Publie a 8T. Jean d’iberville. Canada

gouvernement 

• a refusé d'accorder parte 

ce département

que la chose eût été une injustice. Dans le tracé des frontières, le gou­

vernement actuel retranche Fort Churchill qui, de droit, ,eet la propriété 

de • la province d'Ontario II a fallu trois mois de négociations entre Then. 

M. Borden et sir James Whitney, pour eu arriver à une entente, niant 

aux conditions, et Ontario a reçu i’assurance d'une lisière d„* tinq mil­

les de terrain du Manitoba, afin de lui fournir un passage pour un che­

min de fer jusqu'à la Baie d'Hudson.

* Est-il bien certain, dit sir Wilfrid laurier, que les députés du Ma­

nitoba, qui sont prêts à accepter aujourd'hui la proposition du gouverne­

ment fédéral, son; les mêmes que ceux qui refusaient les offres do l'ancien 

gouvernement ? La chose est peu probable.

Lors du voyage de M. Borden dans.l'Ouest, dit sir Wilfrid, il a pro­

mis aux province» de l'Ouest de leur accorder tous 

jouissent le* vieille# provinces et la possession de leurs terres. Est-w là, 

ce que l'on fait aujourd'hui avec le Manitoba à qui l'on enlève une par­

tie de ses terres ? La position du Manitoba*en cette affaire est humilian-

l.es municipalité< qui se prévaudront de la loi seront revêtues de tous 

les pouvoirs nécessaires pour la mettre à exécution.

Le Lieutenant -Gouverneur en Conseil pourra faire, amender, remplacer 

et abroger des règlements pour déterminer, le mode de paiement des inté­

rêts exigibles des municipalités ,m du gouvernement, et en général tous rè­

glements ou formules de règlements ou de résolutions ou autres formules 

qu'il croira nécessaires à la mise à exécution des dispositions de la loi.

L'hon 

ministre 

en 

présentant 

ces résolutions a refait l'historique de 

l'amelioration de la 

Voirie 

et donné à  l'hon. M Allard tout  le crédit du

projet actuellement soumis. Il a fait  une  comparaison avec  Ontario, 

fai­

sant ressortir les avantages de notre loi

C’est l’opinion de tous les experts dit l'hon ministre, qu’il faut 

rager les municipalités à faire chacune leur part. L'exemple entraîne et 

I ambition se développe pour relier les bouts faits par les diverses muni­

cipalités. La loi est applicable partout! sans distinction de parti.

Il faut faire l'éducation populaire, le gouvernement l'a compris et fait 

faire une vigoureuse campagne On ne procède pas par coercition, ni par 

ulonce, mais par persuasion. Il est Impohsiole d'adopter un système uni­

forme. comme le veut | opposition, vu  que la confection des chemins dépend 

U >  tar  ivllc Province se rend compte qu'elle est le jouet d’une menée po-

de la qualité du sol , il y a d « chemins 

qui se font plus  facilement, é-  litlqur."

tant donné les avantages que présente le sol à certains endroits 

les ingénieurs qui décident de la confection après avoir étudié le terrain 

L'hon. ministre fait ressortir les avantages

M Bourassa est le type de l'illuminé; il cufitinuera, 

diverses, mais avec un identique espoir de gloriole, à réclamer des règle

sous des formes

nwnts impossibles et à proposer des solutions rejetées d'avance

M. Monk travaille pour le grenier , et M Bourass.t pour U gai lie 

AI. Monk dit

“Nous sommes in, et vous êtes là "

"Nous ne sommes jamais oh vous êtes “

Al. Bourassa Quichotte, a pour politique une chimérique Dulcinée.

Et AI, Monk Sancho vent du loin dans ses bot tes et dans su paillasse

Intransigeant par calcul, Al Monk peut redevenir, tréconciliant quaivt 

la farce est jouée.

Mais, pour M Itou ras sa,. la crise d'illuminisme est toujours imminen­

te c’est une sorte d'épilepsie mentale qui le guette chaque fois qu'il a 

mal digéré un projet de loi.

AL Alonkl lui, digère trèe bien.

Et c'est autour de ces deux types modèles que se groupent, tenant de 

l'un et de l'autre, le» nationalistes du jour et de la veille, les 

■lu son dans le ventre, les autres, avec un lambeau d’étoffe qu'ils agitent 

comme un étendard.

Et M Itou lassa

recou­

ses effets merveilleux.

avec cette devise que etr 

Wilfrid. Laurier et see collègues ont 

toujours traité toutes ire quittions 

qui ont été soumises à leur étude.

lorsqu'on appela de nouveau le' vo­

te, la deuxième lecture du bill 

approuvée par III contre 78c 

nant

uns avec

fut

don-

mne majorité de :M voix au

Sir Wilfrid dit que le gouverne met devrait accorder au Manitoba

O sont

ses

tlltAlNDOHUE

terres, mais se réserver le» terres des prairies. Autrefois, ajoute sir Wil- gouvernement

des grandes routes, qui, 

II faut d’abord améliorer les 

routes principales des municipalités. Nous conservons, dit il, l'autonomie 

municipale que la loi des bons chemins respecte 

mal tresse chez elle et droit «agir libre/nent dans ses propres limites

MM. Lamarrhr, Dr Paquet, Névigny, 

Bell, maie et (Hiilbault ont voté 

l'opposition.

frid, l'hon. AL Bordeo se plaisait à critiquer l'administration du gouver­

nement, mais il doit se rendre compte aujourd’hui que la critique est ai­

sée, mais que l’art est difficile.

cependant, à son avis ne sont pas urgentes

avec

LEGISLATURE PROVINCIALE

SPECTATEUR

Chaque municipalité est

En ce qui concerne la partie financière, dit sir Wilfrid, le gouverne­

' 

L’hon. AI t\ir< n a cité des lettre:» tnès ékx'ieuses du surintendant des ment outrepasse ses droits en lui donnant un pouvoir ou une application

I I.S IH.ll ILS AM.LAIS A LA LEGISLATURE —UN DISCOURS QUE routes d’Ontario, au sujet de la polit que des bons chemins du gourverne- rétroactive. Car il ne faut pas perdre de vue qu'eu 1908, le Manitoba a 

LES DELA COTES DE LA Vil AM RE ONT AP1M.AUDI -1.1 ION .1. K 

CARON A EXPLIQUE LA LOI DES DONS CHEMINS —LES GRANDES 

ROUTE'S PROJETEES —LE BILL DE REDISTRIBUTION —LES K 

LETT IONS PR< 1VINCI VU S.

♦

Quatre #lll| «MM*

ment de Québec, qui dit que ce dernier donne uo bon exemple à Ontario.

En terminant, l'hon. ministre détiare que I? gouvernement entend don­

ner une aille substantielle aux municipalités pour I» confection et l’améliv- 

ration de la voirie ; il agira ainsi plus tard pour l'entretien.

Le gouvr «icmcnt A l'intention de contribuer

refusé les offres dut bill proposé al<>rs pat le 

qu'en PMI que le Manitoba a accepté ce bill, 

dehors de alla question do faire remonter 

plaît à l'appeler, à 1998.

La province de Québec a suivi avec intérêt les péripéties de ce bill, dit 

sir Wilfrid laurier, et elle s'attendait à ce que le gouvernement touvhe-

gouvèrneiuent, et ce n'est 

il est donc injuste et en 

l'indemnité,

NOUVEAUX POUR LE GRAND 

TRONC

comme on se

lx* Grand Tronc vient de 

der plus de \ ,U(KI

largement aux grandes 

de projet, mais qui pourraient

commas -

routes suivantes qui sont encore à 1 état 

être définies comme plan à exécuter :

ta plupart des députés anglais de la Chambre surtout ceux des Can 

tous de l’Est, ont parlé sur un avis de motion de Al. E Therneu. député 

•le Sherbrooke, au sujet de l'établissement d'un bureau de placement dans 

cette ville On peut signaler le fait, vu qu’il arrive assez rarement qu'un 

aussi grand nmnbie de députés anglais parlent dans une même séance

Le nouveau député de Sherbrooke, bien qu'à sa première session, parait 

tout à fait chez lui à la Chambre, il a déjà présenté plusieurs mesures as 

sez 

importantes et ses collègues ont été heureux de l'applaudir, mardi, 

jh

»

ui

 

la première fois qu'il faisait un plus long discours.

Sherbrooke est le .centre, la métropole, on peut dire, des Vantons 

l'Est. Il y a plusleura Industrie# dans U ville et les environs, et elle est 

aussi un centre de plusieurs chemins de fer. Il serait juste de donner 

employeurs es employés des Cantons de l'Est l’avantage d'avoir chez eux 

un bureau de placement, ceux de Montréal et de Québec étant trop éloignés 

Ce aéra à l'avantage des ouvriers keaux et étrangers, tant pour Vin-

wagons, qui aug­

menteront dans une forte proportion 

et son matériel roulant.

Deux routes de Montréal à Rouse's l'oint, l'une par lxiprairie et l'au- rail à certaines questions qui n'ont pas toutefois été mentionnées, 

tre par Chambly et St Jean

IVux routes de Montréal à Québec, une sur chaque rive du St-Laurent.

Une route de Québec à Rimouski 

Une route de Montréal à la front Une d'Ontario.

Une route de Québec à Sherbrooke 

Une route de Québec à Richmond.

Une route de Trois Rivières à Grandes Piles, en passant par Shawi- 

de Bigan et Urand'Mère.

qu’il n'est pas à propos de spécifier dans le moment. On serait heureux

Les commandes jmur locomotives, 

d'entendre quelque# déclarations au se plain qu'on ait donné une foule wagons de luxe et autres faites par

rz irrssj % r;. ..  

- -• «

ter de certaines injustices que l’on injustice, on a même été jusqu'à les P u* r°n»idérables que Jamais, 

aurait aimé à voir rectifier. 

nommer des traîtres; mais ce terme compagnie de chemin de fer du

U* vote » été pris sur l'amende- n'est pas sorti de la bouche des Rb* 0rand Tronc devient de plus ru plus 

ment laurier et a donné un  résultat raux, I’ a  été prononcé,  dit M. |.e- P°Pulaire et augmente nans

de 108 à 61, soit 35 

pour le gou- mhnix, par  MM Bounassa  rt Armand matériel roulant, selon

versement. 

U teigne. t> ne sont pas d«w libé- -u Dafic.

L'hon M. Iwmieux 

a fait un élo- raux qui  ont touché à la question Avec le grand Tronc Pacifique 

U

quent discours sur le bill d'extension  des drôles.  Uet incident a  été amené ^mpagnie de chemin de  fer  du

dea frontières du Manitoba. 

par M. U marche, député de Nicolet. °ra*d Tronc est en r»~r de devoir

L’hon. M Pel le tier, dit l’orateur, Ce dentier veut que le Keewatia ait ** *• Nw pelseeatre cornons tea

** t*emin de 1er du monde eaUar.

crmt son 

le» brada»

Une route de Montréal à Sherbrooke.

Une route de Sherbrooke à la frontière américaine.

I* bill de rédistribution, amendant la loi concernant la représentation 

h l'Assemblée Législative, a été définitivement adopté.

L'Opposition a simulé sa réprobation

aux

de cette mesure en proposant

\

à

Selit-Jeee. PQ . 15 MARS 1113.

LE OANAÜA-yitAhVAir El Ut HtANOO-CANADlBh

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! Nouvelles de Saint

KTBANOKRS KM NOTRK VILLK w KIXU ARR MO\TI»KTIT \ SI-

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Banque des Marchands

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lit .1 Oaux’rvau, ilu Collège dvs Mi1- vantage d’applaudu dans la person-  J,K

devins, de Montréal, a comparu vrn- o'" de MM Poirier, MHan\ou «t la

—Au nombre des étrangers, de passa* 

—- 

dredi en cour du magistrat, devant vrotv. trois altistes de première »a-

ge, à l'hôtel St-.lean, depuis la 

se- 

On  nous  apprend que M l-Mouard  le juge St-Cyr, et s'est avoué cou-  leur Plan de l4 salle et billets Iv ia

niaise dernibre, on remarquait, entre Mont polit, 

professeur d’Kconomie po-  pable de l'avt usât ion portée contre,  pharmacie Nabourin.

autres, lew suivant* : MM, J. M litique et aovlalv, donnera ui-mot une lui II fut condamné, séante tenante,

Fisher, J. M Pnnish, Toronto, Il A. conférence au collège de Saint-Jean, à $18.00 d’amende et les frais qui

Lawrence, West Shefford, J. A. Tel- 

——-----------♦ 

— 

s'élèvent k $17.ou.

bot, Québic. O Utour, Vaudreuil, MOS KFNTK.S SF.ItiNKl'RIALF,S 

♦

Thomas Hou lier et dame, Cohoes, N.

Y., Dr A. J. H. Falcon, Pawtucket, &*us continuons aujourd'hui en der

Jv Oélinas, J. A. Brais, SW I y at in- a‘*rt' PW. U publication de Ig lieu* Il est de nouveau question de 

the, W. H. Pulkx*, II. Monty, Rox- d'^ propriétés vendues par le shérif, construction d'un nouvel hôtel

ton Pond. N. L Marengo, Burling- d,! lM5c 

k

 l*M. dans la ville de Sv- 

ville, amélioration reconnue massai-  réal. Il s'agit d'une poursuit* Intern-  j,. |a hw,* Courteney,

ton, Vt., A. Duclos, Sk Angèle, Mme J,,aa* ,‘n r*PP°rt avec la question 

re par tous le* citoyens, surtout de-  té* par les liquidateurs de cette ins-  ,H m.-,it fédéral fer» faire dêL travaux

George, A S. de* rentes wigmuhales. 

puis que la ville de St-Jvan se dé-  titution Usant ibre contre P Aqueduc  dont le ,-odt est estimé pui les m*é-  ' 1

Waterloo. N. ,Y.. 

W. 

------------ veloppe et est en passe de devenir 

de St-Jean, pour le montant de $50.-  nieurs  k  vingt-sept

ItiHkine. 8t. John, N B. 

A. 

*‘A PRM'A R AT ION DC Bt'DGKT 

un cintre industriel important 

Of»o 

|ar*. »fm d agrandir le port de sv- I

K.

 Legendre. Shertrookr. H. K. , 

, 

--------- ••«** bureau* de l'hôtel de ville si- M P II Roy. qui était alors pré- 

et de permettre ,ux vaisseau s ! :

*îiâg. Lamoureux, Bedford, (jué . p dl‘ St'J**a ®»1 * préparer son bud- 

ché. ne répondmt plus aux besoins  signé des billets de l'Aqueduc de St-  ter colonial d'entrer dan.-, 

lloblllard, L D Poissant, St-Kdou- *r,\ 

******

 pour 

l'***6>

 1*13 

actuels et sont en même temps dis-  Jean, pour le montant réclamé, en  marée basse «a d'y ,>pén-r leur dé «

ard. L. F. Charron, StrOeais, II. II. ‘wd*,*t wra 

P« 

*

 <*>«>- «raciaux pour une ville de l'impor- sa qualité de proedreur de son épou- chargement ainsi que kur charev 1 '

Hill, Ile U Mo the, K. Knot, Maria- *!*“ de 1llU‘ à **• Prochaine assein- 

lame de la nôtre.  se. Mme Augtore Mol leur, propriété-  ment. l> calèche sera construite  5*

viSe, P 8. Hardy. A. J. Brown, J. bh*’ 

A P*rl ra|a. la salubrité de ivsbu-  re dit.queduc. à l'ordre de l'uwtilu-  d»as cette haie, do môtiu- uuW  ' '

A. Gagner, J. A. Dawson-,. L. Le- 

■♦■■■■ 

reaux laisse à désirer vu leur voisi- tion financière qu'il dirigeait 

grande jetée.

clair, P. II. Mailloux, J K. Pha 

LA DKBACLK 

nage avec les écuries du poste do tjuand la banque de St-Jean faillit 

U

 Dr Dnval est. à I heure actuelle

r»TSs: EHr5r 

SS-SS E-'S—

ron. W. O Ooodhugh, 

VA

 ,Dionne at 

L 

TT T 

81 D-AKItlCAlNK 

guant que la procuration donnée k veau-Brunswick

dame J. Salmon K Wveillé A. 

relerd 

**

 ^ t1*” **st t‘n- 

— 

M. Ooy par son épouse, ne l'autori-

Dwiardin» A. G inaras et daim* J C?re 80 ldt* KUr *e Richelieu. Cette 

Ja*  major  C. M 

Selles,  cominan- 

sait nullement  à  signer ces billets.

O vallée. Chas Moiteur et dame * *** a. uw* ^Pxisseur d'au 

delà de dant 

de l'école de cavalerie de 

St-  law tribunaux 

auront donc 

à  déci-

•I D douât re A Sac K usher 

D  tr°*,< 

Jr»a- Part* R P a quelqui-s jours, at  der de cette question

- JVT 

«

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I

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-T?' 

^

 

U. 

~CO Collin rc- ^

Mme A. Girard in, de Montréal, é- mere lent sincèrement tous 

ceux  qui

taii en promroade à St-Jene. dirnaa- oot bien voulu consentir à 

aller

the dernier, Mme Girardin eut venu

I»!t .1 L DI'V Al. M»M M K 1)1- 

KK< T Kl K |)T NK IMI-Ht! AN- 

TK VOMI'AOXIK

I

Bureau Chef: MONTREAL.

Nous appunons avec plaisir

m.trc ancien «xauntoycn, le lu .1 |. 6 Président, SI H II MONTAI* P AU.AN, (' V () 

Duxal. qui demeure maintenant à «St- Y 

Jean, N ou venu-Hrunswiek, vient d'é- Y 

trc nommé directeur d’une importan- % 

te compagnie immobilière récemment * * 

fn important pria*» concernant la formée en eet endroit

- 

1 Cette compagnie a avhnté une gran-

|ÿ

I.A HANQl K II: ST-J K A N 

Tlth I.' AGI KIH'C Dl: ST* * 

JKAN

(Allan I .mo Royal Mail SS Co.) 

[

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r*

Vic*.président, JONATHAN HODGSON,

(Messrs. Ilidgson, Sumner 

à

 Co.) ]

l \ NUI Vhl. IHJTKL DK VIli.K

Gérant-Général. K. K. IIKIJIM N.

la liquidation de la banque de St-J can i 

__

de sera plaidé pr<* hainem.i* k Mont- dt. éi.ndue dV Urraîn à iwéiTpüs $

ou Iv gouwr-

Capital payé 

Réserve

$

6

,

000

.

000.00

 : :

$5,400,000.00 : ;

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Jos. Duolos. Fort 

Pratt,

I

millions do dot-

Département d'Epargnee

Noue portons nue attention toute pwrtiçulière 

comptes d’épargne. Ou reçoit dee dépôts de $1 00 en J ; 

montent et l'intérêt au plus haut tsux courant est alloué et < > 

ajouté deux fois l'an su capital, sans qu'il soit nécessaire ! ! 

d'en faire la demande ou de présenter le livret.

---------SVVCVRHAI.K DE ST. J KAN--------

H. D. WELLS. Oérant. J A. l'RKZKAU, Comptable : :

am « >

♦

et hau­

Nt-Jean, Nuu-

KOtc, parait fUe la mhiw lue celle LA C'Kl.KIlKATIOX Di: IA KT- 

que portait I'rudhommc, qui. était 

. haussé de chaussures jaunvw et .oil

lé d'un bonnet de fourrure m mouton |,a difficulté survenue entre |

m

 

de Perse Madame (iiroux ne peut membres du Salon Littéraire et Mu- 

dire, cependant, combien son frère sical et ceux du Cercle C'ollm, au

JEAN BAPTISTE

BRILLANT SUCCES

membres du Orde Collin 

raison d’être fiers du murés

ont

♦

qu'ils

PAS DK PICOTE

ont remporté diman.be dernier. 

,..

Plus de cent personnes avaient ré- °valt d argent sur lui lors de s*m de* sujet de la célébration de notre fête 

I# Dr X A. Nabourin. président  pondu à lour invitation  d'assister 

au  parl 

nationale de la Saint-Jean 

êtopUste.

Le major Nelle# 

faisant partie 

du  du comité d'hvgièee de la ville 

de  concert  boucane qu'il* aV*ent 

eu A St*,0an on n a pu découvrir oui- aU 

mois de juin 

prochain,  tfmt  d'é-

rjzr 

---------- c.» *== n'—

Z r£ TT^rr: 

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“*w" %: r: 

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, va demeurer dans l'ouest au 

1

 

A 

Su-Anne, de cette ville, viennent de A Iberville comme à St-Jean, la *,.a qui, ^alt grandement temps

printemps 

a Init  l'achat de trois su 

nitJ 

|.*TS  l»r  II v VOI  K 

,alre ' 

de  leurs dignitaires  et  situation unitaire est  em-Urote 

à  da„,.r 

.. abandonner 

aux h*as 

de

perbes chevaux  à  Iberville 

BILLETS 

DI.  HANDLE 

d<- distribuer 

l.-s  différentes charge  l'heure act ml le On ne  signale

—M. Joseph Archambault, de fla-

1

(Vs deux associations de jeunes

gens avaient annomé qu'elles organi- 

célébraUon de 

rt la Saint-Jean Baptiste. |v OrchiCol- 

**' lin qui avait organisé cette fête l'an

trancher la difficulté. 

C'cM pourquoi le Salon Littéraire et 

Musical convoqua une assemblée 

à 

laquelle il invita les représentants 

des soiiélés de St-Jean et d’Ibervil­

le, x compris les délégués du Cercle» 

Collin, afin d'en venir à une ««tente

L assemblée eut lieu dans les salles 

du Salon Littéraire et Musical, rue 

St-Charles.

Il fut proposé par M J Aimé 

Lussier, notaire, secondé par M 

Jacques Cartier, avocat, que mon­

sieur Treffle Côté, de St*Jean, soit 

nommé président de cette assemblé* 

— Xdopté.

Il fut ensuite propos*" par M. J. 

Aime Lussier, secondé par M. J 

llmri Lanctôt, que monsieur J. IL

Mlle Hcc tort ne Prairie, d'Iberville.

LK CONCLUT l>L MMK PA» 

LOSK A

W Morphée.

Plusieurs invités s'illustrèrent dans

quelques ras de grippe.

que comporte cette organisation. 

Voici le résultat de cette élection

La''succursale de la banque des Can- 

remont., Nil, est vrtiu rendre visi- tons de l'Kst, en no tac ville, banque 

te à son frère, M. è rédérie Arvham- qui, c^it maintenant amalgamée avec 

bault,, de Kt-Jean, oU il W pass.* huit ja banque Canadienne%le Commerce, 

jours. M. Archambault est retourne commence à retirer tous les billets . 

aux Ktato-Vnis, .mhanté de 

t oyage.

des chansons comiques au point 

faire rire aux larmes leurs auditeurs, 

parmi ceux-, i

dv

4

Mmes Valent an Poirier, présidente ,

Luc Papin.au, première assistante ;

, A. Chassé, wx'onde 

assistante ,

Edouard I/Keuyer, trésorière.

Conseillères -Mmes C H Desnoy- la t*marne dernière, sont unanimes X |,. notaire 

ers, K. X. Archambault, A. Beau- dire que leur attente n’a pas 

champ, .1 Buck.

AC COLLEGE MON NOIR

méritent assurément 

Ceux qui ont eu le plaisir d’assis- dis limitations, MM O Grégoire et 

ter à la séance du collège Monnoir, \ |trosseau, d’autres, comme M

Brassard, M le docteur 

*'te Nabourin. M Louis I Libert, émurent 

M l’a votât Poulin

son qu'vlle a «« circulation. I ne quantité 

considérable de ce» billets a été ex­

pedite- X Toronto ces jours derniers, 

pour être détruits.

♦

trompée les élèves ont remporté un j(.ur auditoire;

Mmes K. Gauvin, organiste ; N. A. beau succès. 

,

Sabourin, directrice du .liant , I>. La salle, pouvant coirt.iiir environ déclamations. M 

(iodin, Alfred L’Kcuycr, sacristines , cinq cents personnes. était remplie de fjt entendre dans son répertoire, et 

Kphretu Moreau, Jean Baptiste Tiii- spectateurs, parmi lesquels un 

bodeau, infirmières

Mme Jules t/uesnel a été élue serré- laïques, 

taire des dames d. la Congrégation 

de Ste-Anne.

corn I)K CIRCUIT