Négation relative


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Négation relativ1


Négation relative.

Quand la négation est relative, l'emploi négatif de la plupart des auxiliaires » appartient à la langue générale; d'ailleurs, on n’a ordinaireient comme autre solution que d’introduire, quand c'est possible, un verbes  ermettant le recours à ne, par ex. dans une proposition relative.



Adverbes.

Guère : Ils nous ont semblé aussi vraisemblables, mieux écrits, et guère plus ridicules que certains romans de nos jours (musset,contes , lettres de dupuis et cotonet, ). — La ville avait une demi-lieue de tour ou guère moins (littré). — On ne peut la (= l'acceptation du silence) demander au littérateur. Et guère au philosophe (Benda, cit. Trésor). — Voir aussi § 1029, b. Guère de comme déterminant : Elle la voyait pour la première fois, éprouvait un désir, Guère de doutes, nullement la même certitude qu’à l'égard d’Albertine (Proust, Rech., t. II, p. 852). — Voir aussi § 993, d, 2°.

Jamais : Ils vont, viennent, jamais fuyant,  jamais lassés (Hugo,Lég., X, 2). — Il remuait et agissait par gestes courts, jamais comlets (Maupassant, Pierre et Jean, II). — Leurs yeux, jamais fatigués, plongeaient là-bas (Barrés, Du sang..., p. 42). — Cette force toute puissante des idées courantes, anonymes, reçues dès la jeunesse, [...], jamais discutées (Bédier, Fabliaux, p. 4). — bouche à la lèvre inférieure enfantine, ourlée, gourmande, jamais sevrée des dangereuses délices de la pipe (M. Serres, Disc, de récept. à l'Ac. fr-). — Cette conjonction de métiers jamais réunis, [...], il faut bien en chercher l'origine (Poirot-Delpech, Réponse au dise, de récept. de M. Serres à l'Ac.). — Une haine jamais assouvie (Ac. 2000). — Même si (...) se multiplient les guerres locales jamais totalemen tenues pour de vraies guerres (Carrère D'encausse, Ni paix ni guerre, p. 13). — Dans la grande propriété de ses parents, de ses parents jamais là (Triolet, Luna-park, L. P., p. 69).

Plus:plus toute jeune, mais encore belle,[...] elle avait l'air d’une de ces roses qui s'épanouissent indéfiniment (Maupassant., Fort comme la mort, I, 1). — L’automne épuisé, plus même réchauffé par le soleil rare, perd une à une ses dernières couleurs (Proust, Les plaisirs et les jours, p. 175). — Nous étions livrés, défaits, et plus les maîtres de nous (Cesbron, Traduit du vent, p. 70). — Un vieux père, une fille plus très jeune (Sartre, Préf. de : N. Sarraute, Portrait d'un inconnu). Si plus n'était pas suivi d’un adverbe de degré (une fille plus jeune), il risquerait d’être pris lui-même pour l’adverbe de degré ; non plus est impossible ; la relative serait obligatoire : une fille qui n’est plus jeune. Plus du tout est possible, mais avec une nuance qui ne convient pas toujours. Avec une forte ellipse, la locution fam. jusqu’à plus soif ( = jusqu’ à ne plus avoir soif) « à satiété», au sens propre ou, souvent, au figuré : On s’était mis à boire à même [le vin qui s’écoulait librement] jusqu'à plus soif (Loti, Pêcheur d’Isl., L. P., p. 206). — Le bébé essaya de prendre un air fin et même matois, comme si téter jusqu'à plus soif était une bonne farce qu’ il avait faite (Malégue, Augustin ou le maître est là, VI,2).— Il y en avait qui faisaient la farce de le tâter du haut en bas, comme s’ il avait eu des écus dans la viande pour en sortir ainsi jusqu'à plus soif (Zola, Terre, III, 3). [Cf. Plus haut : Il feignit de se fouille longuement. Puis, tout d’un coup, il sortit sa


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