PASSANT C'KST |iu IU/1 ul .1 \l 1‘ltlS < K Ml/I IMU .le suis minuit île poésie lit rhan'eur du bon souvenu , Si ma «arrlt-ie est mal choisir N 'est il plus temps d n h venu ’
Non, butine ou mauvuiee fortune, Mon it-xr me tient tout entier, Il fait i le / moi sa loi commun* : ("est pourquoi j ai pus ce métier. KN Vol \ov \(!i:t its in-: (xiMMF.itvi:. I.IMITLK I, Ituiilvvanl Si -Laurent Montréal l'rince, devant lh« u )e m'incline, Ne peux-tu p$s en (aire autant * Comme les mages, j'imagine Mais ou sont les Noël* d'antan 1
• ft J Gagnez Plus d’Argent avec " Sirop d’Erable MI.TTI.Z l»K l/KAt IH.VS VdTItK MS .1’alme la douce jongbii* Kt ^'ai l"i dans m«m a'enir le crois à la route (leurre (/lie mon destin doit aplanir, Aux, gais argentements de lune, .le bas la mousse du sentier |,e long du lac et de la dune ("est pourquoi j'ai pi is ce métier. Certes Proferilrr 11 lî( »
Ou les bonnes âmes s oublient. Il vous convient d'Mre discret Avec les fichus qui vous lient ; Ayez contre h-or discours vain l e seul argument 'péremptoire Si l'on vous force trop à boire, Mette-/ de ''eau dans votre vin. r.jcr
/ ' TEL. 118 ___________ I,es profits que vous faites avec le Sirop «VKrable dé <
ïk I vii I du leiii| a que V"iis y consacrez et du A moulant île coinbushlile que vous employez. W Avec Vtuifleniie méthode du pot et du chaudron, vous gaspillez I m hu . oi
de ci.inliustihle cl «le temps, lit avec tout cela vous u obtenez «j l'un r irop foncé et médiocre. I,'i:V.\PORATi;i lt CHAMPION voilà te qu'il vous faut, l ai qut-bjucs minutes la si ve fruii lie devient un : irop «le couleur clair-, celui ] réi i sèment «|"i wml la plus du r. 1 t voUsévoiuHiiisvM / mu «; -mut té//.,>//.’/«• de teiv.j >s et de combustible. Vous avez certainement 1 • -i d'un C IIAMl'ION. Nous vous enverrons volontiers un catalogue et vous expliquerons par écrit celle machine. I.e catalogue que nous vous enverrons vous renseignera sur les moyens les plus modernes pmr f. ire |>a\ liirivvz-nuus aujourd'hui.
CHIRURUIEN-PKNTISTE. 47 rue St Jacques Rt-Jean. P Q Porte voisine du nouveau Bureau de Poste. J'aime la gloiie qu'un «ntic, lit que mon eu ui veut contenu . J'aime cette immortelle vie De l'ait qu'on ne peut définii ; J'aime les âmes sans iaucune, J'aime d'amour et de pitié, J'aime ainsi de l'aube à la tu une : ("est pourquoi j'ai pri
lit si l'hôtesse vous offrait, Au dîner ce n'etit plus folie. De vous verser du in claret, Agréez d’une main- polie ; Car boire.est l'âme du festin, Refuser serait dérisoire ; Mais en lui contant votre liistoiie, Mettez de l'eau dans votre vin. DR. L. NOLIN TRUDEAU. DENTISTE er vvirt sucrerie. cv métier. 101 rue Richelieu, MARDI, JEUDI ET SAMEDI St-Jean
THE GRIMM MFC. CO.. LTD.. Rue W Wellington. MONTREAL. ENVOI
Pour vous contenter en secret D'une humble gloire inassouvie, Chevauchez d'un cœur guilleret Comme on doit pour passer la vie : La vie est parfois un ravin OU s'écoule une dose noire ; Pour vous en tirer, faut m'en croire, Mettez de l'eau dans votre vin. Prince, lis-moi de ta tribune la s "Contredit?, de Ki anc-(îont ici " , Je sens mieux l'art que la pécune , ("est pourquoi j'ai pi is ce métier. JOSEPH NOL1N, 5 , v * * ❖ •> •> •> •> * m
CHIRURGIEN DENTISTE Ô37 run St .
TEL. Bell Est 784
MILLE IT RISETTEs SANS K A (.'ON • • MONTREAL • Salut aux meurs joy.-ux, ouverts et s«.hs Ia«,«,n Fe'b'anticr, Picmtur et Couvrur. mu%
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\ MEDECINE GENERALE ET î* ENVOI Il lut un joui oii l'art des fées, Parmi les échos de printemps, Parmi les brises réchauffées Au beau soleil du b Portait l’Aine à ses souvenances, Au rAvu des la Iles saisons ;
Et c'étaient, des rhants, des romances, Mille ehos* ttes sans faV,n-
Prince, prenez mes vers enfin Tirés du cru de nies grimoires.
S’ils ne font rien à vo* déboires, Mettez
de
dans
votre vin. —SPÉCIALITÉ— Li GYNECOLOGIE, Consul Ut ions—à St. Jean— •41 à 12 a
Téléphone No. 53 N B.-U null, à Iberville. Tél No 14 IM Ü’Ül’I'AREJLS m ? « i
LI: QVIDAM 1H DESTIN t Sous I ardeur des saisons brûlantes, I.c Quidam porte dans son nrur L'amertume chaude et troublante De I'M rc qui souffre e se meurt ; Et, sombre sur le grand chemin D'une pauvre vie exilée, Il va, son âme inconsolée, Croyant encore au lendemain.
AVOCAT
No 16 rue St-Jacques - -ST-JE AN Quand l'âme était trop assoiffée D'un bleu clair-d«-lune éclatant, On pouvait boire une bouffée De paix, d'oubli qui n nd content, f es trouveurs chantaient l'espérance Naissant au bord des horizons, Ix-ur mie et leurs regrets d'abseme, Mille chosHtes sans façon.
a eau chaude et a vapeur. Il Et i
J | Ouvra g- s exécutés avec si-iu, promptitude et a bus prix. ! SATIS Y ACTION O A U A N TI E. : Coin des rues Grant et St. Thomas. ST. JEAN, P.Q. AVOCAT. No. 36 RUE ST. JACQUES. ST. JEAN. I». g A l'automne aux feuilles tombantes, Plein de soir aux tristes lueurs, Sa silhouette, ombre dolente, Fait les rêves déseochatiteurs : la* passant du sombre destin, En nôtre terrestre vallée, Erre comme une aile affolée, Croyant encore au lendemain. Ecoutant l'hymne «les trophées Qui monte des gloires d'antan, Avec les voix bien étoffées D'Horace à Rutvbvut chantant, Mon cour évoquant soi» enfance. Au rythme des vieilles chansons, Entonne, hésite et recommence Mille chosettes sans façon. Noe item* sont trênhelles, ^naturelles, gara ni le». M institut ntwTAine ■Bf rUMIiWIKIlN J*0 lia Rur Saini
!*ni». Muni 16a I. I Téléphone 2'.)S. • v f Zil l L « Il va, l’hiver dans les tourmentes Terribles oli l’on a sou leur, OU des clameurs hautes et lentes, Pleines de sanglots et de heurts, Ressemblent h des voix d’airain : Il pleure une chair en allée Vers quelque pieux mausolée, Croyant encore au lendemain.
ARGENT A PRLTKR ENVOI Argent à prêter sui hypothèque, taux de six pour cent, de jucféreucc sur des telles. S'adresser à Tél. tl
No. 110-121 rue St Jean. #
Prince, avec force révérences Pour ce grand siècle et ses leçons, Crions progrès, or, endurance, Mille chosettes sans façon. Al OUSTIN' I. ATUl H. No 10, rue Richelieu. .St-Jcan, P.Q —■■♦♦♦ ------SUCC. DE 1). LA El RE RTE------ EN EVOQUANT DE VIEILLES CHOSES A VENDRE
ENVOI MECANICIENS Ce soir, la lune se barbouille D'un coin de nuage tremblant . Sur le Iirma ment tout s'embrouille, iKt le bols sombre et les toits blancs Et j'écoute, à mes vitres closes, La plainte qui vient du levant Avec la neige dans le vent, En évoquant de vieille# choses. Homme que la nuit épouvante. Quidams, c'est nous ; pauvres humains, Nous sommes légions mourantes Croyant encore au lendemain. 1.—Deux jolis cottages ainsi qu'une belle grande maison, situés dans les plus jolis endroits d'ibervil-
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