Outil pédagogique «Les étangs de la Dombes»


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Bief 

: fossé, situé au milieu de l’étang. Il permet de faire s’écouler l’eau plus facilement 

lorsqu’il sera vidangé.

 

Chaussée 

: digue construite par l’Homme qui ferme l’étang.



 

Ebie : trop-

plein. Permet l’écoulement des eaux excédentaires.



 

Arrivée d’eau

 

: prise d’eau alimentant l’étang, qui peut être barrée par un ouvrage appelé 



batardeau permettant de détourner l’eau.

 

Fossé de détourne 

: permet de détourner l’eau là où on en a beso

in. (dit aussi rivière de 

ceinture) 



Fossé de vidange : 

fossé qui permet l’évacuation de l’eau quand on vide l’étang.



 

Gour 

: bassin d’écoulement en aval du thou.



 

Pêcherie 

: lieu le plus profond de l’étang. C’est là que sera attrapé le poisson.



 

Thou : système de vannes propre à la Dombes. Cf. ma remarque + haut 

Empellement 

: ouvrage permettant de barrer ou de laisser s’écouler l’eau.



 

Batardeau : barrage fabriqué autrefois en terre, généralement renforcé par des planches et 

des piquets il est réalisé de nos jours en ciment. Le batardeau a pour fonction de détourner 

l’eau d’un fossé à un autre ou peut être mis en place à l’arrivée d’eau de l’étang.

 

 



 

 

 



 

 

 



 

 

 



 

 


Dossier d’accompagnement de l’outil pédagogique

 « Les étangs de la Dombes »

 p. 12 

 

3 - Les étangs comment ça marche ? 



Objectif 

- Comprendre la mise en réseau d'étangs et la gestion de l'eau 

 

 

Dans l’exposition



 

Les étangs comment ça marche ? 

Sais-tu comment se remplit un étang vide ?  

L’eau des étangs provient des précipitations qui tombent sur tout le territoire de la Dombes. 

Pour  gérer  l’eau,  les  Hommes  ont  créé  des  fossés  qui  servent  à  récupérer  les  eaux  de  pluie  et 

permettent de faire circuler l’eau d’un étang à l’autre.   

Les étangs sont donc souvent reliés les uns aux autres et forment un véritable réseau. Si tu ouvres le 

thou d’un étang que se passe-t-il ? L’eau va s’évacuer. Quel chemin emprunte-t-elle ?   

Pour comprendre le fonctionnement d’une chaîne d’étang, active l’animation.  

Les  étangs  sont  organisés  en  fonction  de  la  topographie  du  terrain.  Certains  sont  plus  hauts  que 

d’autres. Pour faire passer l’eau de l’un à l’autre, il faut vider l’étang situé le plus bas, ouvrir le 

thou d’un étang situé plus en amont et laisser couler l’eau.  

La circulation de l’eau et la gestion de l’eau sont donc très importantes.  Cela sert à économiser  et 

à réutiliser plusieurs fois l’eau, cette denrée très précieuse en Dombes. Eh oui, il ne pleut pas tant 

que ça en Dombes donc autant conserver l’eau au maximum.

 

 



 

Animation  :  dans  l’exposition,  cette  animation  permet  de  comprendre  le 



fonctionnement des réseaux d’étangs en fonction des dates de pêches

.

 



Dossier d’accompagnement de l’outil pédagogique

 « Les étangs de la Dombes »

 p. 13 

 

 



Pour aller plus loin

 

L’eau  est  essentiellement  d’origine pluviale en  Dombes,  il faut  donc  éviter de  la  gaspiller. 



Pour  cela,  l’Homme  a  créé  un  système  de  réseaux.  Il  a  aménagé  un  réseau  de  fossés 

reliant  les  étangs  et  permettant  de  diriger  l’eau  là  où  e

lle  est  nécessaire.  Ce  système 

permet d’utiliser l’eau successivement dans plusieurs étangs.

 

Lorsque  l'étang  est  vidé,  l’eau  peut  être  dirigée  vers  un  étang  vide  situé  en  aval.  L’eau 



descend  ainsi  naturellement,  profitant  de  la  faible  pente,  et  remplit  l'é

tang  suivant.  Si  l’on 

ferme l’arrivée d'eau de ce dernier, l’eau est alors dirigée vers un autre étang.

 

Ainsi un seul étang peut alimenter plusieurs étangs différents.



 

 

A retenir 

Sauf exception, les étangs de Dombes ne sont pas alimentés en eau par les riv

ières, c’est 

en fait le contraire. Ce sont les eaux des étangs, d’origines pluviales, qui finissent un jour 

dans les rivières. 

Les étangs de Dombes participent ainsi fortement à retenir l’eau. Ils jouent un rôle essentiel 

dans  la  rétention  de  l’eau  qui,  sa

ns  leur  présence,  alimenterait  rapidement  la  Saône  et 

pourrait 

aggraver d’éventuelles inondations dans la région lyonnaise

.

 



 

 

Faune et flore des étangs de Dombes 



 

Le but de l’exposition n’est pas de former des naturalistes avertis, mais plutôt d’amener les

 

enfants  à  observer,  s’interroger  sur  ce  qui  les  entourent.  C’est  pourquoi  nous  ne  nous 



sommes pas attachés à dresser une liste exhaustive de l’ensemble des espèces animales 

et végétales de la Dombes mais bien à présenter les espèces communes ou particulières. 

L’intérêt ici est de mieux faire comprendre la richesse biologique de ce territoire. 

 

Les scientifiques, lorsqu’ils nomment un animal ou une plante utilisent leur nom latin (formé 



de deux noms, le nom de genre et le nom 

d’espèce

). 


Chaque  être  vivant  est  nommé  ainsi  formant  un  langage  universel  pour  tous  les 

scientifiques ou naturalistes de la planète. 

En  effet,  les  noms  communs  changent  souvent  d’une  région  à  l’autre  et  l’on  ne  sait 

vraiment  jamais  de  quelle  espèce  on  parle.  Il  fallait  donc  trouver  un  système  de 

nomenclature  qui  soit  identique  pour  tous  et  c’

est  le  latin  qui  fut  adopté.  Par  exemple  la 

massette,  un  grand  roseau  bien  caractéristique  avec  son  épi  (inflorescence)  en  forme  de 

cigare,  peut  être  nommée « quenouille », « roseau de la passion », « canne de jonc 

»… 

Il 


peut  même  s’agir  de deux  espèces  très  ressemblantes  qui  sont  nommées  ainsi. Ainsi  en 

utilisant  le  nom  latin  Typha  latifolia,  ou  Typha  angustifolia,    on  sait  précisément  de  quelle 

espèce il s’agit.

 

 



Parfois le nom de genre est suivi de « sp » qui signifie « espèce ». 

Cette dénomination  « sp 

» est employée lorsque l’on parle d’un genre en général ou d’un 

être dont on a pu déterminer le genre mais pas véritablement l’espèce.

 

 

L’identification des espèces végétales peut être difficile. Suivant la saison vous n’aurez pas 



forcément  la  possibilité  d’en  identifier  certaines,  les  caractères  d’identification  (fleurs, 

graines,  qui feront  la différence) ne sont pas toujours présents. Ainsi les  graminées : elles 



Dossier d’accompagnement de l’outil pédagogique

 « Les étangs de la Dombes »

 p. 14 

 

ressemblent bien toutes à…de l’herbe



 tant que les épis ne sont pas apparus ! 

De  plus  vous  pourrez  rarement  observer  les  plantes  se  trouvant  au  milieu  de  l’étang. 

Néanmoins celles-

ci sont souvent visibles de loin et sont essentielles à l’étang.

 

 

Pour  la  faune  l’identification  peut  être  tout  a



ussi  difficile  car  la  plupart  ne  se  laissent  pas 

approcher  ou  se  cachent.  Quand  on  ne  peut  les  voir  les  oiseaux  peuvent  être  identifiées 

grâce à leur chant. 

 

Voici comment se décline la classification d’une espèce 



 

Nous prenons comme espèce l’être humain

 

Règne : Animal 



Embranchement : Chordés (ex : Vertébrés) 

Classe : Mammalia (Mammifères) 

Ordre : Primates 

Famille : Hominidés 

Genre : Homo 

Espèce : sapiens 

 

4- Quelle est donc cette plante ? - La flore de l'étang 

Objectifs 

 

- Identifier les différentes formations végétales de l'étang  



Connaître le rôle des végétaux dans l’écosystème étang

  

- Savoir identifier des espèces typiques des étangs  



Dans l’exposition

 

Quelle est donc cette plante ? 

Tu préfères avoir les pieds dans l’eau, le corps dans l’eau ou la tête sous l’eau ? 

As-tu déjà observé les différentes plantes qui  entourent l’étang ? Elles forment plusieurs ceintures 

végétales. Elles s’installent en fonction de la hauteur d’eau. Si certaines aiment avoir la tête sous 

l’eau  comme  les  characées  d’autres  préfèrent  avoir  la  tête  juste  à  la  surface  de  l’eau  comme  les 

châtaignes  d’eau.  Les  iris  d’eau  eux,  ne  se  mouillent  que  jusqu’au  milieu  de  la  tige.  Les  roseaux 

aiment avoir les pieds dans l’eau. Les joncs eux ont juste besoin de se tremper les pieds alors que les 

aulnes veulent simplement sentir l’humidité dans leurs racines. 

Toutes ces ceintures végétales sont autant de lieux où les animaux trouvent le gite et lecouvert, et un 

lieu calme pour se reproduire.

 

 



 

 

 



 

 

 



 

 


Dossier d’accompagnement de l’outil pédagogique

 « Les étangs de la Dombes »

 p. 15 

 

Pour aller plus loin



 

Les ceintures végétales 

Dans  un  étang,  la  répartition  des  plantes  n'est  pas  due  au  hasard  :  chaque  espèce  se 

développe à une profondeur d’eau particulière.

 

Du  centre  au  bord,  vous  observerez  des  groupes  de  plantes  très  différents,  appelés 



ceintures végétales. 

 

 



Une  formation  v

égétale  est  une  association  de  plantes  d’espèces  différentes  qui  ont  les 

mêmes exigences écologiques et sont donc liées au même biotope.  

Ainsi lorsqu’on parle de jonchaie, celle

-

ci n’est pas uniquement composée de joncs, mais 



c’est l’espèce la plus présente en nombre d’individus.

 

 



Le but n’est pas de faire des enfants des botanistes avertis mais de comprendre que dans 

l’étang la végétation ne s’implante pas au hasard et que chaque zone de végétation à une 

importance écologique pour l’étang.

 

Ainsi seules qu



elques espèces emblématiques ont été sélectionnées afin qu’ils puissent en 

identifier certaines. 

 

 

 



 

Une  formation  végétale  est  une  association  de  plantes  d’espèces  différentes  qui  ont  les 

mêmes exigences écologiques et sont donc liées au même biotope.  

Ai

nsi lorsqu’on parle de jonchaie, celle



-

ci n’est pas uniquement composée de joncs, mais 

c’est l’espèce la plus présente en nombre d’individus.

 

 



Le but n’est pas de faire des enfants des botanistes avertis mais de comprendre que dans 

l’étang la végétation ne

 

s’implante pas au hasard et que chaque zone de végétation à une 



importance écologique pour l’étang.

 

Ainsi seules quelques espèces emblématiques ont été sélectionnées afin qu’ils puissent en 



identifier certaines. 

 

Dans l’exposition nous présentons 7 types 



de formations végétales avec quelques espèces 

représentatives pour chacune d’elle. Le détail de ces espèces est abordé dans des fiches 

en  annexe.  Il  est  à noter  qu’il  est  rare  d’observer  toutes  ces formations  végétales  sur  un 

même étang (notamment les vasières).  



 

 

 

 

 

 

 

 

Sources : L’étang une question 

d’équilibre : ONCFS 


Dossier d’accompagnement de l’outil pédagogique

 « Les étangs de la Dombes »

 p. 16 

 

Dans l’exposition



 

Les plantes immergées 

Les associations immergées regroupent les espèces de plantes qui sont totalement plongées dans les 

étangs.  

 

Les plantes flottantes 

Ce sont les végétaux dont les racines sont dans l’eau et dont les feuilles flottent à la surface de l’eau. 

En  Dombes  par  exemple,  la  Villarsie  faux-nénuphar  étale  ses  feuilles  à  la  surface  de  l’eau  et  ses 

fleurs jaunes s’épanouissent en été.  

 

La roselière 

La roselière forme souvent la plus large ceinture végétale de l’étang. Elle est formée notamment de 

roseaux pouvant atteindre deux mètres de haut. Ces espèces végétales aiment avoir les racines dans 

l’eau.  

 

La ceinture à Glycérie et Rubanier 

Cette ceinture végétale est  moins  touffue que la  roselière avec des  plantes moins  haute. Dans cette 

zone d’eau moins profonde pousse la Glycérie flottante ou le Rubanier Rameux. 

Tu peux également y observer la Sagittaire avec ses feuilles en forme de flèches ou bien encore l’iris 

faux-acore aux magnifiques fleurs jaunes. 

 

La jonchaie 

La jonchaie forme une autre ceinture végétale. Les joncs ont besoin de moins d’eau que les roseaux 

pour se développer. 

 

La vasière 

Parfois le niveau d’eau baisse laissant apparaître sur les bords de l’étang de grands espaces boueux. 

C’est  la  vasière  ou  pousse  un  type  de  flore  particulière.  Comme  par  exemple  la  Scirpe  à  tête 

d’épingle ou la Marsilée à 4 feuilles. 

 

Les arbres du bord de l’étang 

Qu’observes-tu  quand tu  t’éloignes du centre de  l’étang ? La végétation  est  vraiment  différente de 

celle  du  bord.  Des  arbres  apparaissent  en  ordre  défini  en  fonction  de  l’humidité.  Au  plus  près  de 

l’eau  poussent  les  saules  puis  les  aulnes  et  enfin  les  chênes  qui  supportent  plus  ou  moins  bien 

d’avoir les racines dans l’eau. 

 

 

Pour aller plus loin



 

Les formations immergées 

(sous l’eau)

 

Lorsque la profondeur dépasse un mètre, les plantes peuvent être complètement sous l'eau 



mais néanmoins enracinées. 

Elles  fournissent  de  l'ombre  aux  animaux,  mais  aussi  des 

cachettes … et de l'oxygène.

 

Associations immergées  

  Potamot crépu, Potamogeton crispus 



  Le myriophylle, Myriophylles sp. 

  Le cératophylle (cornifle), Ceratophylles sp. 



  Characées 



 

Le potamot crépu

 


Dossier d’accompagnement de l’outil pédagogique

 « Les étangs de la Dombes »

 p. 17 

 

 



 

Les formations flottantes (dans l’eau, sur l’eau)

 

Lorsque la profondeur est importante, certaines plantes ne sont pas solidement enracinées. 



Leurs feuilles flottent à la surface. 

 Associations flottantes  

  Villarsie 



ou 

faux 

nénuphar, 

Villarsia 

nymphoides, 

 



châtaigne d’eau, Trapa natans,

 

  potamot nageant, Potamogeton fluitans, 



  renoncule aquatique, Ranunculus aquatilis, 

  renouée amphibie, Polygonum amphibium, 



 

 

 



La roselière ou phragmitaie (autour de l’eau, les pieds dans l’eau)

 

La roselière est souvent la plus large ceinture végétale de l'étang. C'est celle des grandes 



plantes,  qui  peuvent  faire  plus  de  2  mètres  de  haut.  Leur  base  et  leurs  racines  doivent 

toujours être immergées. 



Espèces typiques  



  Le roseau phragmite, Phragmites australis 



   Le scirpe lacustre, Scirpus lacustris 



  La massette, Typha latifolia et angustifolia 



  La baldingère, Phalaris arundinacée 

 

 

 

 

 

 

Les peuplements denses à rubanier, sc

irpe ou iris (autour de l’eau, les pieds dans l’eau)

 

Les pieds dans l'eau selon le niveau de l'étang, ces groupements végétaux sont d’un grand 



intérêt  pour  les  animaux  :  ils  produisent  des  graines,  abritent  de  nombreux  insectes  qui 

fourniront  de  la  nourriture  aux  oiseaux  et  offrent  une  protection  pour  les 

nids. 

Espèces typiques  

  Glyceria fluitans, glycérie flottante 



  Sparganium ramosum 

  Sagittaria sagittaefolia, sagittaire 



  Scirpus palustris 

  Iris pseudacorus, iris faux acores, des marais 



 

 

La renouée aquatique

 

Le roseau phragmite

 

La sagittaire 


Dossier d’accompagnement de l’outil pédagogique

 « Les étangs de la Dombes »

 p. 18 

 

La jonchaie



 

Véritable zone de transition entre la terre et l'eau, la jonchaie abrite de nombreux animaux. 



Espèces typiques  

  Juncus effusus, jonc épars 



  Juncus conglomeratus, jonc aggloméré 

  Lysimachia vulgaris, grande lysimaque 



  Lythrum salicaria, grande salicaire 

  Lotus uluginosus, lotier des marais 



  Carex hirta 



 

La vasière 

La  vasière  est  une  berge  d’étang  assez  plate  découverte  par  les  eaux  à  mesure  de 

l’évapotranspiration naturelle qui fait baisser le niveau d’eau de l’étang.

 

La vasière est colonisée par des plantes aquatiques peu élevées et peu denses. Elle attire 



de nombreux oiseaux, surtout des limicoles comme l’échasse blanche ou le vanneau huppé 

qui y trouvent leur nourriture.

 

La vasière abrite souvent des plantes à fort intérêt patrimonial  

  Damasonium alisma, damasonie en étoile 



 

Eleocharis acicularis, scirpe à tête d’épingle



 

  Luronium natans, fluteau nageant 



  Marsilea quadrifolia, marsilée à 4 feuilles 



 

 

 

 

 

 

Les arbres autour de l’étang

 : saules, aulnes, chênes 

Au bord de l’étang, on observe bien souvent des arbres. Ceux

-ci se répartissent au bord de 

l’étang  en  fonction  de  l’eau.  En  effet,  si  le  saule  supporte  assez  facilement  d’avoir 

régulièrement les pieds dans l’eau ce n’est pas forcément le cas pour d’autres espèces tel 

que le chêne. 



Espèces typiques  

  saule 



  aulne 

  chêne 



 

 



Fiche activité terrain « la belle plante » 

 



Fiche activité en classe vivre dans l’eau ou au bord de l’eau 

 



 

Fiche activité en classe quelle est donc cette plante (memory) 

 



Fiches d’approfondissements

 sur la flore 

 

La grande lysimaque

 

La marsilée à 4 feuilles 



Dossier d’accompagnement de l’outil pédagogique

 « Les étangs de la Dombes »

 p. 19 

 

A retenir 



La végétation autour de l’étan

g se dispose en forme de ceintures. Ces différentes ceintures 

et  donc  les  espèces  végétales  qui  les  composent  se  positionnent  ainsi  à  cause  de  la 

hauteur d’eau.

 

 

5 - Mais quel animal est passé par là ? - La faune de l'étang 



Objectifs 

- Connaître la faune de l'étang  

- Avoir une approche sur les relations intra et inter spécifiques 

- Aborder la question de la nidification, des migrations... 

 

 

Dans l’exposition 



Mais quel animal est passé par là ? 

En  fonction  des  saisons,  la  faune  présente  en  Dombes  change.  Certaines  espèces  restent  à  l’année 

alors  que  d’autres  préfèrent  voyager.  Les  oiseaux,  les  mammifères,  les  poissons,  les  mollusques  et 

bien d'autres cohabitent dans et autour de l’étang. As-tu déjà croisé certains de ces animaux ?  

 

 



De  nombreux  animaux  fréquentent  la  Dombes.  Si  certains  ont  besoin  de  la  présence  des 

étangs ou d’un milieu aquatique pour vivre

d’autres espèces présentes sur le territoire de 



la Dombes peuvent s’en passer.

 

C’est pourquoi la majorité des espèces présentée dans l’exposition virtu



elle concerne des 

espèces animales inféodées au milieu aquatique. 

La répartition de la végétation dans et autour de l’étang implique de même une répartition 

de la faune. Certains animaux ne vivent que dans l’eau, d’autres niches et se nourrissent 

en bordur

e de l’étang voir au

-delà. 

 

Lorsqu’on  parle  d’animaux  en  Dombes



  on  pense  de  suite 

aux  oiseaux  d’eau.  Mais  leur 

présence tient au fait que l’Homme a créé des étangs pour y produire du poisson. Ce sont 

donc par eux qu’il convient de commencer. Bien évidemmen

t  le  choix  fait dans  le  dossier 

d’accompagnement n’est pas tenu d’être suivi lors de la visite de l’exposition virtuelle. Les 

parties sont conçues pour être abordées dans un ordre différent. 

 

 



 

 

 



 

 

 



 

 

 



 

 

 



 

 


Dossier d’accompagnement de l’outil pédagogique

 « Les étangs de la Dombes »

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