Publie a 8T. Jean d’iberville. Canada
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- / \ N pourra se procurer* Le Canada Français" à Mont réal. a la Librairie saint-Louis, No a88 Est, rue Ste-Catberine.
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" % :: :: 96-120, la butte............................... 4,5 Oignons égyptiens, 100 Ibs. 34 u détail et SJ» cochons, sans recourir Valence, 420 la Panais, le paquet. -O.ou V la ^ l'extérieur pour aucune espèce de ............ 4 7* Patates, par sac de 90 livres ...
1.50 FRUITS
GIN «CROIX ROUGE.' Ixrs Grains Canadiens, les plus estimés sur les grands marches du monde et la meilleure qualité «le Genièvre ont employés à la fabrication «le cette fia u-de-vie fine qui est livrée au Consommateur, pure, âgée, mûrie, embouteillée eu Entrepôt sous la surveillance permanente du Gouvernement. LE GIN «CROIX ROUGE* est soumis à un contrôle rigoureux des officiers de l'accise, au nombre «le sept, qui président aux opérations «les différents départements de la Distillerie de Bert hier, depuis la pesée des grains, en suivant les différentes manipulations, la distillation, le rendement en Kau de-vie. ITintnqxv-age «le m duration. 1 embouteillage, la m s-: en caisse du Gin « t son logement en entrepôt «le douane jusqu à la sortie de la Distillerie du Gin «Croix Rouge" en flacons officiellement scellés. Il il y a pas un produit de consommation au monde, dans l'industrie «les pro«îuits «l'alimentation, qui s.>it l'objet d une surveillance aussi méticuleuse et aussi constante. Le public possède donc toutes les garanties d âge et de pareil « t *1 • maturité du Gin « Croix Rouge," alors «]uv les Gin» Importé» de ^Etranger ne lui off^en- p « l.t moindre garantie, vu «|U us ne sont 1 objet cl aucune surveillance officielle à 1 exportation, ni d'aucun contrôle «le qualité, de pureté, de salubrité, à 1 importation au pays. 1 •Je considère, dit-il, qu’un cultiva teur prévoyant doit se réserver moins 15 âcres sous Lois. l'ar Ailleurs, 5 Acres ne sont pas de trop pour les bâtiments, cours, jardin et verger . . , 0 00 0.50 df sorte qu’une terre de 100 âcres se . . .0.00 0.15 réduit «n réalité à SO Acres de 1er e ... 0 00 U 20 m culture. Y a-t-ll lieu pour le Consommateur, ù’Lvsitcr entre le Gin Canadien et le Gin Etranger? Ni v.s lv faisoiK jugi—le souci ■ • x s-intc dictera v au choix.
0 00 1(25 ! LE GIN AVEC UNE GARANTIE \ BOIVIN. WILSON & CIE. DISTRIBUTEURS. MONTRÉAL. i ••Sur tes KO Acres, un cultivateur, UN CES ALAMÔ/GS SERVANT * i* DISTILLATION DU GIN CROIX-ROUGE DISTILLERIE de ÔERTH/ERV/UZ. =7 de Oranges caisse..
Oranges île Messine, la btv. ..> Orange* de «oriente, 160-200 (outrage ( mais il devra acheter du son), et maintenir la fertilité du sol. excepté en chaux et en acide phosphiv- rtque. Une dose de 2.IMMI Ibs de su- l'imeiit le panier.................... 0.50 0.00 perphosphate ou de scories à l’arpent. Poireaux la douz paq. . . 0 00 0.15 tous les trois .ms. fourniront ces d»mx Raifort, la livre...................... 0.00 0.1* élémret*. quand ils viendront i faire Salsifis, la livre...................... (,T5 o .<*» ««tjua®! nu nombre d’âcres 5 semer Salade, la douz. paq . . • -0 00 0.15 toUS jfg a8s m trNle. il en faut 20, si Salade de Montréal, frisée, „n ne les laisse qu'une année en prai- 0.35 0.00 rte, ou la moitié moins, si on les lais se deux ans, de manière il avoir un 0.35 0.00 foin mélangé pour les chevaux, ce 0 00 0 75 que beaucoup préfèrent, et je ne les 0 15 0 00 cn blâme pas " ‘ Ces remarques surprendront partisans de la culture intensive des 2.50 0 00 c<çréate«, culture épuisante et de moins 2.50 3.00 en moins rémunératrice, mais elles ihXXi,
î .io i r.o Patates sucrée*, le panier de 60 livres............................. v 00 0.70 ... . 3 00 .... 3.0V
... . 2 75 la b te......................................... Ananas, 24, le cte................. Ananas, 30 le etc................ Ananas, 36 le etc. Oignons égyptiens, Célcii île Floride, le cte........... Datte* Hallow i.............................. Figue*, 8 cour., *c. En boite. Cacaooettcs, Françaises, rôt. Xà >■** t r. : g iî: S .00 mm : | i l h |4.
100 llw 2 3-le . . 6 50 6c à 7c sac
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Salade de Montréal, pom.. : doz
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.00 Tomates canadiennes,esse Mc Radis, doz. paq....................... la b le., i.................................. Amandes étalées, la lb . Amande Tara, la lb •• 1rs I!
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1 Bananes Jamaïque Bananes Jumbo......................... - — ------- , . , ,,
...... E-rjsjr char $1.45 à 1.60 Unions, la btc u "" 1 laitière : deux sources d* revenus qui Mandarines, la hte................. 0 00 1 on assufent j* fertilité permanente du à 32c Oranges Californie, caisse. 4 00 0.00 et |r bien-être du petit comme du Oranges Navels, la boite. .0.00 4.50 grand agriculteur. pieie
SUT .::.: :: : : ;* ‘ .»«. -; »■; %'r " .. .. Ile à 13c B,ru| abattu, 100 Ibs . . 8 00 10.00 ,, doit rrnna1tre le capital nu il a .......... ,0c k 13c Mouton..................................... 9 00 12 00 mi, dan* l’exploitation de «a fermx " E : S : t r E -------- - • tVaûx de veaux, lb.............. 0.13 0.14 anssj |r travail de ses domestique*,
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PAGE EDITORIALE '
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r tel qu’il la - ^ — "•urf .... « „ faut pas oublier que ce *ont MM. ait la milite division que M n*.r*al No 5 actuellement , un autre P°ur
^ |\||vtier, llouraxsa et N autel vhariKcr de nouveau le nom ‘lu count* de Frontenac pour celui de I ac Md- quj |iu|lt pouasd k faire cette promes- et aujourd’hui ces derniers dustrie H |v i«»miiivree, que pour le* termes d* tous l« s Cantons «le l'Kst. quelques amendements , l'un pour «Ivnner f..us les citoyen* «le U région le demandent et sont heureux de \«»ir 1rs dédrs «les «'■lecteurs eux-iidmes ; l'autre, p«,ur que Montréal St uetirgvs qu- le gouvernement «st dispose à le leur accorder 'Ici est en substance le discours | foiiuncé par le «téputé «le Sherbrooke qui a re^u Ju gouvernement une rép< use très favorables, M Therrien a gantie Tous c^s amendements ..ut été rejetés et le bill a été a»* »«.»»*'• tri eld beaucoup applaudi pendant et îl la fin de Niai discours l.'hon I ii'suiu r Provincial a félicité le nouveau «léputé de ShvrbnwAe d l«* centre des Cantons «le l'Kst dont il est aussi un Une députés. Il a * Farlé d<** piogrds de cette partie de notre province dont l'avenir est trts
brillant de rape* tives et dont les citoyens sont «léterminés à se donner la main |s,ur mieux faire connaître les avantagea et les ressources «le
leur région Il est nécessaire de faire venir dis colons et des ouvriers et de leur
fournir I occasion «le trouver de l'en pU»i. C'est le but qu'on atteindra en créant ce }>ure.«u tel que demand**
K'Isiii Ministre des Travaux Publics et du Travail a répondu i« dette de M Hourassa a tenu une as emblée de protestation à propos des écoles ,nj4Jl du Keexvatm, au Monument National, samedi soir, lai salle était remplie LBJ C3AN A. L)A FRANCAIH
Ori»iinc Liberal du District d'Iberville, ETATS-UNIS.
La Compagnie de Fublieal.on iE CANADA Ik A.SC «Il limitée. i
AllONNI MKST Il su
récoltent le fruit de leurs appels in eendiaires la querelle et la dissen
sion sont au sein de la famille, et IrlrplHinr M. Il Hi i
qu'amendé auparavant <‘n comité gém-ral Il commence a être question par»» la députation des promu-tvs elec
tions provinciales U'*a- «' s préttmhnt même que ces électl »n* auront .leu à la lin de mai ou au commencement de juin
turn ministérielle n'a été faite U ce si jet elles y demeureront. la s jeunes nationalistes ont fait
preuve de sincérité au cours de la dernière campagne, mais ils ont été
les jouets de leurs chefs politiques. Pour les ministres qui refrènent la
province de Québec, il ne peut être davantage question de principes, ils
ne songent leur propre tête. Aujourd’hui, dit M.
DK la-mieux, la presse nationaliste dé- Cependant a i: me •!«'■« !ara-
KRONTKNAC L’Assemblée du Monument National
i
♦ i.K MON UK VENU MOU TON plus qu'à sauvegarder LE HI 1.1. DES FRONTIERES DU MANITOBA -L'AMENDEMENT SIR WILFRID LAURIKO-REMARQUES DU CHEF DE I.WINXSI- nome la conduite du mUtre général des listes et l'accuse ouvertement do ne pas faire honneur à ses promesses, l es journaux qui l'attisquènet tu N "EST RAS UN JOURNAL R Eh PE CTA RLE -D1SCOU IIS DE l.'IION. plus dans I» presse nationaliste, sont ‘la Croix”, "L'Action Socia le", "l.e Devoir" et "Le Nationally te". Quant au ntinlst re des Travaux Publies, l'hon. M. Monk, il admet déjà sans aucune réserve, que In que*- tion des écoles séparées est défiaiti- vemeot réglée. Quelle réception au rait-il reçue s'il eut tenu ce langage aux assemblées nationalistes, à sou avec empress* meut, assurant ce dernier que le gou vernement reconnaît l'urgence de IN tablisseinent d'un bureau de ment à Nheebruoke «:• qu'il entend en établir un sans délai. Il eut heureux que le député de * comté lui donne l'occasion de se rendre à cette deman- place- et même un certain nombre de personnes on'i dû retourner chez elles, faute de place Sans trouver chez son auditoire, l'accueil de ses plus beaux jours, M d#1 llourass.i a été très applaudi à la fin de certaines périodes sonores. Son Uiw our», d'ailleurs, Voit d'argumentation, était plutôt sec et dépourvu lies ornements ordinaires dans la bouche du chef nationaliste MM. l a vergue et C.'aliao ont aussi adressé la parole plutôt briève- ie«t. M. l-i- vergue a enivre trouvé le moyen de jeter en peu de bave sur le parti li béral et M. Caban a accusé les Canadiens français de veulerie et de né gligiiue d ns I. réclamation de leurs droits, essuj.mt en même temps de leur donner une leçon de patriotisme. Chose à remarquer, hou rugissant, lorsqu'il s'agissait de déclamer con tre le parti libéral et de jeter l'Injure U lu face de ses membres les plus res pectés , M llourassa est devenu doux comme un agneau pour discuter les opinions formulées par M Monk un jour ou, par hasard, il était éveillé. Au moment ou le maître annonça qu'il allait disséquer le discours de M. Monk, une Immense huée, comme le Monument National n'en a peut êtce jamais entendue excepté lorsque Sir Wilfrid I.ai* 1 er > prononça le nom de M. llourassa. s'éleva du pu terre et des galeries, m ils le Maître eut un geste indigné et demanda à la foule de ne pas conspuer celui qui est en vers et contre tous son ami et qui peut enivre se convertir. Ce geste parut indisposer la salle qui lut trè* froide durant le reste de l'assemblée, malgré les efforts des nombreux étudiants nationalistes massés sur l'estrade et qui tâchab nt de chauffer l'enthousiasme M. llourassa au début de son di'.cours «wjuisse "a larges traits tout I historique de sla Question T ION -LE VOTE-L'HON. M PELLETIER REPUDIE VN JOUR N AL CASTOR. ET DECLARE EN 11.El NE CHAMBRE QUE CE L’une des mesures les plus populaires présentées par le gouvernement Oouin, est assurément celle qui se rapporte \ l'amélioration de la voirie L'hon M. Caron a présenté les résolutions sur lesquelles sera basé le bill relatif U l'amélioration de la voirie et qui aura pour titre : "La loi des bons chemins. 1912 " côtés de la Chambre M LEMIEI X /
l a question de l'extension des frontières du Manitoba a occupé la Ce fut un tonnerre d'applaudissement* des deux Chambre, presque exclusivement depuis ma dernière lettre. les Pelletier, les Et ceia nous a permis de voir à l'œuvre les Monk, Xante! et compagnie l«i nouvelle l comté, qui durera améliorer sa voirie et qui voudra bénéficier de la loi,
(lev* *&
Eux qui roulaient les yeux au ciel, à la seule évocation de Laurier, amis, les membres du clergé qui ont
sanglots tout fait pour assurer son élection lai. On a poussé la limite dans la pro
vince de Québec jusqu'à traiter les li béraux de criminels parte qu'ils n’a-
v«lent pas réglé cette question im portante suivant les idées toner va
in ces nationaliste.v. Après avoir sou levé ce tri pendant quinze ans, oo« n'a
pas peur de déclarer aujourd’hui ou vertement que la question est défini
tivement réglée. Jamais, ajoute l'o rateur, on n'a vu une conduite politi
que aussi indigne. I a
-
la preuve qu'il venait de donner de son esprit de justice et de son res- fanatiques ont été faits sur la ques tion de la marine, et là enoore.au- cun changement n’a été fait. L'hon. M. If mieux va plus loin, il accuse certain* ministres de ne pas jamais personnelle- aVolr confiance en leur chef, et 11 ci te particulièrement M. Monk. l»rs do la dernière campagne d’Arthabesà» on demanda à M. Monk ce qu'il pensait Et M L. P. Pelletier ? M. L. P. Pelletier lui aussi a déclaré que la de son chef. M. Borden : ' Plutôt que de le suivre, répondit M. Monk, je préférerais me séparer du parti con servateur." Tout est bien changé de- "Que ce bill ne soit pas lu une t'cuxilme fois maintenant, nuis qu'il puis les élections, détiare M. Le- mivux, les avantages du pouvoir font oublier aux conservateurs les promes ses qu'ils faisaient naguère. I)e neu- " lesquel les est basé le projet d’extension, telles qu'énumérées dans ce veau l'hon. M. Ix mieux attaque le "bill et dans l'arrêté en Conseil du ‘JO février 1912, ne sont pas équita- ,nalire-gcnéral des listes et l'appelle , . « , , , _ , , , ..... . . ,
"caméléon politique". "Je connais, blcs et ne rendront justice ni à la population du ««Manitoba, n. k la dil.„ M K.r> d,.puiR 25 ans Pt "population des autres provinces du Canada.'* je me rappelle qu'en .18M5 il quitta le Le bill actuel, a dit sir Wilfrid Laurier, donne une idée assez, juste Parti conservateur k cause de diver de la façon dont le gouvernement Borden entend remplir les multiples s d opnnu»n sur la question lté*l et devint candidat libéral à Trois- promesses qu'il a faites. ],a question, à un certain point de vue, se résu me k dépouiller la province d'Ontario, afin d'agrandir le Manitoba va obliger les différentes provinces k payer pour des privilèges que l'on lo Casser un règlement k cette fin, pour ordonner le macadamisa ge. l'empierrement ou le gravelage de ses chemins ; 2o Désrétcr par résolu tion. l'emprunt des sommes nécessaii es à la confection «,u k l’amélioration d'indignation que le souvenir des prétendues trahisons des chemins décrit* dans le règlement passé La résolution du Conseil d> sait naître, eux qui s’en allaient dénonçant en de fulminatoires rtéclama- »r4 Pourvoir au paiement de la moitié de l'intérêt de chaque année par la municipalité « eux qui n'avaient pas assez, de mouchoirs pour étouffer les de laurier lions les lambeaux de concessions jetés k la minorité comme un es \ un chien mourant, eux qui se posaient en champions Irréductibles de l'inté gralité des droits de la minorité, eux qui se proclamaient prêts k ter ser leur sang jusqu'à la dernière goutte pour faire triompher le «huit, la justice, etc ? Que font-ils, que disent-ils aujourd'hui ? M. Monk g déclaré &ux Communes que la minorité du Kecwatin n'a vait aucun droit acquis et félicit«it le très honorable IL !.. Bord en de If lieu ten any gouverneur en conseil approvers le règlement et la réso lution, et autorisera le trésorier de la province k s'engager à payer
lors de l'échéance, à même le fonds consolidé du revenu, lu moitié de l’in térêt et tout l'amortissement payable sur les emprunts contractés, pourvu lo L'intérêt annuel sur l'emprunt n'excède pa* I pour cent; 2o L’a mortissement annuel soit suffisant pour éteindre l’emprunt dans un laps de
temps n'excédant pas quarante et une années, et que la somme totale des emprunts contractés par les municipalités, avec | engagement du gouverne ment, en vertu de la loi n'excéde pas dix millions de piastres. Les lois générales ou spéciales des emprunts des municipalités ne s'ap pliquent pas à ces emprunts pou.- l'amélioration de la voirie. Ifs emprunts autorisés par la lui des bons chemins sont' effectués par émission d'obligations signées par le maire et. le secrétaire trésorier ouïe mvnt critiqué la politique de sir Wilfrid Laurier sur la question srolai- greffier de la municipalité, avec une clause à l'effet que le gouvernement * de Québec paiera la moitié de l'intéi êt et tout l'amortissement de l'em prunt
que pect des droits de chacun ! " M. Monk a déclaré que, le peuple canadien ne permettrait jamais qu’on puisse recourir k la contrainte ! M. Monk a déclaré que, pour sa part, il n’avait +
Il y a deux espèces de nationalistes—les évènements nous le font voir plus claimuent l'illuminé, et l'arriviste » minorité du Kecwatin n’avait aucun espèce de droit constitutionnel Les sommes requises pour les travaux qui seront exécutés Jusqu’à l'élection, ces deux types se confondaient assez par des moyens C’est seront
payées par la banque qui aura reçu le dépôt du trésorier de la province, par chèque» signés par le maire et le secrétaire-trésorier ou le greffier de la municipalité qui aura décidé l'amélioration le sa voirie et l'emprunt, et contresignés par le ministre de l'Agriculture et de 4 voirie ou par le “dc *a province du Manitoba, cette Chambre croit que les conditions sur A ce bill, sir Wilfrid Laurier a proposé l'amendement suivant analogues d'action, et par la professii n d’une politique commune depuis le 21 septembre qu'on a pu les nettement distinguer l'un de l'autre Les nationalistes, dédaignant les " 1 ,«lestions de chiffres", se sont tou jours attachés, par un penchant nnti rel de l«*ur tempérament, aux pro blèmes de race ou de religion , ils ont même su les créer de toutes pièces à l'occasion "soit résolu : Que tout en étant favorable à l’extension des frontières sous- ministre de la voirie. Les versements annuels destinés au fonds d'amortissement pour le ra- ainsi
être placés ou déposés par le trésorier de la province sous la direction du lieutenant gouverneur en conseil. Dès que les travaux seront commencés la municipalité devra faire un rapport mensuel au ministre de l'Agriculture et de la Voirie ; ce rapport devra indiquer les travaux qui seront faits, h montant détaillé des dé penses, le montant! en caisse, les travaux non complétés, et être attesté sous serment par le secrétaire-trésorier ou le greüier comme étant exact, lorsque les travaux seront terni nés, le secrétaire-trésorier ou le g.ef M lll‘r '*•' *a municipalité devra dénoncer au ministre de l'Agriculture et de la Voirie toute balance de deniers n n employée et e„ la possession de la municipalité, provenant d'un emprunt contracté en vertu de la loi et dé clarer que cette balance ne sera dépi usé j que pour la confection ou l'amé lioration des chemins de la municipalité, avec l’assentiment du ministre de l’Agriculture et de la Voirie chat des emprunts autorisés par la loi des bons chemins devront, que les intérêts accrus, Os pruolèmes prêtent naturelle!! eut à faire de l'éloquence emportée, à mettre la vapeur îles préjugés sous une forte pression, à exciter l'esprit de l'électeur des Images flamboyantes et qui frappent son imagi nation.
dans If s naAnnalistes I ont fait,—les vus par pur calcul électoral, conseï valeurs en goguette ou seuil libéraux dépités , les autres, par ot instinct et cet entêtement qui leur lit n lient lieu de conviction Qu'on ne s'y trompe pas, ecpendmit, il y a toujours un peu d'airi- visme chez l'illuminé , il a»ru à ses heures sa faiblesse de places et ,le patronage, (v g les trois places de M !lotir.issa, ou le cousin de II'roux ) Mais l'illumine se distingue avant tout, par l'ucliarneni-nt qu'il met à vouloir avoir raison ,outre toi.s, à être sage "tout seul",—ce qui, si l'oii en croit La Rochefoucauld est la meilleure façon de ne pus l'être J.'arriviste, ,»u contraire, tient moins à ses arguments qu'au prolit qu'ils lui rapportent M. Monk est par excellence le tvpe de l’arriviste , il s'est rapproché du parti nationaliste, flairant quelque avantage politique à exploiter cette agitation II a dénoncé I"'impérialisme" de la politique navale de Lan lier et son règlement scolaire, au pouvoir, il acceptera une solution navale franchement impérialiste, et il mettra les écoles du kecwatin dans sa poche
Rivières. Il fut libéral jusqu'en 1891. On Aux dernières élections, il fit la cam pagne avec Lavergnc et Itourassa. M Pelletier a aussi fait une campagne politique contre la question des évo- quand même. L'ancien gouvernement a fait des propositions déjà au Ma- les, celle qu’il accepte aujourd'hui même, campagne et même résultat, sur la marine. Ix* journal "La Croix", de la semaine dernière passa le cabinet Ilordeu en revue et dé- |f gouverna êlara "que de la part de M. Pelletier on ne devait rien attendri*jdv bon." M. Pelletier — "La Croix" n'est pas d,‘8 un journal respectable. M. If mieux.—A votre ans il était respectable lorsque n* journal atta quait sir Wilfrid Laurier. Aî. Lemieux ajoute que la question des écoles existait de 1890 à 1@#7 alors qq'elle fut réglée comme l’a dé claré M. Monk. U loi du Manitoba concernant'les écoles aurait Certaine ment pu être désavouée par le gou vernement McDonald mais l'exercice de ce pouvoir amène toujours des complications. dangereuses. 1 n an plus tard, sir Wilfrid lau rier sans avoir retours à la rigueur régla la question, la conciliation a vait produit Le droit et la justice ont toujours les privilèges dont figuré au programme du parti libéral et c’est veut accorder au Manitoba. La chose est injuste, mais on veut la lain* ni loba pour le prolongement de ses frontières, mais, on ne sacrifiait pas, au point de vue financier, les intérêts des autres provinces. La partie concernant le territoire à aevordér fut acceptée, mais il n'y eut pas d'entente en ce qui regarde les conditions financières ment actuel veut donner au Manitoba à peu près le même territoire, qui de était offert par l’ancien gouvernement, mais en plus, elle lui offre Ion» les travaux de confection, d'amélioratian ou d'entretien devront être exécutés par la muuieipalité mus
tout ofiuitr du departeimnt de la \ oirie a ce autorisé par le ministre de privilèges financiers que l'ancien Download 1.23 Mb. Do'stlaringiz bilan baham: 
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