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Bog'liq
Nazariy grammatika

Le sujet
Le sujet est un terme essentiel de la proposition à deux termes lié syntaxiquement au prédicat par le lien prédicatif.
Le lien prédicatif est exprimé en fr. par 2 moyens : 1) par l'accord grammatical en genre, en nombre et en personne : la maison est belle ; les fleurs sont belles ; ils vont à la gare mais ces catégories grammaticales ne sont pas toujours marquées formellement, à comparer : ce travail/cette règle est difficile, l'enfant joue/les enfants jouent. 2) Par la place du sujet dans la proposition, notamment l'antéposition par rapport au prédicat : l'orage a éclaté à 3 h.
Parfois le sujet nominal peut se trouver après le prédicat. Ex. Et s'en vont ces moutons sans bergers. Ici commence la rencontrée des présidents.
Le sujet peut être nominal et pronominal. En fait, la différence formelle entre les types communicatifs de la proposition simple concerne surtout le sujet : la proposition énonciative se caractérise par l'antéposition du sujet ; la proposition interrogative par la postposition ou la reprise ; la proposition impérative par l'absence du sujet.
Du point de vue morphologique, le sujet peut être exprimé par différentes parties du discours, mais les formes les plus typiques du sujet sont celles qui expriment la substance c'est à dire le nom substantif et le pronom : Le courage est une belle qualité. Il travaille ferme. Tous sont venus. On écoutait la radio.
A l'aide de l'infinitif : Vouloir c'est pouvoir, Grossir c’est vieillir
A l'aide de l'adverbe : demain sera un autre jour.
A l'aide du numéral : 2 et 2 font 4.


Le prédicat.
La théorie de la prédication communicative. La théorie de la prédication communicative (ou actuelle) se base sur la nouvelle conception de la prédication : à la différence de la conception traditionnelle, purement grammaticale, la nouvelle approche est communicative . D'après cette approche la prédication reflète la " marche " de la pensée du sujet parlant de l'élément connu de l'information à un élément nouveau. Autrement dit, en se basant sur l'élément connu le sujet parlant met en relief l'élément nouveau de son énonce. De tous les termes proposés par plusieurs linguistes pour nommer les deux parties de l'information dans un énonce, ce sont les termes " thème " et " rhème " qu'on emploie le plus souvent dans les recherches syntaxiques d'aujourd'hui. Les moyens d'expression du rhème (de rhématisaton d'un élément de l'énonce) sont assez varies. L'importance de chaque moyen n'est pas la même dans les langues analytiques et synthétiques. Pour les langues synthétiques le moyen le plus important et le plus répandu est l'ordre de mots. En français les possibilités d'utiliser ce moyen sont limitées. Pour les compenser le français recourt plus souvent à la construction passive et utilise une construction spécifique avec le sujet formel, " vide ", purement grammatical - " il " impersonnel. Les deux constructions permettent de rejeter le sujet grammatical-rhème à la position finale - la position logiquement la plus accentuée. Outre les moyens nommés, en français un rôle très important dans l'expression du rhème appartient aux différents moyens de mise en relief : les trous présentatifs, la ségmentation (reprise et anticipation), la disjonction. Dans le code oral c'est l'intonation qui aide à rhématiser un élément de l'information énoncée.
C'est assez rare que la prédication grammaticale et la prédication communicative coincident, c'est a dire que le sujet grammatical coincide au thème et le prédicat grammatical - au rhème. Plus souvent ont lieu toutes sortes d'incoincidences, partielles ou totales. Le modus et le dictum. Ces deux notions ont été proposées par Ch. Bally. Elles reflètent la structure logico-communicative de la proposition, dans laquelle on peut distinguer deux parties - ce qu'on énonce (le dictum) et l'nformation sur la manière ou le mode de l'énoncer, l'attitude du sujet parlant envers ce qu'il dit (le modus). Le modus peut être explicite ou implicite. Les moyens explicites de son expression sont nombreux et varies. Dans la langue orale c'est l'intonation qui joue souvent le rôle de modus.
Le prédicat est un autre terme essentiel de la proposition à deux termes. Il est lié par le rapport prédicatif au sujet dont il exprime les marques.
Plusieurs linguistes considèrent le prédicat en tant qu'élément central de la proposition par rapport auquel les autres éléments marques leur fonction (A. Martnet, C. Bureau et autres).
Le prédicat peut être classé à partir de deux critères différents : morphologique et syntaxique D'après le premier, le prédicat est divisé en deux types principaux : prédicat verbal et le prédicat nominal . D’après le deuxième critère, il y aura deux types de prédicat selon sa structure syntaxique : le prédicat simple et le prédicat composé, chacun de ces deux types ayant de variété morphologique.
Le prédicat simple. En français le prédicat simple est représenté seulement par le verbe personnel qui peut être à la forme simple (il rentre) ou à la forme composée (il est rentré).
Les groupes de mots figés et les locutions verbales (avoir sommeil, faire part, prendre la fuite, mettre en doute), sont considérés généralement aussi comme le prédicat verbal simple, car ils sont indivisibles du point de vue syntaxique. Ces trois derniers mots firent plaisir à Boissier.
Le prédicat composé est représenté par deux espèces grammaticales selon que le deuxième élément est le nom ou le verbe.
Dans le premier cas il s'agit de prédicat nominal ; dans le deuxième de prédicat verbal.
1. Le prédicat verbal se compose du verbe personnel et de l'infinitif dont les fonctions sont nettement différenciées : le verbe personnel exprime toutes les catégories grammaticales : la personne, le temps et le mode.
Ex. je voudrais rester chez moi. Il doit partir immédiatement.
Le prédicat verbal composé peut se former de trois éléments : verbe outil + deux infinitifs comme par ex: elle sait vouloir gagner; et même de 4 éléments (verbe outil + 3 infinitifs): il ne pouvait s'empêcher d'essayer de résoudre ce problème. Selon certains linguistes, c'est un type de prédicat à part. Il existe évidemment quelques verbes dont la nature grammaticale peut être déterminée différemment : les verbes modaux - devoir, vouloir, pouvoir, savoir etc. Les verbes marquant les nuances d'aspect : se mettre à, commencer à, finir par ; les verbes de mouvement : aller - venir . Ces verbes formes avec l'infinitif le prédicat verbal composé.
2. Le prédicat nominal. Le verbe personnel faisant partie du prédicat nominal s'emploie en fonction de copule. Les verbes copulatifs sont : être, devenir , rester, paraître etc. Leur trait caractéristique est qu'ils sont intransitifs.
Ex. il semble heureux. il est malade. Elle est étudiante.
L'analyse du prédicat nominal pose, elle aussi, le problème de son identification. Il s'agit notamment des cas suivants : 1) Si le prédicat nominal comporte le verbe être, réunie au p.p. Il peut coïncider avec d'autre construction formellement identiques, notamment avec la construction passive ; comparez : la ville est affamée - la ville est détruite ; le plancher est lavé ; la séance est terminée.
D'autre part, le prédicat nominal peut coïncider avec le prédicat verbal à la forme composée; comparée : il est monté (contre toi) - il est monté au deuxième étages .
Il était mort - peut représenter le prédicat nominal (= il n'était pas vivant) et le plus que parfait (= il avait cessé de vivre) 2) Les grammairiens ne sont pas d'accord en ce qui concerne la construction être + substantif avec les prépositions : à, en, dans. "Pierre en France, ", "les enfants sont dans le jardin". D'une part cette construction est considérée comme la réunion du prédicat simple et du C.C. du lieu (Bureau, Moukhin, Svetline); d'autre part elle est traitée comme prédicat nominal : verbe copule + attribut, duquel cas, évidemment, la construction "les enfants sont dans le jardin" est identifiée avec les enfants sont joyeux (Pottier, Dubois - Chevalier et d'autres). 3) le problème clef du prédicat nominal est la nature des verbes personnels : le prédicat nominal est - il formé seulement des verbes proprement copulatifs ou bien aussi des verbes significatifs indépendants susceptibles de se combiner avec le nom substantif ou adjectif , comme par ex.: il naquit poète, elle partie joyeuse .
Malgré la similitude formelle des constructions "il était joyeux et il partait joyeux", leur nature grammaticale n'est pas la même. Dans le premier cas la fonction du verbe personnel consiste à attribuer du sujet la marque prédicative (joyeux), donc il s'agit d'une vraie copule; dans le deuxième cas les composants expriment chacun une marque du sujet : le verbe désigne un procès, le nom une qualification, ce qui leur confère à l'un et à l'autre l'indépendance syntaxique aussi bien que sémantique.
On peut en conclure que le verbe copulatif et le nom forment un ensemble syntaxique et sémantique qui fonctionne comme un seul terme de proposition, tandis que le verbe significatif et le nom représentent deux termes à part.
Le prof. V.I. Gak dit que "Le prédicat grammatical est exprimé surtout par un verbe à la forme finie. Il remplit 3 fonctions dans la proposition: sémantique (il caractérise le sujet), prédicative (il exprime les catégories de la prédication), structurale (il constitue le noyau de la proposition en relisant entre eux ses termes). Sur le plan sémantique on distingue le prédicat - procès, le prédicat qualificatif et le prédicat combiné exprimant à la fois procès et la caractérisation du sujet. Au point de vue de la structure, on distingue les prédicats verbaux simples et les prédicats analytiques de différents types.

Prof. M. Abdourazakov est un grand savant linguiste. Les années 70-90 il était seul docteur es lettre.


Dans son livre qui est appelé «Types sémantiques des sujets» (1991) (p.56-60) M. Abdourazakov a analysé la syntaxe des contes dans lesquels il a déterminé les types sémantiques du sujet (34).
Il a proposé 4 groupe de structure de la syntaxe qui se divise en 30 types de prédicat.
Dans les contes de Gascogne, Ch Perrault le savant a analysé le sujet et il a établi une analyse statistique sur l’emploi des types sémantiques des sujets.

S ujet



  1. personne 2) animal 3) chose (objet) 4) nom abstrait

61,5 % 12,8 % 15,5 % 10,2 %

C om : d’Objet direct





  1. personne 2) animal 3) chose (objet) 4) nom abstrait

35, 6 % 10,2 % 49,6 % 4,6%

C omplément d’objet indirect



  1. personne 2) animal 3) chose (objet)

90,3 % 3,3 % 6,4 %

La syntaxe des contes est caractérisé par l’emploi de la structure syntaxique suivante :


Личная профессия

  1. proposition personnelle avec le prédicat nominal (4 schémas structurals)

Pierron était un manteur

  1. proposition personnelle avec le prédicat verbal intransitif (4 schémas structurals)

La princesse se réveilla

  1. proposition personnelle avec le prédicat verbal transitif (8 schémas structurals)


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